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    Supervixens
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    2,7
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    27 critiques spectateurs

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    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Supervixens, par manque de moyen et de rigueur dans la mise en scène et dans le scénario est plutôt un film assez médiocre. Certes, le film donne à voir des bombasses ultra sexy aux seins magnifiques mais aussi des hommes pourvus de gros sexes (surement des postiches d'ailleurs) seulement visibles en actionnant la touche image par image de votre enregistreur (les jeunes gays ont dû se régaler). Supervixens se contente de se faire succéder certains héroïques morceaux de bravoure, le plus souvent réitératifs. Fan de sexe, de violence (les deux concepts corrélés), Russ Meyer nous plonge comme d'habitude dans le centre perdu des USA avec ces red necks à la fois pathétiques, violents, incultes ou pervers. Le film utilise aussi le registre des films d'animation. Ceci explique pourquoi la violence sadique pourrait apparaître moins gratuite ou repoussante que chez bien d'autres films. spoiler: La meilleure scène du film reste celle où Charles Napier, pervers sadique, brutalise la fille aux gros nichons
    . Ce passage en est presque drôle!
    Jean-Sébastien T.
    Jean-Sébastien T.

    25 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2015
    S'il fallait que je fasse cette semaine la liste des 10 films que j'emporterais sur une ile déserte, Supervixen y figurerait assurément. Déjanté à souhait, mamairisé de façon joyeuse et ludique, ce film nous montre qu'en plus Monsieur Meyer connaissait les arcanes du cinéma, vous en connaissez combien capable d''allier un montage aussi efficace avec des poitrines opulentes en contre plongée. Bref un régal !!
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2014
    Bien loin du premier film de la saga Vixen datant de 1968 où Russ Meyer donnant à sa fronde anti-puritaine une sous-lecture politique, Supervixen est un gros délire outrancier, amoral et sans moralité. L’histoire n’a d’ailleurs rien à voir avec le précédent film, chacun étant indépendant et pour seul point commun la libido excessive des protagonistes, en particulier féminins. Cherchant à pousser plus loin la polémique qu'avait provoqué le premier film, Russ Meyer a pris le parti de jouer la démesure jusqu'à un point où plus rien ne semble réaliste. La construction scénaristique, le caractère grotesque des personnages ultra-stéréotypés, les explosions jubilatoires de violence et la rythmique apportée par l’excellent montage sont autant d’éléments qui rapprochent cette étonnante série B d’un cartoon puisque l’on pense à Tex Avery comme à Bip-Bip et Coyote. Comme toujours, le réalisateur met en avant sa lubie pour les femmes a fortes poitrines naturelles, mais réussit surtout à signer une petite perle dans le domaine underground de la sexploitation grâce à des références à un cinéma de genre plus grand public, avec notamment la scène de la salle de bains qui renvoie à Shining et à Psychose. On peut évidemment ne pas partager un tel gout de la disproportion et de la vulgarité ou encore être rebuté par un tel sommet de kitcherie mais ce Supervixen reste une œuvre rare que tout cinéphile devrait savoir apprécier à sa juste valeur.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    107 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 février 2014
    Regarder "Super vixens" de Russ Meyer(sorte de JP Mocky US pour le budget de ses films et l'importance de ses obsessions) ou sa filmographie en général , c'est un peu dans la culture d'un cinéphile comme d'apprendre l'existence (donc l'utilisation dans l'écriture) d'une nouvelle lettre de l'alphabet peu usitée pour un adepte de littérature: çà permet de mieux comprendre les œuvres de certains auteurs, considérés comme des génies, parmi les plus imperméables dans leur lecture, ou de briller au scrabble en trouvant des mots improbables. Indispensable tout autant qu'inutile...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 janvier 2014
    Russ Meyer, c'est un peu le pape dans le domaine de la sexploitation américaine. Ayant réalisé pas moins de 29 longs métrages des années 1950 à 2001, ce "Supervixens" fut réalisé en l'an de grâce 1975 et marqua le retour de Meyer dans le cinéma d'exploitation, suite au bide du film "The Seven minutes". Pour ce premier Russ Meyer qu'il m'ait été donné de voir, j'avoue que je suis plutôt surpris. Généralement, même si j'apprécie le cinéma bis, certains films me laissent complètement indifférents tandis que d'autres me passionnent au plus haut point. Et là, j'avoue que "Supervixens" m'a bien branché. Non pas pour sa mise en scène, plutôt banale, ni pour ses actrices à la poitrine plantureuse (quoi que...), mais par son scénario complètement déjanté et inventif. Ainsi, l'on suit le parcours d'un jeune pompiste à travers les Etats-Unis, obligé de quitter sa ville après s'être fait accusé du meurtre de sa petite amie, achevée par un flic véreux (Charles Napier, encore dans un rôle de bad guy, pour notre plus grand plaisir). Si la longue séquence d'exposition est lente et peu passionnante (c'est là ou j'ai commencé à avoir peur quant à la qualité du film), l'heure restant voit son rythme s'accélérer, de même que les gags, à l'instar des cartoons de la Warner ou de Tex Avery (les donzelles à poil en plus). De ce fait, soit on adhère à l'univers délirant de Meyer, fait de nymphomanes siliconées, de mâles en rut complètement débile et de situations loufoques à souhait, soit on adhère pas. Pour ma part, j'ai adhéré entièrement au délire, cachant aussi une féroce critique de la société américaine tout en donnant un coup de pied au puritanisme américain des années 70. Pour le peu que l'on accroche à "Supervixens", le film apporte un grand plaisir durant le visionnage malgré le côté kitsch, la réalisation banale et l'écriture stéréotypée. Un film bis au capital sympathie fort élevé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 janvier 2014
    Supervixens est un mélange étrange de Vixen et de MotorPsycho. Hormis la nymphomanie chronique de toutes ces zouzes démesurément callipyges, il n’y a pas grand-chose dans ce film. On retrouve la passion de Russ Meyer pour les voitures et les courses poursuites dans le désert, on retrouve également le bon jeune homme face à un méchant totalement fou qui fabrique un piège dans les collines du désert, visiblement à cause d’un traumatisme lié à la guerre du Viêtnam. Ce film est chroniqué dans l’ouvrage de Laurent Aknin Les Classiques du cinéma bis, en tant que « sommet de Russ Meyer, la synthèse et la quintessence de toute son œuvre ». Mais si l’on y regarde de plus près, Supervixens sent un peu le réchauffé au sein de la filmographie d’un Russ Meyer pourtant jusqu’ici inspiré. Me voilà quelque peu déçu. Cependant, si vous devez n’en voir qu’un seul, regardez celui-ci. Mais vous rateriez Faster, Pussycats, Kill Kill. A vous de voir…
    Estonius
    Estonius

