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Pour le grand public, cela lui donne l'impression d'être profond, ce qui laissera la chance à ceux qui ont peu de compétences analytiques de faire leurs preuves.
La question des réalités parallèles on connaît déjà, tant le film se contredit dans ses propres arguments (Les 8 minutes que peut revivre Jake gyllenhaale à travers les souvenirs d'un défunt c'est bien beau, mais si le cerveau marche comme ils le disent, alors seulement ce qu'il a pu voir (donc que dans le train) est visitable avec des actions qui se sont produites dans la réalité, surtout qu'il faut maintenant expliquer toutes les possibilités et toutes les réactions que peut créer notre cause à effet) tant le film arrive tout de même à garder un peu de profondeur.
L'oeuvre devant laquelle nos protagonistes sont, à la dernière scène du film, est un jeu d'enfant, Stanley Kubrick à 4 ans aurait fait la même chose.
Pour ceux qui ne connaissent pas l'oeuvre d'art présentée à la fin je suis sûr qu'on aurait pu apprendre sa signification à un gosse de 3ème pour un petit exercice en attendant la fin de son cours.
Maintenant il y a quelques bonnes idées de mises en scènes pour nous faire ressentir ce que peut ressentir le personnage principal.
En tout cas, on ne peut pas dire que ce soit un mauvais film de divertissement, il plaira aux fâchés des films légèrement compliqués.
Un tel sujet et une telle idée auraient pu être tout autre, si le film auvait été meilleur, il se serait moins bien vendu, parce qu'avouons-le, on aime la merde pour se divertir.
Ha et le père de Duncan Jones (David Bowie) a foiré son taf de père/artiste je crois bien...
La question des réalités parallèles on connaît déjà, tant le film se contredit dans ses propres arguments (Les 8 minutes que peut revivre Jake gyllenhaale à travers les souvenirs d'un défunt c'est bien beau, mais si le cerveau marche comme ils le disent, alors seulement ce qu'il a pu voir (donc que dans le train) est visitable avec des actions qui se sont produites dans la réalité, surtout qu'il faut maintenant expliquer toutes les possibilités et toutes les réactions que peut créer notre cause à effet) tant le film arrive tout de même à garder un peu de profondeur.
L'oeuvre devant laquelle nos protagonistes sont, à la dernière scène du film, est un jeu d'enfant, Stanley Kubrick à 4 ans aurait fait la même chose.
Pour ceux qui ne connaissent pas l'oeuvre d'art présentée à la fin je suis sûr qu'on aurait pu apprendre sa signification à un gosse de 3ème pour un petit exercice en attendant la fin de son cours.
Maintenant il y a quelques bonnes idées de mises en scènes pour nous faire ressentir ce que peut ressentir le personnage principal.
En tout cas, on ne peut pas dire que ce soit un mauvais film de divertissement, il plaira aux fâchés des films légèrement compliqués.
Un tel sujet et une telle idée auraient pu être tout autre, si le film auvait été meilleur, il se serait moins bien vendu, parce qu'avouons-le, on aime la merde pour se divertir.
Ha et le père de Duncan Jones (David Bowie) a foiré son taf de père/artiste je crois bien...
Une histoire extrêmement prenante, une intrigue bien ficelée et des acteurs au top, bref une belle surprise que ce "source code". Les histoires de retours dans le passé finissent parfois par se perdre mais pas ici, ou l'intrigue est bien menée et ne fait pas preuve d'incohérences... Un suspense que je vous recommande.
Un film intéressant servi par jake gyllenhaal, qui porte le film sur ses épaules .
La réalisation est correcte, meme si j ai trouvé que le film s essouffle un petit peu.
Vaut le détour !
La réalisation est correcte, meme si j ai trouvé que le film s essouffle un petit peu.
Vaut le détour !
Les films d'1h30 sont plutôt rares ces derniers temps, les cinéastes préférant étirer un maximum la narration ou nous asperger d'actions superflues. Il n'y a donc pas une minute perdue au sein de ce thriller-SF très malin où chaque scène revêt une grande importance. Le point de départ laisse dévoiler une intrigue axée autour d'un attentat à déjouer, déjà intéressante en soi. Nous sommes alors totalement pris à contre-pied en découvrant très vite un récit alternatif qui attire toute notre attention et éveille notre curiosité, jusqu'à un final ouvert qui nous amène à réfléchir.
Thriller futuriste avec une intrigue romantique un poil trop présente, Source Code parvient à convaincre grâce à un scénario compliqué mais intelligent dont on pardonne volontiers ses quelques incohérences. Un Jake Gyllenhaal toujours excellent, une réalisation réaliste et une fin qui ne m'a personnellement pas trop dérangé, même si la laisser sur un plan mémorable aurait été franchement badass.
Voilà un thème pas piqué des hannetons ! Utiliser le cerveau d'un soldat tué au combat et lui faire revivre quelques minutes de la vie d'une autre personne.
Une fois dans le film, je n'ai pas pu décrocher une minute. C'est vraiment de la science-fiction originale, intelligente et bien dosée.
Une fois dans le film, je n'ai pas pu décrocher une minute. C'est vraiment de la science-fiction originale, intelligente et bien dosée.
Film au scénario intéressant mais quelle déception ! En premier le casting. Jacob Gyllenhaal est un mauvais acteur, il est aussi expressif que Patrick Swayze, c'est peu dire ! Michelle Monaghan est une potiche inutile et je ne parle pas du reste de la distribution. En deuxième, la mise en scène sans être mauvaise, n'est vraiment pas à la hauteur du sujet. Elle aurait dû être plus nerveuse. En troisième, la musique ! Une horreur de guimauve boursouflante. Et dire que le réalisateur est le fils de David Bowie ! Si ce film avait été réalisé avec un esprit série B nerveuse (par un Walter Hill ou un Don Siegel de la grande époque), nous aurions eu droit à un bon spectacle. Nous n'avons eu qu'un téléfilm pour W9.
