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    The Caller
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    42 critiques spectateurs

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    Aaa Cob
    Aaa Cob

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    Rose ...
    Mary...
    Rosemary's baby ?? 🤔

    Moi j'y crois...

    Y'a bien un avis quible compare au cultissime "Psychose".

    Ce film se laisse voir quand on est un.e no life comme moi et il reste pas ds les annales comme dirait l'autre...

    Les acteurs font leur job correctement.
    Pedrof
    Pedrof

    1 abonné 63 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2023
    L'héroïne est probablement la femme la plus poissarde de tous les temps. Non seulement elle est confrontée à une rarissime anomalie spatio-temporelle qui lui permet d'être appelée dans son nouvel appartement par une femme des années 70 ; mais en plus, par-dessus le marché, ladite femme des années 70 est une psychopathe de la pire espèce, du genre dont vous et moi n'avons statistiquement (et heureusement) pratiquement aucune chance de rencontrer un exemplaire au cours de notre vie. J'ai trouvé donc l'histoire assez dure à avaler, d'autant que ces fameux coups de fil du passé ne font à aucun moment l'objet du moindre début d'explication ; on est simplement censé accepter que Rose (la nana du passé) a trouvé le moyen de contacter quand elle veut Mary (notre héroïne), par téléphone, alors que des dizaines d'années les séparent. Autre chose que j'ai trouvée dure à avaler, c'est le fait que spoiler: l'Histoire soit modifiée en temps réel par les actions de l'héroïne
    . Mis à part tout cela (c'est déjà beaucoup), j'ai été frappé par la noirceur du récit, spoiler: cette héroïne qui en prend plein la tronche pendant tout le film (au sens figuré) et qui semble sombrer définitivement dans les ténèbres à la fin du film (perd-elle la raison après avoir tué son ex-mari – dont il aurait été intéressant d'assister au meurtre, vu la différence de gabarit)
    . La beauté de Rachelle Lefevre et ses longs cheveux magnifiques insufflent de la vie au long métrage.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Alors que des nuées de métrages se réclamant du found footage assaillent le grand écran, d'autres films plus modestes et classiques sur la forme se voient injustement cantonnés à des sorties dtv en catimini dans nos verdoyantes contrées. On ne compte plus les bons petits films de genre qui n'ont pas eu droit à une sortie dans les salles françaises. "The caller" est de ceux-là.

    Aucune vedette au générique mais des acteurs plus ou moins confirmés, un jeune réal méconnu mais talentueux, un point de départ intriguant, une atmosphère lourde et angoissante jusqu'à devenir oppressante dans sa seconde moitié.
    "The caller" reprend en gros l'idée principale de "Fréquence mortelle".
    Mary, une jeune trentenaire, emménage dans un petit meublé modeste (téléphone compris) dans une résidence de banlieue. Fuyant un ex-mari dont on devine, à sa façon de la harceler, qu'il est un brin possessif et sadique, elle a tendance à craindre tous les mâles qui s'intéressent de trop près à elle. Se condamnant à une vie solitaire, son quotidien déjà un brin tendu, se voit bientôt bouleversé par les appels récurrents sur l'antique téléphone, d'une femme prénommée Rose qui affirme bientôt l'appeler du passé et du même appartement que Mary. Un lien d'abord amical, puis une conversation qui dégénère et une hystérique qui du fin fond du passé prend rapidement l'ascendant sur son interlocutrice en influant de manière de plus en plus perverse sur le présent.

    "The caller" est avant tout un film d'ambiance. Au fur et à mesure de sa mise en scène, Matthew Parkhill distille une atmosphère intrigante. L'héroïne a tout d'abord un passé qu'elle tente d'oublier mais qui se rappelle constamment à elle. Son adversaire au quotidien n'est autre que son charmant ex-époux, grand molosse à la tête de psychopathe qui ne trompe personne, hyper-possessif, dont on se demande jusqu'à quel point il peut pousser le sadisme tant il harcèle son ex malgré l'interdiction des autorités de l'approcher à moins de cent mètres.
    Force est de constater que le background est d'ores et déjà pesant en début de métrage. Pourtant le catalyseur se fera à travers l'appel de Rose, cette femme à la voix un peu perdue et dont on se doute rapidement qu'elle n'a pas toute sa tête. Le fait est qu'elle se persuade rapidement d'appeler du passé. Et elle finira par convaincre son interlocutrice et le spectateur de la véracité de son propos, preuve irréfutable à l'appui. Un haussement de ton malencontreux de la part de l'héroïne et son interlocutrice démarrera les hostilités en agissant sur le présent à partir du passé. Et force est de reconnaître qu'elle a l'esprit cruellement créatif dans son genre.
    Ainsi la voix tout d'abord mielleuse et inoffensive de la dénommée Rose prend soudainement des accents menaçants et cruels. Et chaque sonnerie de l'antique téléphone résonne bientôt pour Mary comme une menace imminente sur son existence, au point de se refuser à décrocher l'appareil pour se confronter à la voix à l'autre bout du fil.
    Son antagoniste invisible étant capable de refaçonner le présent sur un simple caprice, l'héroïne se voit très vite prise en otage, autant dans le présent et le passé, et contrainte d'accepter le dialogue avec cette folle omnipotente et sans visage.

