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Votre avis sur The Gray Man ?
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Une série d'action certe spectaculaire mais vide. Pif Paf Pouf pendant tout le film sans interruption.
Je l'ai vu hier et j'ai du mal à me souvenir de l'intrigue. J'ai juste quelque flash d'explosion. Dire comme ce film n'est pas passionnant. Je ne suis pas ennuyé mais d'autre film d'espionnage son certainement plus intéressant
Je l'ai vu hier et j'ai du mal à me souvenir de l'intrigue. J'ai juste quelque flash d'explosion. Dire comme ce film n'est pas passionnant. Je ne suis pas ennuyé mais d'autre film d'espionnage son certainement plus intéressant
Voilà enfin un film d'action palpitant. Il y a du scénario et surtout du script. Pas d'humour de bac à sable, non, de l'humour qui fait rire. Et qui se compose très bien avec les acteurs. Un plaisir de voir un casting pareil. J'espère revoir six dans une suite.
Cinéphiles 44
Diffusé sur Netflix, “The Gray Man” est le nouveau long-métrage des frères Russo, connus pour avoir réalisé les épisodes de la série “Community” mais également des Marvel, les Captain America “Le soldat de l’hiver” et “Civil War” et les Avengers “Infinity War” et “Endgame”. “The Gray Man” est le nom de code de l’agent de la CIA Court Gentry interprété par Ryan Gosling. Autrefois tueur à gages, il est désormais la cible du personnage de Chris Evans. S’en suivent alors des scènes d’action et courses poursuites visant à assouvir le besoin d’adrénaline des spectateurs. Malheureusement, “The Gray Man” n’arrive jamais à la hauteur d’un “Mission : Impossible”. Le scénario est trop prévisible pour retenir l’attention et nos charmants comédiens sont plus dans la surenchère que dans l’authenticité.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Je m'attendais à du mission impossible voire mieux, j'ai eu droit à du fast & furious. Il n'y a aucun réalisme ni cohérence dans les cascades, on connaît la fin de l'histoire dès les premières minutes de film et les choix des cadres images sont nuls. Si vous cherchez un film facile à regarder, ça sera suffisant mais si vous chercher une meilleure intrigue ne lancez pas le film.
Ok, pas le film du siècle mais c'est un actionner ultra-efficace, dans la veine des John Wick, avec une bonne réal, et contrairement à John Wick, un vrai scénario. Ryan Gosling toujours aussi classe également. Bref, sans être incroyable, ni révolutionnaire, c'était très sympa.
Un excellent divertissement, ou Ryan fait du Gosling en restant le plus flegmatique possible (à la Drive). Le film n'est pas très le scénario du siècle mais il est un petit bijou d'action. Il y a un 90s style. Faut débrancher le cerveau et matter le film pour ce qu'il est. Petit tips pour les haters qui ne savent pas apprécier un bon film d'action sans prise de tête : Si on veut du Cocteau autant ne pas regarder le film ;-)
Film ayant de bonnes idées avec un bon Ryan Gosling mais réalisé par deux réalisateurs incompétents,des fonds verts très visible et avec un Chris Evans ridicule et une Ana De Ermas invisible.Très moyen !
J'ai quand même tenu 1h30. 1h30 de camera qui tremble, de plan semence qui dure pas plus de 5 secondes, que panpan, de c'est toi le marchant, non c'est toi. Au bon d'un moment ma tête a dit STOP.
