C'est une bouffonnerie italienne, à voir pour le strip tease de De Niro, voir un des seins de Monica Belluci et c'est tout. Ce vaudeville italien et donc avec les mains est une grosse pantalonnade avec des gags qui plairont aux amateurs d'humour lourd et pouet pouet...
Bon bah là je suis très mitigé quant à ce film... bah oui car j'ai détesté la première histoire ! Le ton comique m'a dérangé, le scénario était plat et pas passionnant et franchement j'ai bien failli arrêter... pis la deuxième histoire arrive et c'était déjà pas pire car même si je n'ai pas trop aimé l'acteur (qui n'a pas grand pouvoir comique il faut l'avouer...) j'ai au moins aimé le chantage sexuel que lui impose la schizophrène ! Mais par contre, je bénis le ciel de m'avoir donné la force de rester jusqu'à la troisième histoire car là j'ai adoré ça... Robert De Niro est adorable dans ce rôle, sa romance avec Bellucci m'a beaucoup plus et je me suis régalé pendant 40 minutes tant il Mr De Niro est touchant et talentueux dans ce rôle de professeur à la retraite au cœur magané... Robert je t'aime !
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2,0
Publiée le 23 août 2013
Très inègal comme la plupart des films à sketches avec trois histoires d'amour lègères à diffèrents âges! On commence par le meilleur des sketches, « La jeunesse » , qui dèmarre sur de bonnes bases, avec l'excellent Riccardo Scamarcio en jeune avocat ambitieux qui vient juste de se fiancer avec son amoureuse de longue date! Tout semble aller pour le mieux dans sa vie mais une jolie et provocante jeune femme va changer la donne, avec en point d'orgue une course folle de triporteur « Vespacar Ape 50 » dans les rues d'un petit village toscan. « La maturitè » est le sketch le moins rèussi avec un Carlo Verdone qui en fait trop face à une femme fatale pleins d'imprèvus! Quant à « L'âge de raison, il n'emporte pas non plus l'adhèsion malgrè le duo sensuel et glamour Robert de Niro-Monica Bellucci! Autant dire que les deux stars bancables se mettent les pieds dans les plats même s'il tente au mieux de combler un scènario que l'on connait d'avance! On se sent d'ailleurs un peu ètouffè par ces pèripèties qui, trop souvent, plongent les protagonistes dans le clichè et l'humour très lourd (notamment dans « La maturitè » ). Rien de neuf sous le soleil de la Toscane, "Manuale d'Amore 3" n’est ni plus ni moins la rèponse italienne à "Love Actually", un film à sketches qui s'avère tout sauf romantique car ce ne sont finalement que des histoires d'infidèlitè et de mensonges que nous avons là où le rècit tente tant bien que mal à les adoucir en y insèrant des gags dèpassès! Reste le charme des acteurs (Scamarcio, surtout) et de voir converser Bob De Niro et Bellucci en italien...
Bon, j'avoue qu'il y a un sketch qui est moins pire que les autres. Mais cela veut bien dire ce que cela veut dire : « moins pire »... Car si Giovanni Veronesi cherchait à marcher sur les pas de Gianni Di Gregorio pour renouer avec l'esprit de la grande comédie italienne, c'est raté et pas qu'un peu. Loin d'être caustique ou corrosif, « L'amour a ses raisons » est surtout terriblement maladroit, lourd et mal écrit, si bien que le rythme, si essentiel pour réussir ce genre d'entreprises, est proche du catastrophique et on a beaucoup de mal à s'intéresser aux histoires des uns et des autres, peu aidé il faut dire par des personnages caricaturaux dignes de mauvaises comédies de boulevard. Reste donc ce premier sketch, qui réserve quelques petits moments sympas, ainsi que la présence de bons acteurs (Riccardo Scamacio, Michele Placido et Robert De Niro pour son « grand » retour dans un film italien depuis « 1900 »!). Cela dit, est-ce vraiment un cadeau de les voir s'agiter dans une oeuvre aussi médiocre? J'en doute fort. Ah oui, il y aussi une scène de striptease amusante bien que trop courte où Monica Bellucci s'avère d'une sensualité indescriptible. Si tout n'est donc pas à jeter, c'est le cas de 80% de l'oeuvre (Cupidon faisant des commentaires niais entre chaque histoire : si c'est pas une idée à la con!) : je dois même avouer que « L'Amour a ses raisons » est parmi ce que j'ai vu de plus risible et pathétique en cette année 2011. Vous voilà prévenus.
