Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Charles G
34 abonnés
627 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 22 décembre 2013
Il n'y avait eu que trois ans entre L'Auberge Espagnole et Les Poupées Russes, sorti en 2004. Cette fois-ci, neuf années se sont écoulées avant la sortie du troisième volet des aventures de Xavier. Entre temps, Klapisch a eu le loisir de montrer à l'envi qu'il était capable du meilleur (Les Poupées Russes) comme du pire, Ma Part du Gâteau. Duris, lui aussi, s'est embourbé dans quelques galères (L’Écume des Jours, Molière...) mais a participé à de beaux projets tels que De Battre Mon Cœur s'est Arrêté ou L'Arnacoeur. Dix ans après le dernier volet qui touchait les sommets, on retrouve nos anciens colocataires barcelonais proches de la quarantaine, et un peu esquintés par la vie. On retrouve avec plaisir les effets de mise en scène que l'on aimait auparavant chez Klapisch dès les premières secondes et le générique de début. Cette fois-ci, tout se passe dans la grosse pomme, avec quelques flash-back à Paris. Et, alors que le premier volet reposait sur son scénario et que le second misait gros sur la mise en scène, le troisième s'appuie sur les personnages que l'on connait bien désormais. Scénette après scénette, on nous invite à rire, parfois avec eux, parfois à leurs dépends, mais l'humour est plus présent que jamais et c'est un vrai plaisir pour le spectateur que d'assister à ce vent de fraicheur qui donne la patate. On pourra arguer que l'histoire est déconstruite, que les coups de sang de Romain Duris sont caricaturaux, ridicules et usants, ou encore que certains acteurs sont en dessous, à l'image de la très belle Kelly Reilly, il n'en reste pas moins que ce film respire la joie de vivre et la transmet à travers l'écran. Un petit plaisir coupable qu'il ne faut pas bouder !
bien, bien, bien. Touché par cette joyeuse bande d'erasmus j'avais aimé l'auberge espagnole, moins les barbies de Moscou mais alors là c'est la fin de la fin! les quelques midinettes fan de romain duris vont se précipiter voir leur idole et liker et twitlover à tout va, les amoureux d'Amélie poulain vont se précipiter sur les 5 étoiles, mais hélas trois fois hélas, ce film se regarde, à la limite, je dis bien à la limite, à la télé un lundi après-midi vers 15h. jeu d'acteur insipide, brouhaha de situations sans grand intérêt, rabâchage lourdingue du putain on a 40ans, putain, c'est compliqué. répliques vulgaires comme l'est devenu le personnage de CDF. dommage, pourvu que dans 10ans on nous épargne un "Alzheimer sur la péninsule de Kola".
Après Xavier à Barcelone, Paris, Londres et Saint Pétersbourg, voilà Xavier à New-York. On change de décor et on recommence. Si l'histoire, décalquée puis recollée à chaque fois dans un contexte différent peut lasser à force, on retrouve quand même avec plaisir les personnages de Klapisch et sa façon de tourner dans chaque ville pour nous la faire redécouvrir sous un angle différent. UN film qui donne envie de voyage aux Etats-Unis !
Si le premier opus de la série était évocateur pour certains étudiants à l'époque, d'un certain mode de vie et fonctionnait par l'identification à ces personnages un peu surréalistes, celui là tourne au cauchemar. Trois blagues qui font sourire, deux heures d'ennui plus tard, il faut se rendre à l'évidence : ce casse tête chinois prétendument mature demeure puéril, et d'un niveau philosophique que l'ensemble des spectateurs qui pouvaient s'identifier aux héros du premier opus, ont depuis longtemps dépassé. L'exercice est trop sérieux pour se vouloir régressif, trop pauvre pour élever le niveau ou faire preuve de réflexivité. Catégorie : franchouillardise puérile, démodée et automasturbatoire. Critique PMU : "Oh Nanard, y'a quand même des gonzesses à poil ! "
J'espère ne pas avoir à attendre 10 ans pour le prochain opus de la série. J'ai entendu une référence à Woody Allen en sortant du cinéma. Klapisch est le réalisateur français qui s'en rapproche le plus avec pour autant son délire cinématographique bien à lui.