    Le scénario, même s'il reprend le concept d'un autre film, emballe très vite le spectateur. Il n'en demeure pas moins prévisible sur ses aboutissants et il est regrettable que le dernier acte prend une tournure plus précipitée et conventionnelle qui détonne avec le rythme imposé jusque-là par un réalisateur soucieux de refermer progressivement son cadre sur une héroïne malmenée et fragilisée par son ennemie. Mais il fallait bien terminer le film d'une manière ou d'un autre et voir ainsi le conflit jusque-là insidieux prendre une tournure plus radicale dans son final, déçoit forcément. D'autant que l'intrigue secondaire avec l'ex-compagnon se voit reléguée aux oubliettes en milieu de métrage pour réapparaître de manière inopportune en bout de course.

    Mais ce ne sont là que des défauts mineurs qui n'entachent en rien un film dont le suspense et la cohérence narrative sont les principaux atouts. L'intrigue reste crédible, et ce jusque dans les fameux paradoxes temporels. Ajoutons à ça, une mise en scène qui sans éviter certains poncifs (gros plans sur le téléphone, silhouettes immobiles dans l'obscurité, cauchemars) distille une atmosphère oppressante à souhait, apte à séduire les premiers spectateurs des "films d'appart" en manque de sensation depuis quelques temps.

    "The caller" est donc bel et bien une étonnante réussite à ranger sur la même étagère que d'autres perles méconnues telles "Black death" ou "Triangle".
    Le film a aussi pour lui de nous présenter la mégère la plus inquiétante du cinéma depuis Annie Wilkes dans "Misery". Et ça, c'est admirable.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 531 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2020
    Je suis tout à fait d'accord avec les autres critiques qui disent que le film n'est pas un film d'horreur moyen. The Caller vous attire très intelligement, c'est un très bon film du genre horreur et c'est l'histoire qui lui donne sa puissance. L'histoire commence avec une jeune femme qui est actuellement en instance de divorce emménageant dans un nouvel appartement. Tout commence bien sauf que lors de son installation dans son nouvel appartement elle répond au téléphone a une femme plus âgée. À partir de là une relation téléphonique se construit avec cette femme âgée apparemment instable et la jeune femme solitaire traversant son divorce difficile. Avec le temps des choses étranges commencent à se produire et le film prend une tournure effrayante. Il devient plein de suspense et effrayant même s'il y a un manque de sang et de violence graphique. J'ai trouvé le film très divertissant et avec ses nombreux rebondissements. Un film qui vous fait discuter au cinéma avec vos amis de qui était qui, qu'est-ce que cela signifie vraiment et de ce qui était réel ou un rêve. The Caller est un film à voir absolument...
    Caine78
    Caine78

    6 691 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2020
    Je vais être très honnête : s'il n'y avait pas eu le nom de la divine Rachelle Lefèvre sur la jaquette, je n'aurais probablement jamais fait attention à « The Caller ». Cela écrit, et une fois pris connaissance du sujet, j'avoue que j'avais un semblant d'espoir, qui s'est d'ailleurs relativement concrétisé. Alors il faut être clair : nous sommes dans une pure logique de série B, avec le budget qui va avec, photographie très (trop) sombre qui aurait pu se justifier mais faisant surtout fauchée, et une logique spatio-temporelle vue en beaucoup plus sophistiquée ailleurs. Maintenant, je trouve que ça se tient à peu près. Faire de la menace téléphonique spoiler: une femme seule et à première vue inoffensive
    (par contre, pas compris pourquoi avoir choisi une actrice aussi âgée alors qu'elle est censée avoir quarante ans...), c'est plutôt malin. La façon de faire monter doucement mais sûrement l'inquiétude n'est pas mal non plus, tout en parvenant à créer une forme de quotidien chez l'héroïne, notamment à travers les différents seconds rôles, notamment Stephen Moyer et Luis Guzmán (dans un rôle pour une fois « normal »). Après, une fois le processus enclenché, nous sommes un peu plus dans la routine et la répétition, même si ça a le mérite de rester (relativement) cohérent, notamment quant aux conséquences d'un passé modifié sur le présent. Derrière la caméra, Matthew Parkhill n'est clairement pas un aigle, cédant parfois à quelques facilités, notamment lors d'un dénouement pas bête mais inutilement démonstratif, auquel s'ajoute cette spoiler: vengeance (brutale)
    peu subtile, pour le coup... Et puis Rachelle Lefèvre, donc, dont la carrière n'aura jamais vraiment décollé, pourtant dotée d'une beauté, d'un charme, d'une présence dont peu d'actrices peuvent se targuer aujourd'hui : j'adore. Bref, vraiment rien d'exceptionnel pour ce DTV assez sommaire dans sa forme, mais qui, sans rivaliser (loin de là), avec les classiques du genre, saura se faire une petite place chez les amateurs de cinéma fantastique, notamment par son économie maligne d'effets spéciaux : divertissant.
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    ce film est à prendre comme certaines nouvelles de poe ou de king: ça n'a pas d'autres ambitions que celle de vous divertir pendant 90 minutes en vous mystifiant, et en l'occurrence c'est réussi. Pas toujours cohérent ou très clair mais ces écueils sont compensés par de bons jeux d'acteurs et une réalisation qui, bien que sobre, fait l'effort de soigner son esthétique.
    Eric C.
    Eric C.

