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    Godzilla
    Note moyenne
    2,9
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    1 888 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mai 2014
    Je suis extrêmement déçue par ce nouveau Godzilla .... En allant voir ce film j'avais juste pas envie de voir 90% du temps des humains en train de brasser de l'air pour rien (bon ok presque rien, le personnage principal arrive quand même à servir 1 fois à quelque chose spoiler: en brûlant les oeufs des Mutos
    ). Bryan Cranston se plante largement avec son rôle dans ce film plus que moyen .... Son apparition au casting ne sert d'ailleurs qu'à attirer les foules dans les salles, étant donné que le nom de l'acteur principal n'en est pas - encore - capable. Aaron Taylor-Johnson, jeune acteur britannique de 24 ans est d'ailleurs à mon sens le principal intérêt du film, je me suis étonnée à découvrir que c'est également lui qui tenait le premier rôle dans Kick-Ass !! Si son rôle dans Godzilla lui permet d'accéder à d'autres films de cette envergure, tant mieux pour lui (et tant mieux pour mon plaisir des yeux) !
    En bref le film manque cruellement de batailles entre monstres géants !! Et dernier point que je souhaite soulever : je sais pas si la faute de mon ciné, mais la 3D était exécrable !! Certaines scènes étaient carrément floues ....
    Je vous en prie, ne payez pas une place de ciné, encore moins en 3D, pour voir ce Godzilla, achetez vous plutôt du pop corn à faire à la maison et matez le Godzilla de 1998 : malgré des effets spéciaux un peu datés, il me laisse un bien meilleur souvenir !
    Chris46
    Chris46

    517 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2019
    " Godzilla " film sympatoche de Gareth Edwards .

    C’est l’histoire du physicien Joseph Brody ( Bryan Cranston ) qui enquête sur de mystérieux phénomènes qui ont lieu au Japon quinze ans plus tôt après qu’ un mystérieux incident est décimé la région de Tokyo et déchiré sa propre famille . Refusant de s’en tenir à la version officiel qui évoque un tremblement de terre le scientifique revient sur les lieues du drame en compagnie de son fils Ford ( Aaron Taylor-Johnson ) soldat dans la Navy pour tenter de découvrir une fois pour toute la vérité sur ses phénomènes mystérieux . Ils découvrent que les incidents ne sont pas liés à une catastrophe naturelle mais à des animaux préhistorique nommer les MUTO . Pendant la préhistoire bien avant l’apparition de l’homme sur Terre ses animaux se nourrissaient autrefois de radiations nucléaires naturelles et ont donc subit une mutation les transformant en monstres gigantesques avec des capacités extraordinaires comme le fait de lancer du feu nucléaire ou encore de générer des interférences électromagnétiques qui mettent tout les services électronique hors service . Elles ont été contraintes de s’enfoncer dans les profondeurs de la Terre pour pouvoir continuer à s’alimenter des radiations nucléaires et donc pour pouvoir survivre . Elles ont ainsi échapper à ce qui a décimer les dinosaures à la surface de la Terre il y a plusieurs millions d’années et ont donc continuer à vivre sous terre . Mais en 1954 elles ont été réveillé par les activités du premier sous marin nucléaire à propulsion nucléaire . L’un de ses monstres nommer Godzilla est un alpha-prédateur une force de la nature dont le but est de chasser et tuer les MUTO pour rétablir l’équilibre . Ses créatures sont surveillées par une organisation nommée Monarch qui veille à ce que ses monstres ne menacent pas la sécurité des gens . Mais deux de ses monstres vont finir par sortir de Terre et semer la Zizanie sur la côte ouest des États Unis . Godzilla va alors les prendre en chasse tandis que le soldat Ford ainsi que les autorités et l’organisation Monarch vont tenter de rétablir la situation...

