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Votre avis sur Blanche Neige ?
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une relecture très libre et farfelue du conte de fée allemand. les liens avec l'original sont loin, avec de nombreuses invraisemblances, il n'y a plus les passages chantés chers à Disney. une version bien pâle, inutile, voire même ratée malgré un casting à priori séduisant, quoique J. Roberts ne semble pas faîte pour ce type de personnage.
Bon. Avant de commencer cette critique, vous devez comprendre que ma référence concernant Blanche-Neige c'est principalement le film d'animation de Walt Disney sorti en 41, qui est l'un de mes films d'animation préférés. Je sais, évidemment, qu'on ne peut pas comparer l'incomparable et que l'histoire racontée par Walt n'est pas universelle et qu'on est pas ici sur une adaptation du film d'animation, mais du conte de tradition populaire.
Cependant, je ne pensais pas que la barre serait placée aussi bas pour ce long-métrage, scénaristiquement parlant.
En un seul mot je définirais ce long-métrage de "nanardesque". En quelques secondes déjà je trouve un premier problème : Pourquoi diable est-ce que le château est d'inspiration arabe ? Complétement incohérent lorsque l'on sait que le conte original se déroule dans les forêts reculées du vieux-continent.
Au-delà de ça, j'ai relevé énormément de points absolument honteux pour une grosse production de ce type. L'aspect "nanardesque" commence dès les premières minutes. La scène avec les nains sur des échasses est d'un ridicule consternant. C'est une mise en situation extrêmement classique et peu étonnante, très mal réalisée, frustrante, lente, et qui n'apporte rien. En fait, j'ai surtout l'impression que ce long-métrage veut remplir l'espace pour rien, et gagner des précieuses minutes. C'est réussi : le résultat est oppressant et désagréable au possible.
S'en suit d'un malheureux discours rempli de clichés et de xénophobie simpliste. Alors, vous me connaissez je ne suis pas contre du bon humour noir, mais là, c'est juste ridicule. Le seul gag c'était le nanisme des personnages et pas autre chose, le moment était gênant et long. J'ai ressenti une douleur physique durant ce passage. Ce film en général répond à trop de clichés. C'est horrible.
Le fond est également oblitéré souvent sur des sous-intrigues sans intérêts, des moments de perte de temps pures, qui ne servent à rien.
En conclusion : On sent une réelle envie de redynamiser et de proposer une histoire plus moderne de Blanche-Neige, mais force est de constater que c'est mal fait. Ici, on se retrouve dans une histoire brouillon, avec des jeux d'acteurs moyens, une intrigue peu prenante, un univers mal agencé et pas respecté, des incohérences qui font sortir du film, des répliques vues et revues. En bref, c'est un film sans grand intérêt, qui se devine trop facilement pour se faire apprécier. Je ne recommande pas de perdre son temps dessus.
Cependant, je ne pensais pas que la barre serait placée aussi bas pour ce long-métrage, scénaristiquement parlant.
En un seul mot je définirais ce long-métrage de "nanardesque". En quelques secondes déjà je trouve un premier problème : Pourquoi diable est-ce que le château est d'inspiration arabe ? Complétement incohérent lorsque l'on sait que le conte original se déroule dans les forêts reculées du vieux-continent.
Au-delà de ça, j'ai relevé énormément de points absolument honteux pour une grosse production de ce type. L'aspect "nanardesque" commence dès les premières minutes. La scène avec les nains sur des échasses est d'un ridicule consternant. C'est une mise en situation extrêmement classique et peu étonnante, très mal réalisée, frustrante, lente, et qui n'apporte rien. En fait, j'ai surtout l'impression que ce long-métrage veut remplir l'espace pour rien, et gagner des précieuses minutes. C'est réussi : le résultat est oppressant et désagréable au possible.
