AlloCiné
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Votre avis sur Les Amours Imaginaires ?
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Une histoire originale qui s'etend avec beaucoup de magie et de poesie. Des jeux de camera envoutants ... On s'accroche aux personnes tres vite et cette histoire d'amour impossible captive des le debut du film ! Je recommande grandement !
c'est le premier film de xavier dollan que je vois, je devrais regretter d'avoir commencé par celui là. je ne vais pas dire grand chose d'original : la mise en scène et l'esthétique du film sont deux points réussis, c'est sûr dans l'ensemble il sait filmer, il est jeune --> chapeau. mais le reste, au secours... j'accorde certains ratés, certains choix à un sens de l'humour trop particulier pour le mien.
j'imagine qu'il doit trouver ça drôle quand les acteurs surjouent ostensiblement par moments, mais moi les touches de théâtral ça m'a pas fait sourire une seule petite minute, c'était juste pénible. ultra agaçants aussi sont les ralentis des personnages qui marchent en se sentant au top de leur sex appeal sur un fond de dalida. c'est censé être drôle, c un moment de caricature. la façon qu'on a de trop s’apprêter quand on va rencontrer celui pour qui on en pince, on connait tous ça on en est tous victime, c'est mignon de le montrer. mais la caricature vue par lui, ok on pige que c une caricature et ce qui est dénoncé, mais malgré tout ça reste hyper énervant ! il arrive à faire ça..
c'est le problème du personnage de marie, sûrement une caricature de filles qui existent vraiment, je vois parfaitement le genre de fille qui sont dans le milieu de la haute des hipster designer culturel etc où tout le monde dépense un certain budget pour avoir son style et ses belles pièces. on y rencontre beaucoup de filles creuses, qui n'ont pas compris qu'être creuse ça ruine tout leur efforts, dès qu'elles ouvrent la bouche ça fusille net le travail accompli pour à avoir une apparence élaborée . marie est inspirée d'une fille qui existe sûrement, et qui prend bien cher !, mais même en sentant celà ça reste difficile de la supporter au lieu de trouver ça super drôle et super adroit comme choix.
je pense que la caricature ne doit pas totalement dégouter le spectateur des personnages, or.. il y en a presque aucun qui trouve grâce, seuls xavier dollan n'inspire pas trop l'antipathie. difficile de regarder un film avec des personnages inintéressants et antipathiques.
les 2 amis ont l'air de s'ennuyer à mourir ensemble, et c'est pas simplement la rivalité qui rend cette amitié si froide, indépendamment de l'entrée du blond dans leur vie, cette amitié en soit est si nulle qu'elle n'est pas crédible. au delà des relations entre ces deux personnages, tous les dialogues dans le film manquent de chaleur, l'ennui finnit par être contagieux tout comme la frustration..
dernière chose : si on enlève les nombreuses scènes esthétiques mais inutiles il reste 40 minutes de film. et un scnénario qu'on peut résumer en 3 lignes. scénario succin ne rime pas forcément avec daube mais celui là oui, ce qui en fait un film pas exceptionnel.
j'imagine qu'il doit trouver ça drôle quand les acteurs surjouent ostensiblement par moments, mais moi les touches de théâtral ça m'a pas fait sourire une seule petite minute, c'était juste pénible. ultra agaçants aussi sont les ralentis des personnages qui marchent en se sentant au top de leur sex appeal sur un fond de dalida. c'est censé être drôle, c un moment de caricature. la façon qu'on a de trop s’apprêter quand on va rencontrer celui pour qui on en pince, on connait tous ça on en est tous victime, c'est mignon de le montrer. mais la caricature vue par lui, ok on pige que c une caricature et ce qui est dénoncé, mais malgré tout ça reste hyper énervant ! il arrive à faire ça..
c'est le problème du personnage de marie, sûrement une caricature de filles qui existent vraiment, je vois parfaitement le genre de fille qui sont dans le milieu de la haute des hipster designer culturel etc où tout le monde dépense un certain budget pour avoir son style et ses belles pièces. on y rencontre beaucoup de filles creuses, qui n'ont pas compris qu'être creuse ça ruine tout leur efforts, dès qu'elles ouvrent la bouche ça fusille net le travail accompli pour à avoir une apparence élaborée . marie est inspirée d'une fille qui existe sûrement, et qui prend bien cher !, mais même en sentant celà ça reste difficile de la supporter au lieu de trouver ça super drôle et super adroit comme choix.