    3 322 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Délirant, kitch, énorme ! Des nymphomanes dotées de poitrines opulentes à couper le souffle (naturelles et non pas siliconées comme on peut le lire ça et là), des crises de jalousie, un flic sadique et impuissant, un anti-héros paumé mais courtisé par toutes ces dames et pour finir un déchaînement de violence. Voilà qui aurait pu donner n'importe quoi, mais il faut voir la façon dont c'est fait. Comme disait quelqu'un Russ Meyer a deux atouts, sa science du montage et son amour des gros nénés. Coté distribution on notera la belle performance de Shari Eubank dans le double rôle de Super Angel et de super Vixen, Colleen Brennan (créditée comme Sharon Kelly) dans celui de SuperCherry, (la femme du couple qui prend les beaux jeunes hommes en stop), Deborah McGuire en Super Eula (blackette et fausse muette) et Uschi Digard en autrichienne à nattes. (SuperLorna). Un régal !
    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2013
    Ça commence sur une marche vaguement teutone…
    Le ton est donné : vulgarité et sexe…
    Dans Supervixen supernibards à tous les étages… Silicone de rigueur et dramaturgie de lit cage. Mais aussi violences barbares faites aux femmes… Et sexisme.
    Certes les mecs y sont tous de gros lourdingues dépassés…

    Voici donc un film sans nuance caricatural et au fond assez détestable.

