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    La Cage aux folles II
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    38 critiques spectateurs

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    White Fingers
    White Fingers

    17 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2024
    « La Cage Aux Folles II » n'est pas à la hauteur du premier film, qui était plutôt réussi dans le genre comédie « outrancière ». Bien que ce soit cent fois mieux que le troisième opus, qui est désastreux, le scénario de ce deuxième film semble ridicule. Toutefois, dès qu'Albin et Renato apparaissent à l'écran, on peut presque ignorer les défauts du film grâce à leur performance remarquable. Il y a certes des séquences amusantes, notamment celle où tous les policiers se déguisent en drag queens, mais globalement, on est loin de la qualité du premier film. C'est un film que l'on peut regarder pour se divertir, mais sans s'attendre à quelque chose d'aussi bon que l'original. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2021
    La Cage aux folles ayant été un succès, il n’est pas surprenant qu’il ait été décidé de produire une suite. Cependant, on peut penser que Jean Poiret, Francis Veber (aux scénario et dialogues) et Édouard Molinaro (à la réalisation) se sont peut-être un peu précipiter en signant la suite deux ans plus tard. En effet, en insérant une intrigue d’espionnage, la comédie est un peu laissée de côté et le tout est nettement moins drôle que le premier volet. Même si l’ensemble reste plaisant à suivre et si le doublage d’Ugo Tognazzi (cette fois par Michel Beaune et plus Pierre Mondy) est mieux fait que dans le premier volet, La Cage aux folles II est donc une suite assez décevante sans pour autant être mauvaise.
    bug bunny
    bug bunny

    43 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2021
    j'ai passé un bon moment en compagnie de ce couple mémorable et qui peut être toujours d'actualité avec leurs humours décalé et bien sur
    JustinSvn
    JustinSvn

    7 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Que de clichés ! Si le film sortait aujourd'hui, il serait critiqué et banni.
    Cette suite souffre de longueurs et d'une histoire trop stéréotypée. Le tout n'a rien d'exceptionnel.
    Shawn777
    Shawn777

    605 abonnés 3 500 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2019
    Cette suite de "La Cage aux folles" sortie en 1980 et une nouvelle fois réalisée par Édouard Molinaro n'est finalement pas trop mal ! Je l'ai vu il y a pas mal de temps et je ne me souvenais que de la dernière partie du film qui se passe en Italie. D'après les vagues souvenirs que j'en avais et les critiques plutôt mauvaises du film, je m'attendais à bien pire ! Nous retrouvons donc Albin et Renato qui sont prit cette fois dans une histoire d'espionnage. Pour une suite, je trouve le scénario ou en tout cas l'idée générale plutôt originale même si les sujets comiques restent principalement les mêmes. C'est effectivement en premier lieu les personnages qui nous font rire et pour le coup, ils ont mis le paquet avec une Zaza plus déchaînée que jamais ! Si le travestissement était déjà au cœur du premier film, il l'est encore plus ici, ce qui donne lieu à de très bons gags ! Malgré tout, je trouve que le film souffre de longueurs et notamment dans la dernière partie qui se passe donc en Italie. Le film s’essouffle ici beaucoup et les gags deviennent de plus en plus maigres, ce qui provoque beaucoup d’ennuis. Cependant, la première partie reste très bonne et très sympa même si on ne rit pas aux éclats toutes les cinq minutes ! Du côté des acteurs, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir Michel Serrault qui est toujours aussi bon dans son personnage, de même que Ugo Tognazzi ainsi que Michel Galabru. "La Cage aux folles II" n'est donc pas une grande comédie mais il permet malgré tout de passer un bon moment.
    Stephenballade
    Stephenballade

