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Un visiteur
0,5
Publiée le 10 janvier 2014
Un scénario vide et incoherant, des personnages plats, on ne retrouve pas l'univers d'albator et le personnage central est d'un ennui... J'ai piqué du nez plusieurs fois... Bref rester avec vos souvenirs du dessin animé et n'aller pas perdre votre temps
Super film, moi qui connaissait Albator en série, le film est inédit et propose un oeil neuf sur cet univers tout en gardant les idées du créateur. En résumer tout bonnement GENIAL....
alors voila je suis allez voir albator cette aprèm ,(faut dire que je l'attendais depuis un moment cet albator au cinema ) donc je suis allez le voir et franchement pas mal ,les graphismes sont magnifiques ,l'univers de l'espace est bien fait ,les vaisseau sont a coupè le souffle ,l'histoire bien faite mais un gros manque d'imagination ,albator est assez sombre dans son personnage ,alors que nous l'avions connue dans le dessins annimè de 74 et de 84 ou il etait un peux + humain ,ont y retrouve egalement la silfidre qui est normalement l'ennemie d'albator(WHAT THE FUCK) par contre sa traine beaucoup pendant presque 1HOO ,l'histoire met trop de temp a se placè dans le film ,un peux d'action au debut ,qui e finie sur un final epic ,et si je lui donne la note de 5 etoiles sur 5 ,c'est parce que au niveau graphismes ,il est magnifique a regardez ,voila.
Le cuir reflète la classe. Albator, qui ne rêve pas de voir un long-métrage live d'un des personnages les plus cultes de notre enfance, mais pour le moment et encore une fois de plus, ce n'est toujours pas à l'horizon. En attendant, le Japon s'emploie de faire une adaptation longue en animation numérique sous motion-capture. L'attente est tout de même énorme. Et au final qu'est-ce que cela donne ? tout d'abord, James Cameron en disait des louanges, oui et c'est le cas. Du début à la fin, vous pouvez comptez sur un superbe visuel. Une aventure intersidéral de grande envergure tel un bateau filant à grandes voiles dans l'espace. Par contre concernant le scénario, c'est ici que la botte manque de pointure, le spectateur peut être embrouiller dans des incohérences sur le plan de la science, l'univers, bref. Et pourtant, sachant qu'à la base le divertissement est là, puis que nous sommes clairement face à de la SF pure, pour la liberté et l'excitation de suivre le tout, j'ai tout de même embarquer à bord de l'Arcardia. Justement, parlons-en du fameux vaisseau. Alors contrairement au dessin-animé, j'ai trouvé l'Arcadia plus petit, pas trop un malaise, parce que de la gueule il en envoi, la fameuse tête de mort à la proue, l'Arcadia est une carcasse fantôme avec un intérieur mécanique infernal. Il se téléporte, il y à aussi bien entendu la grande stratégie de l’hologramme. Et attention ! figurez vous qu'ici le vaisseau se régénère (si si !). Je reviens sur l'histoire, il est dommage de pas y voir et ressentir la vague de tristesse, la mélancolie le thème phare de l'atmosphère Albator. Trop absente. Ce qui n'empêche pas lors d'une scène de voir Albator spoiler: qui verse une larme d'espoir . Bien, voilà, pour finir le voyage, en gros je suis pas déçu pour autant, loin de là. De multiples rebondissements avec un twist final pas du tout insignifiant. Je suis ressorti avec une cicatrice bien plaisante. Pas de doutes, Albator restera un personnage charismatique éternel. Nous vivons et mourrons, la vie est un cycle qui ne s'éteint au fond, jamais.
Albator a bercé mon enfance. Je me vois encore pirate de l espace le mercredi après-midi. Ce long métrage n a pas grand chose à voir avec la série TV tout en restant de l animation de qualité. Le film est d une noirceur pouvant terrifier les plus jeunes, le scénario est bien ficelé et les personnages secondaires sont interessants. En résumé un bon film d animation loin des standards Disney.
Sur l'affiche, James Cameron en dit le plus grand bien. Peut-être pour attirer les plus jeunes qui n'auraient pas connus le dessin-animé des années 78-84. Et bien James Cameron se fout vraiment du monde quand il s'agit d'émettre une critique. Cette mise à jour du célèbre Capitaine Corsaire, bien qu'approuvée par son auteur, n'a pas grand chose à voir avec l'originale si ce n'est son esthétique portée à un autre niveau grâce à une animation réussie. Passé le léger frisson lorsque l'on retrouve les personnages clés de l'équipage de l'Arcadia, on restera aussi animé qu'une moule sur son rocher. L'ensemble n'a pas le caractère ni même la mélancolie du dessin-animé et les personnages sont dénués de personnalité. L'histoire quand à elle semble maladroite sur deux heures de temps et même si l'on suit le scénario, les choses s'enchainent bien trop rapidement ce qui finalement est un comble pour un film durant lequel pointe l'ennui. J'espérais un petit retour vers mes jeunes années, la maturité en plus et je me retrouve avec un mauvais film d'animation à l'esthétique impeccable qui me dégouterait presque de l'univers de ce héros que je trépignais d'impatience de retrouver. Albator en film, c'est un peu comme un Kinder surprise mais sans la surprise.