je pense que la caricature ne doit pas totalement dégouter le spectateur des personnages, or.. il y en a presque aucun qui trouve grâce, seuls xavier dollan n'inspire pas trop l'antipathie. difficile de regarder un film avec des personnages inintéressants et antipathiques.
les 2 amis ont l'air de s'ennuyer à mourir ensemble, et c'est pas simplement la rivalité qui rend cette amitié si froide, indépendamment de l'entrée du blond dans leur vie, cette amitié en soit est si nulle qu'elle n'est pas crédible. au delà des relations entre ces deux personnages, tous les dialogues dans le film manquent de chaleur, l'ennui finnit par être contagieux tout comme la frustration..
dernière chose : si on enlève les nombreuses scènes esthétiques mais inutiles il reste 40 minutes de film. et un scnénario qu'on peut résumer en 3 lignes. scénario succin ne rime pas forcément avec daube mais celui là oui, ce qui en fait un film pas exceptionnel.
Un film épatant de finesse et d'intelligence, qui nous offre une belle réflexion sur l'amour et les chimères de celui-ci. Dolan fait encore mouche avec son deuxième film en nous offrant une mise en scène extraordinaire et une histoire qui prend son temps et fouille au plus profond les vices du cœur et comment celui-ci peut prendre le pas sur la raison. Le trio amoureux est charmant et donne un souffle incroyable à cette bluette sentimentale et autodestructrice. Si on admire la virtuosité dela caméra, certains pourront aussi déploré les flonflons, les tours de manche et autre artifices de mise en scène qu'utilise le québécois. Mais finalement, si on y réfléchit un peu, elle reflète parfaitement l'outrance despersonnages, la folie de leur amour et les atours maladroits et ridicules dont ils doivent se doter pour séduire l'objet de la passion. C'est là qu'on voit l'intelligence du jeune réalisateur, qui est aussi crédité à la production, bien sûr au premier rôle, mais aussi aux costumes et au montage. Bref, du Dolan pur jus, servi par une bande originale superbe, ce qui ne gâche rien. On pourra juste regretter un petit manque de tripe et un certain manque d'émotion.
Un film très fin, et plutôt silencieux, sur un combat pour le moins improbable et incertain. Une vraie réussite pour ma part, notamment au niveau de l'humour, avec notamment la dernière scène qui est à se plier par terre.
Une fois de plus, Dolan frappe fort avec des personnages d'une très grande justesse, une BO magnifique, une réalisation sublime... Cependant, le film est un peu inférieur à "j'ai tué ma mère", mais il n'en reste pas moins un film abouti et très réussi !
Les Amours Imaginaires, le titre veut bien dire ce qu'il dit, pour son deuxième film Dolan s'intéresse à l'amour impossible, les relations d'amitiés qui débordent, les coups de foudres.
Encore une fois Dolan fait preuve de sa maturité pour son jeune age et de son amour pour le cinéma, sa mise en scène est magnifique et sa réalisation magique, ses ralentis qui reviennent souvent sont sublimes, surtout avec cette bande son choisie avec soin, un vrai bonheur ses musiques et ce dans tous ses films.
Là j'ai tout dit non ?
Non franchement ce jeune homme m'épate à chacun de ses films, et pour son jeune age il ne fait pas les choses à moitié, il écrit, réalise et joue dans le film, tout comme son premier et "Tom à la ferme", faut avoir une envie et une force pour faire tout ça, pas mal de réal le font mais lui n'a même pas plus de 25 ans, on sent le bosseur et le fan de cet univers qu'est le cinéma, j'aime voir ça moi, des passionnés.
Il se donne ici un rôle conséquent mais je ne pourrais dire qu'il s'agit du rôle principal car le film repose sur un trio, Monia Chokri et Niels Schneider l'accompagnent au cœur de ce trio, un trio soudé au départ et qui peu à peu se désagrège, à cause d'une chose toute bête qu'on appelle l'amour.
