anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 19 septembre 2013
J’avais deux idées en tête en allant voir ce film. Par deux idées je veux dire bien sûr deux aprioris : De Un, que le film va être un blockbuster des plus classiques sur les notions pavloviennes du bien et du mal ainsi que le catastrophisme originel et la nature autodestructrice de l'être humain; De deux, que l'acteur Matt Damon a toujours su dompter ses films pour en tirer le meilleur parti avec sa façon de jouer et d'interpréter, pour le téléspectateur, les situation les plus diverses et personnelles à tout un chacun. si l'acteur s'est montré à la hauteur de mon imaginaire et même plus avec la collaboration imposante de Jodie Foster. Le film a été une agréable surprise dans son essence même et dans sa réalisation. Car, fini les plans d'actions inutiles et les notions foireuses et crus sur le lutte des classes! Un style épuré dans les idées et un simplisme parfait dans la conception des décors des montages. En effet, la notion de la frontière est bien définie et, avec, celle du ressentiment et du rejet de l'autre. Ainsi, le film tire de là son réalisme et le sentiment d'injustice (sociale) ressort comme une conséquence et pas comme une fatalité. C’est un film qui mérite vraiment le détour.
4,0
Publiée le 18 septembre 2013
bon et beau spectacle. Bien fait que demander de plus ! bon divertissement
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 18 septembre 2013
Un Tres bon film Visuellement tout comme dans District 9 les effects c'est juste le Top du Top...
Le gros point faible de ce film : trop previsible dans son scenario et bien trop simpliste
mais j'ai pris plaisir a le voir car ca reste de la tres tres bone SF...
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 17 septembre 2013
Se films et super 😃 j'adore les combats sont trop coule
4,0
Publiée le 17 septembre 2013
Très bon film, on se prend très vite à l'histoire. Pas de temps mort, beaucoup d'action. Très bonne morale sur l'injustice des pauvres/riches. À voir aussi pour les effets spéciaux.
4,5
Publiée le 16 septembre 2013
Il y a 4 ans, on découvrait le talentueux réalisateur qu’est Neill Blomkamp grâce a ‘’District 9 ‘’. Cette œuvre, qui faisait alors figure d’ovni dans le monde de la SF, réjouissait tant les critiques que les spectateurs. Le réalisateur Sud Africain au style reconnaissable revient avec un second long métrage de la même trempe : ‘’Elysium’’.
Avec un budget presque 4 fois supérieur à son précédent film (estimé à 115 000 000$ pour 30 000 000$), le réalisateur s’arme d’un casting plus musclé. Il met ici en scène Sharlto Copley (rôle principal de ‘’District 9‘’) entouré de Matt Damon, et Jodie Foster dans la société de 2154. La population riche vit alors sur une station spatiale artificielle appelée Elysium tandis que le reste de la population tente de survivre sur une planète Terre surpeuplée et dévastée. Un homme, Max (Matt Damon), tente de ramener l'égalité entre les deux mondes en acceptant une mission dangereuse qui l'opposera à Elysium, ses lois contre l'immigration et ceux qui les maintiennent...

Visuellement excellent, il fait parti du haut du panier de ce que l’on a pu voir en salle cet été. Cette terre ravagée est très bien réalisé, les séquences d’action sont rythmés et les combats bien chorégraphiés. Mais c’est parce qu’il est plus qu’un film d’action/SF estival, que cet Elysium séduit. S’il rempli le quota niveau scènes d’actions (fusillades et combats stylisées par des ralentis et accélérations) c’est avec son scénario qu’il se hisse auprès des meilleures œuvres du genre. En effet, la portée de celui-ci y est plus grande que ce que l’on a connu précédemment.
A l’image de District 9, Blomkamp utilise de vrais problèmes de notre société et les transporte dans ce monde futuriste pour toucher le spectateur. Dans sa précédente réalisation, il traitait du racisme et plus précisément de l’apartheid (avec ces aliens arrivés sur Terre et parqués dans le 9ième District, zone qui ne connait ni droits ni lois pour ces « habitants »). Ici, il suggère un rapprochement entre la société de 2154 et notre réalité. Il énonce les différences de richesses entre les classes sociales, l’immigration, la clandestinité ou encore la pollution.
