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    Godzilla
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    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2014
    Godzilla 2014 est certainement le meilleur film de la franchise, proche du mythe ayant inspiré les films japonais des années 50 avec des effets spéciaux très spectaculaires et des scènes combat mémorables entre Godzilla et les MUTO à San Francisco. En plus spectaculaire, on retrouve l'esthétique de Monsters du même Gareth Edwards (II). On se situe aux antipodes du film de Roland Emmerich réalisé dans les années 90, qui relatait une confrontation Godzilal/Etres humains. L'impression majeure du film est que les habitants des villes attaquées et les militaires qui se dépensent sans compter pour essayer d'endiguer la catastrophe semblent tout petits comparés à ces créatures, et leurs efforts dérisoires.
    LeddyZ
    LeddyZ

    108 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Aïe aïe aïe, si je m'attendais à ça...Définitivement, il ne faut pas se fier aux bandes-annonces: Godzilla est le prototype-même du "pétard mouillé". On sent vraiment que Gareth Edwards s'est donné corps et âme pour faire plaisirs aux fans, pourtant son long-métrage s'enfonce de plus en plus dans la médiocrité au fil du temps de projection: ça me fait de la peine pour le réalisateur, sincèrement. J'ai attendu patiemment que le film démarre, hélas! il n'a jamais démarré: je me suis ennuyé à mourir, de bout en bout, alors même que l'objectif de Godzilla est de divertir. J'ai même accepté de diminuer mes attentes et de passer outre le scénario faiblard, conscient que ce genre de film ne visait pas à développer une intense réflexion, malheureusement les maladresses s'accumulent et il en devient impossible de défendre Godzilla: rythme catastrophique (les scènes d'action sont effroyablement mollassonnes, brouillonnes et constamment entrecoupées d'autres séquences n'ayant rien à voir), personnages sous-développés (que ce soit le "héros" Aaron Taylor-Johnson ou Ken Watanabe; spoiler: Bryan Cranston, quant à lui, meurt au bout de 20 minutes, donc ne vous attendez pas à le voir beaucoup à l'écran...
    ), 3D inutile (honnêtement, je n'ai jamais vu un film qui exploitait aussi peu cette technologie. Il est scandaleux de devoir payer plus cher pour RIEN), et j'en oublie encore...Seules deux brèves scènes m'ont beaucoup plu: la descente vertigineuse en parachutes d'une part, et le contraste entre le gigantisme de la créature de l'ancien temps et les douces notes d'un piano en fond sonore d'autre part. C'est tout, en deux heures. Autant dire que c'est maigre.
    Le film se clôt de manière ridicule et l'on ressort fatigués après cette catastrophe, ou reposés grâce une belle sieste de deux heures, au choix. Par contre, on a tous le sentiment de s'être faits pigeonnés, car Godzilla est une grosse arnaque.
    Nitquen57
    Nitquen57