Pour l'histoire du cinéma ce film ne vaut pas grand chose mais pour le genre ça passe. A propos de genre il y a des nouveautés : le héros sympa est certes increvable mais il peut être blessé et pisser le sang. Idem pour le méchant : d'habitude les interprètes des basses œuvres sont exotiques, là ils ont choisi le type du franchouillard avec moustache et marcel. On lui donnerait presque le béret et la baguette de pain sans confession. Film oubliable
Henrico
Après nous avoir asséné un "Captain America", et deux "Avengers" extrêmement poussifs, les frères Russo choisissent de toujours rester éloignés de l'excellence. Dans ce "Gray Man", ils ne font preuve d'aucune originalité dans leur scénario. Leur intrigue est un mix éculé de Nikita et de Jason Bourne. Leurs dialogues sont creux et dépourvus de la moindre finesse. Pour ce qui est du traitement du suspense, il est ostentatoire, tant sur le plan des effets visuels, que de la bande-son. Il est en outre
totalement exsangue, tellement les rebondissements, et les scènes d'action sont, à la fois, prévisibles et peu vraisemblables. Reste cette distribution d'acteurs de renom (Gosling, Evans, Thornton, et Woodard), que l'on s'étonne de voir impliqués dans une entreprise aussi médiocre. Et les deux frangins remettent le couvert avec un 2ème opus. Tous aux abris !
totalement exsangue, tellement les rebondissements, et les scènes d'action sont, à la fois, prévisibles et peu vraisemblables. Reste cette distribution d'acteurs de renom (Gosling, Evans, Thornton, et Woodard), que l'on s'étonne de voir impliqués dans une entreprise aussi médiocre. Et les deux frangins remettent le couvert avec un 2ème opus. Tous aux abris !
Nous recherchons la démarche artistique, au-delà du produit de consommation globalisée (distribution pensée pour plaire aux spectateurs de tous les continents de la planète Terre). Mais nous ne la trouvons pas. Quelles ont été la vision et la valeur ajoutée recherchée? Voire l'innovation? Voire la disruption? Car ce succès-damné de John Wick, patiné par la franchise James Bond, est d'un ennui colossal. Les éléments techniques sont parfaits, mais nous nous en moquons. Le seul intérêt est le méchant, qui est rigolo, souriant, content et satisfait d'être méchant. Mais cela ne suffit pas à maintenir l’intérêt, pour un film qui parait très long. Ryan Gosling est très fort dans la mâchoire serrée et le "je ne ressens rien", et nous nous en moquons aussi, même s'il nous est expliqué pourquoi il est devenu un tueur en série et à gage (son papa était très violent). Ana des Armas est inutile. Est-ce le scénario? Trois scénaristes sont quand même crédités au générique...
Peut-être que le défaut de ce genre de produit est de ne pas accepter son propre concept, sa propre violence, c'est-à-dire de ne pas la montrer alors qu'elle est permanente. Une version gore serait peut-être intéressante. Mais étant donné qu'il faut tenir une cible globale pour ses publics intercontinentaux, ce n'est pas possible, à moins de filmer des inserts spécifiques en fonction des censures.
Le film ne possède aucun brio de film de genre auquel il candidate. Il n'a aucune hystérésis. Si ce n'est Chris Evans qui est sympathique dans son personnage de vilain. Nous aimerions que ce genre de film mette toute son énergie et son habileté technique, non pas sur des sujets débiles, mais par exemple sur le réchauffement climatique ou des enjeux sociétaux. Pour au moins y percevoir une parcelle d'intérêt.
Peut-être que le défaut de ce genre de produit est de ne pas accepter son propre concept, sa propre violence, c'est-à-dire de ne pas la montrer alors qu'elle est permanente. Une version gore serait peut-être intéressante. Mais étant donné qu'il faut tenir une cible globale pour ses publics intercontinentaux, ce n'est pas possible, à moins de filmer des inserts spécifiques en fonction des censures.
Le film ne possède aucun brio de film de genre auquel il candidate. Il n'a aucune hystérésis. Si ce n'est Chris Evans qui est sympathique dans son personnage de vilain. Nous aimerions que ce genre de film mette toute son énergie et son habileté technique, non pas sur des sujets débiles, mais par exemple sur le réchauffement climatique ou des enjeux sociétaux. Pour au moins y percevoir une parcelle d'intérêt.