    Les Studios Hollywoodien ont décider en 2014 de relancer la franchise japonaise " Godzilla " qui compte près d’une trentaine de versions différentes du célèbre monstre dont les plus célèbres sont bien évidemment la première version sortit en 1954 ou encore la version américaine de Roland Emmerich sortit en 1998 . C’est le réalisateur Gareth Edwards ( " Rogue One , A Star Wars Story " ) qui a donc été charger de ressuscité le monstre sur grand écran avec cette nouvelle version de " Godzilla " . Bon alors que vaut cette nouvelle version de " Godzilla " ? Ben c’est globalement pas mal dans l’ensemble et plutôt divertissant avec le monstre Godzilla qui va prendre en chasse des monstres préhistorique nommer les MUTO qui vont semer la zizanie entre le Japon et les États Unis donnant lieu à des affrontements et des séquences d’actions spectaculaires . Le film est pas mal mais quand même un peu décevant sur certains points on va pas se mentir . On s’attendait quand même à mieux . Je préfère largement la version de Roland Emmerich sortit en 1998 . C’était peut être un gros film pop corn bien bourrin mais on en avait clairement pour notre argent niveau grand spectacle . Le problème de ce film c’est que Godzilla qui est censer être la grande star du film ( le film porte son nom quand même ) est clairement mis au second plan pendant une très grande partie du film . Toute la première partie est consacrer aux MUTO ( qui ils sont etc .., ) et sa traîne d’ailleurs un peu en longueur . Il faut vraiment attendre la dernière demi heure pour le voir clairement entrer en action face à eux . Le film manque clairement de peps et de scènes d’actions épiques pour pouvoir convaincre pleinement . On reste clairement sur notre faim à ce niveau surtout si on compare ce film avec un autre film du même style sortit un an plus tôt à savoir " Pacific Rim " de Guillermo Del Toro qui envoyait vraiment du lourd . C’est dommage car il y avait vraiment un potentiel je trouve pour faire quelque chose de vraiment bien . De plus ce film nous présente " Godzilla " comme un protecteur de l’humanité qui combat les MUTO qui sont une menace . Ok c’est un partit pris intéressant qui nous montre un Godzilla différent par rapport aux autres versions qui nous montrait un Godzilla qui était une menace mais du coup sa casse un peu la personnalité de ce monstre et sa peu décevoir surtout pour tout ceux qui s’attendait à voir Godzilla tout détruire sur son passage et être une vrai menace pour les humains ( ce qui est aussi le cas mais plus par dommage collatéral à cause de ses affrontements avec les MUTO ) .
    Bon après tout n’est pas à jeter dans le film sa reste quand même divertissant dans l’ensemble avec tout de même quelques séquences spectaculaires spoiler: le tsunami , le MUTO qui attaque le métro , le Muto qui attaque le train , le combat finale dans la ville entre Godzilla et les MUTO ... ) .


    Les effets spéciaux qui donnent vie à Godzilla et aux MUTO sont de bonne qualité . J’aime bien d’ailleurs le design à l’ancienne de Godzilla qui reprend un peu le design des anciens films " Godzilla " pour renouer un peu avec l’esprit des anciens films la où Roland Emmerich avait énormément moderniser le design du monstre dans sa version de 1998 ( qui lui donnait pas mal de gueule aussi ) .
    La réalisation de Gareth Edwards est très efficace nottament en soignant l’esthétisme de son film en nous offrant de beaux plans nottament
    spoiler: lors du combat finale pendant la nuit avec la fumée qui sort de la ville tout ça ou encore quand les militaires sautent de l’avion pour rejoindre la ville avec leurs fumée lacrymogène rouge

    . Sa donne de superbes scènes visuellement . De plus la réalisation de Gareth Edwards donne un ton beaucoup plus réaliste qui fait qu’on y croit un peu plus que la version de Roland Emmerich qui jouait pas mal dans la surenchère et les séquences surréalistes .
    Le film est porter par un casting correct avec nottament l’acteur Aaron Taylor-Johnson qui fait plutôt bien le job dans le rôle de Ford ce soldat de la navy qui va se retrouver bien malgré lui au milieu d’un combat de monstre a tenté de gérer tout ça . Bon c’est pas le héros le plus charismatique qu’on est eu mais il fait plutôt bien le job . Par contre déçu qu’on ne voient pas plus l’acteur Bryan Cranston ( " Malcolm " , " Breaking Bad " ) et l’actrice Juliette Binoche qui jouent les parents de Ford

    spoiler: et qui meurent assez rapidement dans le film c’est assez dommage

    . Je comprend pas qu’on est des acteurs de cette trempe et qu’on ne les exploitent pas plus avec des rôles un peu plus consistants .

    Pour résumer " Godzilla " est un divertissement globalement pas mal et divertissant mais qui nous laisse quand même un peu sur notre faim . Une suite va sortir prochainement ( " Godzilla 2 , Roi des monstres " ) et on espère qu’elle soit de meilleur qualité et qu’ils auront corrigé les erreurs de ce premier opus . En tout cas la bande annonce laisse présager une suite de bien meilleur facture . Hâte donc de voir ça .
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    96 abonnés 1 550 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    Gareth Edwards (II) est un réalisateur que je ne connaissais pas. Je fais partie des nombreuses personnes n'ayant pas vu "Monsters", son unique autre film mais je ferais peut-être bien de rattraper ce retard. Le thème des monstres semble beaucoup intéresser ce réalisateur débutant. Peut-être a-t-il déjà décelé le domaine où il est le plus doué ? Car, en effet, on a affaire à un réalisateur maîtrisant parfaitement un blockbuster que ne renierait pas Guillermo Del Toro, autre réalisateur passionné par les monstres. Edwards nous propose des plans impressionnants même s'ils ont déjà été vus ailleurs : spoiler: un tsunami ? J'ai l'image de "The Impossible" en tête. Un plan où des gens se réfugient dans des sous-terrains pour éviter des monstres ? J'ai plusieurs images de "Pacific Rim" qui me viennent en tête.
    Je pourrais continuer encore longtemps comme cela mais ce qu'il faut retenir, c'est que ces plans déjà vus ailleurs sont des plans que j'avais apprécié ailleurs. Ainsi compilés et tout aussi maîtrisés ici que dans les autres films, cela ne peut pas être un mauvais point.

