le déluge d'effets visuels ne fait que rendre ce truc encore plus pathétique. Et sans l'effet de surprise du premier ce n'est qu'une daube de A a Z et de haut en bas. Même pas fichus de faire un effort minimal sur un scénario
Un excellent divertissement à voir pour ses qualités techniques visuelles. Incontestablement, James Cameron nous fait une démonstration de ce que l'on peut faire de mieux en effets spéciaux. Le film vaut le détour que pour ça : c'est très coloré dans un univiers très original avec des créatures toutes créées de toute pièce. Le reste c'est bien mais pas ouf. L'histoire tient en 2 phrases sur 4 lignes. Les prestations d'acteurs sont tellement numérisées que cela ne dégage plus grand chose d'authentique. le scénario est très linéaire et prévisible. On est dans le schéma d'un bon gros blockbuster assez conventionnel. Pour moi le film est trop long. Sous le prétexte de nous en mettre plein les yeux, l'histoire se traine souvent dans des longueurs décevantes. 2h30 au lieu de 3h14 aurait été plus judicieux. J'ai préféré le premier film avec la même originalité mais un scénario plus riche. Ce second opus manque de rebondissement, c'est juste une suite sans grands effets de surprise. Un bon film très divertissant mais j'ai été un peu déçu.
James Cameron est devenu zinzin. Niais, incoherent, repompe d'une repompe. Avatar2 n'est qu'un mauvais DLC. Et je crois qu'avec "Spider" ont tient le personnage le plus crispant et cringe de ces 20 dernieres annees!
ce n'est pas à coup d'effets spéciaux spectaculaire qu'on fait un bon film. les méchants sont méchants, stupides et comme par hasard détruisent la nature; les gentils sont proches de cette nature et vivent en harmonie, ils sont gentil quoi. très stéréotypés les personnages. scénario sans queue ni tête.
Un emballage beau et charmant pour un message très américain. On retrouve à outrance le fameux "On va rentrer à la maison" made in USA. Un message de paix qui passe par la guerre, obligé comme à chaque fois.... Le film se laisse voir. C'est long quand même. Tout ça pour ça. Cameron visiblement utilise les quatre éléments pour cette série qui n'est pas fini. Prochain opus, après la Terre, l'Eau, vient l'Air. Y aura t'il le Feu? J'en doute. La famille placée sur un trône avec un slogan bien ricain et destiné au grand public comme quoi on se serre les coudes bon ok... N'oubliez pas non plus que les bleus sont les indiens, que le héros est un américain, que ses enfants héros ont 5 doigts. Gentils. Méchants. Manichéisme américain.
Je mets trois car j'imagine qu'au cinéma l'expérience doit être extraordinaire et que ce sont pour ces conditions (En 3D dans un super ciné) que le film a été réalisé. Malheureusement, je l'ai vu en 2d sur un écran plus petit et certes, il est beau, on dirait des films d'animation comme dans les jeux vidéo, mais cela ne rend pas la même chose. Et je n'ai pas accroché à l'histoire, j'avoue m'être un peu ennuyé, au point de ne pas le finir. J'avais hâte de le voir, mais finalement déçu de pas avoir été le voir au ciné, car sur petit écran, c'est moyen.
James nous balance à tronche une tripotée de Cgi sans retenue à un point qu'après 2h c'est l'overdose et les 1 heure restante devienne une torture. Avec Avatar 2 la voie de la flotte, embarquez dans un monde extraordinaire, sans scénario, sans enjeux, en compagnie de personnages insipides, d'un méchant qui est vraiment très méchant, et de baleines bleues mathématiciennes. Jake Sully est complément absent de cette suite, au profit des ses gosses dont aucun ne mérite l'attention du spectateur. Le film est uniquement porté par les images spectaculaire, et encore, il y a une différence entre une esthétique du Seigneur des Anneaux, pour ne citer que lui, qui 23 ans plus tôt proposait décors et maquillage authentiques pour un résultat qui encore aujourd'hui ne vieillit pas, et Avatar 2 dont les 3/4 des images sont des images de synthèses plastifiées et sans âmes. Sur la forme la technique est présente, le fond est aux abonnés absents. Le mégalomane Cameron n'en a pas fini puisqu'il a prévu encore un 20ène de film : Avatar: la voie du sable, Avatar: la voie du vent, Avatar: la voie vers le 49.3...etc
Le 1 surfait sur la nouveauté bluray pour le visuel et finalement c'est difficile de trouver mieux même 10+ années après... Le 2 n'a pas besoin de ça pour rester du même acabit en terme de qualité à divertir. En dehors du fait que c'est toujours magnifique visuellement, il y a toujours ce coté magique de la découverte de ce monde mis en avant par ce nouveau biome. Un scenario plutôt solide qui sait jouer avec les émotions du téléspectateur, cela va être compliqué de rester à ce niveau lors des prochains opus.