    26 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Alors allons-y pour le gros pas beau sorti des tréfonds de l'océan. Un monstre qui a coûté 215 000 000 $ et que j'attends bien depuis un mois ou deux. Alors dès l'entrée, la musique, signée Alexandre Desplat, est géniale, ça vous met dans l'ambiance directe, et ça donne envie avant même que le film ne commence. Deuxièmement, la 3D est absolument sensationnelle. C'est pas bien compliqué, les réalisateurs voulant faire leurs films en 3D tiennent à nous montrer à quasiment 100% du temps que leur 3D est réussi dans les premiers plans spoiler: en vous exposant un paysage tout en profondeur, en teintes contrastées, avec un objet mobile au milieu etc etc
    .. C'est le cas de celui-là. Esthétiquement parlant, le film est une réussite complète, que ce soit au niveau de la 3D, des décors ou des combats qui sont d'une ampleur phénoménale. J'irais même jusqu'à dire que c'est puissant tellement la mise en scène met en valeur son sujet. C'est la force du film, mais c'est aussi un peu sa faiblesse d'ailleurs. Le sujet, c'est la Bête, spoiler: les bêtes même (à part égales)
    , à tel point que niveau développement des personnages, c'est plutôt moyen et y'a pas vraiment la place pour faire du grand jeu d'acteurs. Bryan Cranston est génial et Aaron Taylor-Johnson s'en sors pas mal à la vue des circonstances. Il faut aussi dire que le scénario tient sur un timbre-poste, on a compris ce qu'il va se passer à la fin assez tôt et l'"intrigue" est relativement tirée par les cheveux... même Ken Watanabe, qui est un acteur génial, ne croît pas vraiment à ce qu'il dit. Le long-métrage suit d'ailleurs certains clichés du film catastrophé : spoiler: la famille séparée qui veut se reconstituer, la nature prenant le dessus sur l'Homme et j'en passe
    . Seulement voilà, il faut se poser la question essentielle. Pourquoi on paye? Un peu comme Pacific Rim. Oui, c'est dommage, c'est pas le scénario et le jeu d'acteurs du siècle, et j'y suis très attaché en temps normal. Mais dans le cas présent, on va voir Godzilla pour voir des grosses bestioles qui se foutent sur la gueule, et ça, ça marche très bien. Certains auront peut-être du mal à passer le cap, je me suis aussi posé des questions à certains moments, mais c'est tellement bien foutu qu'on est assez vite immergé dedans.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 909 abonnés 12 470 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2015
    Les Etats-Unis en proie à la terreur de Godzilla selon Gareth Edwards, avec une distribution jeune public puisqu'on y retrouve en haut de l'affiche Aaron Taylor-Johnson et Elizabeth Olsen! Le modèle du film à monstres japonais demeure Godzilla de Inoshiro Honda, produit par la Toho en 1954! Soixante ans après, il est de retour avec un budget pharaonique avoisinant les 160 000 000 $! Une ènorme campagne virale dèbute à base de vidèos indices! Chose amusante, le site officiel propose que chacun partage sa version du cèlèbre rugissement du monstre...et les fans suivront! Le film de Gareth Edwards sort en 2014 et devient un succès commercial! Le bouche à oreille est très bon car cette version fait tout pour respecter le matèriau dont il est issue! Rien que la rèplique de Ken Watanabe « L'arrogance de l'espèce humaine, c'est à croire que la nature est sous son contrôle et c'est exactement l'inverse ! » nous montre bien que l'essence de Godzilla a ètè captèe! La rèalisation est somptueuse, remplie de petites trouvailles visuelles rendant le visionnage très agrèable! Ici lorsque la lutte s'instaure entre plusieurs monstres (en l'occurrence deux), la thèmatique change quelque peu! Godzilla en impose et chaque scène où ce dernier apparaît est une claque tellement il est impressionnant! Scènes malheureusement trop courtes comparèes à celles qui se concentrent sur les humains! Dommage ègalement que les personnages principaux soient autant stèrèotypès (ah, la belle famille amèricaine). Au fait, que vient faire Juliette Binoche dans le film ? On peut aussi regretter que cette production « Legendary Pictures / Warner Bros. Pictures » soit amèricaine et non 100% japonaise! Reste que ce Godzilla 2014 est visuellement bien fichu avec des effets spèciaux grandioses! L'engouement de cette version aura au moins une consèquence : un reboot japonais produit par la Toho Company, co-rèalisè par Shinji Higuchi et Hideaki Anno! Vivement...
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    83 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2014
    Happy birthday to you, happy birthday to you !!!!!!!!! Cela fait 60 ans qu’il a terrorisé le Japon et ses habitants. 60 ans qu’il a lancé le genre des films de kaijus. 60 ans qu’il se frotte à divers adversaires qui sont devenus aussi célèbres que lui (Mothra, Rodan…), sans pour autant avoir une notoriété équivalente dans le monde entier. Et pour cet anniversaire dantesque, ce sont les Américains qui ouvrent le bal, tentant là où Roland Emmerich à louper son tir pour la majorité des fans du monstre et des cinéphiles : donner un lifting de taille, avec les moyens nécessaires, à Godzilla tout en gardant les bases de la saga. Second essai donc pour l’oncle Sam, pour regagner le cœur des aficionados ! Et autant le dire tout de suite : rester objectif pour cette critique va être un exercice difficile (étant donné que les films de destruction massive sont mes plaisirs coupables) !

