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Votre avis sur The Revenant ?
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Film exceptionnel et sans doute la référence en survival : la réalisation, la photo, la presta de Di Caprio, cette violence de l'époque si bien traduite à l'écran, ce souffle épique qui nous accompagne tout le film...Du grand cinéma
quelques scènes qui sort du lot, avec une belle photographie mais on attend que le film démarre et il démarre jamais ça devient de la pure ennuis.
Le film est d’une indéniable beauté formelle. La photographie (oscar indiscutablement mérité) et la mise en scène sont époustouflantes. On est habitué avec ce réalisateur. Tout comme on est habitué a ces mises en images et histoires grandiloquentes et soyons honnêtes, contemplatives de son propre talent…Et la encore, on y échappe pas. Et c’est ce qui me reste après chaques film de Inarritu, un sentiment en demi teinte, entre belle claque et relative déception, comme dans Birdman ou Gravity…..Di Caprio est parfait dans son interprétation démonstrative et peu verbale, mais là encore, on y est habitué. Méritait-il l’oscar pour ce rôle pour autant ? Pas sûr tant d’autres interprétations passées le méritaient plus largement a mon avis. Quant au scénario, prévisible jusqu’au climax final se laisse clairement oublier.
Bref, c’est pas mal, mais pas innoubliable à mon avis.
Bref, c’est pas mal, mais pas innoubliable à mon avis.
Le titre spoile l'issue de ce récit rocambolesque. On ne peut donc pas vraisemblablement penser qu'Iñárritu veuille nous surprendre avec ce film.
Ildonne plutôt de l'importance aux moyens déployés par Glass pour revenir d'entre les morts. Force est de reconnaître que son épopée est impressionnante. La réalisation mouvementée d'Iñárritu s'adonne parfois à des pauses contemplatives, visuellement magnifiques – non sans rappeler le cinéma de Malick –, mais un peu lourdes à la longue. Ce sont ces longueurs qui altèrent le rythme du récit.
On peut aussi trouver dommage de ne pas assez s'attarder sur la pénibilité de se déplacer pour Glass. On le voit ramper jusqu'à une crête ; puis, plan suivant, il l'a déjà descendue et atteint le ruisseau. Le handicap moteur dont il souffre n'est pas le seul éludé. On ne ressent pas, comme on aimerait les ressentir, la morsure du froid perpétuelle, les difficultés respiratoires, les insomnies causées par la douleur. Cela donne l'impression qu'Iñárritu narre la légende épique d'un héros increvable, plutôt qu'il mettrait en scène une prouesse de survie à la fortune alternative.
The Revevenant aborde à la fois la survie extrême dans la nature et l'invasion colonialiste des Blancs. Les deux fils conducteurs s'entremêlent assez mal, la faute à un récit trop condensé, trop gourmand. Plusieurs flash-back pathos, souvent au ralenti et, parfois, teintés de mysticisme, alourdissent l'histoire d'une dimension mélodramatique, justifiant que la vision de Glass ne serait pas aussi arriérée que celle de ses comparses puisqu'il aurait vécu, naguère, avec une Amérindienne.
Cette vision de tolérance entre en conflit avec le désir de vengeance de Glass. Fitzgerald, figure méphistophélique de la cupidité, spoiler: est finalement rattrapé par celui qui a survécu à la mort : la Mort elle-même. Sauf que Glass se ravise à la fin : frappé par un éclair de lucidité, il préfère laisser sa proie aux Sioux qui passaient dans le coin. Changement de vision qui le déculpabilise de sa justice meurtrière, faisant de lui le bon père vengeur, charitable. Pirouette scénaristique facile.
Ildonne plutôt de l'importance aux moyens déployés par Glass pour revenir d'entre les morts. Force est de reconnaître que son épopée est impressionnante. La réalisation mouvementée d'Iñárritu s'adonne parfois à des pauses contemplatives, visuellement magnifiques – non sans rappeler le cinéma de Malick –, mais un peu lourdes à la longue. Ce sont ces longueurs qui altèrent le rythme du récit.
On peut aussi trouver dommage de ne pas assez s'attarder sur la pénibilité de se déplacer pour Glass. On le voit ramper jusqu'à une crête ; puis, plan suivant, il l'a déjà descendue et atteint le ruisseau. Le handicap moteur dont il souffre n'est pas le seul éludé. On ne ressent pas, comme on aimerait les ressentir, la morsure du froid perpétuelle, les difficultés respiratoires, les insomnies causées par la douleur. Cela donne l'impression qu'Iñárritu narre la légende épique d'un héros increvable, plutôt qu'il mettrait en scène une prouesse de survie à la fortune alternative.
