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benoitG80
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1,5
Publiée le 14 juin 2012
"Des saumons dans le désert", avec un titre aussi peu engageant, confirme bien ma première impression c'est à dire un film sans message, sans fondement, sans justification ! Certes et malgré tout, puisqu'on est dans la salle, on assiste résigné, à une histoire assez niaise, cousue de fils blancs et de bons sentiments et de plus archi prévisible ! On aurait pu espérer, suite à cette idée plutôt curieuse et déroutante, un humour à la sauce anglaise afin de rendre cette comédie drôle et caustique mais non, tout est très sérieux avec un zeste de guimauve pour le côté fleur bleue inévitable... Les personnages sont à la mesure du film, gentillets et seul Ewan McGrégor avec son allure coincée reste intéressant ! On soupire, on s'agace même devant ce trio mignonnet dans lequel on fait tout pour rendre ce Cheikh passionné de pêche, sympathique voire même désintéressé et humaniste (!!!) face à ces saumons introduits en plein Yémen jusqu'à trouver le temps bien long ! Que ne ferait-on pas pour attendrir un public qui heureusement en a vu d'autres pour ne pas tomber dans ce panneau ?
comédie romantico sous fond d'aventure un cheik par comme les autres décide d'introduire dans le désert des saumons dans le yemen Dans Ce rêve impossible et improbable il va entraîner un scientifique et une femme d'affaires, qui vont se lancer à corps perdus dans cette aventure un conte bien loin de la réalité se laisse regarder pour les beaux paysages d'ecosse petit film
Le titre à lui tout seul en disait beaucoup sur cette "rom/com" sirupeuse, lorsque l’on découvre qui a été en charge de la réalisation, autant être franc avec vous, soit vous êtes maso et dans ce cas, vous prendrez votre pied devant cette avalanche de guimauve niaise, soit vous êtes inconscient et vous allez sérieusement en baver devant les 110 minutes interminables que vous réserve ce film. Des saumons dans le désert (2012) est adapté du roman "Partie de pêche au Yémen" de Paul Torday (paru en 2006), une histoire qui en toute franchise ne risque pas d’attirer votre curiosité sauf si vous êtes un fidèle de "Chasse et pêche" ou un grand amateur d’histoire romantique complètement nunuche. A la réalisation, on retrouve le spécialiste du genre, à savoir Lasse Hallström (Une Vie inachevée - 2006 , Cher John - 2010 & Hatchi - 2010), celui qui parvient a transformer n’importe quel film insignifiant en une œuvre tire-larme ou plus communément appelé "film Kleenex®", où à grands coups de violon, le réalisateur tentera tout ce qu’il pourra pour vous faire croire à son histoire aussi absurde qu’invraisemblable. Si vous pensiez avoir tout vu à la lecture du synopsis complètement tiré par les cheveux (un cheikh du Yémen souhaite introduire des saumons dans les rivières de son pays), vous faites erreur, la suite ne sera qu’une succession de catastrophes, avec une histoire d’amour mielleuse et dégoulinante de bons sentiments, avec tous les poncifs du genre, si bien que tout le reste s’avère prévisible. Et ce ne sont pas les touches d’humour "so British" menées par Kristin Scott Thomas qui parviendront à nous décrisper, surtout lorsque le film vire dans le grotesque au moment où le cheikh yéménite frôle la mort quand un extrémiste islamique s’apprête à l’assassiner (où par miracle, grâce à un hameçon de pêche, le meurtre est évité !).
Cette fable souriante,qui veut nous faire croire à l'impossible: la culture des saumons au Yémen,sert surtout de prétexte à une histoire d'amour cousue de fil blanc entre un scentifique très emprunté et une chargée de missions pétulante et émotive. Rien à dire sur le couple Ewan Mc Gregor/Emily Blunt. Le premier incarne de nouveau un esprit naïf à la droiture infaillible. Alors que la seconde fait étalage de son charme incandescent. Mais ils n'ont de répliques croustillantes à se mettre sous la dent,et leurs personnages contrariés manquent de crédibilité dans leurs réactions. Lasse Hallström,comme à son habitude récente,s'enferre dans le mélo hollywoodien,et ce n'est pas le contexte insolite,qui change la donne. "Des saumons dans le désert" manque de rigueur à tous les niveaux,faisant surgir des obstacles clichés à souhait(les terroristes,la journalite roublarde). En résulte une fable ronronnante et impensable.
