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Votre avis sur The Revenant ?
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GyzmoCA
Un Western en plein froid glaciaire et neigeux porté par deux exceptionnels acteurs (Tom Brady et Leanardo di Caprio), The revenant nous amène dans un monde peuplé de trappeur et d'indiens ultra violents. Les mots sont rares, le rythme est pesant. Leonardo livre une prestation de haut vol et tient le film sur ces épaules. Cependant le film aurait pu, aurait du être moins long. L'histoire de vengeance est au final assez simple mais est étalée sur 2h36 de film.
Une claque visuelle.
Une histoire de vengeance incroyable.
Des plans visuels magnifiques dont la lenteur du film permet de mieux accentuer ces plans.
Un film à voir, à vous d'en juger.
Une histoire de vengeance incroyable.
Des plans visuels magnifiques dont la lenteur du film permet de mieux accentuer ces plans.
Un film à voir, à vous d'en juger.
Magnifique, un chef d'oeuvre, le film est prenant jusqu’à la fin !!!! bravo à tous et à l'acteur Leonardo DiCaprio qui est d'un réaliste incroyable !!!!
septiemeartetdemi.com - Cinéphiles, si vous êtes à la recherche d'un grand spectacle qui soit réalisé avec artisterie et avec toute la beauté d'un cinéma qui parle avec savoir-faire et technique, c'est The Revenant que vous cherchez.
DiCaprio y joue ce qu'il qualifie lui-même de son rôle le plus dur, et il n'y aucune raison de ne pas l'en croire ; sa performance est tout simplement époustouflante. Pendant qu'Iñárritu crée des plans très longs dans lesquels la caméra est continuellement en mouvement grâce à quelque miracle de machinerie, lui s'occupe de faire des miracles d'acting, acteur parmi les acteurs, donnant de sa personne en toute situation pour des résultats qui vont de la prouesse sportive à l'abnégation en passant par la pratique de langues locales (qu'il prononce parfaitement) ou les combats dont on ne peut imaginer que le réglage n'a pas pris un temps et un nombre de prises considérables, à plus forte raison avec un réalisateur aussi pointilleux que celui-ci.
Le film était loin d'être terminé quand j'ai cessé d'essayer de comprendre les secrets de tournage derrière des séquences plus impressionnantes les unes que les autres. Mais ces prouesses à travers lesquelles aucun critique ne peut passer sèment aussi une sorte de désillusion, car elle masque l'uniformité du sujet, l'absence d'exploration du caractère des personnages à part deux ou trois, dont un (DiCaprio toujours) est de loin favorisé. Et quand arrive la fin, l'inanité de la vie des protagonistes nous frappe, mais pas dans un sens favorable. The Revenant, c'est « tout ça pour ça ? » et le « tout ça » est immense ; plus grand l'exploit, plus difficile est la chute à amortir, et elle ne l'a pas été en ce qui me concerne.
Malgré cette légère impasse, et si vous vous demandez "est-ce que le film est digne de ses trois Oscars ?", la réponse est oui. Il faut être dans une humeur particulière pour apprécier ce film pleinement, mais je pense qu'il restera une référence des performances cinématographiques possibles pendant une bonne décennie.
DiCaprio y joue ce qu'il qualifie lui-même de son rôle le plus dur, et il n'y aucune raison de ne pas l'en croire ; sa performance est tout simplement époustouflante. Pendant qu'Iñárritu crée des plans très longs dans lesquels la caméra est continuellement en mouvement grâce à quelque miracle de machinerie, lui s'occupe de faire des miracles d'acting, acteur parmi les acteurs, donnant de sa personne en toute situation pour des résultats qui vont de la prouesse sportive à l'abnégation en passant par la pratique de langues locales (qu'il prononce parfaitement) ou les combats dont on ne peut imaginer que le réglage n'a pas pris un temps et un nombre de prises considérables, à plus forte raison avec un réalisateur aussi pointilleux que celui-ci.
Le film était loin d'être terminé quand j'ai cessé d'essayer de comprendre les secrets de tournage derrière des séquences plus impressionnantes les unes que les autres. Mais ces prouesses à travers lesquelles aucun critique ne peut passer sèment aussi une sorte de désillusion, car elle masque l'uniformité du sujet, l'absence d'exploration du caractère des personnages à part deux ou trois, dont un (DiCaprio toujours) est de loin favorisé. Et quand arrive la fin, l'inanité de la vie des protagonistes nous frappe, mais pas dans un sens favorable. The Revenant, c'est « tout ça pour ça ? » et le « tout ça » est immense ; plus grand l'exploit, plus difficile est la chute à amortir, et elle ne l'a pas été en ce qui me concerne.