S'en suit d'un malheureux discours rempli de clichés et de xénophobie simpliste. Alors, vous me connaissez je ne suis pas contre du bon humour noir, mais là, c'est juste ridicule. Le seul gag c'était le nanisme des personnages et pas autre chose, le moment était gênant et long. J'ai ressenti une douleur physique durant ce passage. Ce film en général répond à trop de clichés. C'est horrible.
Le fond est également oblitéré souvent sur des sous-intrigues sans intérêts, des moments de perte de temps pures, qui ne servent à rien.
En conclusion : On sent une réelle envie de redynamiser et de proposer une histoire plus moderne de Blanche-Neige, mais force est de constater que c'est mal fait. Ici, on se retrouve dans une histoire brouillon, avec des jeux d'acteurs moyens, une intrigue peu prenante, un univers mal agencé et pas respecté, des incohérences qui font sortir du film, des répliques vues et revues. En bref, c'est un film sans grand intérêt, qui se devine trop facilement pour se faire apprécier. Je ne recommande pas de perdre son temps dessus.
Film que je regardais avec plaisir(et en boucle) quand j 'étais petite §
Super film avec un scénerio plus que super .
Super film avec un scénerio plus que super .
Je mets 2 étoiles par respect pour les personnes qui ont créé les costumes et certains décors. Julia Roberts devait vraiment avoir besoin d'argent pour tourner dans ce film! Les nains qui sont des voleurs sur échasses ça m'a direct donné le ton, un navet ce film.
Les enfants qui connaissent pas l'histoire de Blanche Neige aimerons mais bon franchement débile ce scénario! Dommage.
Les enfants qui connaissent pas l'histoire de Blanche Neige aimerons mais bon franchement débile ce scénario! Dommage.
Revisité et fade ! Les acteurs sont lisses, l'histoire est quelconque, les personnages ennuyeux. C'est loupé car simple conte à l'ancienne. Quand on compare à d'autres Disney qui ont plus de piquant, de musique et modernité....c'est une déception.
Convient pour les enfants
2,3/5
Convient pour les enfants
2,3/5
Plus que décevant, devrait tout avoir pour réussir bons acteurs, mais alors je crois que c'est l'histoire qui pêche grave. A force de vouloir changer l'histoire et bien c'est plus l'histoire, et cela tourne en pathétique et ridicule. Dommage pour les acteurs que pourtant j'adore.
Une adaptation t'as peur, Blanche neige fait grise mine. Les décors extérieurs sont fades voire fantoches. Les libertés prises sont hors sujet, les sept nains d'ali baba dans la forêt de Sherwood.. Bref
J’ai adoré, drôle et super prenant. Je conseille vivement ce film. Tout les personn sont attachants
Ce n'est pas la première fois que nous assistons à une réécriture de l'histoire classique de Blanche-Neige du conte des frères Grimm au film d'animation classique de Disney. Julia Roberts livre l'une des performances les plus faibles de sa carrière alors qu'elle tente d'incarner la Méchante Reine de manière menaçante. Mais nous ne croyons pas que son personnage soit réellement maléfique alors qu'elle est au contraire triste elle est plutôt solitaire et maniaque. La belle Lily Collins semblait adorable dans le rôle de Blanche-Neige et elle est vraiment restée fidèle à son rôle contrairement aux autres personnages du film. Armie Hammer qui était déjà terrible dans The Social Network livre une performance encore pire dans le rôle du Prince non pas en jugeant son jeu d'acteur mais en jugeant ces moments complètement forcés dans lesquels on lui a demandé de jouer. Le réalisateur Tarsem Singh donne à ce conte un traitement maladroit plutôt qu'un traitement familial et amusant. Ce film offre quelques sous-entendus bizarres des moments peu drôles et des moments incroyablement forcés. Et pour moi il ressemble plutôt à un film pour adultes mais déguisé en film pour enfants...
Je ne suis peut être pas objectif mais dans ce film il y a 2 des femmes que je trouve les plus belles au monde surtout Lily Collins dont j'étais amoureux après avoir vu ce film. Hormis cela c'est un très bon film un peu niais mais cela se regarde très facilement.