Franchement 10 ans à dire que les vfx sont pas à l hauteur et voir ça c'est du pur scandale, j ai adoré le bras arraché tellement c etait mal fait ( vu en 4k je précise).. Le scénario en fait c'est un mix entre le roi lion et rambo,. Le but du film se limite à buter Jack mais et les autres ?? Le but des humains dans le 1 n était pas de venir capter l énergie ? Bref un grand vide... Scenaristique
James Cameron le dernier des géants pour que le blockbuster survive merci à lui une prouesse technique imparable une histoire qui se suit très bien malgré les 3h du film en attendant la suite avec impatience
Evidemment superbe film "de cinéma" .sur le plan technologique, c'est ahurissant ... Peut-on aller plus loin? Sur le plan du scénario, faut pas être trop regardant et se laisser aller ..On n'est très loin d'un chef d'œuvre Les mêmes thèmes sont revisités : la famille, lles gentils et le gros méchants, l'éducation des enfants , 'exclusion, l'immigration, la tolérance, l'amitié dans un joyeux patchwork , un méli-mélo parfoiis bien décousu on hésite entre BD, jeux vidéos "Jurassik park " et Alien, les cow-boys et les indiens les héros sont de vrais héros et les méchants de vrais méchants Le message est simpliste, voire simplet Un regret :la violence et des dialogues improbables ; "je gère" est prononcé plusieurs fois par le héros Reste un superbe spectacle pour un public bienveillant...
Pendant que Jake Sully profite de sa nouvelle vie sur Pandora, le colonel Quaritch n’a pas dit son dernier mot et revient prendre sa revanche.
13 ans après le premier film, le retour sur Pandora ne se faisait plus attendre. Esthétiquement et visuellement, ce voyage parmi les Navi’s est époustouflant. Le rendu reste indétrôné et supérieur à ce qu’on l’on a déjà pu voir. Au delà de tout, Avatar s’impose par sa qualité visuelle et nous touche directement dans notre imaginaire. Cependant, le scénario reste très banal : une histoire « à l’américaine » avec le héros Jake Sully devant protéger sa famille du méchant Colonel qui met en péril la paix entre les peuples, avec des scènes de bataille violentes pour finir avec une morale sur l’entraide familiale. Tout cela reste assez superficiel et peut rendre le tout légèrement long. Mais cette longueur se fait rapidement appréciée grâce à la découverte des nouveaux personnages et surtout des nouveaux lieux qu’explore la famille Sully. Ce nouveau Peuple du Récif est tout autant passionnant que le monde marin que l’on découvre. Si l’intrigue peut paraître longue pour certains, elle permet de nous laisser apprécier ces décors sublimes et de nous plonger complètement dans l’univers de Pandora. Malgré un scénario bancal, ce retour au sein des peuples Navi’s est globalement réussi, puisque pour l’avoir visionné à deux reprises, ce film nous plonge pendant 3h sur Pandora, en nous laissant toujours le goût amer du retour sur Terre.
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Pour ce deuxième épisode, James Cameron nous livre encore une fois du grand spectacle, avec son lot d'emerveillement et ses scènes d'action impressionnantes (toujours lisible, ne cédant pas au montage trop rapide des blockbusters actuels). On le sent toujours aussi inspiré dans sa vision de la nature ou dans les nouvelles technologies développés par les humains, on a beau être sur un film de 3heures, on les oublie par sa capacité à toujours maintenir le spectateur fasciner par son univers. Bon, on est pas sur la même claque que ce qu'il avait fait pour le deuxième épisode de la série Alien mais voilà on est sur du film grand public donc moins dur mais qui, comme "Aliens, le retour", nous montre les humains sous un angle sombre, ce besoin irrépressible de s'enrichir sans se soucier de la destruction que cet enrichissement occasionne. Le message est clair et essentiel face au réchauffement climatique, ce n'est pas par des belles paroles ou de grandes réunions que les choses évolueront pour préserver notre environnement. Et ça ne se fera pas en douceur avec certains.