    D’où vient-il que les productions de ce réalisateur de seconde zone, et ce film en particulier, aient acquis une réputation d’ oeuvres cultes ?
    Le scénario? Certes cohérent et même parfois amusant. Mais il est dépourvu d’un véritable talent, d’une véritable signature (stucture assumé de film B).
    Le montage ? Et c’est là que Meyer est dans son élément. Chaque plan s’organise nerveusement, comme dans une BD sans longueur et sans complaisance… Les enchaînements servent le propos. Loufoques, jubilatoires, usant des focales courtes…
    Je lis que John Waters surnommait Russ Meyer l’ « Eisentein du cinéma érotique »…
    Exagéré évidemment car Supervixen n’est ni érotique ni ciselé comme un film du maître russe.
    "Supervixens" est un anti-aphrodisiaque puissant et une daube délirante misant sur le grand-guignol (y compris en terme de violence) et jouant sur un fond d’idées plus débiles les unes que les autres.
    Alors culte ?
    On aime ou on n’aime pas, dirait l’autre !
    Moi, clairement, je n’aime pas !
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2013
    Et voila, ainsi s'achève donc ma découverte de la saga Vixen. Mon impression finale est la suivante. Cette série des films de sexploitation fut très irrégulière. Il y a eu du très mauvais à l'image de «Mégavixens» et «Ultravixens» sortis respectivement en 1976 et 1979. Il y a eu du correct à l'image du premier opus de la saga, sorti en 1968 et qui n'hésitait pas à aborder des sujets qui étaient au coeur de l'actualité de l'époque. Et il y a eu aussi du très bon à l'image de «Supervixens», deuxième opus de la saga sorti en 1975. Ici, nous avons la preuve qu'avec un peu de sérieux, donc sans se laisser entraîner dans ses délires que Russ Meyer était capable de nous tricoter des histoires intéressantes avec tout le côté kitsch, décalé et vulgaire qu'on leur connaît. Sans oublier bien sûr cette éternelle obsession pour les femmes aux grosses poitrines qui est ici poussée au maximum. Le héros de cette histoire c'est Clint, pompiste qui va vire des aventures plus dingues les unes que les autres et rencontrer des personnages insolites, imprévisibles et violents. Russ Meyer a été bien inspiré, a bien réussi son mélange d'érotisme, de comique, d'action et de violence et signe au passage ce qui est sans doute son meilleur film et également le meilleur opus de la saga qui contribua à sa réputation.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juin 2013
    On connaît la réputation de Russ Meyer, photographe pour Playboy, grand amateur d'hypertrophie mammaire... Sur le papier, cette histoire rocambolesque d'un jeune homme en fuite, trouvant sur son chemin moult femmes à forte poitrine, peut paraître sympathique, pour peu que l'on ne soit pas insensible aux formes généreuses, ou que l'on soit simplement curieux de découvrir des films bizarres. On s'attend vaguement à une kitscherie rigolote, mais on déchante rapidement. Sans surprise, l'intrigue est limitée, avec des gags grossiers. Mais passons. Le plus indigeste, c'est le goût du réalisateur pour la violence. Quelque chose d'outrancier, aux relents parfois malsains. Avec une dose de machisme et de racisme en prime. Le cocktail érotico-kitsch-trash devient franchement désagréable. Même pas drôle !
    JamesDomb
    JamesDomb

    102 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2012
    Sept ans après Vixen, Russ Meyer revient avec SuperVixens, l’épisode le plus déjanté et probablement le plus violent de la saga. Les plantureuses prédatrices sont de retour et bien décidées à faire face aux machos qu’elles rencontrent, en les prenant à leur propre jeu. Surfant sur la sexploitation qui l’a fait connaître, Russ Meyer signe une fois de plus la photo, le montage, le scénario, la production et la mise en scène de SuperVixens, et réalise ce qui est probablement aujourd’hui la plus fidèle adaptation de Bip Bip et Coyote au cinéma, musique comprise. L’érotisme de Vixen fait place à quelques fulgurances de violence avec le personnage du shérif impuissant, incarné par le frappadingue Charles Napier, spécialiste de l’inclassable, mort en 2011 en laissant près de 200 films derrière lui. Avec son montage cut réalisé à la scie sauteuse, son humour de dessin-animé et ses séquences de violence graphique, SuperVixens s’impose comme l’une des œuvres les plus originales et attachantes de son auteur, qui condense ici tous ses thèmes de prédilection (les séquelles de la guerre du Vietnam, la violence faite aux femmes par des hommes lâches), ses obsessions (Russ Meyer nous refait le coup du serpent de Motor Psycho) et fantasmes, avec un sens du délire communicatif, une chaleur humaine débordante et un humour désopilant.
    _Royal_
    _Royal_

