Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Gilles Martinerie met tout (...) en scène avec une maîtrise remarquable, toute d'ellipses et d'économie de mots (...) et révèle en une âpre poésie ce que cachent les enfants tristes. Le film avance en fragments sensoriels et sensibles dont la perception imprègnera le spectateur depuis des situations brèves, parlantes de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Un film dur et lumineux à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Charbon
Avec l'élan propre aux premières fois, Gilles Martinerie arrive à faire sourdre parfois ses émotions, pour nous les donner à fleur de peau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
Direction d'acteurs remarquable et sobre et belle musique pour cordes de Carlo Crivelli.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Par petites touches et sans complaisance, ce premier long chronique l'enfance et son mélange de tendresses et de rugosités.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
L'âpreté de ce premier film sur une jeunesse meurtrie fait parfois penser au Pialat de "L'Enfance nue". Sa grande vitalité doit autant au jeu brut et fougueux des enfants qu'à la manière, lyrique et sensuelle, dont le réalisateur exalte la nature autour d'eux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un premier film sensible et maîtrisé, qui pâtit d'une écriture un peu convenue, bridant son inspiration poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
A miser (...) sur le pittoresque de ses décors (...) et sur le magnétisme de ses comédiens (...), le film s'abandonne peu à peu à la contemplation plutôt plate de ce drame ralenti, sans en saisir tout à fait la virulence. Cette narration engourdie était sans doute indispensable pour donner à la dernière partie du film, d'une violence totalement secouante, une valeur de morale désespérée (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur un scénario qui insiste de manière trop voyante sur les rouages de la psychologie de l'adolescence instable et conflictuelle (...), la caméra, dans un état de fébrilité en écho à celle des deux héros, filme à fleur de peau et avec une âpreté sauvage la solitude désespérée de cette révolte.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
La liberté apparente du film dévoile peu à peu une oeuvre subtilement et involontairement étouffée, aux élans trop systématiquement brimés : les innocents y sont un peu vite sacrifiés et les "bons petits diables" poliment mis en boîte. Les ouvertures réelles et les échappées belles leur permettent certes de bien respirer, mais pas assez de s'enflammer, pour briller de mille feux.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Sincère, parfois touchant, mais toujours en attente d'une forme de paroxysme qui ne vient pas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Gilles Martinerie met tout (...) en scène avec une maîtrise remarquable, toute d'ellipses et d'économie de mots (...) et révèle en une âpre poésie ce que cachent les enfants tristes. Le film avance en fragments sensoriels et sensibles dont la perception imprègnera le spectateur depuis des situations brèves, parlantes de sensibilité.
Le Monde
Un film dur et lumineux à la fois.
Les Inrockuptibles
Avec l'élan propre aux premières fois, Gilles Martinerie arrive à faire sourdre parfois ses émotions, pour nous les donner à fleur de peau.
Positif
Direction d'acteurs remarquable et sobre et belle musique pour cordes de Carlo Crivelli.
Première
Par petites touches et sans complaisance, ce premier long chronique l'enfance et son mélange de tendresses et de rugosités.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
L'âpreté de ce premier film sur une jeunesse meurtrie fait parfois penser au Pialat de "L'Enfance nue". Sa grande vitalité doit autant au jeu brut et fougueux des enfants qu'à la manière, lyrique et sensuelle, dont le réalisateur exalte la nature autour d'eux.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film sensible et maîtrisé, qui pâtit d'une écriture un peu convenue, bridant son inspiration poétique.
Libération
A miser (...) sur le pittoresque de ses décors (...) et sur le magnétisme de ses comédiens (...), le film s'abandonne peu à peu à la contemplation plutôt plate de ce drame ralenti, sans en saisir tout à fait la virulence. Cette narration engourdie était sans doute indispensable pour donner à la dernière partie du film, d'une violence totalement secouante, une valeur de morale désespérée (...).
TéléCinéObs
Sur un scénario qui insiste de manière trop voyante sur les rouages de la psychologie de l'adolescence instable et conflictuelle (...), la caméra, dans un état de fébrilité en écho à celle des deux héros, filme à fleur de peau et avec une âpreté sauvage la solitude désespérée de cette révolte.
Cahiers du Cinéma
La liberté apparente du film dévoile peu à peu une oeuvre subtilement et involontairement étouffée, aux élans trop systématiquement brimés : les innocents y sont un peu vite sacrifiés et les "bons petits diables" poliment mis en boîte. Les ouvertures réelles et les échappées belles leur permettent certes de bien respirer, mais pas assez de s'enflammer, pour briller de mille feux.
aVoir-aLire.com
Sincère, parfois touchant, mais toujours en attente d'une forme de paroxysme qui ne vient pas.