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Le Ciel sur la tête : Un tv-film hilarant et tordant que j’ai eu le plaisir de regardé. Et vraiment, c’est une bonne et agréable surprise car je m’attendais pas a aussi poilant et tordant. Car le film nous propose d’excellent gags et des dialogues bien amusants et piquants à des moments car le film parle de parent qui apprend que son fils est gay. Et donc, ça va pas être facile pour eux d’accepter que leur fils est gay, surtout le père qui va être touché dans ça virilité. Et je trouve que le sujet est vraiment très bien apporté, avec humour serte mais pas que. Il y a aussi un coté dramatique qui tombe jamais dans exagéré. C’est pour ça que le film parait vrai et crédible et ça c’est bien mais si des fois, ils laissent place a la comédie et c’est bien aussi ça. Mais vraiment, le sujet «encore tabou » aujourd’hui est traité avec finesse car il parle de nombreux aspects (avant, après, les questions que se pose les parents sur pourquoi leur fils est gay, c’est de leur « leur faute »…). Donc de ce point de vue la, le sujet est maitrisé et jamais lourd. Comme les gags et les réplique qui sont vraiment énorme et hilarant a des moments (j’en est pleuré de rire : a un moment, le père pose une question a sa femme du genre : « tu crois que notre fils se fait sodomisé ? » ou quand le deuxième fils dit a son père un peu trop curieux : tu crois que je te demande si tu encu** maman… » : enfin voila, quand tu entant ça, c’est juste énorme et hilarant. Et donc, les personnages sont vraiment bien fait et très amusant à suivre. Surtout le personnage de Bernard Le Coq qui est juste extra. Tous comme l’acteur d’ailleurs qui est encore une fois hilarant et très juste dans son interprétation, il ma bien fait rire : bravo a lui. Donc voila, une comédie piquant et osé par moment qui paye pas de mine mais qui vaut très plaisant et hilarant a des moments : a voir.
Tantôt drôle, tantôt émouvant, ce téléfilm est une réussite, loin des clichés habituels. Une comédie dramatique contemporaine sur fond de coming out. À noter une excellente Charlotte de Turckheim.
Bon téléfilm qui aborde le thème du coming out même si l'acteur, Arnaud Binard n'est pas crédible du tout dans son interprétation d'un homo qui sort du placard.
En revanche, Bernard Le Coq et Charlotte de Turckheim nous servent deux parents clairement assommés par la nouvelle, d'où le titre du téléfilm et eux, sont excellents dans leurs rôles. Sympa aussi les rôles de Chantal Ladesou et de Franck de la Personne qui apportent une touche d'humour bienvenue.
En revanche, Bernard Le Coq et Charlotte de Turckheim nous servent deux parents clairement assommés par la nouvelle, d'où le titre du téléfilm et eux, sont excellents dans leurs rôles. Sympa aussi les rôles de Chantal Ladesou et de Franck de la Personne qui apportent une touche d'humour bienvenue.
Petit film sans prétention mais très réussi sur la difficulté de réussir son coming out !! La réaction des parents est très intéressante et très drôle (certaines répliques sont savoureuses mais sans être lourdes) A voir pour passer un bon petit moment !
certes une idée de départ louable mais ce scénario devient un vrai fourre tout! tout se mélange et le coming out devient prétexte à d'autres révélateurs et l'on perd de vue le vrai thème. et comme par enchantement, en un claquement de doigts, tout s'arrange! en plus d'un grand manque de rythme, on ne peut pas dire que l'interprétation soit toujours juste et profonde!
"Le Ciel sur la tête" (2006) Numéro 23 le 31.05.2016
Le concert de louanges qui accompagne ce film est mérité ! Il permet à Bernard Le Coq de mettre en valeur les diverses facettes de ses talents de comédien : effarouché, scandalisé, compréhensif, paternel, soupe au lait (...) Charlotte de Turckheim lui donne une réplique parfaite, et tout le casting est réussi du reste ! Ce film était le cinquième (il ne tourne que pour la TV) de Régis Musset comme réalisateur, et depuis, sa filmographie n'a pas cessé de s'enrichir. Ici, il traite ici des homosexuels avec tact et humour : Binard réussit très bien son personnage qu'il interprète avec sobriété et conviction.
willycopresto
Le concert de louanges qui accompagne ce film est mérité ! Il permet à Bernard Le Coq de mettre en valeur les diverses facettes de ses talents de comédien : effarouché, scandalisé, compréhensif, paternel, soupe au lait (...) Charlotte de Turckheim lui donne une réplique parfaite, et tout le casting est réussi du reste ! Ce film était le cinquième (il ne tourne que pour la TV) de Régis Musset comme réalisateur, et depuis, sa filmographie n'a pas cessé de s'enrichir. Ici, il traite ici des homosexuels avec tact et humour : Binard réussit très bien son personnage qu'il interprète avec sobriété et conviction.
willycopresto
Un bon petit téléfilm qui nous parle de l'homosexualité et de la difficulté pour ces derniers à être accepté normalement dans la société. On voit ainsi la réaction des parents face à la révélation de leur fils homosexuel.