    Et puis, visuellement, le film ne serait peut-être pas aussi accrocheur sans son directeur de photographie, Seamus McGarvey (Avengers, 50 nuances de Grey, Anna Karenine ...), qui porte le film dans une toute autre dimension : ces teintes orangées se dégageant de gris sombres et sales et de marrons très clairs donnent une véritable identité au film.

    Identité propre qui l'est moins lorsque l'on s'intéresse au scénario. Peu d'originalité s'y trouve même si on peut déceler quelques bonnes idées par ci, par là. Rien de bien méchant et, surtout, pas de quoi retourner les foules. Et puis, le film est un peu trop "F**ck Yeah America" pour moi.
    C'est ce qui explique que je ne mette pas la note maximale.

    Le 4/5 est en fait principalement dû, d'une part, à l'aspect visuel donc, avec des effets spéciaux exceptionnels soit dit en passant et quelques scènes qui vous feront vous demander si finalement, le film de science-fiction que vous êtes allé voir n'était pas aussi un peu un film d'horreur. En effet, adrénaline et sursautements sont parfois au programme.
    D'autre part, le 4/5 est atteint grâce au choix du casting : on retiendra surtout Ken Watanabe et Bryan Cranston. Elizabeth Olsen n'étant pas au meilleur de sa forme et Aaron Taylor-Johnson ayant le regard dans le vide dans la plupart de ses scènes. Cependant, le reste des acteurs est crédible.

    Voici pourquoi je puis affirmer que malgré quelques défauts, Godzilla reste un très bon remake.
    Alice025
    Alice025