Malgré cette légère impasse, et si vous vous demandez "est-ce que le film est digne de ses trois Oscars ?", la réponse est oui. Il faut être dans une humeur particulière pour apprécier ce film pleinement, mais je pense qu'il restera une référence des performances cinématographiques possibles pendant une bonne décennie.
Le scénario est basique, basé sur une histoire vraie, le cheminement sans surprise, pas de larmes pour Leonardo DiCaprio, la récompense méritée pour l’ensemble de sa carrière.
Un excellent film qui retrace une histoire (presque) vraie. En effet, pour des besoins bien scénaristiques, la fin diverge de la véritable aventure de ce trappeur. Di Caprio est remarquable dans ce rôle.
On peut pas dire que ce soit mauvais : on ne s'ennuie pas, les plans sont beaux, la performance des acteurs est très bonne. Mais voilà, la performance semble le seul but du film. L'histoire est très linéaire, le propos sonne creux, et une fois le film terminé, on se dit : "Tout ça pour ça ?"
Inarritu définitivement dans la cour des grands ... à ranger à droite de Kubrick. Film contemplatif à la photographie superbe ... tout le monde n'appréciera pas .. moi, j'adore !
Magnifique ! L'incroyable histoire de Hugh Glass, un trappeur attaqué par un ours dans une Amérique sauvage, et qui n'a qu'un seul but dans la tête, survivre coûte que coûte. Leonardo DiCaprio y interprète ce rôle avec brio, ce qui lui a valu d'ailleurs l'Oscar du meilleur acteur (oui enfin !). La réalisation, signée Alejandro Inarritu, est somptueuse avec des plans et des cadrages remarquables où rien n'est laissé au hasard. Le film est fluide et hyper prenant dû à l'immense prestation de DiCaprio, brut, écorché vif et combattant. Un des chef d'oeuvre de 2015 à ne surtout pas rater.
Ce film est une pure merveille : la photographie , la direction des acteurs sont impeccables. C'est une expérience à vivre en salle , alors vous aurez souffert, et eu se désir de vengeance comme l'a eu le personnage, sans pour autant que le film ne vous paraisse trop long. Ce film est une ode à la vie, il est magnifique, impressionnant, et surtout inoubliable !
Le film est visuellement exceptionnel, avec des scènes filmés dans les magnifiques montagnes canadiennes, notamment des vues aériennes. Le spectateur est plongé de manière extrêmement réaliste dans l'Amérique sauvage. Les acteurs principaux, Leonardo di Caprio et Tom Hardy, sont aussi excellents. Malgré cela, ce film est décevant par bien des aspects. Le film, pourtant très lent dans sa manière de faire avancer le récit, ne prend absolument pas le temps nécessaire pour développer la relation entre le trappeur et son fils, ce qui entraîne une quête de vengeance dont on a finalement du mal à croire. De manière plus générale, le rythme du film est trop lent, et on finit par s'ennuyer devant un scénario finalement assez simpliste.
Un chef d'œuvre somptueusement filmé et prenant de bout en bout avec un Leonardo DiCaprio au sommet de son art dans le rôle de Hugh Glass, des plans-séquences remarquables, un scénario efficace, une réalisation magistrale d’Alejandro González Iñárritu, une BO formidable et une photographie à tomber.
Un très beau d'aventure sensationnel . Un petit bijou de cinéma. On nous plonge dans une Amérique sauvage. Leonardo DiCaprio est habité de trappeur dans le grand Nord .
Le seul reproche qu'on puisse faire sur ce film est sa longueur, on peut avoir tendance à s'ennuyer mais c'est compensé avec des scènes et des images de toute beauté.
Di Caprio égal à lui même c'est à dire extraordinaire.
Di Caprio égal à lui même c'est à dire extraordinaire.
Tiré d'une histoire vraie ? Qui peut un instant penser qu'un type peut survivre à ce que le réalisateur lui fait subir ? Déchiqueté par un ours par -20degres, tout le temps trempé mais jamais gelé...bref
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