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    Supervixens
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    2,7
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    27 critiques spectateurs

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    fredecho2
    fredecho2

    2 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2010
    Les précédents films de Russ Meyer (Motor Psycho, Faster Pussycat Kill kill...) étant bridés par une censure pudibonde qui contrôlait soigeusement toute chair dévoilée, Meyer se voyait obligé de charger dans le registre de la violence qui -allez savoir pourquoi (on le sait, mais on le dira pas!)- passe toujours mieux auprès des bien-pensants. Dans "Supervixens", ça y est, on s'est libéré, et c'est tant mieux : les filles n'ont pas seulement des "gros seins" comme on le lit partout, mais sont magnifiques, joyeuses, sensuelles et pleines de vie... Les hommes sont bien sûr un peu dépassés. Le film est bien mieux monté (!) que les précédents, c'est jubilatoire, iconoclaste, et malgré l'apparente loufoquerie et l'inévitable violence, particulièrement intelligent. Un peu d' air qui nous libère du cinéma tarentiné...
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2009
    Une nymphomane plantureuse piètinèe puis èlectrocutèe par un flic sadique! Un garagiste harcelè par une nuèe de crèatures en rut! Ce classique du cinèma underground des annèes 70 est caractèristique du style cartoon destroy de Russ Meyer, cinèaste culte qui mêle èrotisme et extravagance dans ses comèdies trash! Ses hèroïnes dotèes d'opulentes poitrines gènèreusement dèvoilèes y affrontent des mâles abrutis et obsèdès dans une critique fèroce de la sociètè amèricaine!Une sèrie B hollywoodienne qui ravira les amateurs de nymphomanes où l’obsession mammaire qu’a toujours portè Russ Meyer est ici poussèe à son paroxysme...
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    151 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2009
    La surexploitation du filon "Vixens" n'a pas nui à Russ Meyer, loin s'en faut. "Supervixens", quatrième film de la série, est effectivement une petite perle que les amateurs de kitsch et de grand n'importe quoi sauront apprécier à leur juste valeur. Loin du côté "arty" (comme disent les bobos) de ses premières réalisations (charme des années 60, noir et blanc rétro, bande-son emblématique de son époque, situations suggérées), ce long-métrage compile image dégueulasse (appelons un chat un chat), un montage parfois approximatif ou bien encore une photographie hideuse... Peu importe, l'essentiel n'est pas là. Meyer a depuis acquis un certain savoir-faire et le rythme qu'il imprime à ses créations au début des années 80 (1982 pour être précis) est certes un brin plus posé et moins virevoltant qu'à ses débuts mais comporte moins d'hésitations, cela reposant sur une intrigue construite aux rebondissements évidemment multiples mais toujours précisément calculés si bien que l'on ne peut guère décrocher de ces aventures pour le moins particulières dès lors que l'on a daigné s'y intéresser un minimum. Gros lolos et parties de jambes en l'air sont au rendez-vous avec une imagination débordante assez édifiante, le tout pimenté d'une bonne dose de misogynie bien assumée (et auto-dérisoire), d'homophobie et même d'un brin de racisme certainement moins distant que le reste (on est Américain profond ou on ne l'est pas, ma foi !) et donc forcément critiquable, à moins qu'on ne le prenne avec le sourire (ce que j'ai fait) en se disant que cela fait partie d'un univers débridé à l'image d'une sous-culture réjouissante dans ce contexte. Sorte de BD pour adultes portée à l'écran, "Supervixens" est un anti-aphrodisiaque puissant en même temps qu'un essai (oui, oui) délirant misant sur le grand-guignol à tout va (y compris en terme de violence) et les idées débiles omniprésentes. On aime ou pas mais en tant que fan de Russ Meyer, je ne peux que me réjouir d'un tel niveau atteint !
    gnurff
    gnurff

