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    Easy Money
    Note moyenne
    2,9
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    125 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Ca ne rigole pas des masses dans ce polar assez violent qui aurait pu se dérouler à New-York, à LA ou à Miami... Ici, ça se passe à Stockholm. "JW", jeune suédois désargenté mais désireux de grimper socialement grâce à de l'argent gagné facilement, se compromet avec des trafiquants de cocaïne, des Arabes, des Serbes et un Sud-américain. Bien sûr, rien ne va se passer comme prévu et il y aura de la casse à la fin. C'est bien fait et nerveux à souhait. Je regrette cependant que les prises de vue ne nous aient pas davantage montré la très belle ville qu'est Stockholm.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Bof bof bof,encore un film ou je ne suis pas alle jusqu'au bout.ca part dans tout les sens avec un rhytme tres changeant.de la violence et de grooses longueur,bref,ca m'a gonfle,je suis parti.....
    Michel C
    Michel C

    33 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Je suis sorti au bout de 20 mn sans rien avoir compris
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2011
    Si au départ je n’avais même pas remarqué Easy Money parmi les sorties ciné, les avis positifs de nombreux bloggeurs m’ont convaincu de tenter l’expérience. La nationalité suédoise du film, son succès dans son pays et la renommée du roman dont il est tiré, ont finit d’attiser ma curiosité…

    Pourtant à lire le synopsis, rien de bien nouveau. JW, brillant étudiant en Ecole de Commerce, mais qui ne roule pas sur l’or, succombe à la tentation de l’argent facile, en infiltrant un trafic de drogue. Il va croiser sur son chemin, Jorge, dealer en cavale, et Mrado, tueur à gage à la poursuite de Jorge. Rien de nouveau certes, mais rien de non moins efficace. Daniel Espinosa choisit de se centrer essentiellement sur JW, novice dans le milieu, comme l’est le spectateur, et qui va petit à petit comprendre que l’argent n’est pas si facile que ça et qu’il n’est qu’un pion sur un grand échiquier. Le spectateur se retrouve alors au plus prés des émotions de JW, de ses doutes et de ses angoisses, comme lui, il est perdu, et ne sait plus à qui se fier. Pour amplifier le processus émotionnel, Espinosa peaufine ses seconds rôles, notamment Jorge et Mrado, dont les histoires, bien que plus secondaires, donnent une atmosphère de film chorale, où les destins et les enjeux de chacun vont dépendre les uns des autres. Autres seconds rôles, obligatoires dans tout polar qui se respecte, et indispensable aux enjeux émotionnels, les femmes. Ainsi à chaque personnage masculin correspond un personnage féminin. La copine pour JW, la fille pour Mrado, la sœur et la mère pour Jorge. Si Easy Money reste dans le strict cadre du polar, il a cependant l’atout indéniable d’être européen et de ne pas se poser de limites, notamment dans sa fin, percutante de violence physique mais surtout psychologique.

    Et puis, si Easy Money fonctionne si bien, c’est parce qu’il est mené par une main de maître. Espinosa trouve le juste milieu entre réalisme et cinéma. L’image est magnifique, travaillée, mais sans aller dans l’ultra stylisation. Espinosa et son directeur photo jouent surtout sur les contre-jours et les surexpostions qui donnent une ambiance très lumineuse, contrastant avec la noirceur du propos. La caméra à l’épaule, les flous et autres plans serrés participent à l’ambiance réaliste du film. Le style visuel renforce très souvent le propos, comme dans cette scène au musée, où Espinosa filme indirectement la révélation de JW par son reflet, puis passe en plan direct sur le couple. La dynamisation du récit passe aussi par la qualité du montage, notamment lorsqu’il mêle plusieurs plans décalés dans le temps et/ou l’espace. Le plus bel exemple est celui de la première nuit entre JW et Sophie, où viennent s’intercaler leurs rendez-vous futurs, expliquant en une séquence l’importance de leur relation et créant ainsi une ellipse pour le moins originale.

    Par ailleurs, malgré une VF horrible (j’ai pas eu le choix), le casting participe aussi au succès du film. Joel Kinnaman, en chef de file, est une révélation (tout du moins en France) en offrant un jeu subtil, et en gardant même sa part de mystère. Matias Padin, Dragomir Mrsic et Lisa Henni le supportent admirablement.

