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    The Myth of the American Sleepover : la légende des soirées pyjamas
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    Yetcha
    Yetcha

    894 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2015
    Ce film est un grand grand film. Pourquoi? Derrière ce titre qui est bien plus significatif en version originale qu'en version française, la première réalisation de David Robert Mitchell est un oeuvre incroyable. Il filme avec une précision incroyable et parvient à sonder le sentiments les plus profonds des adolescents. Les situations sont tellement vraies, tellement pleines de souvenirs parfois. Les adolescents, même dans un univers états-uniens, agissent de la même façon qu'en France. C'est une vraie belle réussite qui montre une maîtrise incroyable d'un réalisateur âgé de 26 ans seulement au moment du tournage. Un très grand talent à venir, et ce n'est pas son deuxième film "It follows" qui va contredire ça. Vivement son troisième film!!!
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2015
    Premier film de David Robert Mitchell, "The Myth of The American Sleepover" est à la chronique adolescente ce que son deuxième film, "It Follows", est au genre horrifique : une claque, tout simplement !
    Un film traversé par un spleen on ne peut plus mélancolique et contemplatif (la fin d'un été, la fin d'une époque) où gravite une mosaïque de jeunes personnages déboussolés par le passage à l'âge adulte, perdus quelque part entre la fin de l'enfance (les "soirées-pyjama", les lancers d'œufs sur des maisons ou une partie de ouija) et l'envie de nouvelles expériences et sensations mais qui, dans le fond, ne font que renforcer leur vulnérabilité.
    Aucun personnage adulte n'est présent dans le film, le plus âgé d'entre eux, brisé par une rupture sentimentale à la veille de son départ à l'université, partira chercher des réponses dans ses souvenirs de lycéen marqués par une rencontre avec deux jumelles, une des plus belles histoires du long-métrage.
    Au détour d'un début de flirt, un garçon dira : "Ils veulent qu'on abandonne notre enfance ? Mais pourquoi ? Pour rien." C'est ça, "The Myth of the American Sleepover", cette peur de l'inconnu, de l'après, traduite sous l'angle des relations amoureuses de ces adolescents, tout ça dans une perfection visuelle assez dingue (cette photo magnifique, ce sens incroyable du cadre et j'en passe !).
    Un premier coup de maître d'un cinéaste qui allait continuer sur sa lancée (et ses thématiques) avec "It Follows".
    Une merveille.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 juin 2014
    Honnêtement je pensais voir un truc sympathique, j'aime beaucoup les films sur l'adolescence lorsqu'ils sont biens sentis et justes, mais il ne faut pas être une lumière pour se rendre compte après quelques minutes que ce film est une arnaque.
    Dans ce film il n'y a rien de vrai, rien de beau, rien de pur, j'ai vu un truc tellement artificiel que je ne suis jamais rentré dans le film et que finalement je me suis emmerdé comme un rat mort à voir des lieux communs pendant une heure trente. Scandaleux.

    En fait ce qui m'énerve c'est que ce film joue la carte du film déprimant qui veut te montrer l'adolescence avec nostalgie sans jamais rien y comprendre. On est à des années lumières de la véracité des personnages d'un Larry Clark, d'un Deep End ou bien d'un the We and the I (oui oui).

    Je veux bien que le titre parle d'un mythe (en Europe un mythe c'est Achille, aux USA c'est les sleepovers, faites votre choix), mais le traitement est très "réaliste" et ce qui m'énerve c'est que ça se veut profond alors qu'en fait c'est con. C'est le genre de film qui croit dire des choses sur l'adolescence alors qu'en réalité ce n'est que la vision très pauvre de ce qu'est que l'adolescence vu par un adulte, ce qui pourrait être intéressant si le parti pris était assumé.

    En fait il oublie toute la violence de l'adolescence, le fait que les ados sont bien souvent détestables car cons, en rébellion pour rien...

    On ne peut pas dire que les acteurs sauvent la mise, ils font ce qu'on leur demande de faire, mais vu qu'on leur demande de la merde, ben ils jouent leur texte minable ce qui est assez inintéressant.

    Si on compare avec un film comme the We and the I qui lui est d'une grande justesse, on toutes les situations qui transpirent le vécu, le vrai, le beau. C'est des scènes qu'on pourrait voir si l'on prenait le bus et qui sait quand faire venir l'émotion, on attend que les personnages soient connus avant de nous narrer leurs problèmes, du coup on les connaît, on s'est attaché à eux et on a envie que ça se passe bien.

