La vie de deux frères va changer du jour de la mort d'un bébé ... Délaissé par leur mère alcoolique, ils vont chacun prendre une route différente, mais le passé les marquera a jamais et finalement leur existence ne sera pas si éloigné que ça.
Nick connaîtra la prison après avoir connu une relation compliqué avec Ana tandis que son frère a vécu la mort de sa femme et ne s'en est jamais remis, pas même son fils Martin n'arrivera a le tenir digne. Mais le destin des frères pourrais bien se recroisé, comme pendant leurs enfances ...
Thomas Vinterberg n'a rien perdu de son style, et avec "Submarino", il réalise une oeuvre coup de poing, la première partie est remarquable, ont suit l'histoire de Nickolaj campé part l'incroyable Jakob Cedergren qui épate part son charisme, part sa performance. Un personnage meurtris, repentis, imbibé d'alcool, rempli de violence mais qui a des envies d'amour, de douceur, de femme et d'un foyer. L'amour d'une mère, d'une femme et d'un frère ... Le cinéaste danois met en scène le parallèle les deux frère dans une vie bien disctinct, et la deuxième parti est celle du plus jeunes. Thomas Vinterberg offre deux vision des moments identiques, deux points de vue, et Peter Plaugbord incarne le petit frère, homme déchu, perdu, drogué, pauvre, paumés et délaissant son fils. Cette seconde partie est également les retrouvailles, la mise au point depuis leur séparations. La force de "Submarino" est de ne pas tombé dans le larmoyant car ici les émotions vienne elle même, par la force des choses. Thomas Vinterberg signe un film percutant, nous frappant en pleine face, avec beaucoup de maîtrise et une dande original offrant de la sensibilité a ce monde de brute. Véritable choc, le cinéaste montre les causes de la déchirure de l'enfance, du manque d'amour d'une mère et de ces dommage collatéraux. Fort, bousculant, Submarino nous plonge dans une violence triste, une descente aux enfers où le passé sera la lumière, et le destin tragiquement ironique ...