The Revevenant aborde à la fois la survie extrême dans la nature et l'invasion colonialiste des Blancs. Les deux fils conducteurs s'entremêlent assez mal, la faute à un récit trop condensé, trop gourmand. Plusieurs flash-back pathos, souvent au ralenti et, parfois, teintés de mysticisme, alourdissent l'histoire d'une dimension mélodramatique, justifiant que la vision de Glass ne serait pas aussi arriérée que celle de ses comparses puisqu'il aurait vécu, naguère, avec une Amérindienne.
Cette vision de tolérance entre en conflit avec le désir de vengeance de Glass. Fitzgerald, figure méphistophélique de la cupidité, spoiler: est finalement rattrapé par celui qui a survécu à la mort : la Mort elle-même. Sauf que Glass se ravise à la fin : frappé par un éclair de lucidité, il préfère laisser sa proie aux Sioux qui passaient dans le coin. Changement de vision qui le déculpabilise de sa justice meurtrière, faisant de lui le bon père vengeur, charitable. Pirouette scénaristique facile.
"The Revenant," réalisé par Alejandro González Iñárritu, est un véritable chef-d'œuvre cinématographique qui repousse les limites de l'art visuel et narratif. Ce film, qui raconte l'incroyable histoire de survie de Hugh Glass, un trappeur laissé pour mort après une attaque d'ours, est une ode à la résilience humaine et à la puissance de la nature.
La photographie de "The Revenant," dirigée par le légendaire Emmanuel Lubezki, est tout simplement somptueuse. Chaque image est une peinture vivante, capturant avec une précision époustouflante la beauté brutale et sauvage des paysages américains. Lubezki utilise la lumière naturelle de manière magistrale, créant des scènes d'une beauté à couper le souffle, où chaque rayon de soleil, chaque flocon de neige, et chaque goutte de pluie deviennent des éléments narratifs à part entière. Les panoramas majestueux des montagnes enneigées, des forêts denses et des rivières tumultueuses transportent le spectateur dans un voyage sensoriel intense, rendant l'expérience immersive et authentique.
Leonardo DiCaprio livre une performance titanesque, incarnant Hugh Glass avec une intensité et une vulnérabilité qui sont à la fois poignantes et inspirantes. Son engagement physique et émotionnel est palpable dans chaque scène, témoignant d'une dévotion totale à son art. Tom Hardy, dans le rôle de John Fitzgerald, offre une prestation tout aussi remarquable, apportant une profondeur et une complexité à son personnage antagoniste.
Cependant, si l'on devait trouver quelques points négatifs, ce serait pour dire que le rythme du film peut paraître parfois lent pour certains spectateurs, en particulier ceux habitués à des thrillers plus rapides. De plus, certaines scènes de violence peuvent être éprouvantes et difficiles à regarder, bien que cela contribue à l'authenticité et à l'impact émotionnel de l'histoire. Enfin, la durée du film, bien que justifiée par la richesse de la narration et des visuels, pourrait être considérée comme excessive par certains.
En somme, "The Revenant" est une œuvre cinématographique exceptionnelle qui transcende les attentes et redéfinit les standards du genre. C'est un film à la fois brutal et beau, offrant une expérience visuelle et émotionnelle inoubliable. Un incontournable pour tout amateur de cinéma.
La photographie de "The Revenant," dirigée par le légendaire Emmanuel Lubezki, est tout simplement somptueuse. Chaque image est une peinture vivante, capturant avec une précision époustouflante la beauté brutale et sauvage des paysages américains. Lubezki utilise la lumière naturelle de manière magistrale, créant des scènes d'une beauté à couper le souffle, où chaque rayon de soleil, chaque flocon de neige, et chaque goutte de pluie deviennent des éléments narratifs à part entière. Les panoramas majestueux des montagnes enneigées, des forêts denses et des rivières tumultueuses transportent le spectateur dans un voyage sensoriel intense, rendant l'expérience immersive et authentique.
Leonardo DiCaprio livre une performance titanesque, incarnant Hugh Glass avec une intensité et une vulnérabilité qui sont à la fois poignantes et inspirantes. Son engagement physique et émotionnel est palpable dans chaque scène, témoignant d'une dévotion totale à son art. Tom Hardy, dans le rôle de John Fitzgerald, offre une prestation tout aussi remarquable, apportant une profondeur et une complexité à son personnage antagoniste.
