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    Albert Nobbs
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    165 critiques spectateurs

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    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2012
    Malgré l'originalité du scénario, la réalisation est très classique et au final je me suis pas mal ennuyé.
    Akamaru
    Akamaru

    3 131 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 août 2013
    "Albert Nobbs" est une sorte de drame historique à connotation sociale,dont le thème majeur est l'identité ou plutôt son absence. Glenn Close y est stupéfiante dans les frusques d'une femme qui se fait passer pour un homme pour travailler comme majordome dans l'Irlande victorienne. L'actrice, qui a souvent versé dans l'exagération(avec réussite) se contient complètement. Sobriété et jeu de mimes sont ses 2 credos. A côté d'elle,l'amourette entre une jeune servante futile(Mia Wasikowska) et un gredin arriviste(Aaron Taylor-Johnson) paraît bien fade. Rodrigo Garcia réussit à reconstituer avec précision la psychologie de ce personnage travesti qu'est Nobbs,mais passe complètement à côté du cadre historique. Son film vaut pour sa performance d'actrice,justement applaudi. Le ton général n'est pas clairement défini,entre humour morbide et drame pathétique,entre la retenue et l'explosion de pathos. Un film mi-figue mi-raisin.
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 février 2012
    Depuis très longtemps, Glenn Close rêvait d'endosser au cinéma le rôle d'Albert Nobbs, rôle déjà tenu par elle au théâtre en 1982, dans une adaptation de la nouvelle "La vie singulière d'Albert Nobbs" écrite par l'écrivain irlandais George Moore en 1927. L'histoire d'une femme qui a choisi de se faire passer pour un homme afin d'échapper à la dure condition de femme dans l'Irlande du 19ème siècle. Après avoir écrit le scénario, après avoir endossé le rôle de productrice, il lui restait à trouver le réalisateur. Finalement son choix s'est porté sur un réalisateur avec lequel elle avait déjà tourné 2 fois : Rodrigo Garcia, colombien d'origine, fils du célèbre écrivain Gabriel García Márquez. Le résultat ? Un film dont l'intérêt se partage entre l'évocation de la vie des femmes et sur celle des différences de classe sociale, tout cela dans l'Irlande du 19ème siècle. Malheureusement, le film pêche par sa réalisation : académique, diront certains. En tout cas, trop lisse, trop léchée, là où un tout petit brin de folie aurait pu être utile ! Personnellement, Glenn Close ne m'a pas totalement convaincu alors que Janet McTeer, une autre femme se faisant passer pour un homme, est beaucoup plus crédible.
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 849 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2012
    Malgré la présence de madame Glenn Close j'ai trouvé ce film unpeu longuet et surtout ennuyeux
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2013
    « Albert Nobbs » est LE projet viscéral de Glenn Close. Et elle y excelle. Les mauvaises langues diront que c’est un film à Oscar tout en saluant sa performance d’actrice. Et elle n’est pas la seule, j’ai apprécié celle de Janet Mc Teer. Pour en revenir à Glenn Close, Albert Nobbs nous parle en filigrane de la condition de la femme et de l’homosexualité sous l’ère victorienne. Juste en filigrane et c’est bien dommage. C’est là où le bât blesse, ça manque de profondeur. Comme à l’image du personnage, ça reste discret, timide, à distance. Et après tout, qu’aurait-on appris de plus que nous sachions déjà ? Enfin, je me pose la question quant à la présence de Jonathan Rhys Meyers ; pourquoi avoir fait appel à cet acteur pour jouer un client assez insignifiant ? Dès les premières images, je me suis dit que son rôle va avoir une portée sur le film, une influence sur le personnage. Rien. Il est de passage, sans doute par amitié pour le réalisateur ou pour l’actrice... Assez décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 février 2013
    Même l'aspect vraiment dérangeant du film est vraiment intéressant , le film se perd dans son propos et en devient très ennuyeux voire soporifique . C'est dommage il y avait un très bon sujet . Chapeau en tout cas à Glenn Close .
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 339 abonnés 7 542 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2012