Très fleur bleu mais la finesse et la justesse des acteurs et du réalisateur portant fièrement une histoire niaise mais fraîche suffisent à convaincre.
Sur le papier, l'histoire semble sans intérêt, à part pour les amateurs nocturnes de "chasse et pêche". Le résultat n'est guère plus passionnant et le film regorge de clichés, des dialogues niais, d'évocations tout en surface sans philosophie, et c'est tiré par les cheveux par moments. Les acteurs ne sont pas au top de leur potentiel, à part peut-être Kristin Scott-Thomas, cynique à souhait (néanmoins pas très crédible du coup pour le rôle de l'attaché de presse du 1er ministre) qui est assez drôle. Ne marquera pas mon esprit.
« Des saumons dans le désert » peut se targuer d’avoir un des pitchs les plus cocasses qu’il soit : un cheikh yéménite fan de pêche à la mouche décide avec l’aide d’un professeur anglais spécialiste des poissons d’introduire dans un oued en plein milieu des étendues désertique de l’Arabie Heureuse des saumons pour pratiquer sa passion. Nanti de cette intrigue improbable, le film joue pendant toute sa première partie la carte de l’humour british avec il faut le dire assez de réussite, la palme revenant à Christine Scott Thomas qui interprète une conseillère en communication cynique et manipulatrice à souhait. Malheureusement cette touche gentiment comique ne parvient toutefois pas à donner de la vigueur à un film qui en manque cruellement. La deuxième partie du film laisse tomber la carte humoristique au profit d’une romance entre le professeur et le conseillère du cheikh faisant tomber le film dans le genre de la tragicomédie romantique, ce qui n’aide pas à lui donner plus de peps. Néanmoins le film n’est pas désagréable à suivre et on se laisse, vaille que vaille, entraîner par cette histoire un peu grotesque de pêche dans le désert et ses personnages attachants malgré tout. Le film se suit donc avec mansuétude, mais sans grande passion. La fin en happy-ending achève un film tout en bonhomie qui s’il n’y avait ce pitch surréaliste serait bien vite oblitéré de nos mémoires. À voir pour le point de départ, il faut le dire assez inédit, et pour son casting de stars.
J'étais assez curieux vu le nom du film et par son casting. Au final, j'en retiens un film sympathique, quelque peu original même si le thème du film est tout sauf une priorité dans la vie. Bon toutefois, dans le déroulement de l'histoire, c'est quand même prévisible. Pas le film de l'année mais cela tient la route.
Quelques mois après l'ovni PERFECT SENSE voici une autre sortie discrète avec Ewan MCGregor qui ne va pas rester plus d'une semaine à l'affiche : il y avait 4 personnes dans la salle ce matin. j'avais une place gratuite UGC à utiliser mais mon cinéma ne diffusait pas le film, deux autres le passait mais uniquement en VO et si j'ai le choix, je refuse de découvrir un film en VO avec les sous-titres à lire tout le long.... j'ai finalement trouvé un cinéma Pathé qui le faisait tôt à 11H.
L'histoire est assez insignifiante voire ridicule mais ce qui est intéressant dans ce petit film, c'est l'évolution des personnages joués par McGregor et Emily Blunt. Le personnage du Dr Jones joué par mcGregor pédant et précieux au débnut, devient très touchant.
Dommage qu'un pépin en ville au moment de rentrer chez moi soit venu tout gâcher....
Des saumons dans le désert, un scénario original dans lequel excelle encore une fois Ewan McGregor. Le rythme est calme mais on s'y prend facilement avec un humour British bien placé, les décors sont quant à eux, exceptionnels !