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Votre avis sur Furiosa: une saga Mad Max ?
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Enfin un film grandiose !
Les scènes de hordes de motos sauvages dans ces paysages désertiques à la sauce mad max hard-rockers sont toutes sublimes !
On ne s'en lasse pas !
Le seul bémol : la fin un peu trop simpliste, basée sur des émotions de vengeance basique nous renvoie à des sentiments perverses et malsaines, c'est mon avis.
On aurait aimé voir Furiosa retrouver son Eden natal accompagné de son mad max !
J'ai beaucoup aimé ! Je retournerai le voir.
Les scènes de hordes de motos sauvages dans ces paysages désertiques à la sauce mad max hard-rockers sont toutes sublimes !
On ne s'en lasse pas !
Le seul bémol : la fin un peu trop simpliste, basée sur des émotions de vengeance basique nous renvoie à des sentiments perverses et malsaines, c'est mon avis.
On aurait aimé voir Furiosa retrouver son Eden natal accompagné de son mad max !
J'ai beaucoup aimé ! Je retournerai le voir.
Film particulièrement creux, avec des bruits de moteur incessant qui ne suffisent pas a donner une contenance a cet épisode.
« Mad Max : Fury Road » marquait le retour de Mad Max de manière éclatante. Un opéra rock des plus étourdissants.
Neuf ans après, George Miller décide d’extraire de l’univers Mad Max, un personnage vu dans « Fury Road » : Furiosa sous les traits de la plantureuse Charlize Theron, extrêmement crédible dans ce rôle féminin qui ne se définissait pas par son
sexe !
Avec « Furiosa », George Miller veut évoquer le passé de Furiosa, une préquelle comme on dit dans le milieu.
Cette fois, c’est Anya Taylor-Joy qui incarne cette femme robuste, animée d’un esprit de vengeance impitoyable (et naïf). Mais l’actrice doit partager son rôle avec une toute jeune actrice formidable, Alyla Browne pour interpréter l’enfance de Furiosa.
Sans faire un mauvais jeu de mots ou un jeu de mots faciles, ça part rapidement sur les chapeaux de roues.
Dynamique, énergique, explosif, épique, hallucinant est cet épisode .
Ce n’est plus un opéra rock, c’est une Symphonie Metal flamboyante où chaque percussion d’influence indienne me raidit d’émotion.
On parle d’ultra violence, c’est vrai… les poursuites sont violentes, les regards intenses sont violents, spoiler: les intentions pédophiles de Rictus sont violentes
, le peuple misérable de la Citadelle est violent, spoiler: l’enlèvement de Furiosa enfant est violent,
le fanatisme des War Boys est violent, la condition des femmes est violente, tout l’univers de Mad Max est tout simplement violent… mais sans effets gores.
George Miller, fidèle à lui-même, injecte peu de sang ; durant les poursuites, les corps sont broyés ou mutilés sans geyser de sang. Pour d’autres séquences, la violence est suggérée.
Ah ces poursuites ! ça fourmille tellement de délires qu’il m’est impossible de relever un exemple. La violence des poursuites est somptueusement orchestrée, elles sont d’une fluidité étincelante. Ce ballet de guerriers dont j’inclus évidemment Furiosa donne une impression de répétitions, mais je me plais à me persuader que George Miller y apporte des nuances au point de croire que le réalisateur se réinvente !
George Miller fait nettement mieux que Ridley Scott. Ce dernier avait promis une préquelle à « Alien » qui permettrait de faire la jonction avec « Alien ». Au lieu de ça, dans « Prometheus » Ridley Scott se perd en route et nous offre en héritage deux films suivants qui n’ont rien à voir avec le tout premier opus.
George Miller a su boucler la boucle, LUI !
Certes, aujourd’hui je suis exalté, qu’en sera-t-il à la seconde lecture en Blu Ray ?
Certes, je comprends les questionnements suivants :
Comment se fait-il que Furiosa, qui n’est plus dans le gynécée d’Immortan Joe, ne préoccupe pas ce dernier. spoiler: C’est lui qui a négocié l’échange avec Dementus.