Troisième volet de la saga italienne Manuale d'Amore, à chaque fois exploité en France sous différents titres, à savoir Leçons d'amour à l'Italienne (2005) & Manuale d'Amore 2 (2007). Une fois de plus, le titre d'origine passe à la trappe et devient L'Amour a ses raisons (2011). Ce dernier chapitre (en tout cas, on l'espère), se découpe en trois sketches, à savoir "la jeunesse", "la maturité" et enfin "l'âge de raison", trois histoires de 40 minutes à peu près, à travers lesquelles on découvre trois histoires d'amour à l'italienne (y compris tous les clichés qui vont avec). C'est rapidement exaspérant et ça commence dès le début du film avec un Cupidon (chauffeur de taxi) qui horripile et agace fortement. Si les scénarios sont assez ringards dans l'ensemble, on pourra toujours se satisfaire des prestations des acteurs, entre Riccardo Scamarcio & Laura Chiatti pour le premier sketch en passant par l'hilarant Carlo Verdone pour le second, par contre, pour le troisième on se demande réellement se qu'est venu faire là Robert De Niro, aux côtés de Monica Bellucci (déjà présente dans le précédent opus). 120 minutes de vaudevilles niais et débiles au possible, à réserver aux fans de la première heure ou aux italiens pure souche qui se reconnaîtront peut être.
Une faute de gout, une comédie italienne ressemblant à une série américaine avec un doublage français moyen. Le casting sauve un peu le film mais on peut se demander comment ces acteurs ont atteri là.
Sans parler du manque d’originalité flagrant de ce long-métrage, le film est creux, plat et sans aucun intérêt. L’humour mal dosé et les clichés sont là pour combler ces vides (à notre plus grand déplaisir). En clair, c’est très pauvre d’un point de vu scénaristique et je me suis ennuyé tout le long. Du côté de la mise en scène, la réalisation de Giovanni Veronesi reste très sobre, rien de remarquable de ce côté-là. Enfin et pour finir sur une note positive, le casting est correct. Robert De Niro, Carlo Verdone, et Riccardo Scamarcio sont convaincants dans leurs rôles.
L'Amour a ses raisons ou Manuale d'Amore 3 ; comment ça, une suite à ce doublet de pompes à eau de rose qui flanchaient déjà sous le chiffre deux ? Ah, mais y'a Robert de Niro ?
Bon, tout cela ne voulait bien sûr rien dire, mais ça prépare le terrain à l'agréable surprise qu'est ce troisième volet de la série de Giovanni Veronesi. Il est clairement mieux que le 2 ; quant à le comparer au premier, c'est impossible bien que la formule soit la même. Le 3 est à la fois plus moderne et plus grotesque, alimenté par une chasse à la gloriole qui permet l'envolement de certaines scènes, mais n'aide pas d'autres à sortir de leur bassesse. Carlo Verdone, qui participait beaucoup à la construction des premiers films, est ici emprisonné dans un rôle étroit qu'il ne perce que par d'occasionnelles mimiques empâtées.
C'est vraiment De Niro qui fait toute la différence, et de toute évidence, son rôle a été écrit sur mesure ; à moitié comique, à moitié américain, son accent est à moitié audible, pourtant il ne fait pas les choses à moitié. L'Amour a ses raisons mérite donc un siège dans le panthéon des « 3 » réussis, pour ses reliefs soignés, ses émotions qui prennent leur dimension au-delà du jeu d'acteur, et pour De Niro. Et il n'est pas un chef-d'œuvre parce qu'il reprend indifféremment les parangons de l'amour, même si là aussi l'innovation marque ; les acteurs reviennent pour enfiler les mêmes costumes sentimentaux, et les clichés naissent de ce que les scénaristes n'ont pas voulu les laisser éclore. Mais c'est un film plaisant.
...Si l'amour a ses raisons, alors la raison principale est parfois de ne pas le filmer n'importe comment. Cette comédie à l'Italienne ressemble à une pizza sans saveur et la pâte molle. Si dans les années 60 et 70 le genre était prisé, aujourd'hui la recette ne prend vraiment pas. Des situations grotesques et un étalage caricatural de l'état amoureux entre les hommes et les femmes. Aucune raison donc de s'inquiéter et de se précipiter pour prendre ce train de l'amour en trois compartiments qui sonne le vide. Malgré une distribution de bon aloi..vraiment Cupidon vient de rater ses cibles avec ce film !!
Encore un de ses films ou la critique de la presse est à l'opposé de celle des spectateurs,une bonne petite comédie à l'italienne et des filles sublimes à l'image de Monica Belucci et d'un bon Robert de Niro,