    406 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2019
    A un moment du film, Zaza accuse son Renato de s’inquiéter pour la recette de leur cabaret. En regardant "La cage aux folles II", je me suis dit que c’était une réflexion à laquelle les producteurs auraient dû se soumettre avant de se lancer dans cette suite. Mais le succès commercial de "La cage aux folles" premier du nom avait de quoi donner le tournis et ça n'a pas raté : les tourments ensorcelants de cette réussite les ont aussitôt ensorcelés et leur ont donné envie d'exploiter le filon autant que possible. Pourtant, des fois, il est mieux de laisser un produit tel qu'il est quand il est au sommet de sa gloire. Certains ont su le faire, que ce soit au cinéma, en chanson, ou encore en sport. Et puis après tout, la pièce de théâtre n’avait pas bénéficié d’une suite, que je sache ! Jean Poiret, puisque c’est lui qui avait écrit la pièce d’origine, n’avait pas rempilé alors pourquoi a-t-il consenti à coécrire le scénario ? Bien entendu, vous allez me demander qu’au vu de ma note, contrairement aux premières lignes que je viens de rédiger, je ne trouve pas ce film si mauvais que ça. En effet ! Je ne peux rien vous cacher. Mais admettez tout de même que cette suite est assez en dessous du premier épisode. Il y a quand même un point qui a été amélioré : celui de la mise en scène. Alors qu'à propos de "La cage aux folles" je critiquai un jeu un peu trop théâtral chez les acteurs qui avaient tendance à ménager leurs effets comme il est de coutume à le faire sur les scènes planchéiées, on ne retrouve guère cette façon de faire ici. Tout du moins, ce type de jeu a été fortement minimisé. Ceci offre l’avantage d’apporter un peu plus de spontanéité, pour le coup bienvenue, mais aussi davantage de rythme. Et il en fallait du rythme, surtout pour avaler tant bien que mal le manque de crédibilité du scénario. Car c’est là que le bât blesse : le manque de crédibilité. Et au vu de la tournure des événements, on peut même se poser la question sur l’utilité de cette suite. Pensez donc : voilà que par un sacré concours de circonstances venu conclure les éternels caprices d’une meneuse de revue vieillissante, Renato et Zaza se font embarquer dans une histoire d’espionnage abracadabrantesque. Oui, abracadabrantesque, même si je sais pertinemment qu’une telle mésaventure pouvait arriver à n’importe qui et à n’importe quel moment. Exit donc le fils de Renato (Rémi Laurent), sa fiancée devenue sa femme (Luisa Maneri) et la mère de Laurent (Claire Maurier), tandis que Michel Galabru occupe une place nettement moins importante mais qui réussit tout de même à nous gratifier d’une scène mémorable devant un énorme gâteau d’anniversaire. Pour en revenir à l’aspect abracadabrantesque, franchement, voir des agents du contre-espionnage se laisser travestir de la sorte avant de se laisser aller dans une bagarre rangée dans une mise en scène qui lorgne vers le western par le positionnement des personnages et les regards… Oui, hein ? Vu comme ça, ça frise le ridicule, même si on tient compte du fait que ce film ne se prend pas au sérieux. Outre une intrigue policière qui se déroule sans être vraiment développée spoiler: (comment le réseau d’espions retrouve Albin ???)
    , nous avons tout de même le plaisir de retrouver le tandem formé par Renato et Albin. Bien sûr, comme dans le premier film, Michel Serrault prend beaucoup de place, et ce pour notre plus grand plaisir. Endossant tour à tour plusieurs identités spoiler: (Marlène Dietrich, laveur de carreaux, femme paysanne dans l’Italie profonde et otage
    ), Michel Serrault nous régale spoiler: , en particulier quand il fait tourner en bourrique ses ravisseurs
    . En ce qui me concerne, c’est la scène dont je viens de parler en caché que je préfère, avec la séquence du lavage de carreaux. Alors oui, il y a de bons gags, mais l’intrigue ne fonctionne pas vraiment. La faute, comme je l’ai dit plus haut, à un manque de développement, mais aussi à trop d'incohérences. Alors que le député Charrier habitait à des centaines de kilomètres des propriétaires du cabaret, ils semblent maintenant plus proches géographiquement parlant. Euuuh… ????? Conséquence directe, le chauffeur du député a lui aussi disparu de l’écran, alors que celui-ci avait un rôle de choix, certes discret, dans le déroulé de l’opus précédent. Conclusion : une suite très dispensable.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    711 abonnés 3 096 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 janvier 2019
    Dans la logique « on prend les mêmes et on recommence », La Cage aux folles 2 témoigne d’une rare indigence tant le film s’enlise dans les pires clichés du faux polar burlesque aux répliques incolores – ce qui est plutôt paradoxal – et aux prestations superficielles, exception faite de Michel Serrault qui semble le seul à vraiment s’amuser ici et dont le talent comique resplendit non sans une certaine grâce. Molinaro saute à pieds joints dans la vulgarité et le gag facile. En outre, le jeu entre Français et Italiens donne lieu à d’horribles doublages qui détruisent l’immersion et affectent la complicité des comédiens. Assez consternant.
    Yann Ciné Gay
    Yann Ciné Gay