    1 682 abonnés 1 369 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2014
    3/5 pour les effets spéciaux principalement. Vu en Imax 3D, on en a plein la vue ! Les décors et les couleurs sont très sombres, baignés dans une atmosphère assez apocalyptique. Les monstres sont bien réalisés, en particulier et surtout notre fameux Godzilla ! Son apparition est très classe : on le découvre sans presque le voir dans la mer pendant un petit moment, avant de voir sa gigantesque stature. Les plans sont bien cadrés, comme la scène des parachutistes. Bref, effets visuels impeccables !
    Par contre, grosses failles dans ce film. Le scénario est sous exploité, je n'ai pas aimé la tournure de l'histoire. Il y a plein de petites incohérences, les décisions des hommes militaires sont absurdes, il n'y a pas de fondement. Et surtout, voir Godzilla comme sauveur de l'humanité plutôt que monstre dévastateur, je n'adhère malheureusement pas. Cette œuvre est devenue destinée à un trop jeune public. Ne parlons pas des personnages... La petite famille Brody n'est absolument pas crédible ! Elizabeth Olsen ne sert strictement à rien. Le personnage d'Aaron Taylor-Johnson est celui qu'on voit le plus, et pourtant, on ne s'y attache pas. Seul Bryan Cranston est prenant.
    De plus, j'ai plus eu de la peine de voir les destructions matérielles que les pertes humaines. On n'en parle presque pas, on ne l'approfondit pas et c'est bien dommage.
    Un film qui manque cruellement de fond, mais on ne peut tout de même pas s'ennuyer devant ces combats monstrueux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Plusieurs références aux grands films de guerre comme Platoon et Apocalypse Now, hommage aux Oiseaux d'Hitchcock, une pure merveille d'esthétisme néo-féllinien. Plus sérieusement, il s'agit de Pacific Rim sans Jaegers, sans Del Toro et sans Elba. Donc que reste t-il ? Quasi rien sauf des effets speciaux qu'on peut labelliser impressionnant, chantage aux enfants et aux animaux doméstiques, pleurniche familiale et soldats super loyaux. En résumé : plus le film avance, plus il s'enfonce dans les abysses d'ou vient Godzilla.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 437 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Voilà donc Godzilla, version 2014. Bon, ben franchement il y a clairement mieux, et même si on évolue dans un registre qui évite la comparaison avec le film de 1998, elle ne serait surement pas à son avantage, malgré tous les défauts que l’on peut trouver au métrage d’Emmerich (qui était franchement très bien dans son style et reste de très bonne facture aujourd’hui encore).
    Coté casting on pouvait être surpris déjà de ne pas voir de grandes stars au générique (en sachant que le réalisateur est déjà un quasi débutant). Binoche gicle au bout de 10 minutes (probablement un mauvais choix scénaristique), Cranston plutôt prometteur avec une solide prestation au bout de 30 minutes, et les acteurs à suivre, comme Hawkins et Watanabe n’ont que des rôles secondaires. Alors on se demande qui il reste. Et bien Olsen, pas très présente et sans influence sur l’histoire, et Aaron Taylor-Johnson, qui hérite de tout le boulot. Pas forcément mauvais, il manque quand même de présence et d’affirmation pour ce film, et ceux qui avait critiqué Broderick à l’époque, franchement il n’est pas beaucoup mieux Taylor-Johnson, d’autant que Broderick correspondait alors au personnage qu’on lui avait confié. Là notre démineur ne fait pas grand-chose. En clair, c’est peu convaincant.
    Le scénario est discutable. Le film est clairement trop court pour son sujet, il manque clairement de fluidité narrative (le début, oulà !), le film se passe sur toute la surface de la planète et ça devient vite le foutoir avec des ellipses en veut-tu en voilà. De surcroit, alors que le film d’Emmerich avait été tancé pour sa simplicité, ici il n’y a même pas un embryon d’explication à ce qui se passe ! Image d’archives au début, et puis paf, on se retrouve très vite avec trois monstres et c’est la débrouille pour le spectateur ! Non, ce n’est pas tenable. Autant dans le Monsters du même Edwards c’était viable, autant ici il fallait quelque chose de ce point de vue. Sinon, la pseudo-construction psychologique des personnages est laborieuse et très convenu. Enfin, Godzilla est dans le titre, dans le film on ne le voit en entier que trois fois, et pas plus de 5 minutes à chaque fois. Même la conclusion n’est pas convaincante, là où le film d’Emmerich se montrait émouvant. En clair, ce film réussi l’exploit d’être moins subtil que le film d’Emmerich en se voulant au contraire plus fin.
    Techniquement on retrouve la patte d’Edwards qui avait été séduisante dans Monsters. C’est vrai qu’il a du potentiel, maintenant on voit aussi ses limites, car il fait des parties prit là encore viable dans Monsters, mais ici peu tenable. C’est tout de même difficile de ne pas prendre davantage de hauteur avec les créatures, de ne pas avoir une caméra plus nerveuse, et on s’enlise un peu dans les même travers que Cloverfield par exemple. Certes il y a de l’immersion et c’est agréable, mais se dégager du sol permet aussi d’avoir un spectacle plus grandiose et là, avec un tel budget il était malvenu de s’en priver. Pour la photographie je note un travail efficace. Un peu sombre par moment, mais rien de préjudiciable à l’image, et les décors sont de très bonnes tenues. Rien à dire de ce côté. Venons-en aux effets spéciaux. Certes les créatures sont très bien faites, même si on pourra en revanche discuter leur design respectif (il y a une scène où l’on voit les pattes de Godzilla, et je peux vous dire que ça fait pied de peluches !). Le monstre très « Cloverfieldien » croisé avec les créatures de Pitch Black en termes de look surprend au début mais finalement il n’est pas si impressionnant. Pour les scènes de destruction c’est à des années lumières du Godzilla d’Emmerich. Si vous voulez voir un monstre détruire des villes, plaisir coupable devant Godzilla, vous pouvez passer ici, car lorsque vous allez vous retrouver sur les lieux, Godzilla ou ses potes auront déjà fait tout le boulot. C’est très frustant, et là encore c’était une qualité dans Monsters, qui devient plombant dans ce genre de film. Niveau bande son, et bien c’est là aussi inférieur au film d’Emmerich. Ça manque d’ampleur, de majesté, d’épique, c’est trop passe-partout pour un film à 160 millions.
    En clair Godzilla version 2014 est un film décevant, et je partais plutôt confiant après la belle surprise de Monsters par le même réalisateur. Il n’a clairement pas su faire le passage de l’un à l’autre, et même si ses qualités pointent parfois, ce n’est pas suffisant. Clairement moins spectaculaire que le film de 1998 que ses quelques améliorations techniques ne compensent pas, il est aussi moins rythmé, et finalement moins touchant. On a un produit froid et sans âme, Godzilla étant un pauvre lézard exploité ici, alors que la version de 1998 lui offrait un vrai rôle, une vraie personnalité, une vraie dimension, et cela en gardant le côté « gaffeur » de la bête, voir même le côté un soupçon « nanar » qu’a souvent eu la saga. 1.5.
    Hor2
    Hor2