Il n'y a pas grand chose à tirer de cette adaptation d'Harlock. Passons sur le côté technique, puisque le film quoique joli n'est pas à la hauteur des productions d'animation que l'on connaît; et que la 3D n'a strictement pas le moindre intérêt pour ce film en particulier (je ne suis pas réfractaire à la 3D mais si le surcoût ne se justifie pas, non merci).
Ce qui gêne dans ce film, c'est que l'on perd totalement ce qui fait d'Harlock ce qu'il est. Le film baigne dans un théâtralisme typiquement japonais, les personnages deviennent les caricatures de ce qu'ils sont, et le film passe de stéréotypes en stéréotypes, avec des scènes prévisibles au possible, ce qui au final donne un film sans la moindre surprise, qui laisse totalement de marbre.
Les effets moralisateurs, dramatiques, et le patriotisme ambiant que l'on retrouve dans de nombreuses productions japonaises, génère ici un malaise assez rapidement. Le film est mauvais. Gâché, pour être exact. Il y avait le potentiel pour faire quelque chose de bon, c'est raté, une vraie déception à la fois sur le plan de la fidélité par rapport à l'oeuvre d'origine, mais aussi en tant que divertissement de science-fiction.
J'espérais sans doute trop de ce film; mais je ne m'attendais pas à si peu. Je suis navré de dire que j'ai vu des productions en direct to dvd de meilleure qualité. Tout ce que j'espère à présent, c'est que ce film ne servira pas d'encouragement pour ruiner d'autres séries et mangas de mon enfance (on pense évidemment à Grendizer)
Non mais quel gâchis !!!! le scénario à du être écrit par un élève de CE, la vf est catastrophique, même les acteurs de synthèse jouent mal ! Vraiment dommage.
Les reboots ne sont pas à la mode qu'à Hollywood. En effet, voici ''Albator'' à la sauce 2013 et en film d'animation 3D ! Si je ne connais pas la série originale, cette aventure spatiale du plus charismatique des pirates de l'espace est loin d'être déplaisante sans être pour autant transcendante. Si l'animation est réussie et relativement impressionnante, elle ne correspond pas tout à fait à la mise en scène qui marcherait beaucoup mieux en 2D comme les animes japonais. Malgré tout, cela reste spectaculaire et les (trop) nombreuses péripéties du film ne nous permettent pas de nous ennuyer. Divertissant mais vite oublié.
Je fais partie de cette génération nourrie aux mangas, aux dessins animés internationaux. Pourtant, je ne me suis jamais penché sur ces vieux mangas qui ont bercé la jeunesse de nos pères : "Albator", "Capitaine Flam", "Ulysse 31"... Bref, ce long-métrage en performance-capture est ma première incursion dans l'univers du corsaire de l'espace, aussi ne ferais-je pas de comparaison avec les séries antérieures. Créé en 1969 par Leiji Matsumoto avant d'être adapté sous plusieurs séries animées ("Albator le Corsaire de l'Espace", "Galaxy Express 999" et "Albator 84"), Albator est un personnage culte, vissé à l'animation japonaise. Les fans rêvaient d'une adaptation live, les voilà servis ! Réalisé par Shinji Aramaki (Appleseed, Starship Troopers : Invasion), le long-métrage est visuellement impressionnant. Rarement la performance-capture n'aura été aussi majestueuse, les textures, mouvements et autres effets de lumière nous éblouissent les mirettes et on a très souvent peine à croire que tout ce barda n'est que de la synthèse. L'univers de la série est donc quelque peu modifié, que ce soit au niveau de certains détails ou de la personnalité des héros, le tout étant amené à délivrer un film beaucoup plus réaliste et par conséquent beaucoup plus sombre à l'image d'Albator himself, dans l'ombre pendant une grosse partie du film, devenant extrêmement mystérieux jusqu'à un final explosif où il émerge enfin concrètement. Centré sur un jeune personnage inédit, le film pourra donc en rebuter certains, au même titre qu'un scénario un brin cafouilleux où se mélangent bataille intersidérale, complot machiavélique et révélations. D'ailleurs, l'histoire ressemble beaucoup au non moins décrié Final Fantasy : Les Créatures de l'Esprit auquel il emprunte de nombreuses similitudes (la planète mourante Gaia, le côté écolo poussé à mort, les armures high-tech, etc...). Ainsi, Albator version 2013 n'est pas parfait voire même un peu regrettable : tandis que les fans du matériau de base seront déçus que le film s'éloigne autant du manga, les néophytes n'apprécieront que moyennement cet espèce de reboot numérique plus proche d'une magnifique compilation de cinématiques vidéo-ludiques qu'un long-métrage épique.