    238 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2017
    Un film avec une montée en puissance permanente, qui commence par une banale affaire de divorce et de déménagement et relogement de la femme. Puis commencent des coups de fils bizarres semblables à des erreurs puis de plus en plus précis et intrusifs. Les personnages qui gravitent autour de cette femme vont dans un premier temps lui apporter concours et s'inscrire dans son entourage. Mais peu à peu, la pression, la tension, l'angoisse, le paranormal s'imposent et prennent de plus en plus de place et on n'y comprend plus rien, entre rêve, réalité, cauchemars, fantômes du présent et du passé, espace temporel indéfini entre passé et présent qui se confondent et se confrontent pour finir en totale folie, angoisse, horreur. Un film habilement construit, qui nous ballade vers la scène finale et un développement totalement original de film de genre entre angoisse, thriller ,paranormal et horreur. Un film porté par 2 excellents acteurs de série, Rachelle Lefevre, under the dôme, et Stephen Moyer, True Blood. Un film à découvrir, sans ennui, ni temps mort, qui nous ballade tranquillement jusqu'à la fin pour un final inattendu en pensant au contexte et à l'ambiance du premier tiers du film. Bien interprété, original, intéressant.
    ollavatelli
    ollavatelli

    57 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2017
    Qu’est ce dont ce petit film d’horreur méconnu et pourtant très surprenant. The Caller est un film aussi inquiétant qu’intriguant : ça ne va pas l’un sans l’autre. L’ambiance et le scénario ingénieux de cette production sont ses principaux atouts.

    Le film nous raconte l’arrivée d’une jeune femme (fraîchement divorcée) dans un nouvel appartement. Très vite, elle va recevoir un appel d’une vieille femme qui demande une personne qui n’est plus dans l’appartement. Sauf qu’elle va sans cesse appeler Mary, pour se montrer parfois désagréable et l’obliger à lui parler. Le film traite donc d’harcèlement (par téléphone). Le film ne s’arrête pas juste sur cette idée. Non loin de là ! Qui est donc cette vieille femme ? Est-elle réelle ou est-ce une blague (de l’ancien mari par exemple) ? Une hallucination ou un esprit ? Que cherche-t-elle ? Dès le début, on se posera la question aussi d’un problème d’espace-temps ou d’un monde parallèle. Sans dévoiler des choses essentielles ou faire de spoilier, je dirais juste que certaines révélations au cours du film dans l’entourage de Mary seront très surprenantes (au point d’en donner la chair de poule). L’ambiance est particulièrement stressante et inquiétante, à tel point c’est paranoïaque. Il ne se passe pourtant pas d’évènements particulièrement incroyables (gores ou jump scare) mais le film joue tout sur son atmosphère. La fin est d’autant plus glaçante dont son twist final réussi.

    Le film marche vraiment bien grâce à son réalisme. Le casting convaincant nous permet d’ailleurs de croire encore plus à cette histoire. Ne serait-ce que l’ex-mari de Mary qui est tout simplement effroyable (rien qu’à le regarder, on se sent en danger et menacé), qui nous fera aussi douter de sa place dans cet harcèlement. Mary, quant à elle, a de bonnes réactions face aux harcèlements dont elle subit.