Aidé par un bon casting, on est transporté dans ce monde futuriste d’une crédibilité fascinante... voir terrifiante. Matt Damon est très convaincant dans le rôle du héro ravagé, Jodie Foster est impitoyable dans celui de la ministre de la défense rigide et Sharlto Copley est autant déchainé qu’imprévisible dans le rôle de Kruger.

Après un premier film réussi, on dit généralement que le plus dur commence. Neill Blomkamp a donc su accomplir la mission. Le jeune réalisateur rempli les attentes que l’on portait sur lui après la réussite qu’était son premier film. Tandis qu’il s’affirme comme un future-grand, son œuvre intense réjouie, et... fait réfléchir.
4,5
Publiée le 16 septembre 2013
Un bon film de SF. La fin manque de mystère, on se serait bien passé de la baston à mains nues qui plombe le dernier quart du film, mais l'ensemble est une réussite.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 15 septembre 2013
Elysium est un bon film d'action avec un bon scénario !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 15 septembre 2013
dans "elysium", neil bloomkamp reprend la même recette qui a fait le succès de sa précédente réalisation "district 9". en effet, il nous présente de la science fiction avec des problèmes sociaux actuels. alors que "district 9" traitait de l'apartheid envers les extra-terrestres, "elysium" parle de l'immigration clandestine des habitants d'un los angeles futuriste ressemblant à des favelas désirant guérir de leurs problèmes de santé sur la colonie orbitale elysium. bloomkamp filme toujours dans son style caméra portée. mention spéciale à l'actuer sharlto copley (que je n'avais pas trouvé très bon dans "district 9") qui campe un méchant très réussi et son jeu est du même niveau que celui de matt damon et jodie foster.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 14 septembre 2013
Un peu frileuse avant d'y aller, j'ai adoré ! Le synopsis est de qualité, ainsi que les acteurs. Un très bon film d'anticipation!
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 13 septembre 2013
Bon film. Manque le petit plus qui ferait d'Elysium un excellent film... Un Matt Damon toujours au RDV... Si vous aimez le genre, vous ne serait certes pas déçu, vraisemblablement pas non plus enthousiasmé
du tonnerre ;-)
4,0
Publiée le 13 septembre 2013
Une fable post moderne, des acteurs voués a leur cause et des effets spéciaux si réalistes qu'ils sont siderants. Les thèmes et le style du real' de District9 sont sublimés dans ce blockbuster intelligent.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 12 septembre 2013
Beaucoup aimé ce film. Je me suis ennuyée a aucun moment. L histoire est prenante!
Je recommande.
4,5
Publiée le 11 septembre 2013
C'est le genre de film SF que j'aime voir: engagé et réaliste.
Tout est bon, un peu gore parfois mais ca gêne pas.
Petit raté: le crash de la navette rouge du boss de l'entreprise est complètement foiré visuellement..
4,0
Publiée le 11 septembre 2013
Le film plus honnête que les critiques qui l’ont démoli. Comme pour son précédent petit chef d’œuvre, Neill Blomkamp déroule un scénario d’anticipation sur fond de lutte de classe. Quelques différences cependant. Pour District 9, le contraste entre les lieux de vie était peu choquant. On montrait peu les lieux des riches. Dans Elysium, Blomkamp se lâche. En plus, il sait de quoi il parle. Maintenant qu’il n’y a plus d’apartheid racial en Afrique du Sud, tout le monde s’en fout. Pourtant beaucoup de libertés sont bridées, et les clivages sociaux sont 10 fois pires qu’avant. Dans Elysium, on voit, de manière plus outrancière le milieu des très riches et les éléments qui permettent la pérennité de leur protection. Ce trop plein de réalisme a éclaté aux yeux d’une critique bobo qui de toute évidence n’a pu supporter. Tous ces lieux plus vrais que nature, l’usine, l’immensité des bidonvilles, les comportements cyniques des boss de l’usine, de la responsable de la sécurité de Elysium, l’hypocrisie des gouvernants voulant le statut quo de l'inégalité, dans la légalité, mais sans se salir les mains, les profiteurs de guerre vivant avec les pauvres, trop de vérité en même temps !!! Un seul bémol toute cette excellence : la fin. Un peu facile. Mais ça, la critique n’a guère critiqué. La facilité, ils adorent.
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