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Votre avis sur Casse-tête chinois ?
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Ce troisième opus est réellement agréable à regarder! Les personnages sont toujours aussi attachants et humains, les péripéties toujours aussi agréables à regarder, et l'alchimie entre les acteurs et les protagonistes toujours parfaite! Énorme divertissement!
J'allais voir ce film avec méfiance... C'est le troisième opus donc c'est du réchauffé etc.. Et je me suis trompé ! Les acteurs sont excellents, les personnages ont bien mûri, le scénario est sympathique, les lieux de tournage aussi. Bref j'ai bien aimé !
Troisième volet de la trilogie de Cédric Klapisch, ce "feel good movie" explosif réunissant homoparentalité, immigration et reconnaissance paternel, se déroule à New York, de quoi faire rêver!
Cette fresque générationnelle, dont l'humour est omniprésent, nous fait vivre à nouveau, l'amour de Xavier, que ce soit pour les femmes et les enfants, à la recherche d'une réponse à sa vie.
Romain Duris, grand coureur, et Cédric K. closent ses films pour nous laisser les réapprécier!
Cette fresque générationnelle, dont l'humour est omniprésent, nous fait vivre à nouveau, l'amour de Xavier, que ce soit pour les femmes et les enfants, à la recherche d'une réponse à sa vie.
Romain Duris, grand coureur, et Cédric K. closent ses films pour nous laisser les réapprécier!
Benjamin A
Revoilà Xavier ! Quelques années se sont écoulées depuis les événements de "Les Poupées Russes", il a maintenant la quarantaine, deux enfants à sa charge et sa vie est toujours compliquée. Et rien ne s'arrange lorsque la mère de ses deux enfants, Wendy part s'installer à New York...
Comme lors des deux précédents opus, Klapisch braque sa caméra sur le personnage de Xavier, à l'écoute de ses pensées et nous faisant suivre ses amours, ses emmerdes, son quotidien... sa vie quoi. Ici il est entre ses deux mômes, ses ex-femmes, cherchant à écrire son bouquin mais se cherchant surtout lui-même. Et finalement, c'est un plaisir de le retrouver, tout comme les personnages récurrents de cette saga à l'image de la belle Wendy, Martine ou encore Isabelle.
Klapisch dresse un portrait tendre de ses personnages auxquels on s'attache sans grande difficulté et nous livre un récit où s’entremêlent mélancolie, humour, amour et vie de tous les jours. Il nous fait sentir proche de ses personnages, arrivant à créer diverses situations, que ce soit marrante ou parfois touchante à l'image d'un père divorcé qui dit au revoir à son fils, mais en règle générale, il nous y intéresse toujours.
Alors, c'est dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur de ses personnages. Si Klapisch capte bien le "casse tête chinois" New-Yorkais, le récit est sans surprise et moins inventif que les deux précédents, se finissant même de manière trop peu surprenante et amené guère subtilement. Mais bon, quelques petits défauts qui n'empêchent en rien d'apprécier le récit et de s'attacher aux personnages. D'ailleurs, ces derniers sont toujours aussi bien interprétés notamment Romain Duris, Audrey Tautou et Cecile De France. Par contre, c'est regrettable que Kelly Reilly bénéfice d'un personnage peu présent et développé, quant à Klapisch, il est toujours là pour son caméo habituel.
Bien que non exempt de tout reproche, c'est toujours un vrai plaisir de replonger dans la vie de Xavier et de ses acolytes, ici dans un récit tendre, mélancolique et marrant. En espérant retrouver toute la bande pour la crise de la cinquantaine !
Comme lors des deux précédents opus, Klapisch braque sa caméra sur le personnage de Xavier, à l'écoute de ses pensées et nous faisant suivre ses amours, ses emmerdes, son quotidien... sa vie quoi. Ici il est entre ses deux mômes, ses ex-femmes, cherchant à écrire son bouquin mais se cherchant surtout lui-même. Et finalement, c'est un plaisir de le retrouver, tout comme les personnages récurrents de cette saga à l'image de la belle Wendy, Martine ou encore Isabelle.
