The Day He Arrives (Matins calmes à Séoul) : Critique presse
The Day He Arrives (Matins calmes à Séoul)
Note moyenne
3,5
13 titres de presse
Le Monde
TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
L'Humanité
Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
Télérama
Première
Ecran Large
L'Express
Positif
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Matins calmes à Séoul" (...) constitue un nouveau développement, passionnant, excitant, hilarant, d'une des oeuvres les plus importantes du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Bernard Achour
En images féeriques, en dialogues à l'expressivité presque musicale, épaulé par un acteur principal au charisme renversant, ce bonsaï de douceur et de lucidité nous abandonne sereinement, mais totalement, bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Si Hong Sang-soo fait partie de ces cinéastes qui retournent les faiblesses (de production) en force (esthétique et narrative), le charme immédiat de "The Day He Arrives", l'un des meilleurs films d'Un certain regard 2011, ne joue pas seulement sur la sécheresse de l'épure.
Critikat.com
par Emmanuel Didier
Hong Sang-soo nous permet donc généreusement de parler, dans un même élan, de frivolité et d'existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout en décrivant un parcours, un milieu, et des personnages similaires à ceux de ses précédents travaux, le Sud-Coréen atteint là à un romantisme et une mélancolie rares dans sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
Une errance en noir et blanc, énigmatique et troublante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Le récit langoureux, chaleureux et en Noir & Blanc d'une déambulation dans les quartiers tranquilles de Séoul. Hong Sang-soo poursuit son chemin convivial, avec constance et élégance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
c'est du Hong Sang-soo pur jus. Mais le noir et blanc et la neige qui tombe à petits flocons sur Séoul confèrent à "The Day he arrives" une douceur inhabituelle. (...) A l'image de son héros, le film semble constamment tiraillé entre le futile et le tragique, l'humour et la mélancolie. Mais cette indécision contribue pour beaucoup à son charme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Isabelle Danel
Dialogues (pléthoriques) et situations (anodines) se répètent donc par trois fois en se transformant. (...) Malgré la démarche louable et une certaine légèreté, le procédé semble arriver à son terme. A tourner à ce point en rond, Hong Sangsoo épuise la matière même de son cinéma. Et le spectateur avec.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Simon Riaux
L'auto-fiction à la Coréenne, aussi mortel qu'un vieux Robe-Grillet, le symbolisme fumeux en moins.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Ça bavarde, ça picole et ça embrasse à tour de bouches, mais le cinéma de Sang-soo s'évide dangereusement de l'intérieur.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Vincent Thabourey
Il n'y a pas que l'amour qui soit malmené dans "Matins calmes à Séoul". Le désir de cinéma s'étiole de manière aussi désolante. Au réalisateur à la filmographie avortée, s'ajoute un comédien aigri et des étudiants de cinéma au discours formaté.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Monde
"Matins calmes à Séoul" (...) constitue un nouveau développement, passionnant, excitant, hilarant, d'une des oeuvres les plus importantes du cinéma contemporain.
TéléCinéObs
En images féeriques, en dialogues à l'expressivité presque musicale, épaulé par un acteur principal au charisme renversant, ce bonsaï de douceur et de lucidité nous abandonne sereinement, mais totalement, bouleversé.
Cahiers du Cinéma
Si Hong Sang-soo fait partie de ces cinéastes qui retournent les faiblesses (de production) en force (esthétique et narrative), le charme immédiat de "The Day He Arrives", l'un des meilleurs films d'Un certain regard 2011, ne joue pas seulement sur la sécheresse de l'épure.
Critikat.com
Hong Sang-soo nous permet donc généreusement de parler, dans un même élan, de frivolité et d'existentiel.
L'Humanité
Tout en décrivant un parcours, un milieu, et des personnages similaires à ceux de ses précédents travaux, le Sud-Coréen atteint là à un romantisme et une mélancolie rares dans sa filmographie.
Le Figaroscope
Une errance en noir et blanc, énigmatique et troublante.
Les Fiches du Cinéma
Le récit langoureux, chaleureux et en Noir & Blanc d'une déambulation dans les quartiers tranquilles de Séoul. Hong Sang-soo poursuit son chemin convivial, avec constance et élégance.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télérama
c'est du Hong Sang-soo pur jus. Mais le noir et blanc et la neige qui tombe à petits flocons sur Séoul confèrent à "The Day he arrives" une douceur inhabituelle. (...) A l'image de son héros, le film semble constamment tiraillé entre le futile et le tragique, l'humour et la mélancolie. Mais cette indécision contribue pour beaucoup à son charme.
Première
Dialogues (pléthoriques) et situations (anodines) se répètent donc par trois fois en se transformant. (...) Malgré la démarche louable et une certaine légèreté, le procédé semble arriver à son terme. A tourner à ce point en rond, Hong Sangsoo épuise la matière même de son cinéma. Et le spectateur avec.
Ecran Large
L'auto-fiction à la Coréenne, aussi mortel qu'un vieux Robe-Grillet, le symbolisme fumeux en moins.
L'Express
Ça bavarde, ça picole et ça embrasse à tour de bouches, mais le cinéma de Sang-soo s'évide dangereusement de l'intérieur.
Positif
Il n'y a pas que l'amour qui soit malmené dans "Matins calmes à Séoul". Le désir de cinéma s'étiole de manière aussi désolante. Au réalisateur à la filmographie avortée, s'ajoute un comédien aigri et des étudiants de cinéma au discours formaté.