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Yannickcinéphile
The King of Fighters est sur le papier un simple film de de baston. A l’écran, c’est une adaptation totalement kitsch d’un jeu vidéo.
Bien sûr on rigole beaucoup de Mortal Kombat sur grand écran, ou encore de Street Fighters, mais ce sont des films qui sont bien plus âgés que ce métrage, qui en 2010 ressemble au pire des séries b ringardes qu’on voyait dans le début des années 90.
Visuellement c’est catastrophique. La caméra continuellement penchée offre des plans horribles, il faut se désarticuler pour arriver à suivre ce qui se passe. Les scènes d’action sont illisibles la plupart du temps, Chan choisissant des angles alambiqués qui rendent l’action brouillonne. Une action qui d’ailleurs retient l’attention par sa faiblesse. Si ce n’est quelques renforts de fx qui parviennent parfois à donner un peu d’intensité à certains affrontements, les combats sont d’une lenteur impressionnante, et confine au n’importe quoi avec des chorégraphies médiocres. La séquence d’ouverture est par exemple un ratage total, j’ai honte pour les acteurs. Tout cela est tartiné d’éclairages bien ringards (si si, vous savez, les spots violets, jaune fluo, bleu turquoise), et les effets spéciaux ne sont franchement pas mémorables du tout. Ca reste peut-être le moins pire. Tout comme pour Mortal Kombat il faut s’attendre à une pseudo-musique rock et « djeuns », mais surtout ringarde.
Le casting est absolument anti-charismatique. Il n’y a bien que Maggie Q qui tire son épingle du jeu, avant tout grâce à son physique avantageux, et aussi car c’est à peu près celle qui y croit le plus en surjouant le moins. Je ne connais pas le jeu, je ne parlerai donc pas de la transcription qui en fait ici, mais les acteurs sont franchement peu mémorables, et les personnages d’une fadeur rare. Ray Park, le grand méchant, ressemble vaguement à une sorte de hooligan, Sean Faris semble sorti d’une comédie romantique, pour tout dire je peux résumer le casting à une chose : des jeunes plutôt sexy pour ancrer le film auprès des ados, rien de plus. Le charisme et la qualité du jeu ont été oublié en route, mais faut être franc, je ne vois pas ce qu’engagé de meilleurs acteurs aurait changé, vu que les personnages sont encore plus en carton que dans Mortal Kombat.
Quant à l’histoire c’est sans intérêt. Un méchant mégalomane, un groupe de jeunes héros, et plein de bagarres au milieu. Voilà le résumé le plus intéressant que l’on peut faire de ce film tout à fait vide. Le pire c’est qu’en plus il n’y a franchement pas beaucoup de rythme. Les combats sont au début, à la fin, et au milieu il n’y a vraiment pas grand-chose de mémorable. Beaucoup de dialogues futiles, de rencontres. On s’embête pour le coup bien plus que dans Street Fighter, Mortal Kombat, ou même, dans une moindre mesure, Tekken.
Je conclurai vite en disant que The King of Fighters est typiquement le métrage d’action inutile. Déjà ringard à sa sortie, vieillissant aussi mal qu’un Dragon Ball Evolution, on est dans un film uniquement destiné aux ados boutonneux qui ne font pas la différence entre un film et une pub pour un diurétique. 0.5
Bien sûr on rigole beaucoup de Mortal Kombat sur grand écran, ou encore de Street Fighters, mais ce sont des films qui sont bien plus âgés que ce métrage, qui en 2010 ressemble au pire des séries b ringardes qu’on voyait dans le début des années 90.
Visuellement c’est catastrophique. La caméra continuellement penchée offre des plans horribles, il faut se désarticuler pour arriver à suivre ce qui se passe. Les scènes d’action sont illisibles la plupart du temps, Chan choisissant des angles alambiqués qui rendent l’action brouillonne. Une action qui d’ailleurs retient l’attention par sa faiblesse. Si ce n’est quelques renforts de fx qui parviennent parfois à donner un peu d’intensité à certains affrontements, les combats sont d’une lenteur impressionnante, et confine au n’importe quoi avec des chorégraphies médiocres. La séquence d’ouverture est par exemple un ratage total, j’ai honte pour les acteurs. Tout cela est tartiné d’éclairages bien ringards (si si, vous savez, les spots violets, jaune fluo, bleu turquoise), et les effets spéciaux ne sont franchement pas mémorables du tout. Ca reste peut-être le moins pire. Tout comme pour Mortal Kombat il faut s’attendre à une pseudo-musique rock et « djeuns », mais surtout ringarde.
