AlloCiné
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Bienvenue dans le bassin des requins où l'on abandonne son âme sur scène! Le teuton Andreas Marschall rend hommage au Dario Argento des annèes 70. "Masks" rappelle combien "Suspiria" a marquè l'histoire du cinèma d'angoisse et d'èpouvante! Alors peut-on parler ici d'un hommage modelè, d'un remake non avouè ou d'un giallo banal qui fait dans le recyclage ? On est tentè de dire que c'est un peu tout ça à la fois! La recette n'est pas usèe (Argento et Soavi ont toujours la côte) mais longue, mal exploitèe, avec des accords au piano qui font parfois mal aux oreilles! Les dèbuts de la jolie Susen Ermich avec un premier rôle remarquè! L'actrice convainc, bien que son personnage soit un peu naïve! Plus une curiositè au fond qu'une rèussite avec quelques scènes gore et un twist final à la James Wan! On peut èvidemment, avec le recul, se dire que "Masks" a juste tentè de renouer un esprit visuel, une èpoque riche en couleurs, en illusions et en sensations! Pour le reste c'est du dèjà vu qui s'assume! Ni plus ni moins! Peut constituer cependant une petite soirèe pour l'aficionado du giallo...
Benito G
En voulant rendre hommage aux films de Dario A., Andreas M. aurait peut être mieux fait que le garder dans sa vidéothèque. Car mis à part, le visuel, l'atmosphère et l'ambiance (et encore). Il n'y a pas grand chose à retenir. L'histoire n'est pas spécialement interessant. On est amener à s'ennuyer beaucoup trop vite. Les scènes de stress, nous permettant d'émerger ; mais en aucun cas ; de nous effrayer. Seul, le jeu des acteurs ; peut se révéler correct. Pour le reste, vous pourrez trouver bien mieux (même s'il s'agit de film ne datant pas de cette année). LE film avait pourtant certaines qualités pour le rendre bon, et pourquoi ; un classique du genre. L'idée de base, n'étant que rarement exploité. Mais la mayo ne prend absolument pas... On comprendra donc le DTV qui lui ait réservé. Je cherche encore l'interet du film... Et pourtant j'ai trouvé deux trois bonne choses. MAis beaucoup trop peu, pour nous convaincre et amener la peur. Bref, si vous avez du temps à perdre....
Shawn777
Ce giallo allemand (assez rare pour être souligné), réalisé par Andreas Marschall et sorti en 2011, n'est pas aussi mauvais que les critiques peuvent le laisser penser. Alors oui, c'est bordélique, c'est tiré par les cheveux, c'est maladroit, le jeu d'acteur est quelques fois exagéré et bancal, l'histoire est complètement perchée, de même que la fin etc. Mais c'est en même temps tout ce qui fait l'essence d'un giallo ! Quoiqu'on en dise et malgré mon amour pour le genre, le giallo est un genre qui vieilli mal. On met souvent ça sur le dos des années 70 ou 80 mais c'est un genre kitch par essence. Et donc, forcément, le refaire en 2011 donne quelque-chose de tout aussi kitch ; les récents films de Dario Argento l'ont d'ailleurs bien prouvé. Et ainsi, je trouve que ce film, malgré ses défauts évidents, est dans la lignée parfaite des giallos des années 70 et notamment de "Suspiria" dont il en est un vibrant hommage. Alors comparer les deux œuvres ne serait pas juste tant Argento maitrisait son histoire et la mise en scène mais on retrouve ici une volonté de faire revivre un cinéma mort depuis des décennies. Les similitudes avec le film d'Argento sont notables à plusieurs niveaux. Tout d'abord le contexte, nous étions dans une école de danse dans le film d'Argento, nous sommes ici dans une école de théâtre. Les professeurs sont très exigeants et étranges dans les deux films et puis bien-sûr nous retrouvons toutes ces couleurs flashy qui font la force des deux films. Et puis, bien entendu, le film reprend les codes phares du giallo, à savoir les gants en cuir, les meurtres en vue subjective, les gros plans sur des lames qui brillent, du sexe, du gore, des femmes nues sans raison etc. Mais également la musique dont les sonorités sont également volontairement kitch et la mélodie répétitive ; autre marque de fabrique du giallo. "Masks" propose donc une histoire certes maladroite, en plus d'être assez mal rythmée (nous avons en effet de longues scènes inutilement longues) et la fin est plus que too much mais derrière tout ça, il y a de très bonnes idées à souligner et surtout une déclaration d'amour au genre, ce qui fait plaisir à voir dans les années 2010 (et sans pour autant tomber dans quelque-chose de très intello volontairement incompréhensible à l'image des films du couple Hélène Cattet et Bruno Forzani).