    12 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2015
    Juissant, c'est le mot qui me vient à l'esprit après visionnage du film. Le réalisateur est arrivé à sublimer le monstre et a retranscrire le réalisme de précédent opus. De plus grâce aux renforts que bénéficies les productions hollywoodiennes, Gareth II nous signe à travers son film, une véritable ode à la créature. Julien Tessier nous gratifie de sa meilleur performance qui était en déca depuis bien des années.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2014
    On s'ennuie profondément. Impossible d'être hapé par le film. L'idée de base n'est pas ininteressante: Des humains dépassés et spoiler: Godizilla en sauveur de l'humanité
    ). Dans le même temps, le scénario n'embrasse pas totalement cette option et on se coltine un héros impuissant, qui semble être placé là de manière totalement artificielle. Les effets spéciaux ne sont même pas merveilleux. Quelques morceaux de bravoure, mais de gros problèmes de gestion de l'incrustation. Peu ou pas de cohérence sur le plan de l'image, ce qui ne facilite pas l'immersion. 3d inutile et fatiguante.
    On sent que le réal a souhaité (partiellement) échapper aux codes de ce type de film. Ceci est malheureusement fait assez gratuitement et il ne parvient pas à proposer d'alternative convaincante.

    Bon, je n'en attendais pas grand chose. La conjonction de l'emploi du numérique à outrance, de la surenchère des effets spéciaux, de la répétition des mêmes recettes (on attend Godzilla 2), du marketing à outrance semble tuer peu à peu le genre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mai 2014
    Après avoir passé plus de 2 heures à attendre le début du film , je me suis rendu compte qu'il avait déjà commencé. Toutes ces BO qui passent en boucle j'espérais beaucoup mieux. honnêtement très très déçu.
    Prad12
    Prad12

    94 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juillet 2014
    Des monstres surdimensionnés se battent dans les rues de San Francisco, vous croyez que les gens paniquent ? Et ben pas vraiment........ les regards sont inexpressifs....... tout comme moi à la vue de ce blockbuster à la gloire de l'armée américaine, de l'écologie et de la philosophie japonaise naturaliste, tout çà contre le vilain nucléaire qui en plus de me permettre de voir cette daube sur écran et de faire cuire mes nouilles, a créé des grosses bêtes........ 2 heures de blablas interrompues par quelques belles images et quelques batailles mal filmées.......... pour finir, le héros qui porte ce film se nomme Aaron Taylor-Johnson et a autant de charisme que mon auto cuiseur nucléaire........ c'est nul et mal ficelé.......
    Raphaël O
    Raphaël O

