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Peter Franckson
52 abonnés
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3,0
Publiée le 9 novembre 2016
Andrew Rossi a passé plusieurs mois au sein du célèbre journal plus que centenaire et décrit la crise de la presse papier aux Etats-Unis (plusieurs journaux ont disparu) face aux supports numériques, aux réseaux sociaux et au nouveau « journalisme » à la Wikileaks. Intéressant et pédagogique.
Allez, un petit film docu pour changer un peu. Et sincèrement c'était très intéressant. De la question de l'avenir de la presse écrite à la manière de chercher et traiter les infos, une immersion qui vaut le détour. Je regrette un peu que le sous titrage blanc soit parfois confondu dans la blancheur des pages du journal sur certains plans. Pas toujours facile à décrypter. Enfin, la présence de David Carr est peut-être un peu trop pensante.
Une description des difficultées de la presse écrite d'aujourd'hui dont les enseignements sont malheureusement faibles pour peu que l'on s'interesse au sujet. Son sujet étant extrèmement actuel, trois ans plus tard : Page One: A Year Inside the New York Times souffre déjà de son âge. Reste la présence charismatique des deux journalistes aux profils opposés.
Un documentaire passionnant et dense sur le New York Times et les mutations opérées ces dernières années dans la presse écrite. Il n'y a pas de temps mort et le spectateur s'attache aux protagonistes de l'histoire. Du bon travail!
Un documentaire formidable, passionnant sur les mutations du monde de la presse écrite ! Le NYTimes : une légende ! À voir absolument !!! Dommage qu'a sa sortie le film n'ai été diffusé que dans très peu de salles ;(
Le New York Times, c’est plus de 1200 journalistes, plus d’un million d’abonnés, plus de 3 milliards de chiffre d’affaire et plus de 90 prix Pulitzer qui lui ont été décerné depuis sa création en 1851. Dit comme cela, on se demande réellement si la presse écrite serait à plaindre, et pourtant, la réalité est inquiétante. Aux Etats-Unis, depuis dix ans, plus de 2800 journaux américains se sont déclarés en faillite, d’où l’inquiétude grandissante pour des journaux de prestige et édité dans le monde entier tel que le NYT. Car depuis que le monde de l’internet à pris une part plus importante auprès des internaute (notamment par le biais du web 2.0), avec son avalanche de nouvelles technologies telles que Twitter ou encore Wikileaks, sans parler de tous les sites d’informations et de la multiplication des blogs, comment dans un tel contexte, la presse écrite peut-elle s’assurer un avenir (on parle bien là de la presse écrite "payante"). Heureusement pour elle, depuis l’arrivée fracassante sur les marchés de l’iPad d’Apple, la presse écrite à reprit du poil de la bête et espère bien conquérir les nouvelles générations, avides des nouvelles technologies et donc beaucoup plus concernés par la presse papier électronique. Avec son troisième documentaire de cinéma, Andrew Rossi dresse un bilan alarmant sur la presse écrite (licenciement, faillites de journaux, diminution conséquente des achats d’espaces publicitaires), comment rester confiant lorsque le futur vous apparaît incertain. Avec A la une du New York Times (2011), il en résulte un documentaire extrêmement dense (où les 90 minutes du film ne suffisent pas à apporter une réponse claire et précise), le tout étant porté par des personnages haut en couleur, dont on retiendra notamment Brian Stelter, ex-blogueur surdoué qui s’est vu offrir un poste par le NYT à seulement 21 ans (!), sans oublier (le très présent) David Carr, ex-drogué devenu chroniqueur au sein du NYT.
Un documentaire qui n'apprend pas grand chose et le fait de manière brouillonne, volant d'un sujet à l'autre (portrait, questionnement sur l'avenir de la presse, mutation de l'information avec Internet, fonctionnement du NY Times, étude de quelques évènements etc...) sans jamais se poser véritablement sur rien. Décevant.