Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film suit jusqu'au bout une angoisse un peu folle, à la fois drôle et énervée. (...) il bazarde les limites pour faire apparaître une figure grincheuse et pas sortable : ce Capitaine Caverne qui chante faux, comme Daniel Johnston, son flow existentiel.
Le film trouve un équilibre précaire entre une description un brin caricaturale du fantasme de la star qui pète les plombs et une imposture dantesque qui démonte les rouages du ridicule et de l'humiliation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On y va, rien que pour assister à un exercice de style rondement mené et se faire avoir par le duo Joaquin Pheonix/Casey Affleck. Ces deux là se sont bien payé notre tête, et au passage, celle du tout Hollywood. Non, Joaquin n'a jamais voulu devenir rappeur. Oui, il a réussi un vrai exploit en tant qu'acteur, dans un film où la charge critique contre le système hollywoodien semble évidente.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Aussi gênant que drôle, le film de Casey Affleck rappelle les impostures du comique américain Andy Kaufman, dont Milos Forman racontait la vie dans "Man on the Moon" (1999). On ne sait jamais vraiment s'il faut rire ou pleurer, mais le trouble ressenti est savoureux. Et si le canular n'avait pas été éventé, il aurait été encore meilleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La force du film est qu'il est bien difficile de faire la part du vrai et du faux. Casey Affleck et Joaquin Phoenix, brillants manipulateurs, jouent de cette confusion avec un malin plaisir.
"I'm Still Here" s'avère un film beaucoup plus politique et insurgé que simplement potache et provocateur. Ce qui ne l'empêche pas d'être parfois très émouvant, et souvent très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Joaquin Phoenix a repris depuis sa carrière - il sera du prochain James Gray. Reste que le film, par son humour féroce, dépasse le simple canular, voire l'autopromotion de Phoenix en super performer de la lose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"I'm Still Here" est un peu plus qu'une simple blague ou qu'un simple pied de nez au monde de l'Entertainment. Car derrière une réflexion peu originale et très clichée sur la vie d'un artiste, réside avant tout l'omniprésence d'un acteur exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Entouré d'un parfum énigmatique, "I'm Still Here" a fait plus de bruit avant sa présentation qu'après. En le voyant, on comprend pourquoi. [Les quelques] saynètes que s'offrent Affleck et Phoenix, du fait qu'ils sont des produits d'Hollywood, ne suffisent pas à faire un film. Encore moins à justifier une si longue absence des écrans de ce merveilleux acteur qu'est Joaquin Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Figurants malgré eux, Ben Stiller ou P. Diddy titillent une curiosité hélas découragée par la mise en scène façon "images volées entre deux portes". Bonne nouvelle : depuis ce pétard mouillé, Joaquin Phoenix refait du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mais si le projet est noble – quoiqu'un peu dépassé –, c'est la méthode employée par Joaquin Phoenix et son complice Casey Affleck qui pose problème. Certifié 100 % faux documentaire (après un long débat assez vain), "I'm Still Here" met en scène le décrochage d'une star (l'avatar Phoenix : grossi, camé, pathétique) dans une série de séquences trash dont la provoc, si elle cite Debord, dépasse difficilement le stade Jackass.
Hélas, malgré une ambition de départ séduisante, "I"m still here" tient plus du film de potaches d'étudiants que des malins "Forgotten Silver" ou "Spinal Tap"
La critique complète est disponible sur le site Positif
Quand on se dit que Joaquin Pheonix, l'un des acteurs les plus talentueux de sa génération, a interrompu sa carrière pendant deux ans pour tourner cette version pas drôle de "Borat", on rit encore plus jaune.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) L'exercice n'a aucune vertu. Casey Affleck et Joaquin Phoenix ont beaucoup de talent, mais ils dilapident en direct leur charisme, leur réputation et leur crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
20 Minutes
[Une] bonne blague où [Joaquin Phoenix et Casey Affleck] ne crachent pas sur le potache.
Cahiers du Cinéma
Le film suit jusqu'au bout une angoisse un peu folle, à la fois drôle et énervée. (...) il bazarde les limites pour faire apparaître une figure grincheuse et pas sortable : ce Capitaine Caverne qui chante faux, comme Daniel Johnston, son flow existentiel.