    Easy Money reste donc un polar classique dans le fond, mais dont la maîtrise de Daniel Espinosa élève au rang de nouvelle petite perle venu du Nord. Et la bonne nouvelle, c’est que la saga littéraire contient deux autres tomes…
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2011
    Polar certes exotique (on n'est encore pas trop habitués à ces bandits scandinaves) mais ultra classique dans ses rebondissements et son traitement cinématographique. Un peu confus (le premier quart d'heure est totalement incompréhensible sur le moment) et longuet par moment. Le seul vrai intérêt de ce film repose paradoxalement sur l'aspect sociologique et sentimental. L'histoire de ce jeune étudiant pauvre, à la fois Rastignac et Bel Ami, le parcours familial de ce malfrat chilien, les liens entre le tueur Mrado et sa fille ont plus d'intérêt que le déroulement de ce énième dernier gros coup après lequel on arrête, c'est promis.
    Julien D
    Julien D

    1 194 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2011
    Si il n'y a là rien de bien nouveau (sauf peut-être l'origine... Vous connaissez beaucoup de gangsters scandinaves vous?), la mise en scène brutale de cette histoire de voyous aux profils différents est particulièrement réaliste. C'est bien là son avantage premier, et donc pourquoi il est si effrayant, car les relations entre les personnages et leur vison du monde dans lequel ils évoluent sont magnifiquement dépeints et très bien interprétés.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 avril 2011
    NAVET ! C'est nul, les dialogues sont sans intérêt, très mauvais doublage, un véritable film amateur
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 avril 2011
    film tres deceveant, mal filmé, decousu de sens et sans scenario
    a eviter absolument
    tixou0
    tixou0

    692 abonnés 1 994 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2011
    Entrer dans l'histoire d'"Easy Money" m'a honnêtement plutôt coûté : exposition, mise en situation des protagonistes - cela m'a paru embrouillé, voire confus, avec comme seule perspective, pour une durée annoncée de plus de 2 h, un récit, en forme probable de déjà vu, sur la criminalité en bande organisée et le trafic de stupéfiants, ce qui est loin d'être ma tasse de thé ! Seule "nouveauté" identifiable : l'action située à Stockholm et un metteur en scène suédois (au patronyme ibérique - ou latino ?), pour changer du "know how" nord-américain en la matière. Or, le premier quart d'heure déconcertant passé, cet "Argent facile" m'a accrochée irrésistiblement, y ayant vu pour ma part une histoire de Rastignac nordique du 21ième siècle, avec l'épaisseur romanesque requise, et tout à fait passionnante. "J W" (Johan Westlund) est un jeune homme présentant bien (aux allures de mannequin à vrai dire), intelligent (brillant même) et qui fait des études de commerce prometteuses : un profil quasi idéal de "golden boy" donc. Mais là où le bât blesse, c'est qu'il est d'extraction ultra modeste et qu'il a compris depuis longtemps que c'est l'argent qui mène le monde, et spécialement le microcosme où son ambition et ses capacités ne peuvent seules lui assurer une place légitime. Côtoyant de son mieux pendant ses études la classe des nantis (en soignant surtout son allure et sa garde-robe - tout en habitant dans une très modeste résidence universitaire - ceci grâce à des expédients divers, comme la vente d'exposés à des condisciples fortunés mais paresseux et moins doués que lui, et surtout en faisant le taxi pour Abdulkarim, un petit malfrat) il veut y faire sa place durablement (surtout quand la riche Sophie répond à son amour). Il lui faut donc trouver de l'argent, vite et beaucoup - de l'argent facile : il met au point une opération de blanchiment de grande envergure, incluant rien moins que l'achat d'une banque d'investissement dont il sait que les affaires battent de l'aile ; mais avant il va s'agir de trafic de cocaïne. La "blanche" est arrivée en Allemagne d'Amérique Latine, il faut l'acheminer en Suède (40 kgs pour la première livraison), et l'écouler dans les meilleurs délais, avant que de recycler "proprement" les (colossaux) profits attendus dans le circuit bancaire. Abdulkarim envoie JW récupérer Jorge Salinas, un Chilien qui vient de s'évader de prison, afin qu'il les aide à mener leur entreprise - c'est son cousin qui est le pourvoyeur de la drogue en Allemagne. Mais Jorge est poursuivi par Mrado, l'homme de main d'un redoutable Serbe, Radovan, et il est laissé pour mort dans un bois - J W arrive à le sauver, et dès lors la mécanique se met en place. J W Rastignac ne se compromet pas avec le milieu pour y faire carrière, c'est juste le moyen (ô combien périlleux cependant, l'apprend-il bien vite) de s'assurer les subsides nécessaires à son élévation sociale. Jorge veut quant à lui faire un dernier "coup" lucratif avant de retourner au pays se ranger (motivé plus encore quand il apprend que sa soeur Paola, émigrée avec leur mère en Suède, est enceinte) et Mrado, chargé de l'éliminer, a maintenant pour seule envie de partir pour Belgrade avec Lovisa, sa petite fille de 8 ans, dont il doit assumer la garde en pleine guerre des gangs, la mère junkie de l'enfant étant hors circuit. Il est question de rivalités, de luttes pour le pouvoir, de trahisons et d'amitié, de passions, de famille, et même si cela passe dans un contexte sordide de criminalité, c'est avant tout de destin (s) qu'il est ici question, et c'est ce qui retient l'attention. Il faut aussi louer le savoir-faire technique de la réalisation et l'excellence de l'interprétation, l'Américano-Suédois Joel Kinnaman en tête (J W).
    dblp666
    dblp666