RealPrime
Toute première note et critique de 2021, c'est après "Promenons-nous dans les bois" que je découvre avec grande joie et grand étonnement la nouvelle version d'un nouveau et mythique conte des frères Grimm. Etonnement puisque pour une production Metropolitan, jamais j'aurais cru voir des décors, costumes, accessoires, maquillages, coiffures et effets aussi dément. Une version aussi moderne que rock et une pointe gothique par instant, avec un casting principal détonnant avec Julia Roberts moderne et dynamique en reine maléfique, moderne sans démolir l'époque du récit et son rôle, puis la jeune et magique Lily Collins en Blanche-Neige regroupant tous les critères : jeune cela vas de soit, sexy par ces tenues finales, rock par moment sans toujours démolir le personnage, poétique et sensible par d'autres... Une jeune actrice magique pour ce rôle, tout comme Anna Kendrick an Cendrillon dans le film de Disney. Un jeune parfait donnant un puissant modernisme à la jeune princesse. Le reste des actrices /acteurs y est aussi épatant avec pour tous, un très bon jeu.
spoiler:
Seul la version du miroir magique m'aura déçu puisqu'au lieu de faire un miroir design simple dans une salle de son château, on nous "offre un passage temporel" dans une demeure immense puis 3 petits miroir "minables", pas compréhensible du tous.
Enfin sur l'histoire, tout est sympas à suivre, une bête féroce aux ordres de la reine terrifiant le peuple, ce dernier dans une détresse sociale pas possible, un prince recherchant l'aventure mais tombant né à né sur Blanche, des nains épatant de modernisme et de dynamisme avec un très bon humour. Plusieurs scènes sont également très bien penser tel le jeu d'échec géant, la gênante transformation animale du prince en chien... Pour conclure, un réelle tremplin pour ces versions modernes et dépoussiérantes de ces contes millénaires, ou plutôt centenaires. Réellement canon et surprenant. Et puis bien sûr, BONNE ANNEE 2021
Enfin sur l'histoire, tout est sympas à suivre, une bête féroce aux ordres de la reine terrifiant le peuple, ce dernier dans une détresse sociale pas possible, un prince recherchant l'aventure mais tombant né à né sur Blanche, des nains épatant de modernisme et de dynamisme avec un très bon humour. Plusieurs scènes sont également très bien penser tel le jeu d'échec géant, la gênante transformation animale du prince en chien... Pour conclure, un réelle tremplin pour ces versions modernes et dépoussiérantes de ces contes millénaires, ou plutôt centenaires. Réellement canon et surprenant. Et puis bien sûr, BONNE ANNEE 2021
Une relecture culoté du célèbre conte des frères Grimm, ou Lily Collins qui fait ses premiers pas et Julia Roberts, superbe en marâtre font des étincelles. C'est aussi drôle qu'un bon Disney, aussi bizzare qu'un Tim Burton, et aussi charmant qu'un bon film de Rob Marshall ! Sans oublier de vous mettre plein les yeux avec de somptueux costumes, des décors magnifique, et une délicieuse bo signé Alan Menken (La Petite Sirène/Aladdin) : de quoi vous en mettre plein les yeux et plein le cœur. Un pure divertissement comme on en avait pas vu des si bon depuis Il était une fois.
Si j'avais su que le vrai titre était "Julia Roberts et Blanche" neige je n'aurais pas regardé.
Par contre c'est vrai que c'est beau, costumes et décors.
Par contre c'est vrai que c'est beau, costumes et décors.
Surprenant en tous points, ce Blanche neige revisité est très sympa.
L'histoire est bien écrite, le visuel très joli, un peu comme du théâtre mélangé à du bollywood.
Les differents acteurs jouent juste, avec des rôles parfois décalés, mais qui donne un humour et une peau neuve à cette histoire.
L'histoire est bien écrite, le visuel très joli, un peu comme du théâtre mélangé à du bollywood.