    Albert Nobbs (2012) est le fruit d’un travail de longue haleine, une très longue attente pour Glenn Close (son interprète principale) qui ne rêvait que d’une chose, pouvoir porter à l’écran ce personnage qu’elle connaît si bien. Avant toute chose, il est important de rappeler qu’il s’agit ici de l'adaptation de la nouvelle "La vie singulière d'Albert Nobbs" (écrite par l'auteur irlandais George Moore), un roman qui avait déjà connu au début des années 80 une première adaptation au théâtre (écrite et mise en scène par Simone Benmussa), déjà interprété à l’époque par Glenn Close. C’est pourquoi 30 ans plus tard, on la retrouve une fois de plus dans la peau d’Albert Nobbs, pour la première adaptation cinématographique qu’elle a supervisé de près puisqu’elle est productrice et scénariste.
    Le film nous ramène dans l'Irlande du XIXème siècle, alors en plein marasme où pour se sortir de ce climat social difficile, une femme décide de se faire passer pour un homme afin de pouvoir s’assurer un emploi de majordome dans un hôtel de Dublin très respectueux. Ce qui frappe en premier lieu ici c’est l’impressionnante prestation de Glenn Close, qui intériorise tout ce que son personnage perçoit et ressent. La crispation se lit sur son visage, pourtant figé malgré de rares expressions. Par contre, ce qui est regrettable, c’est que le film ne tient pas ses promesses, il y avait pourtant matière a en tirer une très belle œuvre, mais au lieu de cela, Rodrigo Garcia préfère s’enliser à travers un drame social très conventionnel dans sa mise en forme et son traitement, c’est d’autant plus regrettable qu’il y avait pourtant de très bons acteurs aux côtés de Glenn Close (Mia Wasikowska, Aaron Johnson, Brendan Gleeson & Janet McTeer).
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Rodrigo Garcia prolifique et talentueux réalisateur de séries télé (principalement pour le network HBO) n’en n’est pas à son premier passage au grand écran. Il convient toutefois d’admettre qu’il est plus efficace et à l’aise sur le média télévisuel. Tombant souvent dans le mélo pompeux et sirupeux, ses films, à la forme et fond identiques, se répètent comme de pâles copies d’un cinéma de la série « Arlequin ». En adaptant, le livre de George Moore, on pouvait croire à une envolée différente. Hélas Garcia se complaît dans une facilité émotionnelle qui devient sa marque de fabrique, toujours à la limite de la dramaturgie sous vide et une mise en scène stoïque.
    En réalisant un film d’époque on aurait pensé, que Garcia pouvait échapper à ses tics de mise en scène et à cette aisance de « parler » beaucoup pour en dire très peu. Essai encore une fois manqué puisque Albert Nobbs est le parfait pendant de ses autres longs métrages (Les passagers, Ce que je sais d’elle… , Mother and Child…) ; c’est en flirtant trop avec le pathos et/ou la facilité que Garcia réalise ses œuvres cinématographiques. Et il n’en démord pas.
    Alors Albert Nobbs n’est pas l’objet repoussant auquel on peut croire mais une sensation douloureuse du temps qui s’écoule au ralenti se fait sentir. Chaque séquence souffre d’une longueur imperméable qu’on pourrait imputer au fait qu’il prend le spectateur pour ce qu’il n’est pas. Certes nous voulons bien croire en son œuvre mais à aucun moment le doute qu’il veut créer sur l’ambiguité identitaire des personnages ne fait acte. Malgré la prestation convaincante de l’ensemble des comédiens aucun suspens, désiré et mis en scène tel quel par Garcia, ne fait son effet. Ce qui est plutôt dommageable pour un film dont le principal sujet est là.
    Heureusement les comédiens, dans leur globalité, épatants, donnent une once d’indulgence à l’ensemble. Glenn Close joue ses meilleurs tours d’interprétation dont elle a le secret, sous un maquillage en forme de masque de cire. Elle reste convaincante du début à la fin, autant par son interprétation que par le jeu que son personnage impose, mimiques et gestuelles masculines en amont. A ce titre Janet McTeer s’avère également flamboyante. Autre surprise, qui devient presque une nouvelle attente dans un prochain métrage, Aaron Johnson, découvert dans Kick-Ass qui sans montrer une palette totalement séduisante pour ce qui est de jouer la dramaturgie, fait preuve d’un charisme qu’on est curieux de voir dans un autre contexte.
    Ainsi, seul le casting, avec Glenn Close comme pièce maîtresse, donne à Albert Nobbs l’intérêt minime qu’on peut lui porter. Hormis cela, la mise en scène longue et embourbée de Garcia saccage l’ensemble du film quand aucune émotion et histoire n’arrivent au cœur du spectateur. Pour le coup, en restant de marbre devant une telle réalisation, on finit par ressembler à Glenn Close, figée dans cette suite de séquences à la fadeur prononcée.
    http://requiemovies.over-blog.com/
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 février 2012
    Le film, une fois la situation posée, s'enlise pour finalement se prosterner au pied de Glenn Close - très retenu Albert Nobbs. Ce n'est pas suffisant !
    Joe75
    Joe75

