Avis : La Petite Sirène - Page 6

C'est toujours une histoire d'amour, mais elle est moins mièvre que dans Cendrillon. L'attrait de ce film d'animationest u'il se déroule dans le milieu marin avec des sirènes. En effet, ce film est prétexte à la création de créatures sous-marines particulièremnt drôles et originales et la différence entre les 2 mondes(sous la mer et sur la terre) donne de la crédibilité au combat d'Alice. Le personnage du crabe est très réussi car irrésistible et La sorcière est vraiment horrible. Un bon film d'animation.

Un grand classique de Disney qui reste l'un de mes préférés et marque le début de second âge d'or des années 90, que dire de ce film, dessins, musique et chansons magnifiques, scénario riche et prenant, personnages bien développés et charismatiques. Ariel la petite sirène qui au début semble une fille pourrie gâtée, fait preuve d'une grande force de caractère pour atteindre ce qui semble impossible quitte a tout perdre, son père Triton est attendrissant malgré qu'il soye un roi tout-puissant ne sait comment protéger et résonner sa fille. La méchante est juste géniale, manipulatrice, cynique et jouissive. La deuxième partie du film est encore meilleure ou l'on découvre la féminité et la fragilité d'Ariel qui reste pour moi l'une des rouquines les plus mignonnes ^^

Encore une immense classique des studios disney, "La petite siréne" s'avére poétique, romantique, magnifique. Mettant en scéne des personnages tous aussi bien travaillés à la fois scénaristiquement que visuellement, ce long métrage destiné à tous les âges comblera sans peine les amateurs de premier ordre et les autres. Esthetiquement irréprochable, la beauté des décors et de l'environnement renvoient vers un relief totalement immersif et innovant pour un disney. S'il n'est pas spécialement original (la fille qui rêve de rencontrer l'amour, mais qui est freinée dans sa quête par une diabolique sorciére), le chemin entreprit est plus osé et moins linéaire. Ainsi, accompagnée d'un poisson sympathique et loyal, d'un crabe autoritaire, d'une mouette dejantée mais amicale, Ariele parcourt les océans jusque la Terre, où elle retrouve le prince Eric emerveillé de la voix de sa dulcinée, qui a été retirée à cette derniére par l'infame Ursula. Tous les ingrédients sont réuni : une musique sublime de Menken (habitué du genre et toujours au rendez-vous), une réalisation imparable (Musker et Clements sont vraiment des poids lourds incontournables des studios), des chansons entrainantes et qui vous martelent encore l'esprit une fois le générique de fin entamé, un message plutôt caricatural mais subtilement amené et donc empli d'espoir pour les moins optimistes. Bref, un chef d'oeuvre de l'animation, qui balaye les injustifiées critiques contre les métrages précédents, et fait d'une pierre deux coups en inscrivant "the little mermaid" dans le patrimoine des studios et l'histoire de l'animation. Grandiose.

Allez, allons-y pour les dessins animés! Bon, autant dire que celui là est loin d'être mon préféré. Il est amusant, divertissant certes mais reste très ou trop enfantin. Certains dessins animés de ce genre se détachent justement car ils parviennent à s'adresser aux enfants comme aux adultes. Le problème avec "La petite sirène" ne concerne ni l'histoire, ni les dessins, ni les personnages, simplement son côté cu-cu que je ne percevais pas avant.