    The Caller est donc une production horrifique bien trop sous-estimée ou méconnue. Inquiétant, intriguant et ingénieux, ce film est-il un chef d’œuvre ? En soit oui, parce que le cinéma d’horreur c’est aussi ça : proposer une ambiance oppressante ou très inquiétante avec pas grand-chose (pas besoin de sang pour déstabiliser ou de jump scare pour faire peur).
    Horrophile75
    Horrophile75

    38 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2018
    S'il était passé à la télévision un après-midi sur M6, il aurait pu avoir l'excuse d'être un téléfilm. Or, il s'agit tout simplement d'une série B qui, malgré une idée de départ très bonne (qui se révèlera mal exploitée) et les 20 dernières minutes plutôt haletantes, se montre ennuyeuse en général. Et la réalisation ne me convient guère.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2014
    Une jeune femme seule dans son appartement reçoit les coups de fil d'une étrange bonne femme qui appelle du passé. Ce thriller exploite de manière originale le lien entre passé et présent sans trop d'incohérences. L'ambiance est mystérieuse et le final est très tendu.Si vous aimez le genre, je recommande.
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    Surprenant ! Alors que je m'attendais à un navet sans intérêt, "The Caller" tient au contraire toutes les promesses de son excellent pitch. Imaginez un thriller horrifique saupoudré d'une dose de SF light à coups de paradoxes temporels, une sorte de "Fréquence Interdite" en mode épouvante. Car ce qui fait la force de "The Caller" c'est avant tout son scénario très habile exploitant totalement tous les tenants et aboutissants de sa très bonne idée de départ jusqu'à la dernière seconde (bien vu l'épilogue) et utilisant même judicieusement des sous-intrigues que l'on voit dans un premier temps comme des bouche-trous à l'histoire principale (le mari violent, l'amourette avec le professeur) pour en faire un tout parfaitement maîtrisé. Mais, car il y a un gros mais, le souci vient de sa réalisation complètement impersonnel, digne des pires téléfilms de seconde zone (sérieusement, cette scène de sexe sortie tout droit des années 80), ce qui a sans doute empêché ce "The Caller" de faire plus parler de lui car, si on passe outre cela, on tient là un sacré bon petit film assez roublard et bien interprété qui plus est.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 juin 2014
    "The caller" est un petit film sympathique et sans prétention : les décors sont soignés (notamment l'appartement sombre et oppressant de l'héroïne), les acteurs incarnent parfaitement leur rôle respectif, le scénario sans révolutionner le genre réserve quelques surprises ( spoiler: le passé qui influe sur le présent
    ), l'atmosphère est oppressante. La première partie arbore un rythme tranquille tandis qu'il s'accélère vers la fin. On sent la qualité du travail qui suinte dans tout les détails du film mais j'avoue tout de même qu'il manque la petite étincelle qui aurait permit à ce dernier de se classer dans la catégorie des grandes histoires d'horreur. Sinon, un agréable moment en perspective, sans être marquant outre-mesure.
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2014
    Une belle surprise! Un film qui n'a pas fait beaucoup de bruit et qui, pourtant, mérite que l'on s'y attarde. Le concept de l'appel venant du passé avait déjà été utilisé dans le très beau film « fréquence interdite » de Gregory Hoblit mais l'univers, l'ambiance était plus accentuée « drame fantastique ». J'avais déjà noté le potentiel horrifique d'un tel scénario et pensais que cela n'avait pas encore été utilisé. « The caller » saute cette étape en nous livrant ce thriller oppressant rudement bien construit. Pas de gore utilisé et c'est une très bonne chose, juste une tension psychologique inquiétante. Une fin ouverte sur l'interprétation, spoiler: est-ce un film fantastique ou le personnage principal est schizophrène?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2014
    "Allo Patricia? C'est Maman!!!" Où l'on apprend que si un téléphone a pas de clavier digital, même pas tu réponds.
    Le Guerrier
    Le Guerrier

    76 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    Film fantastique centré sur l'actrice Rachelle Lefevre, qui vient de s'installer dans un vieil appartement et à qui il va arriver quelque chose d'étrange, tout en ayant une romance avec quelqu'un qu'elle rencontre au cours du film...Il me semble que de ce point de vue c'est du déjà-vu...Si la forme n'est pas très originale, le fond l'est un peu plus et même si le film ne fait pas longtemps mystère sur le thème qui est réellement abordé spoiler: (communication avec quelqu'un du passé, qui peut donc influencer le présent, style Fréquence interdite)
    , je pense que çà manque un peu de punch (je me suis parfois ennuyé) sauf dans le dernier tiers du film où tout s'accélère et où on comprend mieux l'énormité de ce qui risque d'arriver à l'héroine...Le film a aussi sans doute un autre thème, qui est celui du rapport des femmes avec les hommes, mais qui me parait exploité sans se casser la tête et donc ne nuit pas au film, sauf en ce qui concerne la fin qui est tout de même assez mauvaise...
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