Les differents acteurs jouent juste, avec des rôles parfois décalés, mais qui donne un humour et une peau neuve à cette histoire.
Sorti la même année que Blanche-Neige et le chasseur, c’est un duel de cinéma qu’a joué Tarsem Singh avec sa création. Si l’autre lançait la carte d’un spin off noir, lui s’est conformé à l’histoire pour sortir un divertissement familial et baroque.
Il ne sait pas tout filmer, en témoignent des scènes de combats restituées par un changement de plan toutes les demi-secondes, tant et si bien qu’on n’y lit plus rien de grisant. C’est d’ailleurs à peine si le film titille la moindre fibre spectatoriale, hésitant gauchement entre l’affectation de dialogues à l’ancienne et les mots plus modernes et plus amusants ; c’est ainsi que se côtoient « wee » et « shut up », « bizarre » et « psycho ».
Si c’est ça, le familial, ça n’agrée guère aux sens ni à la logique. Pas plus, d’ailleurs, que le reste des anachronismes moraux ou culturels conduisant même le régisseur à nous offrir une scène finale dansée comme si l’on venait de regarder Madagascar dans des tons orientaux. Les cordes sont immenses. Et c’est bien dommage car il ne s’en fallait peut-être pas de tant que la cohérence fût à la hauteur modeste mais respectable de la créativité graphique.
Le personnage de Nathan Lane est parfait, malmené, obligé de jouer un double jeu tout en occupant décemment sa place de comique et de gentil, survivant dans l’adversité d’un scénario qui lui tend des ficelles sous les jambes au risque de l’user ; la reine Julia Roberts n’est pas mal non plus, éloignée des clichés parce qu’elle est méchante sans être cruelle, non interventionniste sans être timide.
On reconnaît bien l’histoire, mais elle est refondue : spoiler: pas de frustration, l’épisode de la pomme lui-même est euphémisé dans ce château en forme de poupe de bateau où un tourbillon disneyiforme nous envoie sur les côtes du happy end
. Légère, mais assez ridicule, l’œuvre prend forme sous ses pierres d’achoppement, mais il lui manque encore l’envol d’un casting qui serait totalement libéré de ses allures pâlotes du mannequinat.
septiemeartetdemi.com
Il ne sait pas tout filmer, en témoignent des scènes de combats restituées par un changement de plan toutes les demi-secondes, tant et si bien qu’on n’y lit plus rien de grisant. C’est d’ailleurs à peine si le film titille la moindre fibre spectatoriale, hésitant gauchement entre l’affectation de dialogues à l’ancienne et les mots plus modernes et plus amusants ; c’est ainsi que se côtoient « wee » et « shut up », « bizarre » et « psycho ».
Si c’est ça, le familial, ça n’agrée guère aux sens ni à la logique. Pas plus, d’ailleurs, que le reste des anachronismes moraux ou culturels conduisant même le régisseur à nous offrir une scène finale dansée comme si l’on venait de regarder Madagascar dans des tons orientaux. Les cordes sont immenses. Et c’est bien dommage car il ne s’en fallait peut-être pas de tant que la cohérence fût à la hauteur modeste mais respectable de la créativité graphique.
Le personnage de Nathan Lane est parfait, malmené, obligé de jouer un double jeu tout en occupant décemment sa place de comique et de gentil, survivant dans l’adversité d’un scénario qui lui tend des ficelles sous les jambes au risque de l’user ; la reine Julia Roberts n’est pas mal non plus, éloignée des clichés parce qu’elle est méchante sans être cruelle, non interventionniste sans être timide.
On reconnaît bien l’histoire, mais elle est refondue : spoiler: pas de frustration, l’épisode de la pomme lui-même est euphémisé dans ce château en forme de poupe de bateau où un tourbillon disneyiforme nous envoie sur les côtes du happy end
. Légère, mais assez ridicule, l’œuvre prend forme sous ses pierres d’achoppement, mais il lui manque encore l’envol d’un casting qui serait totalement libéré de ses allures pâlotes du mannequinat.
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