La Petite sirène est un peu le grand bazar de l’Histoire où s’amoncellent les périodes plus ou moins bien référencées : le cadre semble mythologique – et grec – avec Triton et ses sirènes, mais la vie terrestre donne l’impression de se passer à la Renaissance. Et dialogues et chansons délivrent un propos ambiguë fait de revendications pseudo-féministes contemporaines énoncées entre deux actions elles plutôt traditionalistes. Entre ces eaux à teneur vaguement historique louvoie une fille de 14 ans qui tombe sous le charme du premier garçon entraperçu, comme tirée du couvent où elle demeurait la cloîtrée. En troquant son signe d’appartenance familiale pour des belles et fines jambes, elle sacrifie sa belle et fine voix que l’homme de toute façon n’apprécie guère ; pas de chance pour elle, c’est justement sa voix que cherchera l’amant ami dont elle s’éprend. L’ancrage historique ne tient pas. L’ancrage symbolique non plus. Car rien n’est véritablement creusé, ni la personnalité de notre prince charmant dont on ne connaît que son chien rigolo, ni la personnalité de notre héroïne qui ne semble jamais jouer de rôle ni politique – elle est pourtant la fille d’un dieu – ni symbolique. Juste la fille, juste le garçon, juste la rencontre et voilà. Disney réduit le canevas à son strict minimum et préfère colorier ses poissons. La très belle animation enveloppe l’ensemble, de bonnes chansons dynamisent le récit. En fait, La Petite sirène agit de la même manière qu’un aquarium : on jette quelques notes et la population se meut un temps. Le souci vient de ce foutoir historique dans lequel les réalisateurs ne semblent piocher que les clichés les plus datés et complaisants sur l’amour : un prince charmant en quête du coup de foudre pour satisfaire papa, une fille niaise qui chante bien et qui troquera sa queue de poisson – originalité évincée – pour adopter les attributs de son tendre époux. Naufragés d’un pouvoir qu’ils ne désirent pas, nos deux protagonistes deviennent des âmes romantiques aussi lisses que le dos d’une raie. C’est quand même bien dommage.

Difficile de juger objectivement ce film de mon enfance. Il est tellement culte que j'ai rencontré ma meilleure amie grâce à lui. Pour en revenir au film, disons qu'ils remontent les studios Disney alors qu'ils vivent une mauvaise passe depuis quelque temps. On retrouve donc la mouvance des longs métrages d'antan, avec une animation et des graphismes au top, des personnages attachants et des seconds rôles drôles et une musique et des chansons qu'on oublie pas. D'ailleurs "Sous l'océan" ou plutôt "Under the Sea" avait reçu un oscar, elle est d'ailleurs brillamment interprété par Henry Salvador. Le doublage français est parfait, Claire Guyot donne beaucoup de sensibilité à Ariel seulement pas le biais de sa voix. Pour moi le seul point noir résulte dans sa fin, que je trouve toujours trop grosse et incohérente avec les faits précédents... D'ailleurs grâce au bonus, je sais que les scénaristes et les animateurs avaient prévu une fin différente qui je trouve collait beaucoup mieux. Ce long métrage était donc presque parfait, en tout cas c'est un de mes Disney préférés et pour plusieurs années. Maintenant il faut que je me décide à lire le conte. Si vous ne l'avez pas encore vu, je ne peux que vous le recommandez, on se reconnaît tous dans l'intrépide et amoureuse Ariel.

Considéré comme le point de départ de l'âge d'or Disney des années 90, il est évident que la Petite Sirène est un régal pour les yeux!
Le travail sur l'animation et la direction artistique est époustouflant et brille par sa beauté! Les chansons du film sont géniales et restent gravées en tête. Le scénario est relativement "classique" mais ne manque pas d'intérêt grâce aux personnages, mention spéciale à Ursulla qui est vraiment flippante!
Un classique et un essentiel du studio!

Les studios Disney subissent de profonds remaniements au cours des 80's, ce qui aboutit en 1989 à la production de "The Little Mermaid". Le film remporta alors un gros succès, qui relança le cinéma d'animation made in Disney, et marqua le début du second âge d'or des studios. Adapté d'un conte d'Andersen (ici largement épuré et infantilisé), l'intrigue se centre sur une sirène amoureuse d'un prince, et qui désire devenir humaine. Un scénario très classique, au message d'épanouissement personnel et d'ouverture, qui sert de prétexte à une aventure sous-marine colorée. Si les deux protagonistes (Ariel et le prince) ne sont pas très subtils, les personnages secondaires sont amusants, l'animation est réussie, et l'ensemble comporte plusieurs numéros musicaux sympathiques. Divertissant.