Jorik V
Netflix continue de mettre la main au portefeuille pour produire des films dignes (enfin niveau budget) des plus grosses productions d’Hollywood. Après, entre autres, le très nul « 6 Underground » ou le tout juste sympathique « Red Notice », voici donc leur production estivale estampillée « film de l’été » et nantie de 200 M$ de budget : « The gray man ». Vendu comme un gros film d’action au casting de stars et avec des séquences à couper le souffle, il donne effectivement envie d’y jeter un œil. D’abord les frères Russo sont à la barre, ceux qui ont mis en scène l’un des plus gros succès de tous les temps (le diptyque « Avengers, Infinity War » / « Avengers, Endgame ») mais qui nous ont également surpris avec le magnifique « Cherry ». Et, en tête d’affiche, deux gros acteurs hollywoodiens à contre-emploi : Ryan Gosling en héros meurtri qui fait son retour après quatre ans d’absence sur les écrans et Chris Evans en méchant sociopathe auxquels on ajoute la très à la mode Ana de Arnas (valeur ajoutée du dernier James Bond, tiens) ainsi que pas mal de seconds rôles de luxe. Pour quel résultat ?
Et bien un film d’action banal au possible où tout semble déjà avoir été vu mille fois et souvent en mieux. Comment en 2022 peut-on encore donner son accord pour produire un film si cher avec une histoire pareille qui n’aurait même plus sa place dans un direct to video de série B bas de gamme? Jugez plutôt : un tueur de la CIA, des vilains pontes de la même agence qui veulent le faire disparaître, des secrets qui les compromettent, un tueur indépendant sommé d’éliminer le premier, une demoiselle en détresse et l’action girl de service (obligatoire en ces temps de féminisme exacerbé) qui vient donner un coup de main, ... Oui on a bien droit à un scénario qui aligne les clichés, les caricatures et les séquences vues et revues comme on enfile des perles. On sait comment cela va finir et les personnages ne sont que des rouages mécaniques pour faire avancer ce semblant d’intrigue et permettre le plus de scènes d’action possibles qui ententent d’en mettre plein la vue.
Justement, celles-ci, vendues comme inédites et totalement ébouriffantes, sont bien décevantes. Entre celle d’ouverture, drôlement filmée et au tempo étrangement ralenti, celle du tramway bien trop surcotée ou celle de l’hôpital clairement illisible, il n’y a strictement rien de transcendant à ce niveau dans « The Gray man ». On retiendra tout de même le relatif savoir-faire filmique des frères Russo et l’assaut final, carré et plus abouti et même s’il fait penser à tout un pan du cinéma d’action disparu des années 90. Il n’en demeure pas moins le meilleur moment du film et le décor de ce château renaissance est de toute beauté. La nouveauté tendance, comme l’a utilisée Michael Bay dans « Ambulance », c’est l’utilisation de drones pour filmer de haut et slalomer dans l’action de manière fluide et immersive. Cependant, ici, c’est parfois trop récurrent et agaçant. Le duo principal est crédible dans des rôles peu communs pour eux. Gosling tient la route en tueur au grand cœur et plein de valeurs un brin taciturne tandis que Chris Evans n’en fait pas trop dans un rôle de missionnaire cinglé. Entre les deux, Ana de Arnas a peu de matière pour exister. Bref, vraiment pas terrible pour un film doté d’un tel budget, c’est tellement paresseux au niveau de l’intrigue que cela sera aussi vite vu qu’oublié.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Et bien un film d’action banal au possible où tout semble déjà avoir été vu mille fois et souvent en mieux. Comment en 2022 peut-on encore donner son accord pour produire un film si cher avec une histoire pareille qui n’aurait même plus sa place dans un direct to video de série B bas de gamme? Jugez plutôt : un tueur de la CIA, des vilains pontes de la même agence qui veulent le faire disparaître, des secrets qui les compromettent, un tueur indépendant sommé d’éliminer le premier, une demoiselle en détresse et l’action girl de service (obligatoire en ces temps de féminisme exacerbé) qui vient donner un coup de main, ... Oui on a bien droit à un scénario qui aligne les clichés, les caricatures et les séquences vues et revues comme on enfile des perles. On sait comment cela va finir et les personnages ne sont que des rouages mécaniques pour faire avancer ce semblant d’intrigue et permettre le plus de scènes d’action possibles qui ententent d’en mettre plein la vue.
