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julcine
25 abonnés
48 critiques
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5,0
Publiée le 8 février 2012
Si vous êtes un fan du genre qu'est le giallo, ce film est fait pour vous. Superbe hommage à Dario argento (de la grande époque 70's 80's), de la musique très stylée aux lumières couleurs rouges, bleues ou vertes en passant par le twist final (moins con que la plupart des twists depuis 6eme sens) au jeu d'acteurs et évidemment aux meurtres... L'élève dépasserait presque le maître avec un scénario beaucoup moins banal qu'il n'y parait... Rajoutez à ça le cadre du théâtre (hommage à bloody bird de soavini et suspiria d'argento) et une double lecture du film et vous optenez ni plus ni moins le MEILLEUR hommage au giallo (avec Amer, moins bon tout de même à mon sens). J'ai eu la chance de rencontrer le réal au festival de Paris (PIFFF) et j'ai été content qu'il remporte le prix du public et le prix coup de cœur de canal sat... C'est emplument merité
Mon dieu , mais c'etait quoi ce navet ? Ce film qui théoriquement se déroule en 2011 , a touts les apparences d'un film des années 80 .Décors,acteurs (faut le dire vite..) et musique trés eightie's et répétitive.Toute cette mascarade devient peinible, et soporiphique. La réalisation semble fait par des amateurs (tout comme les acteurs d'ailleurs) , à grand coup d'ambiance années 80.Le scénario est improbable tant aucunes actions n'est cohérente là dedans ! Quelques scénes "d'horreur" reste interressante sans etre extraordinaire.Enfin,on ne rentre pas dans le film et aucun des personnages n'est attachant ,on se fout du sort de ces acteurs amateurs!
Premier film fascinant d'Andreas Marschall, "Masks" commence comme un remake de "Suspiria" avant de divaguer vers une horreur beaucoup plus réaliste et psychologique que son modèle. Un peu comme si "Masks" était une gueule de bois des 70's, renouant avec cette époque psychédélique de manière beaucoup plus réfléchie.
Amis cinéphiles, le giallo fait un retour en force en ces années 2000. Parfois désagréable (Giallo de Dario Argento) ou sur la bonne voie(Imago Mortis de Stefano Bessoni), Masks de Andreas Marschall joue autant la carte de l'hommage qu'il suit son propre chemin. En cette année 2011, la belle Stella échoue au conservatoire d'art dramatique. Pourtant, elle est guidée vers une autre école où elle serait plus à même de perfectionner un talent encore en veille. Mais en ce lieu, la Méthode a ses revers... Masks est un film aux qualités esthétiques flagrantes : tourné en scope avec une image nette, utilisation d'angles baroques ou de contre plongées déstabilisants, lumière expressive et jeu sur les couleurs significatifs (le rouge en particulier rappelle le Suspiria de Argento) qui participent d'une ambiance chargée. Le film bénéficie donc d'une attention particulière concernant l'atmosphère, Marschall est un fan des productions seventies (l'intro et son effet vintage est très réussi) et donne à son oeuvre l'esthétisme des productions de cette époque. Masks se veut une réflexion sur le Jeu de comédien, la Possession par le costume ou la Suggestion, le sujet étant plus profond qu'il n'y paraît. Malheureusement, la direction d'acteurs n'est pas le point fort du métrage, étonnant quand on voit que Marschall s'intéresse tant à l'art scénique (l'a t-il fait exprès pour mettre en exergue les passages scandés ?). De plus, Masks dispose d'un rythme lent (il pourrait ennuyer) mais qui se libère dans sa dernière partie. Certaines séquences de violence graphique, à la traditionnelle, ont un rendu excessivement stylisé. Production de qualité, Masks ne peut s'apprécier qu'avec un minimum de références cinématographiques. 4/5
Andreas Marschall a rend un joli hommage au giallo avec Masks et il n'est pas le seul d'ailleurs ces dernières années à vouloir faire honneur à ce genre particuliers que j'apprécie. On peut dire qu'il a réussi son coup malgré un ensemble imparfait. Masks s'inspire de Suspiria peut-être un petit trop mais on va pas s'en plaindre car il y a pire comme influence ; l'héroïne (sexy et mignonne) de Masks ne s'est pas inscrite dans une école de danse mais dans une école de théâtre où elle va subir un cours aux méthodes douteuses. Andreas Marschall parvient à restituer un vent d'érotisme dans son film comme il sied au genre, les meurtres ne sont pas très variés et si certains sont gores on aurait aimer voir plus de sang mais par contre Masks a une ambiance étrange et quelque peu mystérieuse de bout en bout avec une dernière demi-heure par réellement angoissante mais prenante et intense, la musique joue aussi dans l'atmosphère de Masks avec sa mélodie inquiétante. Donc si Masks a ses défauts ce thriller allemand reste un bel hommage aux giallo.
Trop de réflexion pour un film qui n'en vaux pas la peine, on fini vite par décrocher tellement c'est abusivement compliqué. La synopsie avait l'air attirante, mais bien vite on sombre devant ce film qui ce veut trop réfléchis et qui fini par embrouillé le spectateur qui ne cherchera même plus à comprendre.
Un film bancal mais qui arrive parfois à nous envoûter par moment et grâce à une musique réussie. Ce qui aurait pu être un petit chef œuvre est au final une œuvre honnête qui tente de nous subjuguer. Ce n'est pas le cas mais c'est bien essayé.
MASKS est un film d'horreur bas de gamme et daubesque. La touche "psycho drame" rend les scènes pathétique. C'est mal fait, c'est laid. La mise en scène est minable, le jeux d'acteur l'est tout autant et la musique (accord de piano faux) vous met les nerfs à rude épreuves. 0/5
Giallo Allemand (!) très réussit qui démarre comme Suspiria. Il fait aussi penser à Phenomena par certains côtés mais a sa propre logique de narration. Des acteurs crédibles et une atmosphère pesante avec des scènes chocs plutôt effrayantes. Un Film digne du défunt Festival de Paris du Film Fantastique et de Science-Fiction. Marschall est-il le Dario Argento Allemand ? en tout cas, vivement son prochain film.
A l'instar du Phénix, le giallo serait-il en train de renaître de ses cendres ? Car l'allemand « Masks » tombe rapidement le sien (de masque) et se place clairement dans ce style cinématographique un peu à l'abandon (oui, juste avant j'ai critiqué « Ne vous retournez pas », un giallo anglais assez ancien qui ne disait pas vraiment son nom). Et Andreas Marschall nous étonne agréablement. Utilisant habilement et consciencieusement les codes de ce genre qui nous vient d'Italie, le réalisateur teuton (d'ailleurs on en voit quelques-uns dans le film ;) ) nous rend une belle copie, pleine de promesse. De la tension, de l'étrange, du gore, du sexe, une bonne musique d'ambiance, des jeux d'arrières plans, peu de jump scare. Bon quelques situations cousues de fil blanc et une explication finale un peu bancale mais c'est globalement une belle surprise, surtout quand on s'attend, au vue de l'affiche, à regarder un banal slasher.