    8 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 avril 2011
    Prises de vues à gerber, scenario pourri, histoire difficile à suivre, film d'un ennui mortel... Assez dit !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 avril 2011
    j'ai été deçu scenario plat longueur. Ce film traite de la famille, de la drogue, de l'amour, de l'argent. Musique intéressante et bons acteurs
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 avril 2011
    Réalisation désagréable à regarder. Photo sans relief tournant en rond sur des personnages qui, au mieux, devraient déclencher la compassion : "les pauvres, ils se sont piégés eux-même mais avaient-ils le choix?" . Et rien. C'est assez étonnant comme performance ratée dans cette énième version du monde drogue/armes/ethnies/violence.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 avril 2011
    Interressant mais pas trop captivant. Un autre film d'action mafieu mais rien n'égalera le maître du genre (M. Scorcese). Cepenant il est à noter que le réalisateur n'étant que peu connu nous livre une histoire "sympathique" et un point de vue nouveau.
    traversay1
    traversay1

    3 538 abonnés 4 821 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2011
    En définitive, Easy Money n'est qu'un bon petit thriller qui joue avec habileté la carte du réalisme. Le scénario s'éparpille de manière à faire riche et, aux trois personnages principaux, s'ajoute une tripotée de malfrats de nationalité diverses dont le but est de mettre la main sur un camion de cocaïne en provenance d'Allemagne. Sur le fond, donc, rien bien de neuf sous le polar, l'intérêt est ailleurs. Dans la description des bas-fonds de Stockholm avec ses mafias cosmopolites : serbe, albanaise, arabe, latina, etc. Dans la mise en scène nerveuse, sous une lumière crue, branchée, mais pas toujours, sur la haute tension. A l'instar de ses grands modèles américains, Daniel Espinosa, incontestablement doué, ménage des pauses et s'attarde sur la vie familiale ou amoureuse de ses trois desperados. Risqué, mais gratifiant, car jamais gratuit ni sucré. Le cinéaste tient la note et se risque même sur le terrain social avec un portrait d'étudiant sans ressources, à la fois romanesque et en déphasage complet avec les milieux qu'il côtoie. L'argent, la famille, la drogue, la mort : les ingrédients sont connus, il suffit de savoir les doser. Pour un film qui ne réinvente pas la poudre mais qui s'ingénie à la faire parler.
    cylon86
    cylon86

    2 495 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2011
    Le sujet n'est pas nouveau et le film ne va pas révolutionner le genre, il souffre trop de la comparaison avec "Pusher" de par la mise en scène et par son traitement des personnages et de la narration pour ça mais ça reste un polar efficace, réaliste, brut et sans concessions avec de très bons acteurs (Joel Kinnaman en tête). Un peu trop de longueurs viennent plomber l'ensemble mais ça reste maîtrisé et efficace.
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