Klapisch dresse un portrait tendre de ses personnages auxquels on s'attache sans grande difficulté et nous livre un récit où s’entremêlent mélancolie, humour, amour et vie de tous les jours. Il nous fait sentir proche de ses personnages, arrivant à créer diverses situations, que ce soit marrante ou parfois touchante à l'image d'un père divorcé qui dit au revoir à son fils, mais en règle générale, il nous y intéresse toujours.
Alors, c'est dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur de ses personnages. Si Klapisch capte bien le "casse tête chinois" New-Yorkais, le récit est sans surprise et moins inventif que les deux précédents, se finissant même de manière trop peu surprenante et amené guère subtilement. Mais bon, quelques petits défauts qui n'empêchent en rien d'apprécier le récit et de s'attacher aux personnages. D'ailleurs, ces derniers sont toujours aussi bien interprétés notamment Romain Duris, Audrey Tautou et Cecile De France. Par contre, c'est regrettable que Kelly Reilly bénéfice d'un personnage peu présent et développé, quant à Klapisch, il est toujours là pour son caméo habituel.
Bien que non exempt de tout reproche, c'est toujours un vrai plaisir de replonger dans la vie de Xavier et de ses acolytes, ici dans un récit tendre, mélancolique et marrant. En espérant retrouver toute la bande pour la crise de la cinquantaine !
Roub E.
J ai été franchement déçu. Si les deux premiers épisodes de l histoire de Xavier étaient vraiment bons, le moins que l on puisse dire c est que la quarantaine ne réussis pas trop à ces personnages. Bobos à l extrême ils ont perdu la fraîcheur qui faisait la réussite des deux premiers.
Totalement le genre de film que ça ne me dérangerait pas s'il durait 3 heures. Par contre, une fois terminé, je me dis qu'il n'y a pas grand chose à en garder. Mais au final, l'instant passé en le visionnant était sympa et c'est là le principal...
Le dernier de la trilogie n’est jamais facile ! Il est pourtant mieux que Les Poupées Russes ou alors aussi bien. Xavier a 40 ans, les responsabilités lui font face, la situation doit être stable : fini les soirées. Soyons rassurés, les amis restent, les enfants sont cool et la situation familiale et économique n’est pas à plaindre.
Klapisch est beaucoup moins novateur, mais on ne peut pas lui en vouloir : c’est dur de faire du nouveau dans une trilogie ou l’on a presque tous puisé. Ça parle à nouveau de la vie de nos protagonistes (beaucoup plus linéaires et carrées que dans les précédents opus)que l’on suit depuis 12 ans – ça me rappelle Boyhood – qui ont créé des liens très forts et qui, en réalité, ont créé une vie et une amitié fictionnelles dont les gens parlent et connaissent bien les protagonistes. Le seul reproche que l’on peut lui faire c’est d’être un peu utopique sur les bords et de ne pas montrer de manière très réaliste les galères de la vie. La photo est géniale mais renforce le côté utopique du film. Mais est-ce vraiment ce que les gens veulent voir ? Je ne crois pas. Le cinéma c’est de la fiction, c’est faire rêver et c’est bien, les happy ends, des fois – pas trop non plus.
On passe un très bon moment en famille et on n’est pas triste de les quitter. Car quatre serait trop et toutes les bonnes choses ont une fin, non ?
Klapisch est beaucoup moins novateur, mais on ne peut pas lui en vouloir : c’est dur de faire du nouveau dans une trilogie ou l’on a presque tous puisé. Ça parle à nouveau de la vie de nos protagonistes (beaucoup plus linéaires et carrées que dans les précédents opus)que l’on suit depuis 12 ans – ça me rappelle Boyhood – qui ont créé des liens très forts et qui, en réalité, ont créé une vie et une amitié fictionnelles dont les gens parlent et connaissent bien les protagonistes. Le seul reproche que l’on peut lui faire c’est d’être un peu utopique sur les bords et de ne pas montrer de manière très réaliste les galères de la vie. La photo est géniale mais renforce le côté utopique du film. Mais est-ce vraiment ce que les gens veulent voir ? Je ne crois pas. Le cinéma c’est de la fiction, c’est faire rêver et c’est bien, les happy ends, des fois – pas trop non plus.