Après l'Espagne, la Russie, l'Angleterre...c'est enfin à New York que Klapisch nous emmène. La trilogie est parfaitement comblée, avec les mêmes gags et les mêmes jeu d'acteur/actrice qui nous ont fait tant rire. Xavier est l'ami, l'amant, le mari, le père, le collègue qu'on aimerait avoir. Enfin, Klapisch nous montre un New York peu habituel : le New York de la débauche, de la galère; on est bien loin de la belle ville tant idolâtrée par Woody Allen. Un trilogie à voir et à revoir.
Une très belle carte postale de New York mais c'est tout. Tout ce qui faisait la fraicheur des deux premiers épisodes a disparu ici. Dans les 2 premiers on était dans des situations identifiables, vraisemblables et de monsieur tout le monde. Ici c'est juste l'inverse, impossible de croire à cela. Ils vivent tous dans des lofts de 200m², audrey tautou vient à new york toutes les 2min, Xavier se marie avec une chinoise au bout de 2 semaines, sa copine lesbienne porte son bébé, enfin mince ça empile les clichés ! Et surtout je ne peux pas m'identifier à ça ! Donc déjà on a du mal à croire à l'histoire mais pourquoi pas finalement. Ce qui plombe encore plus le film c'est qu'il est terriblement mou. Les 2 premiers étaient super rythmés, il n'y avait pas de scènes creuses. Dans le 2ème quand on ne riait pas on était franchement ému (notamment le dialogue de Wendy à la gare). Mais là, il ne se passe rien, la scène du square avec son pote black dure 3 plombes pour un personnage qu'on oubliera complètement par la suite, son premier trajet dans le metro est atrocement long, et c'est ça tout le long. . On a même le droit de suivre en entier un générique des simpsons. Oui plus d'une minute qui ne sert strictement à rien. Et c'est symptomatique du film. Klapsisch ne fait pas un film, il ne dirige pas ses acteurs, il filme juste New York. 15 min avant la fin on a quand même le droit à une dizaine de plans larges de la ville, juste comme ça, pour bien casser le rythme et remplir avec du vent. On rit parfois, mais sinon on désespère de voir le film se lancer, Xavier passe son temps au téléphone ou sur Skype, à balancer des phrase sur la vie qui sont lourdes comme c'est pas permis, je veux dire on a compris que sa vie c'est le bordel et tout ça, mais il le répète sans cesse, alors que pour le coup c'est beaucoup mieux organisé que dans les 2 premiers. C'est pas déplaisant mais c'est juste tellement mou, on passe tellement de temps à attendre les quelques moments drôles que ça en devient chiant.
On est content de retrouver cette petite troupe d'amis (il en manque tout de même pas mal) et leurs vies mouvementées. Ca sent quand même le réchauffer ou le déjà vu, avec moins de fraîcheur et d'entrain. Mais on voyage cette fois à New York et ça c'est plutôt sympa. Les enfants amènent une touche d'émotion. La fin semble nous dire que ce sera peut être le dernier. A moins qu'avec un peu beaucoup d'inventivité on nous emmène vers de nouvelles aventures...
Super film très émouvant ou un père est près à tout pour vivre près de ces enfants, même jusqu'a épousé une américaine. Ce film est aussi très drôle car on trouve de super quiproco qui nous font mourir de rire. J'ai vu ce film sans voir les 2 précédant et sa ma pas du tout gène. J'ai maintenant atte devoir les deux précédent;
Avec cette comédie réjouissante et légère, Cédric Klapisch finit en beauté cette série. On retrouve avec plaisir des personnages attachants (bien interprétés !) même dans leurs travers, leurs vies bordéliques, leur immaturité et un certain utopisme !
Klapisch revient au source et nous sert la suite de L'Auberge espagnol (très bon) et les poupées russes (que je n'ai pas vraiment aimé). Ici on retrouve avec plaisir Xavier et tout ses problèmes, toutes les filles de sa vie à qui il faudra rajouter des enfants et des nouvelles venues. Tout bougé à New York et Chinatown rend le tout très attrayant, et même si le scénario est moins bordélique que prévu, un peu trop linéaire parfois on se retrouve à la fin avec une situation plutôt complexe et drôle qui vaut le coup et nous fais oublier quelques moments un peu mous. Un peu mitigé devant ce film peu original au final, mais la B.O et certaines trouvailles de réalisation valent le coup.