Critikat.com
Le film trouve un équilibre précaire entre une description un brin caricaturale du fantasme de la star qui pète les plombs et une imposture dantesque qui démonte les rouages du ridicule et de l'humiliation.
Elle
On y va, rien que pour assister à un exercice de style rondement mené et se faire avoir par le duo Joaquin Pheonix/Casey Affleck. Ces deux là se sont bien payé notre tête, et au passage, celle du tout Hollywood. Non, Joaquin n'a jamais voulu devenir rappeur. Oui, il a réussi un vrai exploit en tant qu'acteur, dans un film où la charge critique contre le système hollywoodien semble évidente.
L'Express
Aussi gênant que drôle, le film de Casey Affleck rappelle les impostures du comique américain Andy Kaufman, dont Milos Forman racontait la vie dans "Man on the Moon" (1999). On ne sait jamais vraiment s'il faut rire ou pleurer, mais le trouble ressenti est savoureux. Et si le canular n'avait pas été éventé, il aurait été encore meilleur.
Le Journal du Dimanche
La force du film est qu'il est bien difficile de faire la part du vrai et du faux. Casey Affleck et Joaquin Phoenix, brillants manipulateurs, jouent de cette confusion avec un malin plaisir.
Le Point
voir lepoint.fr
Libération
"I'm Still Here" s'avère un film beaucoup plus politique et insurgé que simplement potache et provocateur. Ce qui ne l'empêche pas d'être parfois très émouvant, et souvent très drôle.
Télérama
Joaquin Phoenix a repris depuis sa carrière - il sera du prochain James Gray. Reste que le film, par son humour féroce, dépasse le simple canular, voire l'autopromotion de Phoenix en super performer de la lose.
Marianne
Si ça n'est pas un documentaire, c'est un beau document sur les revers dévorants de la célébrité.
Filmsactu
"I'm Still Here" est un peu plus qu'une simple blague ou qu'un simple pied de nez au monde de l'Entertainment. Car derrière une réflexion peu originale et très clichée sur la vie d'un artiste, réside avant tout l'omniprésence d'un acteur exceptionnel.
Le Monde
Entouré d'un parfum énigmatique, "I'm Still Here" a fait plus de bruit avant sa présentation qu'après. En le voyant, on comprend pourquoi. [Les quelques] saynètes que s'offrent Affleck et Phoenix, du fait qu'ils sont des produits d'Hollywood, ne suffisent pas à faire un film. Encore moins à justifier une si longue absence des écrans de ce merveilleux acteur qu'est Joaquin Phoenix.
Le Parisien
Figurants malgré eux, Ben Stiller ou P. Diddy titillent une curiosité hélas découragée par la mise en scène façon "images volées entre deux portes". Bonne nouvelle : depuis ce pétard mouillé, Joaquin Phoenix refait du cinéma.
Les Inrockuptibles
Mais si le projet est noble – quoiqu'un peu dépassé –, c'est la méthode employée par Joaquin Phoenix et son complice Casey Affleck qui pose problème. Certifié 100 % faux documentaire (après un long débat assez vain), "I'm Still Here" met en scène le décrochage d'une star (l'avatar Phoenix : grossi, camé, pathétique) dans une série de séquences trash dont la provoc, si elle cite Debord, dépasse difficilement le stade Jackass.
Paris Match
Le film passe à côté de son sujet par manque d'envergure scénaristique et se cantonne à une caricature.
Positif
Hélas, malgré une ambition de départ séduisante, "I"m still here" tient plus du film de potaches d'étudiants que des malins "Forgotten Silver" ou "Spinal Tap"
Première
Quand on se dit que Joaquin Pheonix, l'un des acteurs les plus talentueux de sa génération, a interrompu sa carrière pendant deux ans pour tourner cette version pas drôle de "Borat", on rit encore plus jaune.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.
Excessif
(...) L'exercice n'a aucune vertu. Casey Affleck et Joaquin Phoenix ont beaucoup de talent, mais ils dilapident en direct leur charisme, leur réputation et leur crédibilité.
TéléCinéObs
[Un] documentaire pathétique, aussi déplaisant que vain.