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Christellecarpediem
7 abonnés
36 critiques
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5,0
Publiée le 18 septembre 2022
Marquant.
Voire dérangeant du fait de la volonté de vengeance qui sous tend l'énergie du personnage principal.
Quelque chose de profondément noir au milieu d'images somptueuses et dans le même temps ... on ne peut pas s'empêcher de comprendre même si on sait que l'on ne doit pas se laisser entraîner.
La scène de confrontation avec l'ours est exagérée mais quand c'est Di Caprio tout passe ...
Leonardo DiCaprio a enfin décroché un oscar grâce à the revenant , il s’agit du second film produit par Hollywood et réalisé par Alejandro Gonzales Iñárritu, ce film utilise que des décor naturel et seulement une seule scène a du être filmé avec des lumières artificielles, les effets spéciaux sur le grizzli par exemple sont génial et la mise en scène avec ses plans séquences rend le film encore plus réaliste c’est un film d’aventure glacial et cruel un vrai voyage est l’un des films les plus Immersive de tous les temps. Si vous aimez les histoires d’aventure de la cruauté et de drame ,regardez le.
Un film puissant, émouvant, violent, et doté d'une superbe photographie. Très peu de dialogue. Tout est dans l'intensité de l'image et de l'interprétation sur mesure de Di Caprio. Un "Koh Lanta" sans concession dans un environnement très hostile.
The Revenant ou Le Revenant Le film est partiellement adapté du roman Le Revenant (2002) de Michael Punke2 et est fondé sur une histoire vraie, celle de l'exploit accompli en 1823 par le trappeur Hugh Glass The Revenant est le film le plus nommé aux Oscars 2016, avec douze nominations. En août 2001, le producteur Akiva Goldsman acquiert les droits du manuscrit non publié de Michael Punke Le Sud-Coréen Park Chan-wook est annoncé comme réalisateur, mais quitte ensuite le projet Le rôle de Fitzgerald était d'abord promis à Sean Penn, mais il quitte finalement le projet et il est alors remplacé par Tom Hardy Le tournage débute en octobre 2014 . Il se déroule au Canada, notamment dans les provinces de Colombie-Britannique et en Alberta (Calgary), aux États-Unis (Californie, Montana) et en Argentine. Iñarritu installe sur place un camp d'entraînement afin que ses acteurs s’accoutument à la vie de trappeur Le tournage du film s'avère également difficile à cause des conditions météorologiques, les températures pouvant descendre jusqu'à -30°. Dans les Rocheuses, le chinook, un vent sec et chaud, fit également fondre la neige à un moment inopportun. L'équipe a tenté d'y remédier en allant pelleter de la neige dans les hauteurs, mais celle-ci n'a malheureusement pas tenu et le tournage a dû être arrêté. Des scènes supplémentaires ont donc dû être tournées en Argentine quelques mois plus tard, faisant considérablement augmenter le budget du film The Revenant s'inscrit dans le genre du film de trappeurs, sous-genre du western américain D'autres films sont inspirés de la vie de Hugh Glass, notamment Le Convoi sauvage de Richard C. Sarafian (1971) dont l'historien Gilles Havard estime que The Revenant est un « remake déguisé »L'esthétique des passages « mystiques » emprunte à Andreï Tarkovski, notamment les films Andreï Roublev et, surtout, Le Miroir
The Revenant est un véritable chef d’œuvre visuel. Le film nous offre un western glacial contemplatif qui mêle un réalisme sanglant avec un surnaturel mystique. The Revenant suit le destin héroïque d’un trappeur qui tente de survivre seul et coûte que coûte face à la grandeur d’une nature impitoyable. C’est une immersion cinématographique exceptionnelle. En effet, dès les premières minutes du film, l’assaut du camp de trappeurs par les peuples natifs est une claque visuelle: des plans séquences époustouflants, des cadrages parfaits et des mouvements de caméra qui apportent un réalisme saisissant. Et cela se poursuit tout au long du film, le film a été remarquablement réalisé et est techniquement abouti à 110%. Et que dire de la performance de Leonardo Di Caprio? Stratosphérique. Au sommet de son art, il nous livre une prestation hallucinante loin des standards habituels. Il a abandonné le nœud papillon pour la fourrure et la coupe de champagne pour le fusil. Il crie, il tremble, il saigne, il gémit, il bave, il grogne avec des plaies béantes et des yeux vitreux. C’est avec le souffle coupé qu’il mène un combat épique face à un grizzli. La scène est partagée en second plan avec Tom Hardy. Magistral dans un rôle sauvage et mordant, il assure le rôle d’antagoniste avec brio par sa hargne et sa férocité. Le film est également une expérience sonore et sensorielle unique. Le bruit de la nature règne en maître sur le film au dépens des dialogues et des musiques. Le réalisme est ainsi à son apogée. La bande sonore se répète à travers le film pour donner à ce dernier un côté énigmatique et surnaturel. Cependant, le réalisme a des limites à mon point de vue puisque sa lenteur et le manque de dialogues accentuent un scénario simple et banal.