La Petite Sirène marque deux renouveaux : celui des adaptations de contes de fées et celui d'un nouvel âge d'or pour les Studios Disney. Comme pour Blanche et les sept nains pour les années 1940 et Cendrillon pour les années 1950, son énorme succès déclencha la réalisation d'autres dessins animés mémorables tels la Belle et la Bête, Aladdin, le Roi Lion ou encore Pocahontas. Écartant avec évidence la noirceur et la dimension tragique et douloureuse du conte original, le film propose une histoire assemblant adroitement humour, émotion et magie comme savait si bien le faire Disney autrefois. La musique (signée Alan Menken) et les chansons sont magnifiques et les personnages tous très réussis. Sébastien (doublé en français par Henri Salvador) et Eureka sont hilarants. Ariel est sublime et très attachante. Bien qu'elle soit encore une princesse disney classique (elle tombe amoureuse de son prince en un instant), il y a quand même chez un début d'héroïne disney moderne car c'est la première à sauver son prince. Ursula est également une méchante inoubliable et interprétée en français par la grande Micheline Dax. Et le monde sous-marin est recrée de manière impressionnante et crédible avec ce panache d'effets de bulles, tourbillons, distorsions de l'eau et ombres maritimes. Je sais qu'il y en a certains qui râlent que le film ne soit guère fidèle au conte original. À titre purement personnel, je préfère voir un dessin animé charmant, drôle et magique qui réchauffe le coeur que de visionner une histoire tragique et cruelle qui plombe le moral, ceci sans nier les qualités du conte original. Bref, la Petite Sirène est une pure merveille. Un magnifique et inventif film d'animation, une superbe réussite comparable aux précédents chefs-d'oeuvre disney et qui continue d'enchanter.

JE HAIS CE DISNEY !ET DIRE QUE SES RéALISATEURS SONT CEUX DE LA PRINCESSE ET LA GRENOUILLE !LA MéCHANTE RIDICULE...argh !je peux pas dire plus .le seul petit intérêt ,une chanson de sébastien (un crétin des mers rouge comme une tomate écrabouillée !ça fait rire quelqun ,ça ?) ,SOUS L'OCéAN .MANQUE DE BOL,UN DISQUE EST SORTI AVEC LA CHANSON !ET C'EST QUOI ALORS CETTE ARNAQUE POUR REGUARDER UN FILM POUR UNE CHANSON?laid !un nouveau mauvais disney .

super disney... qui reste aussi mémorable...

Un grand classique des studios Disney avec une fabuleuse BO d'Alan Menken, une histoire magnifique et des personnages attachants.

Un grand classique magnifique et touchant des studios Disney avec une fabuleuse BO d'Alan Menken, une héroïne attachante et une histoire magnifique.

Ce Disney est assurément une réussite; tout y est réuni pour en faire un véritable chef d'oeuvre: une histoire bien connue du grand public, des chansons soignées et une musique envoûtante, un méchant (en l'occurence une méchante) charismatique et un ton résolument moderne tant dans le caractère des personnages que dans les dialogues. Juste un petit bémol: l'animation n'est pas aussi soignée que dans les grands chefs d'oeuvre du passé. D'un plan à l'autre, les traits des personnages sont moins aboutis et les décors n'atteignent pas la richesse passée (pas encore! La Belle et la bête se chargera de palier à cette lacune). Mais, qu'importe! Depuis La Belle au bois dormant et malgré quelques grands succès comme les Aristochats ou Bernard & Bianca, aucun film n'avait atteint un telle harmonie parfaite tant visuelle, musicale que scénaristique. Les studios Disney entament leur nouvel âge d'or, 40 ans après la Belle au bois dormant avec un film qui entre dans le cercle très fermé des chefs d'oeuvre du studio.

ahhhhhh! ça rappelle tellement de bons souvenirs! à voir et revoir