Après des échecs successifs dans divers conservatoires d'art dramatique, Stella est enfin retenue dans le théâtre "Matteusz Gdula", du nom de son créateur aux méthodes révolutionnaires et controversées. Très vite, elle se rend compte que d'étranges évènements s'y produisent .
Masks est un giallo allemand de 2012 réalisé par Andreas Marshall. Le film constitue clairement un hommage au genre du giallo italien de Dario Argento ou de Mario Bava et au film Suspiria réalisé en 1977, apogée du réalisateur.
Jusque dans ses séquences de meurtre et au plan musical, Masks exsude le genre du giallo.
Le film met clairement en valeur la ravissante Susen Ermich, l'actrice principale qui joue le rôle de Stella.
Masks n'est pas non plus avare de scènes érotiques qui mettent en valeur la plastique de l'actrice principale. Andreas Marschall prend un plaisir évident à soigner ses scènes de meurtres et le calvaire de ses victimes au son d'une bande originale qui constitue un hommage à la musique des Gobelins. De même, une des premières scènes où Stella croise une actrice apeurée fuyant l'école dont le destin sera funeste rappelle bien évidemment la séquence d'ouverture de Suspiria.
Au final, le film a été beaucoup critiqué, on lui reproche notamment son coté plagiaire associant l'hommage à la photocopie.
Globalement et en tant qu'amateur du genre, j'ai trouvé le film plutôt pas mal malgré quelques longueurs et quelques scories scénaristiques sans intérêt, et ce, d'autant plus qu'il s'est appuyé sur un budget bien modeste.
Masks est un giallo allemand de 2012 réalisé par Andreas Marshall. Le film constitue clairement un hommage au genre du giallo italien de Dario Argento ou de Mario Bava et au film Suspiria réalisé en 1977, apogée du réalisateur.
Jusque dans ses séquences de meurtre et au plan musical, Masks exsude le genre du giallo.
Le film met clairement en valeur la ravissante Susen Ermich, l'actrice principale qui joue le rôle de Stella.
Masks n'est pas non plus avare de scènes érotiques qui mettent en valeur la plastique de l'actrice principale. Andreas Marschall prend un plaisir évident à soigner ses scènes de meurtres et le calvaire de ses victimes au son d'une bande originale qui constitue un hommage à la musique des Gobelins. De même, une des premières scènes où Stella croise une actrice apeurée fuyant l'école dont le destin sera funeste rappelle bien évidemment la séquence d'ouverture de Suspiria.
Au final, le film a été beaucoup critiqué, on lui reproche notamment son coté plagiaire associant l'hommage à la photocopie.
Globalement et en tant qu'amateur du genre, j'ai trouvé le film plutôt pas mal malgré quelques longueurs et quelques scories scénaristiques sans intérêt, et ce, d'autant plus qu'il s'est appuyé sur un budget bien modeste.
Le synopsis avait attiré mon attention, et je me disais que le résultat pouvait être potentiellement intéressant. Mais à force de ne pas choisir son genre et de ne pas développer sa dimension fantastique, le film passe totalement à côté de son sujet et c'est un échec total.
Difficile de juger un tel film. A première vue, c'est complétement raté. La faute à un doublage mauvais et des interprétations approximatives, mais également à un rythme en dent de scie. C'est simple, bien qu'il ne dépasse pas les deux heures, le film semble interminable. La bande originale quant à elle se résume à un seul morceau, mixé et remixé à toutes les sauces. Ne parlons même pas de la réalisation : photographie d'une laideur épouvantable, mise en scène quasi inexistante pour des scènes qui souvent sonnent faux, malgré une ou deux bonne idées et quelques erreurs de montage préjudiciables. Le personnage principal est en plus, d'une naïveté qui frôle la stupidité. Pourtant, il y a quelque chose... Quelque chose qui nous incite à en regarder un peu plus. A aller au bout. L'ambiance ? Assurément. Un suspens non pas haletant, mais sinon assez prenant grâce à un pitch de départ intéressant, et qui aurait mérité un traitement plus approfondis. Résultat : un film d'horreur dérangeant. On en ressort mal, on en ressort mal à l'aise. La scène finale que j'ai trouvé horrible en ajoute à ce sentiment de mal-être. Je ne le reverrai pas.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Bien joué c'est ne pas joué comme on dit. Masks est un film allemand assez méconnu, s'attachant au monde du théâtre. Une base horrifique sur laquelle il y avait un potentiel foisonnant, car derrière un masque se cache généralement le côté obscure de la personne qui le porte, des démons enfouis, du mystère. Ici finalement, on retrouve ces codes, l'atmosphère, le suspens, mais à cela s'ajoutent beaucoup trop de complications inutiles, des éléments d'intrigue mal menés et mal exploités, qui automatiquement parasitent l'attention et induisent un décrochement cérébral de la part du spectateur. Si l'atmosphère demeure atypique et recherchée, l'angoisse n'y occupe pas une place faramineuse. La caméra se veut baladeuse, au milieu de couloirs obscures, avec des angles improbables et un éclairage tamisé. Une réalisation et une mise en scène pour le moins intéressantes. En définitive, le message est mal vendu, mais l'actrice principale compense la fadeur de l'ensemble par son charme incroyable. Un exercice original au style baroque qui manque néanmoins d'objectivité pour que l'on s'y retrouve et en apprécier l'envergure. Dommage. 2,5/5
Une oeuvre modelée façon années 70. On devine facilement les références du scénariste-réalisateur Andreas Marschall. C'est côté italien qu'il faut regarder notamment Dario Argento avec Suspiria. L'atmosphère, la bande-son, le sujet, enfin tout nous ramène à ces films aujourd'hui bien démodés qui ont fait les soirées des amateurs d'horreur de jadis. Nous sommes donc en présence d'un pastiche-hommage et en tant que tel on se rend vite compte qu'il ne renouvelle pas le genre. Mais on pourra se laisser aller à quelque nostalgie cinématographique tout en sommeillant d'un oeil.