Furiosa version Fury Road était estimée par ce même Immortan Joe et elle suscitait l’admiration du peuple et des War Boys.
Evidemment, ce qui était développé avec Fury Road n’est pas du tout approfondi dans ce « Furiosa ».
Peu importe.
Quant à son bras mutilé, c’est rapide. C’est presque anodin. George Miller ne s’y attarde pas.
Bref, ce "Furiosa" c'est une symphonie du chaos magistrale.
A voir en V.O si vous voulez…
Neuf ans après, George Miller décide d’extraire de l’univers Mad Max, un personnage vu dans « Fury Road » : Furiosa sous les traits de la plantureuse Charlize Theron, extrêmement crédible dans ce rôle féminin qui ne se définissait pas par son
sexe !
Avec « Furiosa », George Miller veut évoquer le passé de Furiosa, une préquelle comme on dit dans le milieu.
Cette fois, c’est Anya Taylor-Joy qui incarne cette femme robuste, animée d’un esprit de vengeance impitoyable (et naïf). Mais l’actrice doit partager son rôle avec une toute jeune actrice formidable, Alyla Browne pour interpréter l’enfance de Furiosa.
Sans faire un mauvais jeu de mots ou un jeu de mots faciles, ça part rapidement sur les chapeaux de roues.
Dynamique, énergique, explosif, épique, hallucinant est cet épisode .
Ce n’est plus un opéra rock, c’est une Symphonie Metal flamboyante où chaque percussion d’influence indienne me raidit d’émotion.
On parle d’ultra violence, c’est vrai… les poursuites sont violentes, les regards intenses sont violents, spoiler: les intentions pédophiles de Rictus sont violentes
, le peuple misérable de la Citadelle est violent, spoiler: l’enlèvement de Furiosa enfant est violent,
le fanatisme des War Boys est violent, la condition des femmes est violente, tout l’univers de Mad Max est tout simplement violent… mais sans effets gores.
George Miller, fidèle à lui-même, injecte peu de sang ; durant les poursuites, les corps sont broyés ou mutilés sans geyser de sang. Pour d’autres séquences, la violence est suggérée.
Ah ces poursuites ! ça fourmille tellement de délires qu’il m’est impossible de relever un exemple. La violence des poursuites est somptueusement orchestrée, elles sont d’une fluidité étincelante. Ce ballet de guerriers dont j’inclus évidemment Furiosa donne une impression de répétitions, mais je me plais à me persuader que George Miller y apporte des nuances au point de croire que le réalisateur se réinvente !
George Miller fait nettement mieux que Ridley Scott. Ce dernier avait promis une préquelle à « Alien » qui permettrait de faire la jonction avec « Alien ». Au lieu de ça, dans « Prometheus » Ridley Scott se perd en route et nous offre en héritage deux films suivants qui n’ont rien à voir avec le tout premier opus.
George Miller a su boucler la boucle, LUI !
Certes, aujourd’hui je suis exalté, qu’en sera-t-il à la seconde lecture en Blu Ray ?
Certes, je comprends les questionnements suivants :
Comment se fait-il que Furiosa, qui n’est plus dans le gynécée d’Immortan Joe, ne préoccupe pas ce dernier. spoiler: C’est lui qui a négocié l’échange avec Dementus.
Furiosa version Fury Road était estimée par ce même Immortan Joe et elle suscitait l’admiration du peuple et des War Boys.
Evidemment, ce qui était développé avec Fury Road n’est pas du tout approfondi dans ce « Furiosa ».
Peu importe.
Quant à son bras mutilé, c’est rapide. C’est presque anodin. George Miller ne s’y attarde pas.
Bref, ce "Furiosa" c'est une symphonie du chaos magistrale.
A voir en V.O si vous voulez…
J’attendais tellement de ce spinoff à la saga Mad Max que je suis un peu déçu.
Le scénario tourne un peu en rond avec ces trois cités qui se complément au niveau approvisionnement, tout en se détestant et en voulant prendre le lead sur les deux autres.