Une représentation de Leonardo DiCaprio exceptionnelle ! Ce film est vraiment l'un de ses meilleurs. Le décor et les paysages sont vraiment magnifiques. Le film est cependant peut-être un peu long mais il est néanmoins incroyable.
Un synopsis prétexte à un parcours très compliqué à travers les paysages variés d'une Amérique enneigée et englacée, celui de la survie du personnage principal, dont on peut se demander à quoi bon le faire incarner par un *génie*, Leonardo di Caprio. Je veux dire que pour un personnage complexe, puissant comme pour celui de Shutter Island, c'est adapté. Pour un simple personnage à qui il arrive les pires turpitudes de la survie en milieu hostile, à quoi bon ?
Toujours est-il qu'on ne cesse d'être surpris par la créativité des images belles et cruelles comme la Nature et par les situations extrêmes, extrémistes... parfois rocambolesques et grand-guignolesques comme spoiler: s'enfermer dans le corps d'un cheval vidé de sa viande pour avoir moins froid... mais cette scène est précédée de la plus mémorable chute de cheval de l'histoire du cinéma (?) (même je n'ai pas vu tous les films).
Les relations entre cow boys et Indiens n'est pas manichéenne comme dans les westerns de l'âge d'or (?) ni magnifiée par la fraternité comme dans *Danse avec les loups* ou *Cœur de tonnerre*, deux types de films complètement ringardisés par *The Revenant*. C'est ici encore une autre proposition, entièrement plongée dans la violence. Quelle degré de souffrance peut supporter l'homme ? On est probablement ici près de l'asymptote. Hans est toujours sur le point de mourir. Les plaies sont si énormes que cela paraît inimaginable. Ce n'est plus de la survie, c'est de l'héroïsme de la part d'un surhomme. Est-ce crédible ? Pourquoi pas. On veut croire, la magie du cinéma ou la suspension du jugement opèrent, même si l'homme n'a pas été présenté comme exceptionnel.
Hans rampe comme un animal... peut-il se tenir debout ? Hans se jette sur un bout de viande affreuxspoiler: jeté par un Indien comme à un chien ... l'horreur réaliste (naturalisme ?) guide parfois les intentions du cinéaste... On croirait que c'est lui le bout de viande. Après ces souffrances de l'autre monde, Hans veut encore se venger, et chercher encore plus de souffrances. Trop, c'est trop ? spoiler: Le combat final est insoutenable de sauvagerie, pire que les horreurs hollywoodiennes SF habituelles, on est content que spoiler: l'un des deux belligérants meure enfin, proprement. Pourquoi ai-je regardé ce film ? Je me demandais jusqu'où il pouvait aller. Et j'admire la pureté du style, le développement d'une idée centrale.
** Je rêve ou pour un blockbuster on entend un décalque du Quatuor pour la fin du temps d'Olivier Messiaen ?? au moment de spoiler: sortir du cheval vide.
1000 clichés... Ils y sont tous.. la princesse sauvée par le gentil, qui du coup est épargné par les méchants indiens.. qu'y sont méchants.. blessé par un ours, tombé dans une cascade d'eau a moins 15, tombé du haut d'une falaise avec son cheval, se soigne en faisant exploser la poudre sur ses plaies (cf rambo)? Même pas mort... Le duel au soleil, mais dans l'eau ( tout le long du film l'eau a moins 15)(c'est de la glace donc?), Le binôme qui se sépare ( cf tous les films pourris)... Qui va du mauvais côté?? Qui fait du feu là comme ça.. sur un lac gelé ?? Avec le bois de la caisse de la caméra. L'avalanche au loin, la météorite qui passe, et même ( cf Rob roy ou Star War) se réchauffer dans le ventre et boyaux du cheval mort.. tous... Et la fin , cf Gladiator sans lisa Gérard, sa femme morte qui vient le chercher? Le troupeau de bisons dans la nuit (cf danse avec les loups).. bref a part la performance de Leonardo génie, et les beaux mais trop nombreux paysages... Ben... On s'ennuie et ce qui devrait ressembler à un film dramatique devient... Une sorte de quizz... Gore en plus. Musique zéro. Scénario zéro. Histoire zéro. Suspens zéro. Quand vous aurez fini ce film car vous êtes sérieux, passez a silence, de Scorsese.. en fait non.. c'est aussi pénible... Plus c'est prisé intello, plus c'est nul....