Encore une réussite pour le jeune Dolan, qu'il continu comme ça.
Encore une fois Dolan fait preuve de sa maturité pour son jeune age et de son amour pour le cinéma, sa mise en scène est magnifique et sa réalisation magique, ses ralentis qui reviennent souvent sont sublimes, surtout avec cette bande son choisie avec soin, un vrai bonheur ses musiques et ce dans tous ses films.
Là j'ai tout dit non ?
Non franchement ce jeune homme m'épate à chacun de ses films, et pour son jeune age il ne fait pas les choses à moitié, il écrit, réalise et joue dans le film, tout comme son premier et "Tom à la ferme", faut avoir une envie et une force pour faire tout ça, pas mal de réal le font mais lui n'a même pas plus de 25 ans, on sent le bosseur et le fan de cet univers qu'est le cinéma, j'aime voir ça moi, des passionnés.
Il se donne ici un rôle conséquent mais je ne pourrais dire qu'il s'agit du rôle principal car le film repose sur un trio, Monia Chokri et Niels Schneider l'accompagnent au cœur de ce trio, un trio soudé au départ et qui peu à peu se désagrège, à cause d'une chose toute bête qu'on appelle l'amour.
Encore une réussite pour le jeune Dolan, qu'il continu comme ça.
Certainement le Dolan que j'ai le moins aimé, j'ai compris ce qu'il voulait évoqué : deux amis, un garçon et une fille, s'affrontent pour savoir qui aura le coeur de Nicolas. Là où la première heure est remplit de tendresse et de questions, la seconde partie s'étale dans l'ennui. Personnellement, je n'ai pas aimé le personne de Nicolas, nonchalant et totalement passif à l'idée de repousser immédiatement ces prétendants.
Ayant plutôt aimé son premier film, je m'attaque donc aux Amours Imaginaires de Xavier Dolan.
Première chose : Le talent technique du "Dolan réalisateur" est indéniable, la musique, quant à elle, fait toujours mouche.
Seconde chose : Le "Dolan acteur" m'est définitivement très agaçant.
Troisième chose : La rangaine sur l'affirmation de l'identité homosexuelle dans ses scénari et ses personnages me fait penser que le "Dolan scénariste" tourne en rond dans son nombril, et ça se ressent clairement dans ce film globalement mou et surtout très creux...
Conclusion : J'espère qu'un jour, le "petit génie" fera preuve de modestie et se concentrera sur ses talents rééls de réalisation et de mise en scène. Je ne perds pas espoir de voir un "bon Dolan", oú le génie technique sera au service d'un bon scénario. Les Amours imaginaires, lui, est assez mauvais.
Première chose : Le talent technique du "Dolan réalisateur" est indéniable, la musique, quant à elle, fait toujours mouche.
Seconde chose : Le "Dolan acteur" m'est définitivement très agaçant.
Troisième chose : La rangaine sur l'affirmation de l'identité homosexuelle dans ses scénari et ses personnages me fait penser que le "Dolan scénariste" tourne en rond dans son nombril, et ça se ressent clairement dans ce film globalement mou et surtout très creux...
Conclusion : J'espère qu'un jour, le "petit génie" fera preuve de modestie et se concentrera sur ses talents rééls de réalisation et de mise en scène. Je ne perds pas espoir de voir un "bon Dolan", oú le génie technique sera au service d'un bon scénario. Les Amours imaginaires, lui, est assez mauvais.