Les acteurs sont bien dans leur rôle, connus comme Bernard le coq et Charlotte de Turckheim ou moins connus !
A voir !
Les acteurs sont bien dans leur rôle, connus comme Bernard le coq et Charlotte de Turckheim ou moins connus !
A voir !
GÉNÉRAL : Coming out tardif d’un jeune homme à ses parents. Le film est plus axé sur les parents que sur le jeune en question.
ASPECTS POSITIFS : spoiler: Réalisme surprenant de la réaction des parents supposément libéraux. Beauté de la relation entre les frères. Dualisme entre d’un côté la rationalité du père et du grand frère et de l’autre côté l’intelligence émotionnelle de la mère et du petit frère. Beaucoup de vérités non dites sont mises à l’écran : différence entre ce qu’on projette et comment on agit, amour plus important pour un des enfants, besoin de la mère de se sentir femme, virilité du père qui est remise en question par son fils, limite des hommes organisés et rationnels et fuite de la réalité. La limite des hommes organisés et rationnels est bien exprimée lorsque le père avoue à son fils qu’en réalité, c’est sa mère la plus intelligente, car elle peut vivre dans le désordre. En effet, elle réussit à aimer ses fils comme ils sont et non comment elle voudrait qu’ils soient. L’exemple de la fuite de la réalité surprend dès le début du film. En effet, on se rend vite compte que ça ne tourne pas rond : le fils qui fume du pot, la mère qui prend des pilules et le père qui prend un coup. Dès le début, on embarque dans le film, notamment grâce à la musique entraînante pour les jeunes, le passage sur la définition d’un dimanche par le jeune, le réalisme empreint d’une touche humoristique. Même si le patron de la mère est détestable par ses remarques et ses manières, il réussit tout de même à bien seizer ce qui se passe et à donner un coup de pouce à la mère. Surtout lorsqu’il dit à la mère que son garçon ne finira jamais comme lui grâce à la valeur de l’amour qu’elle a apprise à son fils, à l’amour qu’elle a donné à son fils et à l’amour qui est maintenant en son fils. Plus tard, son fils rassurera sa mère avec un clin d’œil en lui disant que l’amour ne tient pas juste pour les enfants. Le film montre avec simplicité, humour et émotion une réalité encore bien ancrée dans notre société.
ASPECTS NÉGATIFS : Parfois un peu trop caricaturé, surtout pour le père avec ses amis vraiment totons.
PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: Aimons-nous nos enfants autant qu’on le prétend ? Est-on aussi ouvert qu’on le dit ? Et quand ça se passe dans notre cour ? Et sommes-nous en mesure d’appliquer nos principes et idéaux lorsque nous faisons face à une problématique dans notre propre vie ?
ASPECTS POSITIFS : spoiler: Réalisme surprenant de la réaction des parents supposément libéraux. Beauté de la relation entre les frères. Dualisme entre d’un côté la rationalité du père et du grand frère et de l’autre côté l’intelligence émotionnelle de la mère et du petit frère. Beaucoup de vérités non dites sont mises à l’écran : différence entre ce qu’on projette et comment on agit, amour plus important pour un des enfants, besoin de la mère de se sentir femme, virilité du père qui est remise en question par son fils, limite des hommes organisés et rationnels et fuite de la réalité. La limite des hommes organisés et rationnels est bien exprimée lorsque le père avoue à son fils qu’en réalité, c’est sa mère la plus intelligente, car elle peut vivre dans le désordre. En effet, elle réussit à aimer ses fils comme ils sont et non comment elle voudrait qu’ils soient. L’exemple de la fuite de la réalité surprend dès le début du film. En effet, on se rend vite compte que ça ne tourne pas rond : le fils qui fume du pot, la mère qui prend des pilules et le père qui prend un coup. Dès le début, on embarque dans le film, notamment grâce à la musique entraînante pour les jeunes, le passage sur la définition d’un dimanche par le jeune, le réalisme empreint d’une touche humoristique. Même si le patron de la mère est détestable par ses remarques et ses manières, il réussit tout de même à bien seizer ce qui se passe et à donner un coup de pouce à la mère. Surtout lorsqu’il dit à la mère que son garçon ne finira jamais comme lui grâce à la valeur de l’amour qu’elle a apprise à son fils, à l’amour qu’elle a donné à son fils et à l’amour qui est maintenant en son fils. Plus tard, son fils rassurera sa mère avec un clin d’œil en lui disant que l’amour ne tient pas juste pour les enfants. Le film montre avec simplicité, humour et émotion une réalité encore bien ancrée dans notre société.
ASPECTS NÉGATIFS : Parfois un peu trop caricaturé, surtout pour le père avec ses amis vraiment totons.
PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: Aimons-nous nos enfants autant qu’on le prétend ? Est-on aussi ouvert qu’on le dit ? Et quand ça se passe dans notre cour ? Et sommes-nous en mesure d’appliquer nos principes et idéaux lorsque nous faisons face à une problématique dans notre propre vie ?
Beau téléfilm qui nous montre le probleme qu'on les homosexuels dans la société où on vit.
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