The Revenant parvient avec succès à nous plonger dans une Amérique amerindienne. Cette terre, sauvage et hostile, est parfaitement retranscrite. Les plans sont magnifiques et apportent sans conteste toute la profondeur necessaire à la trame scenaristique : la survie et la vengeance. Le jeu d'acteur de Leonardo DiCaprio est incroyable et vient confirmer cette sensation. Je regrette cependant certaines (petites mais regulieres) longueurs qui selon moi auraient pu etre mieux employées, notamment sur l'aspect "comment survivre". Un trés bon film.
J'avais envie de voir ce film depuis un paquet de temps au vu des critiques. Dispo sur Netflix, je saute sur l'occasion. J'adore Leonardo et je voulais enfin le voir dans un de ses plus grands rôles. Et effectivement, il est encore une fois ÉNORME, même si je trouve qu'il peut encore mieux faire ailleurs. Tirée d'une histoire vraie, cette histoire de vengeance à la sauce trappeur, un peu (trop) longue, reste un bon moment. Certaines scènes restent en mémoire et feront date, notamment l'attaque impressionnante de réalisme de l'ours ou le combat final. Mais c'est bien la performance de Di Caprio qui sort du lot. Tom Hardy n'est pas mal non plus. Les paysages sont également sublimes et l'univers du grand froid est très bien retranscrit. On se pèle littéralement avec les acteurs. Il manque un peu de scénario et peut-être couper 20 minutes pour en faire un chef d’œuvre.
Le feu crépite, l'eau du ruisseau le vent siffle sur le bois des conifères, fait virevolter les flocons de neiges...et Léonardo gémit. The Revenant est une œuvre unique dans le cinéma, un chef d'œuvre signé Inarritu. Le pitch simplissime laisse toute l'attention portée sur ces images magnifiques entre des décors sublimes, une photographie qui les magnifie. La caméra filme un angle immense, offrant de nombreux plans séquences qui accentue la contemplation. L'immersion est totale ! Les acteurs sont très bons même si DiCaprio aurait mérité d'être oscarisé avant ce film. Pour ma part je ne mettrais pas la note maximale car le film, en dehors de sa beauté visuelle, n'a finalement pas grand chose à raconter par rapport à sa longueur (2h30 tout de même). De plus, l'aspect parfois mystique ne m'a conquis. Ca n'enlève en rien l'incroyable moment passé devant The Revenant !
Une réalisation époustouflante dans un décor somptueux. L'immersion est totale. Le film paraît sans fin mais cela ne fait que contribuer à l'essence même de ce dernier : l'impossible conclusion avant la concrétisation de la raison de vivre du Revenant, la vengeance. DiCaprio magistral dans ce rôle carnassier. Un film glacial et sanglant.
Deux étoiles pour les beaux décors, décors qu'Iñarritu avec sa lenteur habituelle nous laisse largement le temps de contempler. L'histoire tient sur une feuille de papier à cigarettes et ne nécessitait sans doute pas les 2h36 qu'il nous inflige. Chaque scène s'étire en longueur, grâce entre autre à de longs plans sur la rivière ou la forêt. C'est beau, certes, mais cela ne fait pas avancer le schmilblick. Quant à l'Oscar du meilleur acteur à Di Caprio pour ce rôle, il est difficilement compréhensible. Ses dialogues pendant les 2/3 du film sont fait de haaaaa, ohhhh, et brlbrlbrl, parfois des han han parce qu'il faut bien faire comprendre que c'est dur quand même la vie. Et les expressions faciales doivent être au mieux au nombre de 3 : j'ai peur, j'ai froid et ouh qu'il est méchant. A ce compte, l'ours aurait sans doute mérité l'Oscar du meilleur second rôle. Il était bien plus expressif.
J'ai trouvé aucune utilité à ce film. Peut-être mon sens du grand cinéma n'est pas assez développé, mais à part survivre dans le froid à attendre de venger la mort de son fils, il ne se passe rien, c'est affreusement long!! En revanche, mention spéciale à la scène de l'ours, tout simplement époustouflante.. La seule chose à retenir de ce film, tout du moins, la seule chose que je retiendrais personnellement. 1/5