    149 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2014
    Ce reboot du célèbre lézard géant se caractérise par un scénario très bien écrit, mêlant habilement nouveautés et mythe, une superbe mise en scène, des effets visuels absolument époustouflants et est interprété par un casting de choix.
    Une franche réussite !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 juin 2014
    La note n'est pas tout à fait représentative de la balance qualités/défauts du film, si c'était le cas il dépasserait péniblement la moyenne mais puisque j'ai senti des frissons dans mon dos pendant la moitié du visionnage, difficile de lyncher le film. Commençons par le début, plein pleeeein de spoilers. J'ai comme tout le monde été doublement violé par une campagne de pub qui non seulement en dévoilait trop mais se foutait allègrement de la gueule des fans de "Breaking Bad" en nous faisant croire jusqu'au bout que Bryan Cranston porterait le film, la bonne blague. Le fait que son personnage meurt dans la première demi-heure est doublement pénalisant car 1) son personnage est de loin le plus intéressant du film ainsi que le plus haut facteur d'implication émotionnelle et 2) il passe le flambeau à Aaron Taylor-Johnson qui s'il est loin d'être "mauvais" n'a peut-être pas (encore?) les épaules nécessaires pour porter un blockbuster comme celui-ci. Et ça me fait mal de le dire mais niveau personnage on est pas gâtés: celui de Ken Watanabe ne sert pas à grand-chose, sinon à servir de commentateur et à expliciter ce qui devrait pouvoir se lire entre les lignes (en ôtant ses lunettes si possible), Sally Hawkins est une plante verte et l'intérêt de suivre Elizabeth Olsen si longtemps m'échappe encore un peu. C'est donc avec une certaine distance qu'on suit les aventures de personnages dont on se fout un petit peu, et l'on regarde avec la même distance des civils mourir puisque l'implication émotionnelle ne semble pas plus que ça toucher les personnages non plus, en dehors de leurs proches. D'autant qu'un surplus de clichés aussi bien Américains que Japonais (on ne peut au moins pas reprocher au film de se focaliser sur un seul pays) tels que mettre un gosse dans les bras du héros ou encore l'ultime regard entre le héros et Godzilla -clin d’œil au film d'Emmerich ? Ce serait la pire idée possible- rend le tout moins crédible pour un film qui se veut plus adulte que par le passé. Attention quand même, si j'ai l'air de faire ma mijaurée avec le film c'est parce que les trailers avaient mis la barre vraiment haut, et que j'en attendait énormément, et bien que je soit déçu sur plusieurs points le film a tout de même comblé pas mal de mes attentes. Déjà en ce qui concerne Godzilla, tout bêtement. S'il a tout de même l'air d'être un second rôle de son propre film (les MUTO et leur design à la "Cloverfield" occupant plus souvent l'écran), quand il est là on en a pour son argent. Chacune de ses apparitions est bluffante, on aime ou pas le parti pris du teasing d'une heure sur la ou les bêtes (parce que les MUTO et leur EMP impressionnent eux aussi) et en ce qui me concerne ça passe crème. Le réalisateur accumule les astuces pour en dévoiler ni trop ni pas assez: les bestiaux apparaissent à travers une vitre sale, dans l'image floue d'une paire de jumelles ou comme une vague forme sous la surface, c'est l'occasion d'une plâtrée de plans plus beaux les uns que les autres. On a constamment envie d'en voir plus et le film joue bien de ça. On en voit peu finalement, mais ce n'est pas un de ces films dont on ressort en se disant qu'on en a pas vu assez. Il y a donc une véritable science du dosage SAUF à deux ou trois exceptions près où le film frustre. La frustration commence dans cette scène absolument éblouissante à Honolulu lors de la première confrontation entre Godzilla et un MUTO: tout est géré comme du papier à musique, la caméra nous dévoile quelques écailles, un torse, un bras jusqu'à nous montrer Godzilla dans toute sa splendeur. Le design du kaiju est splendide, rendant hommage à celui de 54 (son cri, l'impression d'une silhouette humaine dans tout ça) tout en poussant la majesté au niveau supérieur, le combat s'annonce épique !!! Et puis cut, on est désormais à l'autre bout de la planète à filmer du quotidien. Je me rappelle avoir gueulé à haute voix à ce moment du film, surtout que celui-ci a le bon goût de nous faire (très) partiellement voir à la télé ce que l'on vient de louper, et ça a l'air bon ! Ça marchait avant et pas ici parce qu'à ce moment, on loupe véritablement quelque chose. Ce n'est plus faire courir le public après une friandise ce qui peut être marrant, c'est donner un gâteau au public mais le lui reprendre des mains avant sa première bouchée. Et ce petit malin de réalisateur renchérit plus tard en fermant lentement les portières, laissant le spectateur apprécier à quel point il a failli l'avoir, son climax. Heureusement que l'attente vaut la chandelle, car les scènes d'actions sont gérées avec la même maestria que les scènes d'exposition. On s'accroche simplement à son siège pendant toute la durée de celles-ci. Parce que le réalisateur a fait le bon choix de tout filmer d'un point de vue humain, rendant l'immersion d'autant plus forte, mais aussi parce que la 3D est pour une fois très bonne, jouant habilement sur les valeurs d'échelle. Cela donne des scènes en passe d'être culte comme celle de la pluie d'avions de chasse ou encore celle déjà bien connue du saut en parachute, qu'il s'agisse de la réalisation parfaite, de la maestria dans le dévoilement des monstres ou du putain de thème des monolithes de "2001, l'odyssée de l'espace", c'est une de ces scènes parfaites de bout en bout. Lorsque le point de vue humain est écarté, c'est heureusement tout aussi impressionnant. Le climax se fait attendre mais il en vaut la chandelle, ça tout le monde s'accorde à le dire. J'avais aussi un peu peur d'un Godzilla sauveur de l'humanité, cet égarement étant une aberration quand on connait le message du film d'origine. Au final si le thème est fatalement moins intéressant que dans le film de 1954, un Godzilla chargé de restaurer l'équilibre naturel passe étrangement bien. Sauf en ce qui concerne la fin, voir Godzilla acclamé par la foule comme un Superman c'est surtout ridicule. En bref il y aura des gens qui auront l'impression d'un film qui leur a fait des préliminaires pendant deux heures avant de leur faire l'amour pendant cinq pauvres minutes, pour moi il a le cul entre deux chaises. Ce montage fourbe est à la fois ce qui fait la force du film, mais aussi sa plus grande faiblesse lorsque le réalisateur pousse le concept trop loin jusqu'à presque oublier que si "adulte" le ton soit-il, un "Godzilla" c'est aussi des monstres qui se tapent dessus. Encore une fois, ce ajouté aux incohérences et au manque d'intérêt pour les personnages, s'il devait y avoir une note arithmétique elle ne serait pas fameuse, une chance pour le film qu'un avis n'ai pas à être objectif.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2014