Le casting est absolument anti-charismatique. Il n’y a bien que Maggie Q qui tire son épingle du jeu, avant tout grâce à son physique avantageux, et aussi car c’est à peu près celle qui y croit le plus en surjouant le moins. Je ne connais pas le jeu, je ne parlerai donc pas de la transcription qui en fait ici, mais les acteurs sont franchement peu mémorables, et les personnages d’une fadeur rare. Ray Park, le grand méchant, ressemble vaguement à une sorte de hooligan, Sean Faris semble sorti d’une comédie romantique, pour tout dire je peux résumer le casting à une chose : des jeunes plutôt sexy pour ancrer le film auprès des ados, rien de plus. Le charisme et la qualité du jeu ont été oublié en route, mais faut être franc, je ne vois pas ce qu’engagé de meilleurs acteurs aurait changé, vu que les personnages sont encore plus en carton que dans Mortal Kombat.
Quant à l’histoire c’est sans intérêt. Un méchant mégalomane, un groupe de jeunes héros, et plein de bagarres au milieu. Voilà le résumé le plus intéressant que l’on peut faire de ce film tout à fait vide. Le pire c’est qu’en plus il n’y a franchement pas beaucoup de rythme. Les combats sont au début, à la fin, et au milieu il n’y a vraiment pas grand-chose de mémorable. Beaucoup de dialogues futiles, de rencontres. On s’embête pour le coup bien plus que dans Street Fighter, Mortal Kombat, ou même, dans une moindre mesure, Tekken.
Je conclurai vite en disant que The King of Fighters est typiquement le métrage d’action inutile. Déjà ringard à sa sortie, vieillissant aussi mal qu’un Dragon Ball Evolution, on est dans un film uniquement destiné aux ados boutonneux qui ne font pas la différence entre un film et une pub pour un diurétique. 0.5
Raté à tous les niveaux, "The King of Fighters" est un gâchis d’argent et une perte de temps. Gordon Chan est tombé bien bas depuis son magnifique "Fist of Legend".
Le portage à l'écran du célèbre jeu vidéo est un massacre, il fallait s'y attendre c'est tout simplement nul.
Dik ap Prale
Mortal Kombat (1995) n'a pas à s'en faire. Tekken (2010) n'a pas à rougir et Street Fighter (1994) est finalement déjà culte. Tout comme Dead or Alive (2005) qui aurait dû ne pas à se faire, à The King of Fighters... On lui préfère les vestiaires. C'est filmé de travers pour se donner l'air cool, mais c'est sans aucun doute le moins réussi de tous les nanards précédemment cités.
Critique de "King of fighters" : Super film sur les combats clandestins, la culture japonaise en général. De loin la meilleure adaptation de jeu vidéo. Aussi émouvant que Titanic, aussi intriguant que Oldboy, aussi divertissant que Die Hard 1, des combats brillamment chorégraphiés à en faire rougir Ip Man. Je plaisante évidemment, ce film est raté dans le fond comme dans la forme. La première partie du film est ennuyeuse, la deuxième partie est meilleure mais ne change pas grand-chose à l'ensemble foireux. Bonjour les incohérences, les mecs se battent pendant une dizaine de minutes s'échangeant de nombreux coups sans......saigner. Oui même pas un bleu. Mais comme pas hasard, subitement ils commencent à saigner avant le dénouement pour faire cool. Bien tenté. 1/5
Encore une adaptation qui vire au nanar, sa va chercher dans le fans service sans savoir le faire...Les combat son moche, les persos non aucune classe...
NeoLain
Gordon Chan réalisateur du piètre Médaillon et qui ne possède pas une filmo des plus élogieuses, il y à de l'excellent quand même comme Fist of Legend ( Jet Li ). Voilà qu'il se charge d'adapter le long métrage du cultissime vidéo game King of Fighters. Le pire est déjà fait rien que de par cette annonce, les combattants sont absolument pas mise en valeur, tout comme les bastons d'une faiblesse exemplaire, un petit effort tout de même au niveau du casting ou est présent le charismatique acteur Will Yun Lee. A vrai dire le seul plaisir dans tout ça c'est l'actrice Maggie Q qui joue le personnage de Mai, so sexy tout simplement, et le perdant est Ray Park qui joue comme une jambe cassée, pitoyable. Donc on est pas loin du navet, mais bon rien que pour Maggie je reste à demi-clément envers cette version.