    Du coup, par quoi commencer ? Le scénario ? Les longs-métrages de ce genre n’ont jamais brillé par leur écriture (ne consistant qu’à voir un monstre gigantesque tabasser un autre, pendant que de pauvres humains insignifiants s’activent alors que l’on s’en fiche royalement). Honnêtement, il n’y avait que le tout premier Godzilla (celui de 1954) qui avait véritablement quelque chose à proposer. En voulant à tout prix mettre en avant la peur du nucléaire post-Hiroshima ainsi qu’une réflexion sur l’utilisation de l’armement. Ce Godzilla 2014 arrive-t-il donc à surprendre de ce point de vue ? Pas tout à fait. Nous avons-là un gros blockbuster qui doit passer par la case « présentation des personnages » pour pouvoir mettre en place ce qui est promis sur le papier (des titans et des villes en ruines). Remettant en cause l’utilité de certains d’entre eux, comme la femme du héros, qui ne sert finalement qu’à être un repère pour le spectateur lors des séquences de foule. Sans compter que nous avons droit à quelques moments dignes des films américains (les scènes héroïques, le militarisme, le happy end…). Cependant, malgré ces défauts, le scénario surpasse, et de loin, tout ce qui a été fait sur les films de kaijus.

    D’une part en ce qui concerne les personnages. Jamais dans un tel film on s’était attaché aux protagonistes. Et cela, nous le devons à un travail d’écriture fort appréciable (qui les approfondis un minimum, notamment le père du héros), mais surtout aux comédiens. Qui, même s’ils n’ont pas spécialement une grande place dans l’histoire, s’en sortent superbement (en ce qui concerne les actrices, que ce soit Elizabeth Olsen ou bien Juliette Binoche). Arrivant à rester crédibles quelque soit la situation qu’ils doivent jouer (mention spéciale à Aaron Taylor-Johnson, qui délaisse son image de Kick-Ass). Avec, en tête, un Bryan Cranston inspiré et touchant, prouvant une nouvelle fois qu’il est un excellent acteur (la définition même qu’il peut aussi bien jouer de la comédie – la série Malcolm – que des rôles sérieux et dramatiques).

    De l’autre, nous avons une très bonne utilisation du thème du nucléaire. Qui fait partie intégrante de la mythologie de Godzilla et devait donc répondre présent à cette version, même s’il n’est plus autant d’actualité que dans les années 50. La bonne idée du film est de le fusionner avec l’écologie, tout en présentant des références pour les deux thématiques (la destruction de la centrale fait penser à Fukushima, le raz-de-marée provoqué par Godzilla au tsunami de 2004). Ainsi, Godzilla et ses congénères ne sont plus des créations nucléaires, mais des êtres d’une autre époque qui ont réussis à survivre par leur alimentation en radiations (de tout genre). Induisant que nous en sommes l’origine et que, par ce biais, nous avons bouleversé la Nature. Qui doit être rétablie par Godzilla (tel est son rôle dans ce film, et non pas une créature avide de destruction). D’ailleurs, les monstres apparaissant dans ce long-métrage (laissons la surprise pour les autres) ne sont jamais considérés de la sorte, mais plutôt comme des animaux. Un point non négligeable quand on veut traiter d’écologie !

    L’autre bonne idée de ce long-métrage est d’avoir laissé la réalisation entre les mains de Gareth Edwards. Cinéaste qui s’est fait connaître avec son premier film Monsters en 2010, qui a su convaincre les producteurs de lui laisser la lourde tâche de s’occuper du mythe Godzilla pour sa seconde réalisation, c’est pour dire ! Mais il y avait de quoi avoir peur. Et pour cause, on pouvait s’attendre à ce qu’un « petit réalisateur » se fasse happer par la machinerie hollywoodienne, livrant ainsi un film qui ressemble bien plus aux producteurs qu’à lui-même. À la grande surprise, Godzilla 2014 est bel et bien un film de Gareth Edwards, qui reprend la même mise en scène que Monsters, à savoir tout filmer à hauteur d’homme. Ce qui nous rapproche des personnages (également un autre point qui nous permet de nous y attacher) tout en donnant énormément d’ampleur, de grandeur aux monstres présents dans ce film. De ce fait, nous restons petits, impuissants et désemparés par les destructions dont nous devenons les témoins. Le tout filmé avec une énergie folle, pour ne jamais nous perdre.