Le scénario a été très travaillé et l’idée de base est très intéressante : c’est comme « Un Jour sans Fin » (1993) mais sans l’humour ;-) En plus, c’est bien joué et les rebondissements sont suffisamment nombreux pour qu’on ne « quitte » jamais l’intrigue.
En terme de rythme et de contenu, c’est quand même moins bien que « Sans Identité » (Unknown) et « Limitless » sortis eux aussi au 1er semestre 2011 et c’est surtout dû au concept même du film - la répétition d’une même séquence - qui, malgré les avancées du scénario qui apportent du sang neuf, n’arrivent pas à rendre le film aussi prenant que les deux autres films d’action pré-cités. spoiler: La fin très ouverte laisse malheureusement augurer de suites multiples or autant je suis indulgent avec un film unique par rapport à l’originalité du concept, autant ce concept dans une suite prendrait le risque d’exploiter à outrance ce phénomène de répétitions sans rajouter toutes les découvertes du héros sur son état qui sont pour beaucoup dans la qualité du scénario de ce premier opus.
Pour finir un petit mot sur le cadre, Chicago est tellement bien filmé, tellement sublimé par la lumière, qu’on aurait presque envie d’y habiter!
En terme de rythme et de contenu, c’est quand même moins bien que « Sans Identité » (Unknown) et « Limitless » sortis eux aussi au 1er semestre 2011 et c’est surtout dû au concept même du film - la répétition d’une même séquence - qui, malgré les avancées du scénario qui apportent du sang neuf, n’arrivent pas à rendre le film aussi prenant que les deux autres films d’action pré-cités. spoiler: La fin très ouverte laisse malheureusement augurer de suites multiples or autant je suis indulgent avec un film unique par rapport à l’originalité du concept, autant ce concept dans une suite prendrait le risque d’exploiter à outrance ce phénomène de répétitions sans rajouter toutes les découvertes du héros sur son état qui sont pour beaucoup dans la qualité du scénario de ce premier opus.
Pour finir un petit mot sur le cadre, Chicago est tellement bien filmé, tellement sublimé par la lumière, qu’on aurait presque envie d’y habiter!
Quand on regarde ce film
On a du mal à se situer dans l'espace, le temps, et l'action.
On veut des réponses tout de suite,
spoiler: Est on dans un sous marin ? Dans un cercueil ? Un caisson cryogénisé ? Il faut attendre la fin du film pour comprendre qu'on est dans un caisson "Avatar" Un film d'une originalité incroyable, un mélange de l'armée des 12 singes et d'Avatar.
On a du mal à se situer dans l'espace, le temps, et l'action.
On veut des réponses tout de suite,
spoiler: Est on dans un sous marin ? Dans un cercueil ? Un caisson cryogénisé ? Il faut attendre la fin du film pour comprendre qu'on est dans un caisson "Avatar" Un film d'une originalité incroyable, un mélange de l'armée des 12 singes et d'Avatar.
Si je vois ce style de film que je classe "science fiction" c'est une erreur d'aiguillage.
J'y vais pour faire plaisir à ma femme qui adore ça !!!
Je dois avouer que je ne me suis pas ennuyé et que le rythme soutenu d'une histoire qui se "vit plusieurs fois" nous tient.....
mais ça ne me suffit pas; j'ai toujours l'impression de ne pas comprendre ce que l'auteur veut nous dire.... c'est dommage ! Heureusement, j'ai vu aussi Rabbit hole, Winter's bone, tomboy
J'y vais pour faire plaisir à ma femme qui adore ça !!!
Je dois avouer que je ne me suis pas ennuyé et que le rythme soutenu d'une histoire qui se "vit plusieurs fois" nous tient.....
mais ça ne me suffit pas; j'ai toujours l'impression de ne pas comprendre ce que l'auteur veut nous dire.... c'est dommage ! Heureusement, j'ai vu aussi Rabbit hole, Winter's bone, tomboy
Le film est prenant. Un excellent concept et une romance intéressante. La fin est... Curieuse, mais pourquoi pas ?
Nyns
Duncan Jones, le fils de David Bowie tout de même, propose avec Source Coude son deuxième long métrage et premier distribué en France. Le principe de revivre une scène plusieurs fois est clairement du déjà-vu, c'est le cas de le dire, avec en grand leader du mouvement "Un jour sans fin" de 1993, mais c'est un plaisir cinégénique toujours approprié. Ici on aborde les limites de la protection de l'état, avec l'utilisation de soldat en état végétatif... Et oui difficile de comprendre dit comme ça c'est pourquoi pour ma part, Source Code mérite le coup d'œil ne serait ce que pour la réflexion et le procédé habilement mis en œuvre. On pardonnera donc à Duncan l'incroyable incohérence de la fin du film, qui a elle seule réussit à détruire une bonne partie de son effet et nos attentes sont bien vaines, seulement ça reste correct pour l'ensemble. Disons qu'il fallait le tenter, la SF est de plus en plus difficile à aborder de façon subtile donc on fera avec faute de mieux. Bon et puis il y a Jake, ça aide. En attendant de voir ce qu'il donne dans l'adaptation du fameux jeu à grand succès...
Scénario maintes fois vu, mais l'ensemble du film prend. Moon était très bon, Source Code confirme la constance du réalisateur.
Bien ficelé. Et bien mené. Un très bon film dans l'ensemble!
Un début assez original et prometteur, qui retombe très vite. Acteurs moyens, personnages pas attachants, mise en scène mollassonne, BO peu recherchée, fin décevante. Ne laisse pas un souvenir impérissable.
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