Il est dommage que toutes les scènes d’action ne soient pas au niveau du climax central (époustouflante performance de montages et des cascadeurs) en incorporant quelques effets numériques un peu trop voyants.
Vendue comme étant la principale interprété Taylor Joy n’apparaît qu’au bout d’une heure mais réalise une prestation finale de haut vol.
Celui qui tire la quasi couverture à lui c’est Hemsworth qui s’éclate en méchant christique
Merci pour ce récit qui nous explique d'où vient Furiosa. Mais quand on pas les moyens de mettre des CGI de qualité, on met des vrais décors. Ça fait tellement faux, quelle dommage, ça saute aux yeux. Moins agréable a regarder qu'une mauvaise série Netflix.
Pour la première fois de ma vie, j'ai quitté la salle, au bout de 30 minutes.
Des dialogues sans fond, des jeux d'acteurs médiocre, ça frôle la parodie, et ne parlons pas des effets techniques. Le tournage en studio est tellement flagrant, les montages sont mal fait, il y a des micros passages en accélérés, c'est visuellement deplaisant....mise à part le paysage désertique, rien ne rappelle la saga Madmax .
Je conseille vivement aux plus jeunes d'aller visionner les premiers Madmax et de ne pas perdre leur temps et leurs argent avec celui ci.
Mes fils sont restés jusqu'à la fin et il semblerait que la chute soit complètement improbable.
Bref! Grosse déception.
Des dialogues sans fond, des jeux d'acteurs médiocre, ça frôle la parodie, et ne parlons pas des effets techniques. Le tournage en studio est tellement flagrant, les montages sont mal fait, il y a des micros passages en accélérés, c'est visuellement deplaisant....mise à part le paysage désertique, rien ne rappelle la saga Madmax .
Je conseille vivement aux plus jeunes d'aller visionner les premiers Madmax et de ne pas perdre leur temps et leurs argent avec celui ci.
Mes fils sont restés jusqu'à la fin et il semblerait que la chute soit complètement improbable.
Bref! Grosse déception.
Super film ! On ne voit absolument pas le temps passer. Même les moments de non dialogues qui pouvaient durer 10min (j’avais l’impression en tout cas) étaient très sympas !
On retrouve tout les ingrédients de Fury Road même si ce nouveau chapitre est moins rythmé. Il se différencie par la narration de l'histoire qui s'étale sur plusieurs années. Il n'en est pas moins tout aussi réussi !
Des rebondissements qui n'en finissent pas...
Beaucoup de scènes pour faire des scènes et non pour raconter une véritable histoire.
Pas mal pour laisser son cerveau à l'entrée de la salle et le reprendre en sortant.
Sinon, très glauque comme l'esprit Mad Max.
Beaucoup de scènes pour faire des scènes et non pour raconter une véritable histoire.
Pas mal pour laisser son cerveau à l'entrée de la salle et le reprendre en sortant.
Sinon, très glauque comme l'esprit Mad Max.
La palette graphique est identique à celle de "Fury Road", et c'est tant mieux... car une fois encore, ça fait mouche !
L'histoire est intéressante et s'intègre parfaitement bien à l'histoire de "Fury Road".
Les personnages sont réussis avec une mention spéciale au personnage du chef des méchants (joué par l'acteur de Thor) qui est déganté juste ce qu'il faut.
Les scènes d'actions sont vraiment intéressantes.
Bref, il ne manque rien pour passer un bon moment.
Le seul bémol de ce film est la qualité des images de synthèse qui sont souvent très mauvaises, surtout dans les scènes en mouvement. La clairement, c'est souvent raté et ça pique les yeux au point de rendre l'image cartoonèsque ou grotesque (au choix). Néanmoins, et par chance, ça ne coule pas l'intérêt porté au film.
L'histoire est intéressante et s'intègre parfaitement bien à l'histoire de "Fury Road".
Les personnages sont réussis avec une mention spéciale au personnage du chef des méchants (joué par l'acteur de Thor) qui est déganté juste ce qu'il faut.