    25 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2008
    Du grand Russ Meyer ! Plus Kitch, plus déjanté et plus nul tu meurs ! Une époque, une culture, des seins que l'on nne verra plus jamais.... certains diront tant mieux ! Moi je dis dommage c'est tellement drôle !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2007
    Du bon!!! L'ayant enregistré sur Arte durant le mois de Mai sur mon frêle magnétoscope Funai, je me décide enfin en ce 19 Juin de mater cette Vhs qui n'attendait qu'une chose: être introduite dans cette jolie fente pour me faire découvrir avec un sourire béat le monde merveilleux de Mr Russ Meyer. Et là, et ce dés le début, on est en extase: débauche de gros seins, avalanches de monticules mammaires, plétore d'attributs laiteux, farandole de nichons taille xxl.... Attention, il n'y a pas que ça, il y a aussi un brin de folie psychédelique non-negligeable: exemple, la scéne de fellation entreprise par Super Eula sur la route en plein désert... le destinataire de la gâterie étant un halterophile (?!) mais vraiment venu de nulle part et qui repart comme il a surgi. La scéne finale est aussi succulente, on se croirait dans un cartoon Warner, style Bip-bip et le Coyote, avec ce policier nazi, tortionnaire et tueur de Super, face à notre Ero-etalon, pendant que la pauvre SuperVixen (la plus jolie des Vixens) est attachée au sol et proche d'être dynamitée. Un film que l'on pourrait largement qualifié d'atypique, osé, se situant bien dans son époque, et qui a du faire tourner de l'oeil pas mal de bien pensant. Du bon!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mai 2007
    Petit voyage dans le monde merveilleux de Russ Meyer, cette comédie érotique où le personnage principal se fait harceler par de jolies filles à la poitrine généreuse, est un petit bijou du cinéma kitsch, idéale pour se taper des délires, à voir car il est assez rare de tomber sur des films où érotique rime avec comique. I love you Super Lorna.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 mars 2007
    Il est sur que le film ne possède pas beaucoup de qualités cinématographiques mais il est néanmoins irrésistible. La naïveté de l'histoire et l'univers de Russ Meyer(le désert, les stations service, les filles aux gros seins, les vieux fermiers pervers...) donnent au film un charme certain. Un film culte.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    L’unique véritable intérêt de cette pochade crétine et aberrante se résume par le fait qu’elle annonce en quelque sorte l’une des flèches de l’arc de la firme Troma, à savoir un défilé de femmes à poitrines sincèrement généreuses doublées de nymphomanes délurées, qui peuplent le casting de manière continue. Pour le reste, même les aficionados les plus avertis de nanars accomplis risqueront de s’ennuyer devant cette minable série Z, dont le sel - humoristique, tout comme érotique - semble avoir demeuré prisonnier entre les deux mamelons de l’une des protagonistes du film ! Tout cela s’avère fort dommage, car ce SUPERVIXENS démarrait pourtant sur des chapeaux de roue, avec un premier quart absolument jubilatoire, mixant à un rythme effréné humour potache, sexe soft et violence absurde (quoique aussi un tantinet dérangeante), avec plein de bonnes idées à la clé. Hélas, après la première heure, l’ensemble se dégonfle entièrement, tel un soufflé loupé, et sombre dans le néant le plus total (à moins de s’extasier devant un flic imbécile lançant des dynamites dans le vent durant les quarante dernières minutes du métrage, c‘est bien de néant que l‘on parle). Inutile par ailleurs de s’attarder une seconde sur la réalisation lamentable, la photographie affreuse, les décors très limités, ou même l’interprétation, tous dignes des pires délits commis par Herschell Gordon Lewis - le roi du Z des années 60 bien plus que l’inventeur du Gore ! SUPERVIXENS date de 1975, et on dirait un film tourné aux alentours de 1955-60. À voir pour se faire une idée des premiers pas de l’humour provocateur outre-atlantique, alors déjà en concurrence avec le fameux réalisateur John Waters, et dont, il faut bien le reconnaître, se seront sans doute par la suites inspirés les Lloyd Kaufman, Jim Muro et consorts dans leurs œuvres cultes.
    CEE
    CEE

    34 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2008
    Supervixens, c’est l’histoire d’un employé d’une station d’essence (je ne sais même plus comment il s’appelle, c’est dire comme ça m’a marqué) qui s’entend pas trop bien avec sa femme, supra-jalouse. Un jour ils s’engueulent, les coups de hache pleuvent, et lorsqu’un flic pointe le bout de son nez (pas que celui du nez, d’ailleurs) c’est pour se taper et tuer la femme. Au lieu d’être accusé, l’employé de la station fuie et commence un périple semé de gros seins et de dingues en puissances.
    Quand on fait dans la provoc’, il faut savoir le faire, pas se contenter de montrer des gros nichons et un peu de violences. En multipliant les clins d’œil aux scénarios, Ô combien poilant, cinéma pornographique, Russ Meyer met en images les fantasmes qu’il aurait aimé vivre à travers un homme qui refuse tout débat sexuel dangereux. C’est vulgaire à tous les niveaux, ça fait un peu marrer au début mais c’est n’a finalement aucun intérêt. De la merde en boite, voilà ce qu’est Supervixens, où plutôt un OVI (Objet Volant Identifié), malheureusement craché au début de son envol.
    zombie85
    zombie85

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    des gros nichons et...une perte de temps d'une heure quarante cinq.Que ce film ait pu faire parler de lui à sa sortie peut se comprendre,cependant,il a très mal vieilli...
    AMCHI
    AMCHI

    5 783 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Enfin j’ai vu un film de Russ Meyer mais j’ai perdu mon temps en le visionnant car Super Vixens est médiocre, nul, grotesque, réellement sans intérêt. Je croyais voir un film débile mais qui me ferait marrer, il n’en est rien. Les gros nichons sont là mais pour le reste c’est de la M….
    Backpacker
    Backpacker

    77 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je m'attendais à voir un simple "film à nichons". Or "Supervixens" est bien plus que ça puisqu'il part dans tous les sens : comédie, thriller, trash, road movie et bien-sûr beaucoup de sexe plus suggéré que montré font un délicieux mélange très rythmé, qui plus est. Et quel maniement du sarcasme, de l'ironie et de la suggestion (homosexualité comprise)! Cela reste néanmoins très audacieux pour l'époque. Franchement, aujourd'hui, ce film risque bien, et avec raison, de choquer certaines féministes. Cela dit, il faut savoir que le réalisateur Russ Meyer est un adepte du second degré et qu'il dépeint souvent les hommes comme des brutes épaisses dépourvues de neurones... Une excellente surprise et un film absolument culte! A ne manquer sous aucun prétexte.
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