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    Prisoners
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    2 082 critiques spectateurs

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    Critik D
    Critik D

    155 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Beaucoup d'éloges sur ce film qui n'ont fait que renforcer ma déception. Certes c'est peut être le meilleur thriller de cette décennie mais il suit l'archétype du thriller d'aujourd'hui, les anciens sont bien meilleurs et le comparé au silence des agneaux est un affront. Le scénario souffre sur plusieurs point, heureusement les acteurs se révèlent, je pense notamment à Hugh Jackman qui nous offre surement sa meilleure prestation.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Bon film, mais sans plus. Bonne réalisation mais grosse déception vers la fin du film, aucune surprise dans le dénouement, pour un thriller, c'est trop léger. En effet, on devine tout avant que le dernier quart du film ne commence. Film correct, mais qui ne mérite pas ces fabuleuses notes de la presse qui ont certainement dû être achetées...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Un début de film laborieux et surfait, pas de surprises… puis enfin du suspens, beaucoup de tension, lourd même et une fin un peu décevante…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Vu les critiques, je m'attendais effectivement à un film long, trop long, et effectivement, il y a bien 30mns faciles à couper... malgré tout on ne peut rester indifférent à l'enlèvement des 2 enfants, je pense que cette longueur est voulue par le réalisateur pour se mettre dans la peau des parents probablement... mais au final, je ne sais pas je ne recommanderais peut être pas ce film, et si je l'avais vu à la maison, j'aurais probablement zappé quelques fois..
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 octobre 2013
    Lent, ennuyeux, surjoué, un scénario sans saveur et truffé d’invraisemblances, des personnages fantomatiques sans aucun charisme, de la violence gratuite matinée de référence biblique (le tour de passe passe habituel des américains pour légitimer la perversion de leurs films)...aucun intérêt.

    L’engouement de la presse et des spectateurs pour ce genre de production est nettement plus anxiogène que le film en lui-même.
    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 440 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    pour moi le film était difficile à regarder , il est beaucoup trop violent à mon gout , même si cela reste très bien joué , des films avec des intrigues comme celui là , il y en a des tonnes et ils sont pas pour autant si violent ,même si cela se laisse regarder , je n'irais pas le revoir .
    carpdiem72
    carpdiem72

