Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une fable réjouissante qui fait du non-dit et du hors-champ des vertus cardinales.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Ce portrait crisé de trois personnalités guatémaltèques ose la fusion musicale et humaine, dans une fiction-documentaire à la fois punk, drôle et sensible. Un film latino- américain insolite, primé à plusieurs reprises.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film, qui tourne le dos aux préceptes des manuels de scénario préconisant le rythme et l’efficacité, tire son style génial de l’atonie de ses personnages ainsi que de leurs aventures, dont le leitmotiv est l’échec. Parfois, il ne se passe rien et tout repose sur le bluff du hors-champ (un personnage lance une pierre sur quelqu’un qu’on ne voit pas). Non seulement c’est désopilant, mais aussi émouvant, comme toutes les œuvres réussies sur des freaks, comme toute les histoires absurdes dont Beckett est le parangon (ou l’Estragon).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par François Forestier
Sur fond de changements politiques, de chômage endémique, de conservatisme religieux, nos musicos dissidents s’en donnent à cœur joie. Ils sont filmés avec une affection incontestable, à l’arrache, par Julio Hernández Cordón, jeune réalisateur installé à Mexico. Pour spectateurs aventureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Inspiré de l’histoire de Don Alfonso, joueur de marimba qui livre son témoignage dans une poignante séquence documentaire, le film bascule dans une fiction minimaliste aux accents bressoniens, exprimant par un subtil jeu de cadrages, de couleurs, d’ellipses l’amour du cinéaste pour les marginaux qu’il filme, et la brutalité avec laquelle la vie les traite.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce doc (...) intrigue et amuse, mais verse hélas un peu trop souvent dans le mauvais mélo.
Positif
par Hubert Niogret
Le cinéaste, sans vraiment rechercher une ligne dramatique, contruit une sorte de chronique des aventures de trois personnages qui exprime la réalité guatémaltèque, mais tout est sur le même ton, gommant les aspérités pour rechercher un réalisme, malheureusement un peu morne.
Télérama
par Nicolas Didier
Ce long métrage de 2010 mêle — non sans maladresse — documentaire et fiction pour décrire le conservatisme de la société guatémaltèque et la pauvreté de ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Une fable réjouissante qui fait du non-dit et du hors-champ des vertus cardinales.
Les Fiches du Cinéma
Ce portrait crisé de trois personnalités guatémaltèques ose la fusion musicale et humaine, dans une fiction-documentaire à la fois punk, drôle et sensible. Un film latino- américain insolite, primé à plusieurs reprises.
Les Inrockuptibles
Le film, qui tourne le dos aux préceptes des manuels de scénario préconisant le rythme et l’efficacité, tire son style génial de l’atonie de ses personnages ainsi que de leurs aventures, dont le leitmotiv est l’échec. Parfois, il ne se passe rien et tout repose sur le bluff du hors-champ (un personnage lance une pierre sur quelqu’un qu’on ne voit pas). Non seulement c’est désopilant, mais aussi émouvant, comme toutes les œuvres réussies sur des freaks, comme toute les histoires absurdes dont Beckett est le parangon (ou l’Estragon).
L'Obs
Sur fond de changements politiques, de chômage endémique, de conservatisme religieux, nos musicos dissidents s’en donnent à cœur joie. Ils sont filmés avec une affection incontestable, à l’arrache, par Julio Hernández Cordón, jeune réalisateur installé à Mexico. Pour spectateurs aventureux.
Le Monde
Inspiré de l’histoire de Don Alfonso, joueur de marimba qui livre son témoignage dans une poignante séquence documentaire, le film bascule dans une fiction minimaliste aux accents bressoniens, exprimant par un subtil jeu de cadrages, de couleurs, d’ellipses l’amour du cinéaste pour les marginaux qu’il filme, et la brutalité avec laquelle la vie les traite.
Studio Ciné Live
Ce doc (...) intrigue et amuse, mais verse hélas un peu trop souvent dans le mauvais mélo.
Positif
Le cinéaste, sans vraiment rechercher une ligne dramatique, contruit une sorte de chronique des aventures de trois personnages qui exprime la réalité guatémaltèque, mais tout est sur le même ton, gommant les aspérités pour rechercher un réalisme, malheureusement un peu morne.
Télérama
Ce long métrage de 2010 mêle — non sans maladresse — documentaire et fiction pour décrire le conservatisme de la société guatémaltèque et la pauvreté de ses habitants.