    Autre point positif avec le choix de Gareth Edwards : son respect envers Godzilla. The Amazing Spider-Man 2 (pour donner un exemple récent) se présentait comme une honte pour ce super-héros pourtant vénéré. Ici, c’est carrément un hommage qui est rendu ! Godzilla ne se montre qu’au milieu du film, certes, mais tout est fait pour nous le cacher et ainsi faire monter l’attente. Jusqu’à ce qu’apparaissent ses épines dorsales. Puis une de ses pattes. Et enfin cette caméra qui remonte doucement vers sa gueule, qui s’ouvre pour faire entendre son célèbre rugissement (brillamment modernisé pour ce film). Dès lors, on sait que le réalisateur a joué avec le mythe et ce que représente Godzilla pour les fans. Et des moments comme ça, le film en regorge ! Comme celui où le gros lézard se prépare à « lancer » son souffle nucléaire : ses épines s’allument petit-à-petit dans la brume, du bout de la queue jusqu’à la base du cou, et feu !! Et si vous n’êtes toujours pas convaincus pas ces arguments, il ne vous reste plus qu’à regarder le film. Et voir à quel point certaines scènes sont faites à ce que l’on s’attache à Godzilla (notamment quand celui-ci se retrouve en bien mauvaise posture). Prouvant que le statut d’idole du monstre a été conservé jusqu’au bout !

    Est-il nécessaire de parler des efforts techniques qui ont été faits sur ce film ? Vous faire part du budget (au moins 215 millions de dollars) devrait vous convaincre. Mais précisons tout de même que les effets visuels sont aussi réussis que nous le promettaient les diverses bandes-annonces. Faisant largement oublier le côté LEGO des films originaux et de la vieillesse du film de Roland Emmerich. Suffisamment dantesques pour que les monstres soient crédibles à l’écran (au concept art réussi, même si pas mal de fans japonais n’approuvent pas le côté « balourd » de Godzilla, alors que cela renforce sa grandeur et sa puissance) et offrir au film des séquences apocalyptiques. Ces dernières étant, au passage, magnifiquement mises en valeur par le travail musical d’Alexandre Desplat, tout simplement grandiose. Et enfin, les effets sonores assurent tout simplement le spectacle (au Grand Rex, le sol vibrait quand Godzilla rugissait !).

    S’il n’est peut-être pas aussi travaillé qu’un film de Christopher Nolan ou de Steven Spielberg (en ce qui concerne le scénario), ce Godzilla 2014 est exactement ce que l’on attendait d’une version américaine : une icône intemporelle visuellement améliorée pour un divertissement grand spectacle. On en prend plein les yeux, sans jamais s’ennuyer. Que demander de plus ? Pressé d’avoir une suite, c’est pour dire !! Après avoir vu ce film, vous en redemanderez à coup sûr !!
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Ce "Godzilla" version 2014 est tout simplement une baffe monumentale qui, en plus, d'enterrer toute concurrence, est un formidable hommage au film culte de 1954. Puissant, émouvant, sombre sont les mots qui qualifieraient au mieux ce reboot. Alors d'accord, on a vu mieux niveau scénario mais est-ce bien là le plus important? J'ai été littéralement scotché à mon siège pendant 2h et bouleversé par ces images d'une rare beauté. Chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 mai 2014
    Le Godzilla version 2014 est une vitrine technologique en terme d'effets spéciaux. Un film au budget colossal qui nous fait passer un très bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mai 2014
    Déception absolue.

    Ce film est indigeste, désagréable à regarder.

    Dans le même style, et avec un scénario tout aussi nul, Pacific Rim est incommensurablement mieux. La différence ? des personnages crédibles, un jeux d'acteurs plus élaboré, un rythme et une mise en scène qui rende l'histoire un minimum crédible et immersive et des scènes à couper le souffle.

    Dans Godzilla, rien de tout cela. Que de la médiocrité de bout en bout. C'est une honte qu'un tel film bénéficie d'une telle publicité.