Xavier Dolan... réalisateur précoce qui a ses 25 ans nous aura livré 5 films dont tout le monde parle. Xavier il aime bien les êtres humains, il passe son temps à sublimer les corps, parfois trop à force de ralenties et de dégradés avec des envols lyriques et musicaux. Il aime ses personnages, des bons bougres bien fringués et branchés, généreux et humain. Il aime par dessus tout la musique, en bon romantique il en abuse souvent créant des scènes hautement excitante et parfois flirtant avec le mauvais gout (Céline Dion bonsoir). Les Amours Imaginaires du mauvais gout ? Certainement pas mais avec un part de dommage, la caméra de Dolan est beaucoup trop propre, beaucoup trop soignée, tellement que les scènes deviennent parfois pesantes. Tellement que en plus le tout n'a pas grand chose de singulier malgré une identité visuelle. Le réalisateur manipule les couleurs froides et chaudes créant des dégradés tonic et suivant les personnages et leurs personnalités. Dolan qui a tendance à mettre son propre personnage en valeur, amoureux d'un Apollon tout est beau avec lui, le réalisateur n'est peut être pas narcissique, il peut s'en défendre mais c'est l'impression qu'il donne et de façon beaucoup trop forte, on dirait qu'il se regarde dans le miroir à force. Le tout est fort dommage car ce conflit entre homo et hétéro sexualité est drôlement bien étudié, le cinéaste est artistiquement tellement inspiré qu'on ne croit pas son age ni le fait qu'il n'est pas de références particulières.
La saga Dolan fait donc un passage moyen, agréable et profond mais limite trop parfait avec une chute qui laisse à désirer.
La saga Dolan fait donc un passage moyen, agréable et profond mais limite trop parfait avec une chute qui laisse à désirer.
J'ai adoré son premier film car il était incroyablement juste et avait pour seul défaut un scénario un peu trop décousu. Je m'attendais à voir ces défauts corrigés, ce qui a été le cas en partie, mais il y en a des nouveaux.
Ce qui m'a gêné déjà c'est la perte de justesse dans les dialogues, beaucoup sonnent bizarrement. Les interview sont vraiment fascinantes, ce sont des tranches de vie bien racontées mais elles dénotent justement avec le "vrai film" car ce dernier sonne moins juste.
Le rythme du film est assez spécial aussi, avec énormément de ralenti sur fond de musique pop, c'est assez déconcertant mais ça donne un ton très lancinant au film et franchement fascinant.
En fait c'est assez perché comme film, parfois trop, et ça manque d'émotion dans les dialogues en fait, Dolan ne raconte rien sur les personnages de Francis et Marie ce qui m'empêche de m'identifier ou d’éprouver de l’empathie. Le personnage de Nicolas, lui, est très intriguant et on comprend un peu l'attraction qu'il exerce.
La réalisation est vraiment intéressante aussi, car, même si assez appuyée, elle essaye toujours de retranscrire ce que les personnages ressentent ou disent.
C'est vraiment particulier à décrire car j'ai quand même aimé, il y a un truc qui rend le film fascinant et captivant, car il est très embrumé, mais ça manque de justesse pour aller trouver l'émotion.
Ce qui m'a gêné déjà c'est la perte de justesse dans les dialogues, beaucoup sonnent bizarrement. Les interview sont vraiment fascinantes, ce sont des tranches de vie bien racontées mais elles dénotent justement avec le "vrai film" car ce dernier sonne moins juste.
Le rythme du film est assez spécial aussi, avec énormément de ralenti sur fond de musique pop, c'est assez déconcertant mais ça donne un ton très lancinant au film et franchement fascinant.
En fait c'est assez perché comme film, parfois trop, et ça manque d'émotion dans les dialogues en fait, Dolan ne raconte rien sur les personnages de Francis et Marie ce qui m'empêche de m'identifier ou d’éprouver de l’empathie. Le personnage de Nicolas, lui, est très intriguant et on comprend un peu l'attraction qu'il exerce.
La réalisation est vraiment intéressante aussi, car, même si assez appuyée, elle essaye toujours de retranscrire ce que les personnages ressentent ou disent.
C'est vraiment particulier à décrire car j'ai quand même aimé, il y a un truc qui rend le film fascinant et captivant, car il est très embrumé, mais ça manque de justesse pour aller trouver l'émotion.
Xavier Dolan, ce sacré réalisateur culotté et sa fougue tantôt inconsciente, tantôt géniale déçoit avec Les Amours Imaginaires.
Ici, la réalisation plus que soignée au niveau des lumières, des couleurs, des ralentis et d'une bande-son époustouflante, nous époustoufle de dédain et de déception pour aussi peu. Les personnages sont niais, aucune attache, seulement irritant. Ils sont là, mais ils ne savent pas pourquoi.Que cela soit nombriliste, narcissique ou pas, on s'en branle. En soit, on perd gravement en intensité suite à de trop nombreuses facilités scénaristiques.