    Plus de quinze ans après le dernier Godzilla en date, l'un des monstres les plus connut du grand écran refait son retour. Et non des moindres. Un retour fracassant mais porteur d'un nombre incalculable de défaut. Je peux tout à fait comprendre la réaction d'un fan, mais je peux surtout appréhender cette réaction mitigée sur le film dans sa globalité. Je crois avant tout que la BA est au origine du mal qui ronge le second film de Gareth Edwards. Car tout les projecteurs étaient braqués sur le désormais célèbre Bryan Cranston, qu'on pensait interpréter le personnage principal. Après le succès phénoménale de Breaking Bad, voir l'ex Walter White endosser le rôle du perso principal aurait été tout bonnement orgasmique. Les gens ont du se ruer dans les ciné, acheter le max de pop corn, s'installer dans le bruit le plus total, savourant le festin à l'avance, jusqu'à... l'Instant Fatidique. Dès lors, Gareth Edwards entre dans le Guiness des records dans la catégorie " Plus Gros Fistage de Tout Les Temps ". Entendre le crissage de dent de Merryn Fuckin' Trant me retransmettais la réaction des Breaking Bad's Addicts. Le malaise laisse sa place à la colère, la colère à la haine. Voilà l'un des défaut principal de ce film : une bande annonce mensongère. Après que ce séisme ai ébranler la foule, je n'osais plus espérer grand chose : le personnage le plus intéressant du film, le plus travailler en tout cas ( celui du père que l'on pourrait penser parano ou habiter par le génie ) venait de s'éteindre dès les trente premières minutes. Cranston ( qui nous laisse malgré tout une très bonne performance ) ne nous laisse que Ken Watanabe et Aaron Taylor-Johnson. Ce premier n'est pas mauvais du tout, son personnage en revanche manque clairement de punch. Le nombre de fois où il retire ses lunettes d'un geste grave et conséquent m'a sérieusement énerver " Vous n'avez pas tirer la chasse d'eau ? " *retire ses lunettes* Passons ensuite à ce rôle principal : Taylor-Johnson qui revêt l'habit d'un militaire spécialiser en explosif, beau, jeune et fort. Tout dans ce personnage m'énerve : Il inspire, expire, respire le cliché. Mais le bon gros cliché de gros porc du genre " Essayez plutôt de causer à mes burnes " itout itout. Il n'a rien ce perso. Rien à lui. Rien qui ne lui vaudrait d'être reconnu. Évidemment il y a ce petit tressaillement de patriotisme ( détruire le nid des MUTO ) Mais pourquoi il se barre pas ? Pourquoi exploser le nid puisqu'une bombe va sauter d'un moment à l'autre ? Pourquoi ?? *Par sentiment de noblesse des plus imaginaires!!* merci Heath. Et Taylor-Johnson est quand à lui très limiter en fin de compte. Je pense qu'on aurait du s'orienter vers un autre choix d'acteur. Bon si on parle du Lieutenant Brody, on doit bien parler de sa femme hein ? Aller ! Juste un petit peu !! ELLE NE SERT A RIEN !!! Juste à alimenter le cliché ! Elle ne fout rien de tout le film à part téléphoner. LA force du film il s'agit de sa pièce maitresse, en l’occurrence Godzilla. Celui-ci est remarquablement bien fait. Très différent de celui de 1998, mais très beau quand même. Et je me fous royalement de ses pattes d’hippopotames. Dès son entrée, on pourrait se retenir d'ouvrir sa braguette. La touche de génie d'Edwards à ce moment précis, dans l'aéroport, est tellement évidente : On regarde une multitude d'avion exploser mais on ne distingue que bien plus tard la patte gigantesque de Godzilla au premier plan. Peu après le combat le plus impitoyable de toute l'histoire du cinéma a lieu : Une série de coup meurtriers, de bâtiments rasés, et de... *Bwwwwit* Attendez... Non y a pas ça ! POUR-QUOI ?? Bon dieu pourquoi !! C'est ce que le public demande *Que Cranston sorte de sa tombe ?* Naaan, la première confrontation entre les deux mastodontes !! Mais comment peut on priver les fan de la première joute ? Ça, c'est la faute d'Edwards. mais après la même chose vas se répéter ! Ce qui vas nous amener au problème suivant : Le montage. La transition entre certaine scènes est très mal gérée : Au final le publique est largement pénalisé : Un combat au lieu de de trois *pan*. En revanche les effets spéciaux sont magnifiques, on peut assister aux prémices d'une claque visuelle comme l'onde électromagnétique qui s'étend sur la foret qui peut déjà faire frémir d'excitation le spectateur. Une série de plan sont tout bonnement géniaux, comme le plan vu de haut sur le dos de Godzilla qui nage entourer de portes avions. Cela sonne tellement réaliste. C'est limite si on a pas envie de rajouter le logo National Geographic en haut à gauche de l'écran. Il est à noter aussi que bon nombre de plan présent dans la bande annonce ne figure pas dans le film. Dommage. Bref, au final une mine de capacités, et de talents à mieux exploiter, un tas de défaut à corriger si l'on veut regagner le cœur des fan et ainsi assurer une trilogie mémorable.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 094 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Putain, j'en ai marre d'avoir toujours raison... En même temps puis-je avoir tort ? Je l'avais bien dit, qui irait attendre Godzilla ? Edwards ou pas ! Ce truc pue le film de commande à plein nez où le réalisateur qu'il ait de bonnes ou pas doit se battre pour les imposer car il y a un cahier des charges à respecter.