Les scènes d'actions sont vraiment intéressantes.
Bref, il ne manque rien pour passer un bon moment.
Le seul bémol de ce film est la qualité des images de synthèse qui sont souvent très mauvaises, surtout dans les scènes en mouvement. La clairement, c'est souvent raté et ça pique les yeux au point de rendre l'image cartoonèsque ou grotesque (au choix). Néanmoins, et par chance, ça ne coule pas l'intérêt porté au film.
Décors magnifiques, visuels grandioses, scènes d'actions impressionnantes et critique acerbe de la condition humaine, Furiosa est un film Mad Max de la même trempe que Fury Road, Max Rockatansky en moins. Si le choix de laisser un temps le héros principal Mad Max peut surprendre, force est pourtant de constater que l'œuvre de George Miller ne souffre aucunement de son absence. Mieux, elle nous rappelle que Mad Max ne repose pas sur un personnage, aussi charismatique et agréable soit-il ; Mad Max, c'est un tout. Un univers ayant son histoire, ses codes propres, et sa cohérence. A cet égard, Furiosa parvient brillamment à nous plonger dans le monde post-apocalyptique de la saga. A-t-il déjà semblé si vivant et chaotique ? La question peut se poser. Au delà des personnages, tous plus cruels, vils, et charismatiques les uns que les autres (Immortan Joe est tellement marquant !), au delà de l'organisation sociale des êtres humains - fous, miséreux et souvent réduits à leur simple expression de la violence - et des "places fortes" du désert, George Miller nous livre un regard cru sur l'humanité désœuvrée, luttant encore de toutes ses forces contre elle même pour une chose aussi vaine et absurde que le "pouvoir". Dans ce monde de demain ou la civilisation a disparue et ou la "survie" est redevenue une préoccupation primaire, demeurent les privilèges du petit nombre, car qui contrôle les ressources indispensables à la survie de chacun contrôle la masse. Animée par une soif de vengeance n'ayant d'égal que sa répugnance pour l' "ordre" ou le "désordre" établi, c'est selon, Furiosa navigue au milieu de ce foutoir pour trouver une voie, une issue porteuse d'espoir. La scène post-générique fait en cela le lien avec Fury Road ; la boucle est alors bouclée. Grand spectacle, éminemment critique de l'Être Humain, Mad Max conjugue à merveille les exigences du blockbuster contemporain avec une vision singulière de l'Humanité. Avec Furiosa, George Miller érige définitivement sa saga au rang d'œuvre majeure du cinéma, et de la science-fiction.
franchement un bon moment de cinéma action a aucun moment on s'ennuie c'est plutôt bien filmé le scénario rien de transcendant mais on suit l histoire et on est transporter ds le monde de George Miller tout comme le 2eme Mad max... vivement la suite
Prologue de Mad Max Fury Road, cet opus nous plonge aux origines de Furiosa, à travers sa jeunesse sacrifiée et son combat pour une forme de justice. L'univers de Miller est retranscrit à nouveau à merveille, dans un monde post-apocalyptique crasseux, sec et poussiéreux, quoiqu'un peu plus gore que le précédent épisode. Chris Hewsworth tire clairement le film vers le haut, dans un registre psychopathe narcissique. Seul (gros) bémol par rapport à Fury Road, la partition musicale de Junkie XL est très (trop ?) discrète, ne soulignant pas les moments clés du film (Brother In Arms de Fury Road reste quand même le summum en terme d'action subliméee par la bande originale).
Très bien
Dommage la surdose de cgi alors que fury road avait beaucoup d'effets pratiques qui le rendait bien plus realiste.
Sinon on s'ennuie pas que de l'action pendant 2h18
Dommage la surdose de cgi alors que fury road avait beaucoup d'effets pratiques qui le rendait bien plus realiste.
Sinon on s'ennuie pas que de l'action pendant 2h18
Très pauvre en histoire les effets spéciaux ne font pas tout... Je suis sortie avant la fin merci de prendre compte pour la prochaine fois
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