    Là je m'en fous, il y a trop de personnages, trop superficiels, trop écrits, qui sont faux. Nan mais sérieux la femelle qui laisse le mec trop glauque la regarder à poil dans son bain (sans que le spectateur ne voit rien bien évidemment), c'est d'un navrant.

    Bref c'est un film pour les gens qui sont nostalgiques et qui ont une image erronée de leur propre adolescence.
    Robert L.
    Robert L.

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    "The Myth Of American Sleepover" (2010) ne serait qu’une énième et bénigne variation sur l’adolescence, sans l’approche singulière de son réalisateur David Robert Mitchell. Pour illustrer ce rite (et mythe) du passage, Mitchell choisit de filmer une poignée d’adolescents le temps d’une nuit, précédant la rentrée scolaire. On sent dans ce jeu de chassés-croisés autant d’espoir amoureux que de mélancolie, et un charme subtil agit. Le désenchantement est déjà là, avec l’enfance qui s’éloigne, et les duplicités naissantes d’un monde pré-adulte. Au terme de cette longue errance somnambulique, chacun renaît, changé ou égal, comblé ou déçu, vidé d’une petite partie de lui-même.
    Un premier film très maîtrisé, d'une tonalité presque onirique. Mitchell a confirmé depuis, cette dimension fantastique (délicatement suggérée ici), dans son second long métrage, "It Follows", film d'adolescents, horrifique cette fois-ci.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juin 2015
    Le film va bien au delà de la simple idée de percer le mystère des légendaires soirées pyjamas, ce qui passionne avant tout David Robert Mitchell c'est filmer l'état amoureux - durant sa phase initiale (« à l'état naissant ») afin de cristalliser les enjeux de l'adolescence (…) En somme la découverte de l'autre, avec tout ce que cela implique de curiosité et de rêves, de plaisir et de craintes, d'élans et de déceptions (…) Une œuvre lumineuse, poétique, et empreinte d'une certaine forme de nostalgie sur le temps passé.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2015
    Avant le très beau "It Follows", David Robert Mitchell filmait déjà les adolescents dans "The Myth of the American Sleepover", qui prend pour principal objet le sentiment amoureux. Mettre en scène un coup de foudre en filmant les yeux d'une jeune fille qui scrute une étoile filante, un pré-adulte qui erre seul dans les couloirs d'une université en espérant qu'il y trouvera l'amour, deux amies qui s'incrustent dans une soirée avec l'espoir qu'elles reverront le garçon qu'elles avaient vu auparavant à la piscine ou encore un ado qui tente de retrouver une jolie blonde sur laquelle il avait flashé dans un supermarché, c'est ce que fait à merveille le jeune cinéaste américain en adoptant la forme du film choral et en créant des personnages aussi attachants les uns que les autres dans un rythme lent et cotonneux et à travers une esthétique qui travaille principalement le blanc et le bleu. Et si "It Follows" devait être perçu comme un cauchemar, ce premier long-métrage doit être vécu comme un rêve, dixit Robert Michell. Un rêve où les premiers émois côtoient les occasions manquées et où l'espoir et la déception ne sont jamais très loin. "The Myth of the American Sleepover" est la représentation de tout cela, une plongée dans l'intimité la plus douce et l'expérience d'une mélancolie déchirante et d'une appréhension de l'avenir. Un film magnifique et bouleversant !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 octobre 2010
    L'idée étéit prometteuse : lever enfin le voile sur ces fameuses soirées pyjama organisées par les ados et sur ce que font les garçons pendant ce temps-là. Or, nous voilà devant un film ennuyeux et insipide. Si certains ados jouent pas trop mal, les autres sont effacés ou tout simplement clichés. Il ne se passe pas grand chose et de nombreuses scènes sont purement iréalistes pour le scénario (l'histoire du gars qui pénètre dans une immense soirée pyjama et aucune fille ne relève, les ados qui n'embrassent pas, etc.) Bref, on s'ennuie ferme et on se demande pourquoi le jury de Deauville a récompensé ce film-là. On est très, mais alors vraiment très loin du travail d'un Gus Van Sant, par exemple.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    J'ai vu ce film pendant la semaine de la critique du festival de cannes et c'est une vrai claque. Un film émouvant, touchant, très réel. Une révolution dans le film d'ado. Beaucoup plus réel que les american pie
    et compagnie, moins trash que du larry clark, plus proche de skins que de newport beach. Un film réel !
    On retrouve dans le film plusieurs jeunes, le film ne s'attache pas que a un seul personnage (ce qui pour moi en fait sa force aussi). On suis ces jeunes le temps de leur dernière soirée d'été, a la recherche d'expérience nouvelles avant la rentrée des cours. Des histoires de couples qui se font, se défont, histoire d'amitié très forte, de fêtes ect.... Bref une vrai vie d'adolescent.
    La force de ce film est le fait qu'il soit pour tout le monde, tout personnes plus ou moins âgée peut se retrouver dans les personnage, notamment grâce a l'absence de portable et tout technologie moderne et l'absence d'insulte (ca fait du bien de pas entendre Fuck toute les 30sc).Un jeu d'acteur vraiment très très bon pour des premier rôles (j'ai put parler un peu avec une des actrices du film qui est vraiment génial).
    Un film a voir absolument si vous en avez l'occasion. Révolution dans les films d'adolescent. Le réalisateur tape très fort pour s'est début
    nikolazh
    nikolazh