Cependant, si l'on devait trouver quelques points négatifs, ce serait pour dire que le rythme du film peut paraître parfois lent pour certains spectateurs, en particulier ceux habitués à des thrillers plus rapides. De plus, certaines scènes de violence peuvent être éprouvantes et difficiles à regarder, bien que cela contribue à l'authenticité et à l'impact émotionnel de l'histoire. Enfin, la durée du film, bien que justifiée par la richesse de la narration et des visuels, pourrait être considérée comme excessive par certains.
En somme, "The Revenant" est une œuvre cinématographique exceptionnelle qui transcende les attentes et redéfinit les standards du genre. C'est un film à la fois brutal et beau, offrant une expérience visuelle et émotionnelle inoubliable. Un incontournable pour tout amateur de cinéma.
Pour moi, c'est le meilleur film sur la violence de la nature et sur la beauté des paysages, juste devant La ligne rouge, de Terrence Malick.
Je trouve toutefois que ce n'est pas le plus grand rôle de DiCaprio, qui s'était davantage surpassé dans Le loup de Wall Street, de Martin Scorsese.
Film passionnant et réaliste, qui nous montre la dureté des conditions de vie de l'époque (Amérique du Nord du XIXe siècle).
La photographie est superbe (l'une des meilleures que j'ai vue, avec ses plans-séquences).
À voir !
Je trouve toutefois que ce n'est pas le plus grand rôle de DiCaprio, qui s'était davantage surpassé dans Le loup de Wall Street, de Martin Scorsese.
Film passionnant et réaliste, qui nous montre la dureté des conditions de vie de l'époque (Amérique du Nord du XIXe siècle).
La photographie est superbe (l'une des meilleures que j'ai vue, avec ses plans-séquences).
À voir !
Grand film, pour ne pas dire chef d’œuvre, « The revenant » est un western survival à la fois intimiste, poétique et violent, avec des dialogues à minima, dans un environnement naturel grandiose, glacé et d’une beauté sublimée. La réalisation est magistrale et le film est littéralement porté par la prestation époustouflante de Leonardo DiCaprio. Cette fresque sauvage, vertigineuse et spectaculaire fait écho au long chemin de croix intérieur du héros (âmes sensibles s’abstenir). Du grand cinéma, âpre, admirable, captivant et techniquement renversant.
Si il y a un film à retenir de Leonardo di caprio c’est bien celui la, tout le film est juste magnifique en terme d’images, décors, costumes, atmosphère, … Chaque scène pourrait devenir un fond écran tellement tout est beau. Le jeu d’acteur est juste incroyable. On a carrément l’impression de souffrir avec le personnage et on sort de ce film fatigué tellement les émotions sont bien retranscrits. Enfin, il n’y a pas que l’acting et les scènes qui font ce film mais aussi l’histoire que je trouve aussi incroyable et l’idée de nous faire passer 2h30 dans la solitude la plus totale avec quasiment toujours le même personnage et un film très silencieux sans beaucoup de texte est très osée mais tout aussi incroyablement réussie.
Un bon film sympa a regarder tranquillement l'après midi, Di caprio nous livre une superbe prestation, ce film possède de nombreuses images sublime avec d'innombrables scène d'action très réaliste, malheureusement j'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de longueur 2h30 un peu trop long à mon gout 3.5/5
L'acting (sauf Dicaprio) est bancale tout comme l'histoire qui est tiré par les cheveux, la seule qualité est la photographie qui est bien réalisé mais sinon j'ai pas aimé
Que c'est beau ! Un chef-d’œuvre pictural. La mise en scène, l'image sans lumière artificielle, le son embrassent tous nos sens comme jamais pour un film de ce genre. Scène d'une telle violence qui paraît tellement réelle, mais contrebalancer par une nature tellement lumineuse et paisible. On passe par toutes les émotions.
Une immersion totale, un exploit d'arriver à tourner un film pareil dans des conditions drastiques, mais ça paye et donne une véritable œuvre d'art comme on en voit peu.
Une immersion totale, un exploit d'arriver à tourner un film pareil dans des conditions drastiques, mais ça paye et donne une véritable œuvre d'art comme on en voit peu.
Il faudrait vraiment que Léonardo Dicaprio arrête de congeler.
Blague, à part, voici un excellent film. Seconde adaptation après "Le convoi sauvage" (que je n'ai pas vu), de l'histoire vraie du trappeur Hugh Glass, qui, gravement blessé par un grizzly, sans armes et laissé pour mort, parvint à gagner le Fort Kiowa, distant de plus de 300 kilomètres, en six semaines.