    Petit aperçu de ce qui vous attend :
    1) Une introduction lente, longue, et d'une mièvrerie minable.
    2) Des dialogue fadasses.
    3) Des personnages plats
    4) Des clichés ridicules et des scènes surjoués
    5) Un scénario idiot et sans fil directeur
    6) Un rythme décousu
    7) Des illogismes et des incohérences toutes les 5 minutes
    8) Des scènes de combat peu dynamiques et pas impressionnantes. Et toujours dans l'obscurité.
    9) 1h20 de blabla stériles et inutiles à l'intrigue / 20 min d'action éparpillées dans le film / 20 minutes d'actions condensées en final.

    Un film dans la pure lignée des navets commerciaux. Durant la séance, une bonne dizaine de personnes ont quitté la salle au 3/4 du film. Un film, avec autant de budget : IMPARDONNABLE qu'il soit mauvais.

    Un véritable guet-apens. Piège à plouc absolu. J'ai honte d'être tombé dans le panneau. OUI JE SUIS UN PLOUC.
    N'allez pas le voir. Même si vous êtes bon public.

    PROUVEZ QUE VOUS N'ETES PAS UN PLOUC
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mai 2014
    Grosse déception, on voit à peine Godzilla, et l'histoire met un temps incroyablement long à se mettre en place :-/ je ne le conseil qu'en DVD a louer. Pas au ciné et encore moins en 3D ...
    Aurélien Syncopy
    Aurélien Syncopy

    32 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2014
    On s'attendait à un excellent film d'action quand c'est présenté un nanar.
    Une bande annonce prometteuse tout en finesse ne faisant que suggérer le montre Godzilla, peut être le réalisateur s'est il aperçu de la mauvaise qualité de son film et à trouver cette solution pour éviter le fiasco mais ce film mérite le fiasco. L'idée de reprendre le monstre godzilla était intelligente mais celle de rajouter 2 autres monstres pour faire un combat entre les 3 dans lequel Godzilla est le montre gentil était affreusement mauvaise. Le film ressemble plus à un nanar comme "Freddy contre Jason" qu'à autre chose. Les 30 premières minutes du film sont les seules réussites puisqu'ils se placent du coté scientifique et rendent le film réaliste mais la suite propulse le film dans un crescendo d'évènements de moins en moins réalistes et de plus en plus ridicules.Même la 3D n'est pas réussie et ne fonctionne absolument pas.
    Les rares points forts du film sont certains acteurs comme Bryan Cranston (Malcom, Breaking Bad) ou encore Ken Watanabe (Inception), la musique signée Alexandre Desplat est aussi d'excellente qualité comme d'habitude avec ce grand compositeur.
    Bref un film extrêmement décevant qui ne restera pas dans les mémoires.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mai 2014
    Quoi dire à part que les 2 autres films qui m'ont autant ennuyé que celui-ci sont le dernier Wolverine & Die Hard 5.
    Long, ennuyeux, sombre, 3D dégeu, bref je suis sorti extrêmement déçu de ma projection alors que j'attendais ce film depuis longtemps.
    Pour plus de contenu sur ma critique, tapez "Gallatier" sur Youtube.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Quelle déception de voir ce Godzilla lent et bouffie... Et que dire de l'amourette des deux autre mutants. Très déçu!!
    Chucky.
    Chucky.

    16 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Mais comment en 2014 en peut faire un film aussi mauvais. Certaines scènes sont longues, trop longues parfois même totalement inutiles. Les effets spéciaux sont dignes dans années 90. spoiler: A noté la scènes du bisou entre les deux monstres qui totalement ridicule.
    Anthony d
    Anthony d

    45 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Gareth Edwards a réussi un coup de maître avec son Godzilla.

    Ce film fait un magnifique retour au source et nous fait (presque) oublié la grosse blague de Roland Emmerich.

    LA surprise du film est qu'il fait penser à tout sauf à un blockbuster patriotique à la mode (Transformers ou Battleship pour n'en citer que 2 ...). En effet, le réalisateur a décidé de se concentrer sur l'aventure humaine avant tout, mettant l'affrontement des Kaiju en trame de fond, mais l'exploitant à bon escient, comme il l'avait fait pour Monsters.