    62 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Rien de bien original à ce film mais il y a un ton assez libre (et jamais trash) plutôt bienvenue et une ambiance très réussit qui reproduit bien cette atmosphère d'incertitude de l'adolescence, cette envie de grandir et en même temps cette peur de l'inconnu. Les personnages apparaissent comme "normaux" (et non comme des caricatures) et la direction d'acteur est impeccable. Bref le genre de film qui ne laisse pas vraiment de souvenir mais qui reste de très bonne qualité.
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2015
    Même après avoir laissé reposer plus d'un jour, j'ai vraiment du mal à savoir ce que je ressens à propos du premier film de David Robert Mitchell, réalisateur du récent et très remarqué It Follows. Le jeune réalisateur prend le parti de décrire la dernière nuit d'adolescents de Detroit avant la reprise de leurs cours, nuit dont il fait disparaître les adultes pour se placer sur un plan quasi-allégorique et regarder l'adolescence comme un microcosme reclus, un entre-deux presque illusoire entre l'enfance et l'âge adulte et ses obligations prosaïques. Au lieu de décrire l'adolescence avec un regard outrageusement mélancolique, de verser à plein dans la nostalgie, Mitchell préfère aller à contre-courant de la vision souvent véhiculée sur l'adolescence (sans doute à raison) : celle d'un âge plein de vitalité, à qui la transition de l'enfance vers l'âge adulte et les premiers désirs donnent un sentiment d'urgence, d'un besoin de vivre qu'on ne retrouvera jamais par la suite. Pourtant, le tableau habituel est bien là ; les amours naissantes, les soirées en bande où l'on se sent comme le centre du Monde, les errements urbains à la recherche de quelque chose d'in-identifiable. Mais tous ces éléments, Mitchell refuse d'entrer en synergie avec, maintenant une mise en scène étrangement absente, disons plutôt déconnectée. Je retiens surtout, pour souligner ce regard anti-mélancolique qui ne vise en rien à appuyer la sensation que cette période est irremplaçable et souligner le désir de la revivre, une scène étonnante ou un plan fixe ralenti montre l'entrée des adolescents dans la maison de celui qui organise le fameux sleepover. En ralentissant le temps, Mitchell aurait pu justement renforcer l'importance du moment, en faire quelque chose d'unique qu'il aurait aimé figer. Mais fugitivement, la lenteur du mouvement, la position des personnages, presque en file indienne, m'a plutôt fait penser à une procession, quelque chose de résigné, loin de l'image de liberté qu'on garde souvent de cette période de nos vies. Si nostalgie il y a, je crois que ce n'est pas vraiment celle de l'adolescence elle-même, celle de son souvenir. C'est plutôt celle de la perception qu'on en a, un regard d'adulte déçu de ne plus savoir accorder à ces réminiscences l'importance et la beauté qu'elles avaient à cet âge. A ce titre et même si les deux films ne traitent pas du même sujet, The myth of the american sleepover est à des années-lumières de Bellflower (lui aussi présenté à Sundance), le premier film d'Evan Glodell, et son lyrisme à mi-chemin entre adolescence et adulescence. The myth of the american sleepover, titre très parlant, d'ailleurs. Le choix du mot mythe renforce vraiment mon impression, celui de quelque chose qui nous trompe, d'une vision perdue du Monde, de quelque chose de disparu et d'aujourd'hui imparfaitement compris. Et les regrets adultes quant à la fuite de cette adolescence sont d'ailleurs clairement soulignés par l'histoire de cet étudiant désormais à l'université, et son parcours invraisemblable (mais Mitchell n'a me semble t-il jamais recherché un quelconque réalisme) pour retrouver deux jeunes filles qu'il a connues au lycée. Sa relation avec ces jeunes filles, jumelles, est d'ailleurs vraiment étonnante, et vaut sans doute au film une demi-étoile de plus sur ma note. Elle illustre bien, je trouve, la difficulté de l'adolescent à se construire et à détacher son individualité du cercle familial qui fait à lui seul le noyau dur de l'enfance. Après, bien qu'il y ait tant à dire sur The myth of the american sleepover, long-métrage original à la nostalgie voilée et distillée avec habileté, son parti pris de mise en scène et les choix musicaux qui vont avec le rendent bien plus terne que percutant. S'il n'est pas désagréable, c'est même un film quelque peu figé, et pas sûr que les souvenirs que j'en garderai seront impérissables. Avant de voir It Follows, salué comme un film d'horreur novateur mais qui me parait lui-aussi très axé sur l'étude de l'adolescence, je suis quand même rassuré de constater que Mitchell est bel et bien obsédé par ce thème de prédilection. Cela me laisse vraiment espérer, pour la petite tornade de ce début d'année, un film réellement personnel.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2020
    Premier long-mètrage de David Robert Mitchell, futur rèalisateur de "It Follows" et "Under the Silver Lake", qui relate avec beaucoup de justesse et d'authenticitè l'adolescence! Une soirèe pyjama pour les nouvelles ètudiantes dans la banlieue de Dètroit! Ah c'ètait du genre sympa ces soirèes là! Ça manque quand on a passè l'age d'en faire! On peut dire la même chose de tout ce qu'on fait enfant! Dès qu'on est en âge de flirter ou de tomber amoureux d'une parfaite inconnue dans un supermarchè {...] Jeunesse souriante en quête de sensations euphorisantes, optimisme, libertè, espoirs et des rêves plein la tête! Tout simplement attachant et nostalgique! Les comèdiens, bien dirigès, emportent le morceau et èvitent le clichè! On se souviendra aussi des regards qui en disent long et de certaines images du film : l'ètoile filante, le toboggan aquatique et de ce drôle d'endroit où l'on n'est pas censè voir ce que l'on fait la nuit...
    Parkko
    Parkko