On passe un très bon moment en famille et on n’est pas triste de les quitter. Car quatre serait trop et toutes les bonnes choses ont une fin, non ?
Nicolas V
10 ans plus tard le personnage de romain duris continue de mener sa vie avec ses doutes et ses choix. un film réservé a ceux qui ont aimé les deux précedents opus. le style réaliste de kaplich est toujours présent et romain duris est toujours aussi bon.le film quand a lui se cantonne de continuer son histoire avec un peu moins de panache et de rythme. on s'ennuie un peu plus alors que new york aurait pu nous proposer plusieurs rebondissements. dommage.cela manque un peu de folie ou d'imagination.
Clairement pas au niveau de l'Auberge Espagnole, mais mieux réussi que Les poupées russes. Il est grand temps de s'arrêter là avec Xavier, on frise le film de trop.
Mise en scène avec du punch insufflant une dynamique dont on ne se lasse pas. La variance et le mélange des couleurs passant du terne au lumineux, du pâle au foncé s'entrelace avec l'interaction des personnages.
Un humour omniprésent rayonnant sur des problèmes d'amour, de familles, de boulots et d'amitiés... Un film français généreux et méritant subtilement interprété par cette bande d'acteurs attachants. En partie Romain Duris crevant l'écran de sincérité.
Un humour omniprésent rayonnant sur des problèmes d'amour, de familles, de boulots et d'amitiés... Un film français généreux et méritant subtilement interprété par cette bande d'acteurs attachants. En partie Romain Duris crevant l'écran de sincérité.
La fraicheur et l'intelligence de l'"Auberge espagnole" est bien loin! Tout est peut être devenu compliqué dans la vie du personnage campé par Romain Duris (qui le répète sans cesse) mais à vrai dire ça nous est un peu égal. Contrairement à la magie qui opérait dans l'"Auberge" ici on ne s'attache pas aux personnages, ils sont des stéréotypes auxquels on ne croit guère. Stéréotype sur les familles recomposées, l'homosexualité, la vie bohème de l'artiste écrivain, les States... Les acteurs sur-jouent beaucoup, notamment Cécile de France qui devient plus raide et camionneuse de film en film dans son rôle de lesbienne décomplexée, je crains le pire la prochaine fois...
Henrico
Cédric Klapisch nous ravit une fois de plus avec ce troisième opus des (més)aventures amoureuse de son Xavier de héros. Moins pétaradant que les deux premiers, ce Casse-Tête chinois semble plus mûr que ses frères aînés, en apparente conformité avec l’âge et la situation familiale et matérielle des personnages. Pourtant, le film reste aussi loufoque, facétieux, poétique, avec en prime un supplément de poésie.
Un troisième volet fidèle aux deux autres... un bon moment.
Chouette suite et fin de la trilogie. Le film vaut surtout pour la performance d'acteur de Romain Duris qui reste attachant tout au long du film. C'est toujours aussi bien filmé, on passe un bon moment.
On change de décor, on multiplie les désordres amoureux, on ajoute quelques nationalités, bref, Klapisch reprend tous ses ingrédients habituels pour nous pondre cette suite très sympathique. Pas davantage de superlatif car je le trouve en deçà de « Les poupées russes » où il s’était montré bien plus efficace et original dans son scénario et sa mise en scène pour atteindre un degré d’émotion bien supérieur. Il y avait une vraie différence avec « L’auberge espagnole », on voyait l’évolution or ici, c’est tout bonnement un mix des deux fort bien réalisé avec toujours pleins de bonnes idées pour agrémenter sans pour autant transcender son sujet. C’est peut-être le retour d’Audrey Tautou qui m’a un peu déçu ou le copier/coller de la scène de fuite des lesbiennes nues sur les toits…Bref, quelques passages sentent le déjà vu ce qui gâche un peu la fête. C’est tout de même du bon boulot mais je ne l’encourage vraiment pas à envisager un quatrième opus…
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