    127 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 août 2011
    J'ai regardé cette horreur à cause de l'autre là, qui dit que c'est le meilleur des Vixens, et qu'on a droit à un déferlement d'images délirantes... et il semble évident maintenant que ce psychopathe ai tort. Ne vous fiez plus aux bobards pompeux style "je m'y connait en porno chic des années 70", ce film est d'une inutilité sans fond, tout comme les décolletés des pin up de Russ Meyer. Et la seule image un peu délirante qu'on peut y voir sera un vieux barbu sodomisant un poulet, délire détrôné depuis longtemps par les clips de Britney et Gaga.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    205 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2011
    Alors moi je ne comprends plus rien... Le premier épisode de la saga "Vixen" de Russ Meyer était un désespérant mais divertissant nanar riche en nichons, mais la... C'est franchement naze, même pas amusant, même pas divertissant, c'est nul du début a la fin, tres tres peu d'érotisme (voir pas du tout), seulement une histoire de kidnapping un peu perverse, un peu de bagarre... Rien de franchement plaisant. Vraiment un tres mauvais film...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 février 2011
    Un Russ Meyer à voir pour le croire, encore une fois. Cette fois, R.M. propose un film plus long et élaboré plus sérieusement, ce qui ne l'empêche pas de nous embarquer dans une histoire invraisemblable, dans laquelle on retrouve ses péchés mignons (actrices - cette fois nettement plus convaincantes - au physique généreux, action, incohérences, sexe, dialogues décalés,...). Le film aurait même pu donner quelque chose de vraiment sérieux et abouti, si le réalisateur ne s'était pas une nouvelle fois laissé porter par son délire (voire en particulier le dernier quart d'heure qui n'a aucun sens), car il y a des bonnes idées, et on hésite même un moment, en se demandant si le film va être un drame, mais celui-ci bascule peu à peu dans la comédie, la farce, puis le n'importe quoi propre au réalisateur. Du bon divertissement.
    stebbins
    stebbins

    499 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2011
    Difficile d'extirper Russ Meyer de la catégorie " réalisateur de séries B cochonnes et volontairement débiles "... A mon tour de découvrir la saga Vixens, réputée pour être généreuse en paires de gros lolos et dialogues colorés. Résultat : un vrai plaisir de cinéma, excitant et malicieux, qui vous chatouille l'entrejambe à force de cadrages suggestifs et proprement délibérés. Qu'est-ce qui fait de Supervixens un petit chef d'oeuvre ? Les acteurs ? Probablement pas, car sans véritables nuances et donc très proches de la caricature. Les actrices, alors ? Bof, à part si l'on considère que les concours de silicone sont affaire de dramaturgie. Le scénario, peut-être ? Non, malgré une indéniable cohérence narrative la matière écrite reste assez indigente ( bien qu'intelligente dans ses thématiques ). Alors la musique ? Mouais... Mais que diable, en quoi Supervixens a t-il comblé mes attentes ? Mais le découpage bon sang, le découpage !!! Ce film est un sommet du montage ! A croire que Russ Meyer est un formidable émule de la bande dessinée, composant chaque plan comme une vignette haute en couleurs. Maître dans l'art d'enchaîner les images avec un sens de la grammaire terrifiant, l'ami Meyer conjugue tous les excès, et c'est tant mieux ! En somme Supervixens est stimulant à plus d'un niveau, euphorisant et gourmand. A la vue de cette série B jubilatoire, on comprend mieux pourquoi John Waters surnommait son confrère le " Eisenstein du cinéma érotique "...
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