Nicothrash
Ce film est un hommage assumé au giallo, ces films d'épouvante italiens, de ce point de vue certains spectateurs resteront forcément sur la touche, d'autant que les qualités du métrage ne sont pas non plus à tomber par terre, cependant l'ambiance inquiétante est bien présente dans les couloirs de cette école de théâtre pour le moins sectaire et les cadrages sont très réussis. Le thème musical récurrent quant à lui apporte un gros plus et renforce encore ce climat dérangeant, parfois accompagné d'un érotisme subtil, ça nous laisse une impression très étrange durant tout le film. En fait le véritable soucis de ce dernier et pas des moindres reste le jeu d'acteur extrêmement inégal dans la globalité, même l'actrice principale n'emporte pas l'adhésion de suite, peut-être un fait exprès pour la faire évoluer au sein de l'école, par contre les autres acteurs ne sont pas excusables. Au final, c'est un hommage plutôt réussi au genre avec en outre un certain dépaysement, la production étant allemande, après était il nécessaire ? Pas sûr mais les fans devraient apprécier tandis que les novices pourront découvrir ce style particulier qu'est le giallo, à voir une fois.
Ce film est génial. Tout d'abord je suis bien déçu de certaines critiques disant que ce film est incompréhensible : c'est faux il y a de la réflexion a se faire puisque c'est un film basé sur la psychologie, il faut se mettre a la place du héro de l'histoire. La fin est surprenante ( toute les histoire ne finisse pas bien ce n'est pas un conte de fée ), un film plein d'angoisses, de la tension, du gore et bande son parfaite pour ce film. J'ai été ravi de se film, film plein d'émotions.
Film allemand voulant rendre hommage au célèbre genre transalpin : le giallo, mais n’étant pas un aficionados su genre je ne peux que relever des défauts.
A peu près tout est calamiteux : dialogues, interprétations, scenario, même si le film a fait l'effort de garder un esprit visuel très 70's, le résultat ne suscite guère l'attention et provoque un ennui grandissant.
A peu près tout est calamiteux : dialogues, interprétations, scenario, même si le film a fait l'effort de garder un esprit visuel très 70's, le résultat ne suscite guère l'attention et provoque un ennui grandissant.
Un Giallo qui rend hommage aux films de Dario Argento, mais il manque ce petit quelque chose qui aurait du faire exploser ce long-métrage. La faute à un scénario bancal qui se conclue par une fin inachevée. Pourtant l'image est belle, on se croirait vraiment par moment dans un film du maître du genre tant le style s'y confond. Forcément on est un peu dépité car l'on se dit que l'on passe à côté d'un petit chef d'oeuvre mais j'espère que le réalisateur exploitera mieux les ficelles dans un prochain film. J'attends donc beaucoup de ses futures réalisations.
Un des pires films que j'ai vu , pas de scénario , je n'est rien compris au film , je ne vous conseille pas ce film !
Excellent hommage aux giallo de la grande période des années 70.On pourra regretter le jeu des acteurs un peu limité,mais la réalisation tiens la route.Film justement primé au festival de Paris.
Le film comme son nom l'indique est porté sur les masques. Il mêle théâtre et comédie,l'histoire est un bon point,puisqu'elle est originale. Le scénario n'est pas super. Les acteurs sont très bons. Étrange,mystique,bizarre,ce sont les mots pour caractériser ce film à l'atmosphère pesante. La méthode Gdula est le thème principal du film,une méthode de torture pour obtenir le meilleur des acteurs. Sanglant et flippant,ce petit diamant vous ravira. Par contre,la fin est toute pétée et déçoit beaucoup.
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