Il ne faut pas se cacher derrière son petit doigt la majorité de ceux qui ont été voir “Albator, Corsaire de l’espace”, l’on fait par nostalgie de leur mercredis après-midi d’enfant. Mais la nostalgie est parfois mauvaise conseillère et souvent déçue par une réalité moins belle que ce que le souvenir nous en avait laissé. C’est malheureusement le cas ici , en tout cas pour moi, avec cette réadaptation au cinéma du manga de Leiji Matsumoto qui est finalement bien loin du dessin-animé coloré de notre enfance. Si en faire un film d’animation en images de synthèses a été une bonne idée - le résultat est vraiment très beau à voir, notamment durant les batailles spatiales - le procédé a gommé le côté coloré de l’univers créé par Matsumoto au profit d’une image sombre que j’ai trouvé vraiment déprimant visuellement, impression par ailleurs renforcée par l’histoire. Cette intrigue qui fait du Capitaine Albator le dernier espoir d’une humanité agonisante face à une junte militaro-religieuse qui ne fait rien pour enrayer cette inéluctable extinction m’a franchement déçu et ce d’autant plus que je n’ai pas trouvé le récit bon. En fait j’ai trouvé l’intrigue franchement confuse et parfois à la limite de l'incohérence. Les personnages qui peuplent cette histoire sont en outre si froids et parfois si faiblards (en fait tous hormis Albator, Yama et Esra) qu’on finit par ne plus s’intéresser à leurs actions et leurs dilemmes aussi peu clairs que les délires métaphysico-scientifiques qui parsèment un film qui n’arrive pas à cacher que, sous des dehors esthétiques indéniablement réussis, il n’y a rien d’autre qu’une histoire foutraque et mal écrite qui perd et lasse un spectateur très vite agacé de ce salmigondis plein d’une grotesque emphase. Bref un retour raté du plus célèbre des corsaires spatiaux qui s’il nous fait une apparition esthétiquement convaincante sur grand-écran, ne parvient pas à le faire dans une histoire tout simplement cohérente et intéressante. Une grosse déception qui ne mérite pas de recommandation, même pour sacrifier à une pulsion nostalgique.
Les films d'animation de synthèse provenant du Japon sont rares, les productions sont plutôt des animés longs ou courts. Là il s'agit d'adapter en long-métrage la série Albator, qui a marqué la génération des années 80, en images numériques et qui permet d'offrir de nombreuses possibilités en matière d'effets spectaculaires dans le cosmos. Si le design art est excellent, avec les batailles spatiales notamment, le scénario est inexistant. Autant dans l'intrigue que dans les personnages. Le "héros", un espèce de novice, n'est pas présenté, le spectateur n'en connaît pas plus, et ne sait que plus tard qu'il est un espion ( et ne comprend pas pourquoi un soldat de Gaia lui injecte un scanner dans l'oeil ). Passons par les stéréotypes : le gros boute en train, la lieutenante sexy ( la séquence de douche est complètement détaché de l'ensemble ), l'extraterrestre qui fait plus elfe qu'alien, ... Et le capitaine Albator ? assez en retrait, et malgré les flashbacks incessants le spectateur a du mal à s'attacher aux personnages. Le scénario n'est qu'une succession de retournements de twists, et l'absurdité de la fin ne surprend même plus. Et enfin, la qualité des images de synthèse : c'est de l'animation de jeu vidéo, pas de cinéma. Atroce en quelque sorte. La déception est à son comble dans ce film, d'ailleurs elle s'installe dès le début.
Très réussi niveau design, sauf pour les personnages, trop inexpressifs. Niveau scénario, on est loin de la catastrophe même si on a vu mieux dans le genre.
Délivrant un spectacle formidable et réinstallant un univers aussi bien qu’un héros que l’on aimerait suivre et découvrir davantage dans de prochaines aventures, Albator, Corsaire de l’Espace est donc un véritable space opéra sombre et passionnant.