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poet75
270 abonnés
703 critiques
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4,0
Publiée le 8 décembre 2013
Je suis allé voir cette comédie un peu à reculons. Et puis, une fois le film en train, la magie a opéré, je me suis laissé prendre et j'y ai trouvé bien du plaisir! C'est très agréable, en fin de compte, que de retrouver pour la troisième fois (après "L'Auberge espagnole" et "Les Poupées russes") Xavier (Romain Duris), le personnage imaginé par Cédric Klapisch, ainsi que tous les autres acteurs et surtout actrices de ces aventures. La vie compliquée, embrouillée, de Xavier le mène ici à New-York. La mise en scène de Klapisch est souvent inventive, parfois très originale. Et puis ce film, comme les précédents d'ailleurs, donne un peu de la couleur de notre temps, il est un peu le reflet de notre époque. Ce n'est pas si mal pour un film sans grande prétention! 7,5/10
Je n'ai pas vu les deux premiers films de Klapisch donc je suis allée voir casse-tête chinois sans idée préconçue. Que dire : de bons acteurs, une comédie aimable, une histoire pas très originale, bref se laisse voir !
Après "L'auberge espagnole" et "Les poupées russes", Klapisch retrouve le personnage incarné par Romain Duris dans ce "Casse-tête chinois". On retrouve avec plaisir tout ces personnages dans un New-York qui ressemble à une fourmilière cosmopolite. Malgré un récit rythmé, j'ai éprouvé une certaine lassitude à suivre le parcours de ces bobos français expatriés. C'est loin d'être mauvais mais cette aventure humaine semble toucher à sa fin et le filon s'épuise.
Dans la suite de l auberge espagnole quelques années plus tard, on reprend le casting et on trouve une histoire... c est assez réussi ; ces intrigues qui s entremêlent : Scénario bien servi et réalisé
Un troisième volet intéressant, dans la lignée des 2 premiers... Meilleure que les poupées russes à mon goût. Le film nous emmène agréablement loin, en nous montrant contradictoirement des scènes assez banales. Un bon moment de détente :)
La fraicheur et l'intelligence de l'"Auberge espagnole" est bien loin! Tout est peut être devenu compliqué dans la vie du personnage campé par Romain Duris (qui le répète sans cesse) mais à vrai dire ça nous est un peu égal. Contrairement à la magie qui opérait dans l'"Auberge" ici on ne s'attache pas aux personnages, ils sont des stéréotypes auxquels on ne croit guère. Stéréotype sur les familles recomposées, l'homosexualité, la vie bohème de l'artiste écrivain, les States... Les acteurs sur-jouent beaucoup, notamment Cécile de France qui devient plus raide et camionneuse de film en film dans son rôle de lesbienne décomplexée, je crains le pire la prochaine fois...
Quelle joie de retrouver tous les copains des aventures précédentes. Merci à Cédric Klapich pour ce beau cadeau. Moi qui ai vécu à l'étranger de nombreuses années j'ai également beaucoup aimé ce portrait d'expatriés. Les comédiens restent fidèles à eux même. J'ai l'impression qu'ils font partie de ma famille !
Farfelue, l'intrigue multiplie les coïncidences improbables pour rassembler tout ce petit monde à New York dont la découverte accompagne les nouvelles étapes existentielles de Xavier, thématique qui éclipse définitivement tout autre enjeu. Ainsi les touches d'humour (souvent absurde) ainsi que les jeux de mise en scène servent cette recherche de sens et de bonheur. Au plaisir de retrouver ces personnages s'oppose un manque d'originalité voire de nécessité du volet. Sympathique, sans plus.
Une suite parfaite pour la plupart des personnages de l'Auberge Espagnole. A la découverte de New-York et de nos personnages qui ont maintenant 40 ans, des enfants et des problèmes conjugaux. Très bon divertissement, avec de l'humour, des personnages très attachants, un scénario bien travaillé et une bonne fin.
Suite et fin des aventures de Xavier qui va poser ses valises à New-York cette fois-ci. Fin parce qu'il a l'air d'avoir trouvé le bonheur. Et après trois films, c'est bien le minimum qu'on pouvait lui souhaiter. En attendant, cap sur les États-Unis où il lui faut trouver un logement, un boulot, des papiers. Avec des gens sympas, des fonctionnaires un peu pointilleux, des transports en commun bondés. Finalement, c'est un peu comme chez nous non ? Alors pourquoi à chaque fois Barcelone, Londres, Saint-Pétersbourg et pas rester en France ? Est-ce que c'est la France qui n'aurait rien à leur proposer ? Il faudrait se le demander. Cependant, Klapisch reste bienveillant avec Xavier, Martine, Isabelle. Il les regarde toujours se débattre avec leurs problèmes de cœur, leurs problèmes familiaux, et toujours cette difficulté à trouver leur place dans la société. Qu'importe les frontières, les années qui défilent, ça, ça reste aussi. Même s'ils restent privilégiés. Ils ont quand même de bonnes situations tous et toutes. Je pense que ça pourrait être pire même si c'est ennuyeux de ne pas pouvoir voir ses enfants comme on le voudrait par exemple. Est-ce que Xavier a vraiment aimé Wendy comme il aurait dû le faire ? Je me pose la question. Son amitié avec Isabelle étant vraiment profonde, elle, je me dis qu'il retombera toujours sur ses pattes quoi qu'il arrive. Avec des amis, on peut se sortir de tout. Ne serait-ce que pour avoir un regard extérieur, ils peuvent toujours servir.