    Autant Monsters m'avait foutu une petite claque, autant Godzilla c'est exactement ce que l'on pouvait craindre, le film du petit réalisateur doué, avec ses idées qui se fait manger par la machine hollywoodienne.

    Monsters jouait sur l'antispectaculaire, la relation assez magnifique entre les personnages et avec une mise en scène réellement superbe. Ici on sent que le réalisateur voulait mettre ses idées, mais ça ne prend pas.

    Bon déjà j'ai vu le film en VF (et 2D, mais je pense que ça on s'en fout), ça n'aide pas pour les personnages, mais bon qu'est ce qu'ils sont nuls, mais tous, du début à la fin ! Ce que qui était bien dans Monsters c'était qu'ils n'étaient pas des clichés, qu'on s'en foutait des monstres, on voulait juste les voir tous les deux, seuls, vivre... Là on a des clichés sur pattes ! Je l'avais dit dès le début à l'annonce du synopsis, mais la famille scientifique + militaire, ça craint, c'est non seulement peu crédible mais affreusement déjà vu (sans parler de la femme qui est infirmière).

    Binoche dès que j'ai vu sa gueule j'ai su ce qui allait arriver. C'est cousu de fil blanc, avec tout ce qui en découle sur la relation père-fils. Navrant. Passer par autant de lieux communs c'est juste consternant, j'étais vraiment mal tant tout ça sonne faux.

    Et puis Kick Ass qui est absent pour son propre fils... pff sérieusement ???
    Sans parler de Martha Marcy May Marlene qui ne voit pas son mari pendant 14 mois et qui ne le trompe pas. Allez, on y croit bien fort. ça ne colle pas. C'est pénible.

    Du coup lorsque le réalisateur prend le parti pris (qui serait bon sur le papier) de tout filmer à hauteur d'être humain, les rares plans aérien viennent en général d'un hélico, ben on s'en fout parce que les humains sont inintéressants. Alors on veut voir les monstres.

    Réduire leurs apparitions encore une fois sur le papier c'est une très bonne idée, ça les mystifie, mais bon... Si c'est pour se taper des trucs déjà vu et inutiles, ça ne sert qu'à emmerder le spectateur. Parce que oui, il faut le dire, c'est chiant comme film.

    Sans parler du fait que les rares scènes de tension se retrouvent bousillées par un deus ex machina au lieu de les faire durer une éternité jusqu'à que ça soit insoutenable. Je pense à la scène sur le pont avec le train. Ce jeu de chat et à la souris aurait dû être beaucoup plus long, plus intense. Et surtout ne pas se finir comme ça, aussi vite.

    D'ailleurs en parlant de tension, vu que le japoniais de service balance le rôle de Godzilla après une heure de film (environ), la seconde heure perd tout son intérêt, on sait tout ce qui va se passer.

    Après ce que j'ai aimé c'était le traitement de Godzilla en lui-même qui a un côté assez mythologique (sans doute pour ne pas dire que ce sont les USA qui sont responsables de sa création (et puis on a déjà fait le coup des français, on a vu ce que ça a donné)). Les combats sont biens fait et assez funs. Mais ce qui est réellement cool c'est que la principale surprise du film est gardée "secrète" du coup on voit un truc plus cool qu'un simple remake du premier Godzilla à la sauce ricaine.

    Mais malheureusement c'est le seul truc que j'ai à dire de bien sur le film étant donné que les humains sont ratés. Et pire, on retrouve la petite morale ricaine sur la famille, le courage, etc.

    Franchement tant qu'à voir des gros monstres autant voir Pacific Rim, au moins le concept XXL est assumé, tout en alliant fun et poésie en se jouant légèrement des clichés du genre.

    Ce que ne fait pas Godzilla.

    Je passe outre les incohérences, les conneries scientifiques qui méritent des poings dans la gueule !

    Je ne peux même pas dire que je suis déçu car je savais qu'on aurait un truc comme ça, c'est ça d'être omniscient et de ne pas être naïf, mais bon, le réal de monsters était capable de bien mieux.
    PsychoHead
    PsychoHead

    54 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Un de mes films de monstre préféré.
    J'ai adoré le film dans sa globalité, certains plans (saut en parachute, première apparition de Godzilla,..) sont vraiment magnifiques.
    Le parti pris de montrer Godzilla le moins possible rend chacune de ses apparitions juste impressionnants.
    Juste un petit reproche, le fait qu'on s'attache plus au père du personnage principal que ce dernier.
    Malgré ça le film est vraiment excellent.
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