    11 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    j'ai pas accroché avec ce film, le début laissait augurer d'un bon polar, mais très vite ce scénario alambiqué est devenu lourd ( de nombreux exemples).
    le super flic qui fait tout, tout seul, et la longueur du film m'ont déplu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Prisoners pousserait presque à œuvrer pour la réhabilitation des camping-cars, parce que du RV symbole d'instabilité à la pédophilophobie mania, il n'y a qu'un pas -franchi allègrement par Denis Villeneuve.
    En réalité, qu'importent les camping-cars : seul compte le choix de la délinquance sexuelle, pas encore passée de mode et, après tout, matière à bon thriller. Dommage, cependant, que le thriller en question ne serve que de prétexte à une propagande américaine servie par un Québécois : attention, braves gens, dans un rayon d'environ quinze kilomètres autour de chez vous se cachent une dizaine de pervers. Le prêtre ? Évidemment ; mieux vaut donc rester à la maison que d'aller à l'Église. Vous connaissez le refrain ? "Our Father who art in heaven, hallowed be thy name. Thy kingdom come. Thy will be done on earth as it is in heaven. Give us this day our daily bread, and forgive us our trespasses, as we forgive those who trespass against us, and lead us not into temptation, but deliver us from evil." Le film s'ouvre sur cette prière d'un lyrisme certain, puis assomme de croix.
    En réalité, qu'importent les croix : seule compte la statistique. Tout le monde se fiche du nombre d'étudiants japonais cannibales qui vivent à Paris -grossière erreur, mais Hannibal a fait son temps ; de nos jours, tout le monde chasse le pédophile comme la biche. Alors Paul Dano d'en prendre -littéralement- plein la figure à cause de son recreational vehicle, parfait pour enlever les petites filles, et de ses lunettes plus grosses et ringardes que celles de Marc Dutroux. Bon d'accord, il a une drôle de tête Paul Dano, et il a une drôle de tête son personnage ; son personnage est un incapable majeur, un teubé quoi, sauf que ses garanties procédurales supplémentaires, l'Amérique s'assied dessus.
    En réalité, qu'importent les garanties procédurales supplémentaires : il ne morfle vraiment qu'entre les mains de Hugh Jackman. Pas étonnant qu'avec un beauf pareil en guise de père la gamine ait fugué ; d'ailleurs, elle part juste avant qu'il n'admette chanter l'hymne national sous la douche. Vous connaissez le refrain ? "Tis the star-spangled banner! Oh long may it wave / O'er the land of the free and the home of the brave." Cinq minutes de plus et elle concluait un contrat avec trois ex-Marines enragés pour qu'ils massacrent sa famille à coup de marteau, à la You're Next. Ah, elle a vraiment été kidnappée ? Par Paul Dano ?
    En réalité, qu'importe la culpabilité : Hugh Jackman a juste besoin de se défouler, de cogner, de... Oh le salaud, il commet un déni de marteau -prohibé par l'article premier de la Convention coréenne des droits de l'Homme. À la place, il encage son gibier ou, plutôt, l'enferme dans un cagibi en contreplaqué : un mètre carré de dignité, avec une chaudière qui déconne, pour le prix dérisoire de la bonne conscience d'une Amérique qui préfère mille fois définir la bonne cause, d'intérêt général ou particulier, qu'interdire la torture, principe intangible s'il en est. Bien sûr, le couple d'amis dont la fille a également été enlevée s'en lave les mains : il n'appartient pas à la caution afro-américaine du film de donner son avis sur un sujet qui la dépasse. Bien sûr, l'insupportable Maria Bello considère son bourreau de mari comme un homme bon : il lui apporte le "daily bread" et lui tend les petites pilules qui la "deliver [...] from evil".
    En réalité, qu'importent les petites pilules : Paul Dano attend toujours que Jake Gyllenhaal le sorte de son cagibi ; après tout, un inspecteur nommé Loki doit être ingénieux et partager avec le dieu nordique davantage que la coupe de Tom Hiddleston dans Thor. Ainsi, lorsque Loki brûle, il entrevoit, par le glory hole, la fin de l'eau qui brûle ; puis Loki refroidit et les cheveux gominés envahissent son esprit. Mais n'y a-t-il vraiment rien sous ce casque ? Jake Gyllenhaal se doute quand même que la gamine risque moins de souffrir avec son kidnappeur qu'avec son fou furieux de père. Et de toute façon, l'enquête piétine : il est trop occupé à cligner des yeux pour réfléchir -mais attention, braves gens, ne vous moquez pas des tiqués.
    En réalité, qu'importent les tics : le pauvre flic n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. David Fincher lui manque, Bong Joon-Ho se fait désirer... Deux heures qu'il attend son coup de fil. Défoncer un clavier Acer soulage, certes, mais à court terme seulement. Puis, le scénario ne le satisfait pas : deux petites filles droguées au coca-cola et forcées de gagner à la marelle pour rentrer chez elles... Jake soupire, Jake hésite : peuvent-elles perdre à la marelle ? Aussi propose-t-il à l'auteur, dans l'incertitude, de remplacer ledit jeu par un labyrinthe : enthousiasme général. A maze? That's fucking amazing Jake! It's like the corpse's necklace that's found in the priest's basement! "Amazing grace, how sweet the sound, / That saved a wretch like me!" It's fucking symbolic mate! How? Never mind how! Amazing!
    Never mind how. Never mind la belle photographie, sombre et glaciale ; never mind les belles prestations des acteurs principaux ; never mind les quelques scènes prenantes, l'arrêt de Paul Dano en tête : Prisoners est grossier et prétentieux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 octobre 2013
    Le temps qu'il fait en permanence dans le film : il pleut. Les décors des intérieurs des habitations : affreux. La tonalité générale des images d'un bout à l'autre du film : gris sale. Après ça une histoire qui se traîne, des personnages pas vraiment attachants, un père furieux dont on ne voit rien d'autre qu'une détermination attendue, un autre père dont on sent qu'il aurait préféré jouer un rôle amusant, un suspense mal fagoté. Il n'y a même pas un seul acteur vraiment beau ou qu'on a envie de regarder. Au fur et à mesure de la progression du film, on s'habitue petit à petit à voir des morceaux d'histoires sans queue ni tête s'enchaîner avec des liens très faibles entre eux. Ca se veut de l'absurdité artistique, mais au final on se dit qu'on préfèrerait largement être dans la salle obscure voisine pour voir quelque chose de plus captivant.
    Je n'étais pas venue poster une critique ici depuis 3 ou 4 ans, mais j'ai déterré mes codes d'accès juste pour rédiger celle-là, car je suis furieuse de m'être laissée influencer par les avis dithyrambiques qui encensent ce pur navet.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    de très bons acteurs mais mon Dieu que c'est long!
    Jocelyne D.
    Jocelyne D.

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2013
    2h30 de film sur le kidnapping de deux fillettes, je m'attendais à des longueurs. Et non, le réalisateur nous présente un polar dur avec des personnages merveilleusement bien joués. Mais l'histoire est émaillée de pistes qui même résolues restent inexpliquées. Le tout est un peu alambiqué.
    Dandure
    Dandure

    174 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2013
    Attention, cet avis contient des spoilers tels que: spoiler: A la fin, c'est Dieu qui gagne.

