Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il y a dans Extérieur, nuit le meilleur du cinéma des années à venir, Kaurismaki en petit frère surdoué (...) Il y a aussi, mais on n'en finirait pas, ce plaisir de raconter, ce bonheur de partager, qui le talent aidant font naître une suite ininterrompue de moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Brazil
par Franck Unimon
Extérieur, nuit nous touche parce que même si on était indisponible pour " faire " Mai 1968, on a pu ressentir ce désenchantement que les acteurs de ce film interprètent .
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Extérieur, nuit trente ans continue de nous envoûter parce que la mélancolie est intempestive.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Pas d'histoire donc, mais des personnages livrés "sans mode d'emploi", des errances, des rencontres, un dialogue digne d'une partie de poker, du noir dehors et dans la tête, pas d'horizons.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film ne raconte rien de bien intéressant sur le papier, mais son ton, entre douceur et violence, sa sensualité, son impressionisme qui en imposent. Et puis il y a trois jeunes acteurs formidables et une musique assez sublime...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Un ton libre, une musique bluesy-jazzy mâtinée de tango, une atmosphère nébuleuse : voilà ce qui fit le prix d'...
L'Obs
Il y a dans Extérieur, nuit le meilleur du cinéma des années à venir, Kaurismaki en petit frère surdoué (...) Il y a aussi, mais on n'en finirait pas, ce plaisir de raconter, ce bonheur de partager, qui le talent aidant font naître une suite ininterrompue de moments de grâce.
Brazil
Extérieur, nuit nous touche parce que même si on était indisponible pour " faire " Mai 1968, on a pu ressentir ce désenchantement que les acteurs de ce film interprètent .
Cahiers du Cinéma
Extérieur, nuit trente ans continue de nous envoûter parce que la mélancolie est intempestive.
Le Monde
Pas d'histoire donc, mais des personnages livrés "sans mode d'emploi", des errances, des rencontres, un dialogue digne d'une partie de poker, du noir dehors et dans la tête, pas d'horizons.
Les Inrockuptibles
Le film ne raconte rien de bien intéressant sur le papier, mais son ton, entre douceur et violence, sa sensualité, son impressionisme qui en imposent. Et puis il y a trois jeunes acteurs formidables et une musique assez sublime...
Télérama
Un ton libre, une musique bluesy-jazzy mâtinée de tango, une atmosphère nébuleuse : voilà ce qui fit le prix d'...