Le film est violent, certaines scènes sont atroces, comme celle de l'ours qui parait si réelle, tant les effets spéciaux sont réussis, tout comme les décors, costumes et accessoires d'ailleurs. Et puis le film est prenant, super bien filmé, on a les yeux rivés sur les tentatives de Dicaprio pour survivre, et alors celui-ci est juste hallucinant, et moi qui le voyait mal jouer encore mieux que dans Shutter Island, c'est pas étonnant qu'il ait remporté un oscar ici ! Son personnage est si attachant, qu'à plusieurs reprises des larmes de joie ont coulé en le voyant persévérer. Tom Hardy est également très charismatique et détestable en Fitzgerald
Seuls bémols : la vengeance un peu pathétique (et qui diffère de l'histoire réelle dans laquelle Glass aurait épargné Fitzgerald) et la musique affreuse.
Une super pépite qui prône qu'il faut se battre jusqu'au bout.
Blague, à part, voici un excellent film. Seconde adaptation après "Le convoi sauvage" (que je n'ai pas vu), de l'histoire vraie du trappeur Hugh Glass, qui, gravement blessé par un grizzly, sans armes et laissé pour mort, parvint à gagner le Fort Kiowa, distant de plus de 300 kilomètres, en six semaines.
Le film est violent, certaines scènes sont atroces, comme celle de l'ours qui parait si réelle, tant les effets spéciaux sont réussis, tout comme les décors, costumes et accessoires d'ailleurs. Et puis le film est prenant, super bien filmé, on a les yeux rivés sur les tentatives de Dicaprio pour survivre, et alors celui-ci est juste hallucinant, et moi qui le voyait mal jouer encore mieux que dans Shutter Island, c'est pas étonnant qu'il ait remporté un oscar ici ! Son personnage est si attachant, qu'à plusieurs reprises des larmes de joie ont coulé en le voyant persévérer. Tom Hardy est également très charismatique et détestable en Fitzgerald
Seuls bémols : la vengeance un peu pathétique (et qui diffère de l'histoire réelle dans laquelle Glass aurait épargné Fitzgerald) et la musique affreuse.
Une super pépite qui prône qu'il faut se battre jusqu'au bout.
La nature magnifique et sauvage d'Amérique du nord sublimée par une réalisation très inspirée, avec des plans de paysages époustouflants.
La violence, surtout celles des Hommes, contraste avec la beauté du décor.
Le plan séquence du début, lors de l'attaque des Arikaras, est une véritable pépite cinématographique.
Le film met l'accent sur la survie dans ce milieu inhospitalier, et nous fait suivre le personnage de DiCaprio dans sa tragique quête de vengeance.
La violence, surtout celles des Hommes, contraste avec la beauté du décor.
Le plan séquence du début, lors de l'attaque des Arikaras, est une véritable pépite cinématographique.
Le film met l'accent sur la survie dans ce milieu inhospitalier, et nous fait suivre le personnage de DiCaprio dans sa tragique quête de vengeance.
"On a tendance à penser que DiCaprio joue son meilleur rôle dans chacun de ses films, mais celui-ci est à part. Ici, DiCaprio ne fais pas du DiCaprio. Dans ce film, il est assis à une table où peu voire aucun acteur n'oserait s'asseoir, il est monumental.
Concernant le film en lui-même, je pourrais accrocher chaque scène comme un tableau dans mon salon. Le scénario est simple : un gentil, un méchant, une vengeance (en gros)C'est tout ce dont on a besoin pour apprécier le grand cinéma. Bravo."
Concernant le film en lui-même, je pourrais accrocher chaque scène comme un tableau dans mon salon. Le scénario est simple : un gentil, un méchant, une vengeance (en gros)C'est tout ce dont on a besoin pour apprécier le grand cinéma. Bravo."
Je regarde toujours les notes et les avis avant de regarder un film. C'est très rare que je sois déçu. Avec une note comme celle donné sur le site, c'est sans hésitation que je me suis lancé dans ce film......et patatra, c'est une énorme déception. C'est un ramassis de situations incroyable et inimaginable. Ce n'est pas du tout crédible. Le réalisateur s'est fait plaisir avec de belles images, mais le film est navrant de moments qui n'ont aucune crédibilité.
Je suppose qu'il était de bon ton de faire et dire comme tout le monde et de louée ce film à sa sortie mais franchement je ne tomberai pas dans le snobisme en faisant ici des éloges.
Je suppose qu'il était de bon ton de faire et dire comme tout le monde et de louée ce film à sa sortie mais franchement je ne tomberai pas dans le snobisme en faisant ici des éloges.
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