    Le labyrinthe était en toc.
    Bon, Hugh, tu joues un bon américain qui va faire le boulot lui-même parce que la justice, c'est tous des ploucs. Vas-y, pleure en tapant sur l'handicapé, ça te vaudra peut-être un oscar !
    Toi Jake, tu vas incarner un flic suffisamment nul pour faire traîner le film pendant 2h40 à force de maladresse et d'incompétence. T'inquiète, ce sont d'heureux hasards qui résoudront l'enquête à ta place. On t'a prévu des tatouages, t'auras l'air rock n'roll. Tu veux cligner des yeux toutes les 10 secondes pour rendre ton personnage plus crédible ? Je vois pas trop le rapport, mais ok, fais ton truc.
    Les femmes, restez prostrées, je veux pas vous entendre.
    Les retardés mentaux, surtout, ayez l'air louche et vicieux. De toute façon, les gens comme vous ne sont jamais vraiment innocents, pas vrai ?
    Le plus inquiétant, c'est que tout ça se prend pour une métaphore de la société américaine.
    fabien B.
    fabien B.

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Tout d'abord, je pense être quelqu'un ayant un certain goût voir des goûts certains pour les bons films et notamment ceux ayant une écriture et une intrigue soignées.
    Aussi, lorsque je lis les éloges conernant ce film ("le plus grand thriller depuis le silence des agneaux"), je me rue vers mon cinéma le plus proche afin de pouvoir profiter du chef d'oeuvre.
    Rien de manque par rapport à ce qui m'avait été annoncé :
    de la sobriété, le film démarre après un succin "prisoners" affiché sur l'écran
    du vide, il n'y a jamais presque personne dans les rues à part les protagonistes. Au delta près des éventuelles courses poursuites , nous sommes en présence d'un huis clos à ciel ouvert, plutôt bien vu.
    du sombre, les scenes de nuit, les pieces sont mal éclairées, le ciel est un ciel d'automne voire hivernal.

    Mais ... mais ... mais ...

    que l'histoire se traine en longueur !!!
    quel manque de frissons (au delta près de ma phobie des reptiles qui font "ssss" ;

    que cette fin est annoncée d'avance,
    que par moment c'est surjoué à grand coup de gros plans en veux tu en voilà ...

    Cela fait deux fois en une année que les grands favoris aux oscars nous livrent des films plats (happiness therapy fut le premier) et très surcôtés selon moi ...

    bref, bon casting mais réalisation et scénario ne sont pas au rdv ...

    bref, je peux retourner tranquille sur se7en pour le dernier film m'ayant fait frissonner depuis le silence des agneaux
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Dimanche après-midi. Temps gris. Pourquoi ne pas aller voir un thriller psychologique auréolé de critiques positives lors de sa présentation au festival de Toronto récemment ? Sur le papier, l’idée était bonne, d’autant plus que j’ai longuement étudié les disparitions et enlèvements de mineurs dans le cadree d’un cours de criminologie l’an passé. Mais “Prisoners” de Denis Villeneuve déçoit, énerve même, tant il y avait bien mieux à faire …

    Le film touche en plein cœur le sujet sensible de la disparition d’enfants, thème idéal pour tisser une ambiance pesante et anxiogène. Au bout de 10 minutes de film, nous sommes déjà en pleine enquête de police, ce qui paraît assez osé vu la durée du film (2h33). On espère alors que les pistes vont se multiplier, ce n’est clairement pas le cas. Sans s’ennuyer pour autant, le scénario s’attarde sur la volonté de vengeance du père d’une des petites filles. Cela nous interroge sur le comportement que l’on adopterait dans la même situation. C’est intéressant car on soutiendrait presque la cruauté de ce père désemparé … Mais l’enquête manque de pistes pour que l’on puisse s’étonner de la fin du film !

    On relève malgré tout la bonne prestation de Paul Dano (déjà troublant en ado silencieux dans “Little miss sunshine”), dans le rôle du jeune attardé qui attire tous les regards. Le jeu de Hugh Jackman est également satisfaisant, son implication et sa hargne folle collent avec la gravité du film.

    A la fin de “Prisoners”, on est révolté d’avoir autant de questions sans réponses, quand on voit la banalité de l’issue finale : A quoi bon servent les serpents ? Qui est le type qui se suicide en garde à vue ? De plus, la motivation des bourreaux mérite d’être beaucoup mieux expliquée … Il n’y a rien de pire, dans un thriller de ce genre, que de rester avec plus de pièces du puzzle qu’on en assemble.

    “Prisoners” avait sans doute de quoi figurer parmi les thrillers qui comptent cette année, mais c’était sans compter de trop nombreuses absurdités dans le scénario, qui rendent le film profondément gênant et décevant. C’est dommage, les acteurs étaient au top, eux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Film intéressant dans la durée où l'on ressens cette attente de retrouver les enfants et où l’énigme reste l'abyrintique, mais complètement saboté par le dénouement ultra rapide qui m'a laissé de marbre! spoiler: Pourquoi la petite fille accuse t'elle le père? Comment le père prend il conscience que c'est la tante qui les avait enlevé?
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