    7 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    Une suite un petit peu moins bien car il n'y a moins l'effet de surprise de la découverte du 1er opus mais le scénario est posé, les acteurs sont toujours aussi bons... On retrouve même un Marcel Bozzufi à contre emploi... Je ne serais pas honnête en disant que je n'ai pas pris de plaisir face à ce film... (déjà vu au moins 3 fois)
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 470 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    La Cage aux folles II est une suite faible du premier métrage, une comédie sans grand relief, redondante, qui traine sur une intrigue bien trop courte.
    Les acteurs font à peu près bien le boulot, mais sans plus. Michel Serrault nous propose un abattage consistant certes, et il est parfois drôle, après son personnage reste assez quelconque, prit comme il est dans des situations qui se répètent et qui se retrouve à pratiquer de trop le même humour. Tognazzi à ses côtés est bon aussi, mais son approche davantage « sérieuse » peut déconcerter, et il n’amène, pour sa part, pas beaucoup d’esprit comique. Quelques seconds rôles sympathiques, notamment un Michel Galabru qui apparait peu mais qui s’avère bon dans ses apparitions, ou encore Marcel Bozzuffi, mais le film s’appuie très largement sur son duo d’interprètes, et l résultat est mitigé. Pour tout dire j’ai eu le sentiment que Serrault était vraiment trop enfermé dans son personnage, engoncé, et Tognazzi pas assez dans la folie ou la fantaisie, si ce n’est par ses costumes.
    Le scénario est faible. Du rythme, ok, quelques moments amusants quoique peu originaux, mais surtout un propos sans relief, qui peu vite ennuyer. Le meilleur reste le premier quart d’heure, et après, l’espèce de course poursuite est faiblarde, sans volume, pas assez drôle. Ça manque de folie pour le coup, de vigueur, de second degré parodique aussi. Et puis pour ma part l’humour pratiqué ici est trop répétitif. Pour moitié il doit dépendre des changements de tenue de Serrault ! Autant dire que c’est trop court pour amuser sur le long terme, et passé les gags de la première partie justement, ensuite c’est lourd. J’avais hâte par moment que a se termine, et ce n’était pas bon signe.
    Visuellement Molinaro emballe son film avec son caractère habituel. Ce n’est pas mal fichu, mais ça manque parfois de relief aussi. Photographie un peu terne, les décors ne sont pas outre mesure emballant, et la mise en scène quoiqu’assez alerte ne manque pas, notamment dans la première partie, de rappeler que Molinaro a souvent été très théâtral dans ses réalisations cinématographiques. Même musicalement, La Cage aux folles II n’est pas décapant. Assez déçu compte tenu du compositeur qui pouvait laisser espérer mieux.
    Ma conclusion c’est que cette suite rate le coche car pas assez fantaisiste, imaginative et renouvelée. Pas marquante pour un sou, c’est une course poursuite plus que tiédasse, qui à mon sens n’a pas assez d’atout pour susciter un intérêt réel. 1.5
    Chris46
    Chris46

    520 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2014
    2ème volet de la cage aux folles . Albin alias zaza napolli ( michel Serrault ) et son compagnon renato ( ugo tognazzi )'vont être embarquer bien malgré eux dans une histoire d'espionnage lorsqu'un espion va confier un microfilm a Albin juste avant de mourir assasiner . Albin et renato vont alors être poursuivi par des tueurs qui veulent récupérer le microfilm ...
    La cage aux folles 2 une suite très sympathique . On retrouve avec plaisir le duo michel Serrault / ugo tognazzi qui fonctionne toujour a merveille . Michel Serrault est toujour aussi hilarant dans le rôle du travesti zaza napolli qui va être embarquez bien malgré lui avec son compagnon Albin toujour bien interpréter par ugo tognazzi dans une histoire d'espionnage avec des tueurs a leur trousse ou ils va leur arriver des mésaventures hilarantes . Une suite avec toujour son lot de scènes hilarantes . On passe un bon moment .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juin 2014
    Dans ce deuxième opus , quelques longueurs mais Michel Serrault est complètement irrésistible . Efficace , mais il faut que je vois le premier et le troisième opus car je ne l' ai ai pas encore vu !
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 101 abonnés 12 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2013
    Albin / Zaza, Renato, Jacob...on prend les mêmes et on recommence! Et c'est tout de suite moins bon! Face à un scènario qui lorgne vers le policier comique (agents du contre espionnage, espions, protection rapprochèe, cadavres à la pelle, microfilm...), Edouard Molinaro semble avoir perdu ses moyens! Vu la banalitè de l'histoire, le scènariste devait être fatiguè! Le costumier et le maquilleur ont donc pris les choses en main en transformant Zaza Napoli en divine Marlène Dietrich (« Der Blaue Engel »), en laveur de carreaux ou en paysanne campagnarde! L'ensemble n'est pas toujours fin mais les pitreries se Zaza se mangent sans faim avec un Michel Serrault irrèsistible (surtout dans la partie italienne) qui nous fait oublier les longueurs et les lourdeurs! A noter que la musique (comme dans le premier film) est composèe et dirigèe par le grand Ennio Morricone...
    boies
    boies

    11 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2014
    une super suite michel serault joue toujoure bien bref c'est comme le premier un chef d'œuvre.
    CH1218
    CH1218

    211 abonnés 2 915 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 août 2013
    Une suite juste commerciale, pas aussi originale que le premier opus. Quelques moments sympathiques et certaines répliques nous font rire, mais l'histoire n'est pas terrible. "Zaza" est toujours excellemment bien jouée par Michel Serrault. Ugo Tognazzi semble moins concerné cette fois-ci et le rôle de Michel Galabru est insignifiant.
    Louis-Auxile M.
    Louis-Auxile M.

    27 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 janvier 2013
    Tout au long d'un récit qui n'a au fond rien d'extraordinaire, et même avec leurs airs les plus déjantés, les personnages de "La cage aux folles" savent se tenir. C'est un vrai paradoxe du film: les deux héros sont à la fois maniérés et respectables, et leur véritable sensibilité humaine dépasse assez les clichés homosexuels pour que la moquerie du spectateur devienne une compassion bienveillante. De quoi faire réfléchir ceux qui auront le recul nécessaire pour s'en aperçevoir, ou rire grassement les autres. "La cage aux folles" peut donc être pris à différents degrés, selon lesquels il représentera la bonne conscience délurée de toute une époque, ou l'universalité de la dignité humaine. Au gré des affinités et du subconscient de chaque spectateur.
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