    Le rythme du film est très bien géré, alternant entre scènes dramatiques et grosses scènes d'action (VFX hallucinantes, plans inégalés), pour enfin délivrer un final magistral.
    Malheureusement, le traitement des personnages est très léger, et même le casting 5 étoiles n'y change rien.
    Mention spéciale à Taylor Johnson et Olsen que j'ai hate de retrouver ensemble dans Avengers.

    Concernant les "pouvoirs" spoiler: (OUI, GODZILLA A SON LASER !)
    et les origines du monstre, elles sont fidèles à l'original (ouf, les français n'y sont pour rien pour cette fois).

    Le scénario quant à lui est supérieur a ceux que nous servent les bankables Emmerich, Bay ou Anderson, mais reste toutefois léger avec des grosses facilités (sauts temporels, motivations des créatures, ...

    Alexandre Desplat a fait un boulot monstre pour le thème du film. Exit les grosses symphonies et gros tambours à chaque scène d'action, on se retrouve avec un score intimiste, qui rappelle les premiers travaux de John Williams.

    Une très bonne surprise pour le deuxième film du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 mai 2014
    "Godzilla", c'est cette entraîneuse japonaise (naturalisée américaine) toujours attirante malgré ses 60 ans dans le business grâce à des liftings de plus en plus séduisants, au moins au niveau esthétique, il faut bien le dire. Tu l'as déjà visitée plusieurs fois mais à chaque fois ou presque qu'elle te réinvite, bah t'y retournes ! Là, tu arrives chez elle, elle te met à l'aise, te sert un verre et commence à te raconter une histoire. L'histoire d'un type qui perd sa femme dans une catastrophe aux causes étranges, d'un enfant qui grandit sans sa maman mais qui, contrairement à son papa, va accepter de vivre avec cette absence et va lui-même fonder une ravissante petite famille arrivé à l'âge adulte. Une histoire avec des scientifiques, des militaires... Bon, faut bien socialiser avant l'action mais l'histoire, tu l'écoutes d'une oreille distraite. D'une part, t'as l'impression de l'avoir déjà entendue plus de 100 fois et puis surtout, t'es venu là pour pécho, merde ! Donc, ça s'éternise... mais attention, elle y met les formes, hein, elle te fait voyager : les Philippines, le Japon, Hawaï... D'ailleurs, quand elle est rendue à Hawaï et que vous commencez à vous peloter sérieusement, tu sens l'érection monter mais... voilà qu'elle cesse ses caresses et qu'elle referme ses cuisses, la vilaine ! Et qu'elle reprend dans la foulée son récit soporifique de famille à protéger et de villes en ruine où on ne voit rien ou pas grand chose. Et de militaires. Ah ça, les militaires... qu'est-ce qu'elle est chiante avec ses militaires, cette vieille fille à soldats décatie ! Mais bon, tu continues à l'écouter, en commençant à trouver le temps long, quand même. Quand elle t'amène à San Francisco, tu crois que tu vas enfin conclure, mais voilà qu'elle se refuse encore à toi, la chieuse ! Et puis quand finalement elle cède, bien plus tard, ça dure 2 minutes, pas plus ! Intenses ? Mouais, un peu. Pas tant que ça, en fait. Vu que ça fait près de 2 heures qu'elle te tease, tu bandes de plus en plus mou. Bon, d'accord, tu l'as eu, ton orgasme mais putain, que les préliminaires étaient longs et peu engageants ! Et puis le truc qui tue complètement ton plaisir, c'est quand tu te rappelles que t'as payé pour ça et que les quelques euros dont elle t'a délesté vont finir dans la poche de son mac, Gareth Edwards. Bon, c'est sûr, ça te fait un peu moins mal que quand elle tapinait pour cette raclure de Roland Emmerich mais quand même, tu jures -sans trop y croire- qu'on ne t'y reprendra plus, que la prochaine fois qu'elle t'invitera, tu l'enverras se faire voir et que tu préfèreras passer ta soirée à te tripoter devant ton ordinateur ou ta télé sur les images vintage de la belle "Godzilla" du temps de sa splendeur. Le noir et blanc et le latex, ça a quand même un autre charme que la couleur et les cyber-machins.
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