    161 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2012
    Oui ben j'adore complètement l'idée, là y a tout pour faire un film qui me parle mais le réalisateur passe à côté de son sujet. Faire de cette nuit un moment de nostalgie, de projets, de retrouvailles etc. ce serait génial si le réalisateur y était parvenu, mais il noie son film dans une tonne de clichés, y a quelques beaux moments mais le réalisateur là il gâche vraiment son film, comment il veut rendre un truc émouvant avec des dialogues aussi pauvres et aussi clichesques, non, c'est vraiment dommage. Après c'est son premier film il me semble et y a quelques beaux moments et parfois (je dis bien parfois) des jolis effets de mise en scène, donc je demande à voir ses autres films car il pourrait devenir un réalisateur à suivre.
    Mr. Renton
    Mr. Renton

    143 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 août 2018
    Des idées de mise en scènes déjà symboliques et bien exploitée, une BO marqué, des piscines, du sexe et des ados paumés en pleins quartiers dépravés, le cinéma de David Robert Mitchell se profile déjà et la personnalité du metteur en scène se ressent tout le long du long métrage! Dommage que cela n'aboutisse a pas grand chose si ce n'est un film indé Sundance qui peine a captiver. Pas de doute, DRM l'a fait pour lui et pour personne d'autre celui la! Ce qui n'est pas une mauvaise chose mais soit on rentre dans le film, soit on le laisse passer sans vraiment lui donner un peu d'intérêt.

    Intéressant pour bien cerner les thèmes et gimmicks de David Robert Mitchell (qu'il développe encore plus dans It Follows), un peu moins en tant que film lui même, de mon avis bien sûr.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 juin 2010
    The Myth of the American Sleepover est un film plutôt "mignon" au final dont la portée ne va pas plus loin que ses faibles ambitions. Le film espère peut-être surfer sur la vague des films sur l'adolescence et s'élever au niveau du très bon Virgin Suicides de Sofia Coppola ou bien de l'excellente série Friday Night Lights mais il ne fait qu'effleurer leur génie. Le réalisateur est tombé dans le piège du film français sur l'adolescence qui est celui du manque de profondeur et de gravité. Le seul petit avantage du film est sa bande son. Mise à part cela, il n'y a malheureusement pas grand chose à retenir si ce n'est qu'il vaut mieux revoir les Virgin Suicides ou autre The Quiet largement plus réussis.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juillet 2020
    Des ados différents s'organisent pour passer une soirée pyjama. C'est un film tout en subtilité, on voit ici des ados ou jeunes adultes avec leurs doutes et hésitations. Ce n'est pas un teen movie, mais plutôt plusieurs expériences différentes qui forment un ensemble de points de vue et de découvertes. La découverte d'un futur grand réalisateur.
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