    40 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2012
    En cette fin du XIXème siècle, à Dublin dans l’hôtel Morrison tenu d’une poigne de fer par la cupide Madame Baker, c’est comme dans « le » HLM de Renaud, on y croise une pléiade de drôles d’oiseaux : Des clients dévergondés issus de la vieille aristocratie et de la grande bourgeoisie européenne, un très vieux valet de chambre aussi sourd que tremblotant, un autre davantage préoccupé à finir les fonds de bouteilles qu’à garder ses chaussures bien cirées, une soubrette ingénue prompte à se laisser conter fleurette, un arsouille un peu bad-boy dont les hormones sont en effervescence, un bon vieux docteur qui prend des tasses de whisky au petit déjeuner, etc… Mais putain c’qui est surtout blême, dans l’Hôtel de Luxe Morrison, c’est le visage cireux d’Albert Nobbs, le majordome de la maison aussi efficace que discret, qui observe tout ce beau monde de loin avec une espèce de froideur impassible et distante.

    Le seul moment où il se lâche Albert c’est le soir, quand la porte de sa chambre est fermée à clé, lorsqu’il qu’il peut dégrafer son corsage qui l’enserre la journée puis compter et recompter la petite fortune qu’il a amassée sous son plancher depuis trente ans, sou après sou, pourboire après pourboire. Son rêve : Atteindre les 600 livres nécessaires pour ouvrir une petite échoppe de tabac et ne plus avoir à cacher son secret : Celui d’être une femme, car s’il était découvert, ce serait la porte, la honte, la misère assurée, à une époque où seuls les hommes pouvaient aspirer à ce type de poste.

    Seulement voilà, le jour où Madame Baker impose au majordome de partager sa couche pour une nuit avec Herbert Page, le peintre en bâtiment venu ravaler un pan de mur, Albert parviendra-t-elle toujours à dissimuler sa vraie identité ???

    Le principal intérêt du film, à mes yeux, c’est la très sobre performance de Glenn Close, aux antipodes de son rôle « d’ ébouillanteuse » déjantée de lapin vivant qu’elle interprétait naguère quand elle était femme fatale. Rôle presque trop en retrait à tel point qu’elle se laisserait quasi voler la vedette par le personnage d’Herbert, bien plus charismatique. L’histoire est dure et touchante mais étrangement je suis resté un peu en retrait, il manquait ce je ne sais quoi d’indéfinissable qui provoque l’empathie. Un peu trop de longueurs peut-être, ou l’impression de ne pas vraiment avancer assez vite dans la vie monotone de cette jumelle triste de Charlie Chaplin.
    Caine78
    Caine78