Ceux qui crient au génie uniquement pour l'ajout de musiques "extra-diégétiques" sur des personnes qui marchent au ralenti, j'aimerai bien savoir qu'est ce qui vous fera cette fois vibrer d'ici 5 ans.
Alors ok, c'est bien, ça montre que le réalisateur à bon goût, mais là ça n'apporte rien, strictement rien à l'histoire.Dolan gagnerait à donner beaucoup plus de force à ses musiques et à ses histoires en se branlant un peu moins sur notre cher blondinet et à se faire ses plans caméras. Il devrait travailler un peu plus son scénario.
Après, voilà l'histoire n'est pas des plus prenantes et sûrement ceci est du à ce que j'ai expliqué au-dessus.
Des adolescents en quête d'amour, ouais, comme d'habitude, ça ne change pas les mœurs, juste les flatter. La seule différence : on les voit en train de se faire des films. Mais vu les nombreuses références du cinéma cités tout au long du film, ça n'en est même pas surprenant.
Il est tout jeune, il est talentueux, il n'y a rien à redire sur ça, et justement pour ça on va être dur et exigeant. Car c'est bien dommage que ce potentiel ne soit pas exploité.
Ici, la réalisation plus que soignée au niveau des lumières, des couleurs, des ralentis et d'une bande-son époustouflante, nous époustoufle de dédain et de déception pour aussi peu. Les personnages sont niais, aucune attache, seulement irritant. Ils sont là, mais ils ne savent pas pourquoi.Que cela soit nombriliste, narcissique ou pas, on s'en branle. En soit, on perd gravement en intensité suite à de trop nombreuses facilités scénaristiques.
Ceux qui crient au génie uniquement pour l'ajout de musiques "extra-diégétiques" sur des personnes qui marchent au ralenti, j'aimerai bien savoir qu'est ce qui vous fera cette fois vibrer d'ici 5 ans.
Alors ok, c'est bien, ça montre que le réalisateur à bon goût, mais là ça n'apporte rien, strictement rien à l'histoire.Dolan gagnerait à donner beaucoup plus de force à ses musiques et à ses histoires en se branlant un peu moins sur notre cher blondinet et à se faire ses plans caméras. Il devrait travailler un peu plus son scénario.
Après, voilà l'histoire n'est pas des plus prenantes et sûrement ceci est du à ce que j'ai expliqué au-dessus.
Des adolescents en quête d'amour, ouais, comme d'habitude, ça ne change pas les mœurs, juste les flatter. La seule différence : on les voit en train de se faire des films. Mais vu les nombreuses références du cinéma cités tout au long du film, ça n'en est même pas surprenant.
Il est tout jeune, il est talentueux, il n'y a rien à redire sur ça, et justement pour ça on va être dur et exigeant. Car c'est bien dommage que ce potentiel ne soit pas exploité.
Embarqué dans un glamour subjugant dans un premier temps, le film tire en longueur, notamment avec les scènes montrant des personnes en "interview" parlant de leurs histoires d'amours. Malgré ça, le film déborde de bonnes idées et est dôté d'une esthétique et d'un montage sublime, et de deux ou trois scènes mythiques.
Des idées à chaque plan. Une créativité sans limite. Je suis un grand admirateur de Gus Van Sant et ici j'ai retrouvé cette admiration, j'ai vu du Gus Van Sant dans certains plans. Xavier Dolan aime filmer les amours impossible ( j'ai tué ma mère, Laurence Anyways ) et c'est toujours très réussi. Ralenti très bien maîtrisé, musique très belle. Un très bon film.
Un super film! Le seul hic est que l'on ne comprends pas toujours ce que les acteurs disent car le film est en français du Québec!
Une chef d'œuvre, un film résolument artistique. Une esthétique à couper le souffle. Des acteurs fabuleux. La bande originale est tout simplement enchanteresse.
Le sujet traité est développé tout au long du film de manière intelligente et sans fare.
Une réalisation incroyable
Ouawwww
Le sujet traité est développé tout au long du film de manière intelligente et sans fare.
Une réalisation incroyable
Ouawwww
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