Justement, celles-ci, vendues comme inédites et totalement ébouriffantes, sont bien décevantes. Entre celle d’ouverture, drôlement filmée et au tempo étrangement ralenti, celle du tramway bien trop surcotée ou celle de l’hôpital clairement illisible, il n’y a strictement rien de transcendant à ce niveau dans « The Gray man ». On retiendra tout de même le relatif savoir-faire filmique des frères Russo et l’assaut final, carré et plus abouti et même s’il fait penser à tout un pan du cinéma d’action disparu des années 90. Il n’en demeure pas moins le meilleur moment du film et le décor de ce château renaissance est de toute beauté. La nouveauté tendance, comme l’a utilisée Michael Bay dans « Ambulance », c’est l’utilisation de drones pour filmer de haut et slalomer dans l’action de manière fluide et immersive. Cependant, ici, c’est parfois trop récurrent et agaçant. Le duo principal est crédible dans des rôles peu communs pour eux. Gosling tient la route en tueur au grand cœur et plein de valeurs un brin taciturne tandis que Chris Evans n’en fait pas trop dans un rôle de missionnaire cinglé. Entre les deux, Ana de Arnas a peu de matière pour exister. Bref, vraiment pas terrible pour un film doté d’un tel budget, c’est tellement paresseux au niveau de l’intrigue que cela sera aussi vite vu qu’oublié.
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Film à voir quand on a rien à faire et qu'on débranche le cerveau. Dans l'ensemble c'est pas nul mais c'est pas bon non plus.
Réalisation: 2
Scénario: 1 (ça tiens sur une demi page A4)
Acting: 2,5
Rythme: 4
Chris Evans n'est pas super crédible en rôle de méchant (on sens qu'il veut aller à contre courant de captain America) . Il sur joue vraiment son personnage. Je l'ai préféré dans Snowpiercer à titre d'exemple.
Ryan Gosling par contre sous joue et n'a aucune expression. Il fait le minimum du minimum et ce type de rôle ne lui va pas. En scène de combat je le trouve un peu raide et pas super impactant.
Film a voir une fois qui se rapproche plus du fast food que d'un plat gastronomique.
Réalisation: 2
Scénario: 1 (ça tiens sur une demi page A4)
Acting: 2,5
Rythme: 4
Chris Evans n'est pas super crédible en rôle de méchant (on sens qu'il veut aller à contre courant de captain America) . Il sur joue vraiment son personnage. Je l'ai préféré dans Snowpiercer à titre d'exemple.
Ryan Gosling par contre sous joue et n'a aucune expression. Il fait le minimum du minimum et ce type de rôle ne lui va pas. En scène de combat je le trouve un peu raide et pas super impactant.
Film a voir une fois qui se rapproche plus du fast food que d'un plat gastronomique.
Tres bon les acteurs et le casting en général est bien.
C'est reparti. Très succinctement, on suit l'histoire d'un tueur à gages, Six, la cible d'un ancien comparse de la CIA. C'est alors que ce dernier fera tout le nécessaire possible pour avoir la peau de l'agent Sierra Six.
J'en ai clairement marre de suivre toujours les mêmes histoires dans ce genre de catégorie, avec les mêmes objectifs et les mêmes fins... Malgré ce gros inconvénient qui fait perdre beaucoup de points à ma note, le duo Ryan Gosling et Chris Evans fonctionne bien. Les décors sont vraiment bons, avec une façon de filmer assez différente de ce que nous avons l'habitude de voir, donc la nouveauté même si elle est légère elle plaît. Bonne bande son également, mais déçu par le scénario.
J'en ai clairement marre de suivre toujours les mêmes histoires dans ce genre de catégorie, avec les mêmes objectifs et les mêmes fins... Malgré ce gros inconvénient qui fait perdre beaucoup de points à ma note, le duo Ryan Gosling et Chris Evans fonctionne bien. Les décors sont vraiment bons, avec une façon de filmer assez différente de ce que nous avons l'habitude de voir, donc la nouveauté même si elle est légère elle plaît. Bonne bande son également, mais déçu par le scénario.
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