    6 796 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2012
    Alors que la bande-annonce promettait dans le pire des cas une comédie dramatique, « Albert Nobbs » s'avère en réalité l'un des films les plus déprimants de l'année. Alors autant être honnête : je ne me suis pas éclaté outre-mesure devant cette adaptation d'une célèbre nouvelle irlandaise. Tout est gris, tristounet, sans espoir ou presque : avouez que ce n'est pas très festif. Pourtant, l'oeuvre n'est pas sans qualités : les prestations tout en nuances de Glenn Close et Janet McTeer, bien meilleures que Mia Wasikowska et Aaron Johnson, que l'on a vu tous les deux plus inspirés, quelques personnages attachants, une reconstitution tout ce qu'il y a de plus honnête, un constat sans appel de la pauvreté et de l'indescriptible fossé qui séparaient les riches des pauvres en cette fin de XIXème siècle... Nous sommes loin du film sans intérêt. Reste que malgré un dénouement aussi fort qu'inattendu (comprenez également bien désespérant), je ne garderais pas un souvenir ému de ce « Albert Nobbs » disposant assurément de bons moments, mais au classicisme un peu trop prononcé pour séduire totalement. Honnête, à défaut d'être indispensable.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2012
    Les films sur le travestissement féminin sont toujours bien moins drôles que ceux sur le travestissement masculin. Même le distrayant VICTOR, VICTORIA ressemblait déjà bien plus à un drame que TOOTSIE sorti la même année. Ici, Glenn Close fait preuve de beaucoup de retenue pour interpréter son rôle de serveur devant cacher sa féminité à ses employeurs. Quand elle va réaliser ne pas être à seule à devoir utiliser de ce subterfuge pour survivre dans la société phallocrate de l’Angleterre victorienne, commence alors pour elle une quête de son identité commençant par une remise en question de ses attirances sexuelles. Le fait de traiter l’homosexualité sans jamais l’évoquer ouvertement tout en restant dans les rails d’une mise en scène extrêmement conventionnelle nous entraine dans un patinage scénaristique regrettable et sans saveur.
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    70 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2012
    Albert Nobbs est un film qui donne une impression mitigée. Ses qualités sont reconnaissables et indéniables. La composition excellente de Glenn Close (gros concurrence donc entre elle et Meryl Streep aux Oscars, pourtant les films ne sont pas époustouflants) et la très belle reconstitution des costumes et décors. Au-delà de ça, l'histoire patine un peu. Pas de vrai ligne directrice dans le rythme, simplement les inquiétudes et les rêves de Nobbs, dans un drame assez Shakespearien et parfois un peu grossier. Les seuls moments réellement intéressants du film interrogent l'identité, on les retrouve dans ces très beaux tête-à-tête entre Glenn Close et Janet McTeer, également époustouflante (grosse prétendante à l'Oscar du 2nd rôle). A part ça, ça n'impressionne guerre et on voit trop bien que ce film est un mélo qui ne s'assume pas. Seule la fin surprenante et sans pathos relève le niveau.
    Flowcoast
    Flowcoast

    59 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2012
    Éprouvant d'un ennui profond on ne peut que retenir la mise en scène d'époque et le realisme de ce film. Le jeu d'acteur est bon, le rôle centré sur Albert Nobbs l'ai aussi notamment parce que le personnage est assez bizarre. Franchement on s'ennuie derrière cette pâle vision d'un film d'époque beaucoup trop subjectif. On est obligé de se rendre à l'évidence que ce film n'est pas pour tout le monde
    titiro
    titiro

    55 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mars 2012
    Avec une histoire pareille, il y a matière à faire un film profond, sensible, complexe. Cela demande une interprétation sans faille, ce qui est le cas ici (Glenn Close a rempli sa part du travail), et du talent aux manettes. Ce qui n'est vraisemblablement, et malheureusement pas le cas, de Rodrigo Garcia, au vu du travail fourni. Sa réalisation est comme paralysée, comme si le sujet était beaucoup trop brûlant. Il fait ça avec des pincettes, ou avec des gants de jardiniers, au choix, sans prendre de risques. On se retrouve du coup avec un film lisse, académique, et terne.
    Ni excellent, ni trop mauvais. Juste conforme. C'est insuffisant.
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