defleppard
Une série Z........................................................................
un film d'action qui rappelle fortement le jeu vidéo taken car il y a de nombreuses similitudes comme les combats dans un tournoi certains qui ont des pouvoirs d'autres qui se battent pour le titre the king des filles qui se battent en tenue sexy voir même trop sexy, un peux de histoire asiatique médiéval comme dans le jeux vidéo, même si les personnage non pas le même nom ce sont de nombreuse similitudes. le film parle de combat mais aussi de dimension parallèle de récupérer des objets magique, des combat qui sont plutôt moyens certes spectaculaire mais moyen , ce film met en vedette de nombreux acteurs asiatiques ce qui est une excellente chose mais les acteurs blanc du film sont plutôt très moyen voire mauvais dans leur façon de jouer . un beau casting asiatique avec des tenues plutôt sexy pour les fille mais sans tomber dans la vulgarité.
Oulaaaa ! Ce film se faisait tellement défoncer que je me suis dis : Michel, il ne peut pas être si mauvais ! À la rigueur il va être pas mal ! Non, non, non, y a rien à sauver là ! On tient un pur chef-d'oeuvre de nullité absolue, remarque il est intéressant à regarder pour ça. Comment toucher le fond du fond des abimes du centre de la terre ! Bon sang, y a dû avoir des suicides pendant le tournage tellement ça devait être chiant à réaliser comme film ! Même le premier Mortal Kombat passe pour Citizen Kane à côté de ça !
Encore un film basé sur un jeu vidéo de bastons, ici le (peu) fameux "The King of Fighters". L'adaptation est manquée (disons-le d'emblée) avec en premier lieu un scénario d'une bêtise consternante ; aussi nous poserons-nous la question : pourquoi avoir adapté ce jeu vidéo plutôt qu'un des deux jeux lui précédant ? Car il faut savoir que "The King of Fighters" est un crossover des excellents "Fatal Fury" et "Art of Fighting", beaucoup moins science-fictionnels et plus bourrins. Leur adaptation aurait donc été nettement plus sobre et par conséquent moins ringarde, cette histoire de voyages dans d'autres dimensions étant tout simplement ridicule. Nous avons donc droit à des personnages accoutrés comme dans un mauvais cosplay, certains ayant des pouvoirs magiques, d'autres n'étant là que pour faire du remplissage en bonne et due forme. Leurs interprètes étant la crème des acteurs déjà has-been (Will Yun Lee, Sean Faris et l'inimitable Ray Park), on se retrouve devant un spectacle plus ou moins cheap, rejoignant la nanardise du déjà célèbre Tekken. Constamment mal cadré, faisant fi d'une quelconque esthétique et filmant sans rythme des scènes de combats molles du genou, le réalisateur du Médaillon tente tant bien que mal de s'imposer avec des effets de style pseudo-modernes mais tombe dans la médiocrité, sa mise en scène étant tout simplement anecdotique. Restent donc de cette adaptation un combat ou deux bien torchés et la présence de la terriblement sexy Maggie Q dans le rôle principal, essayant par tous les moyens de captiver le spectateur. C'est à moitié-raté. Le long-métrage rejoint donc hélas les récents Street Fighter : La légende de Chun-Li et Tekken au rang des nanars nouvelle génération.
Une adaptation de jeu vidéo dont même les amateurs d'arts martiaux ne devraient pas trouver leur compte...
Rien à sauver de ce navet prévisible. L'histoire est nulle, les personnages sont mal joués et on s'ennuie ferme. En plus même pas de bonasse
Gordon Chan, un habitué des films de Kung Fu, n'en est pas à son premier essai; c'est probablement pour cela qu'il s'est rapidement fait vivement critiquer lors de la sortie direct to DVD de The King Of Fighters, un film relativement surprenant. Sans parler de navet, ce dernier n'est pas glorieux et s'appuie sur un jeu d'acteur qui laisse à désirer; là est son problème. Si les scènes d'actions ne s'avèrent pas être spécialement ridicule, elles ne suffisent pas à rattraper la donne.
Pitoyable est le premier qui nous viendra en tête à la fin de la projection et désolant est probablement le second à un millième de seconde près. Acteurs et chorégraphies minables, décors en papier mâché hideux, dialogues dignes d'une diarrhée verbale infatigable, The King Of Fighters nous prouve une nouvelle fois, hélas, qu'en terme d'adaptation de jeux vidéo la route est encore très longue pour servir aux spectateurs quelque chose de correct.
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