Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
tony-76
1 082 abonnés
1 410 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 14 juillet 2013
Le personnage principal est plus agaçant au début du film : ultra-naïve que c'en est caricatural, parle fort ... Mais elle va évoluer tout au long du film, et comme le scénario est à peu près correct, ça sauve le film de la catastrophe. Les personnages ont un côté hollywoodien. Cela vous détendra, mais les grandes émotions ne seront pas au rendez-vous.
Un film ennuyeux pur ma part, c'est vrai que le sujet des paris sportifs et bookmaker ne m'interesse guère. Pour une fois que bruce willis n'use pas de ses gros bras c'est ce qui m'a attiré pour regarder ce film j'ai beaucoup regretté Les acteurs ne sont pas crédibles
Impossible de reconnaître le talent de Stephen Frears derrière cette comédie d'arnaque légèrement hystérique,qui ne semble jamais savoir quel chemin prendre. L'héroïne de "Lady Vegas",une ex-playmate deveant une pro des paris professionnels est peu crédible,tout comme son évolution. Rebecca Hall surjoue en permanence,même si la pilule passe grâce à son physique affriolant dont elle joue admirablement. Bruce Willis est étonnant en parieur chétif et colérique,alors que Catherine eta-Jones s'éclate à jouer la rombière raide comme un piquet. L'histoire porte sur le monde de bookmakers sportifs,de leurs combines,de leurs superstitions,toujours dans une optique de gagner de l'argent,et non de l'estime de soi par exemple. Le film est il faut l'admettre ludique(surtout quand apparaît Vince Vaughn),mais il est mal monté,et d'une vacuité franchement inquiétante.
Adaptation des mémoires de la journaliste Beth Raymer, « Lady Vegas » est une comédie poussive qui a du mal non seulement à faire sourire le spectateur, je ne parle même pas de le faire rire, mais qui plus est à maintenir en éveil l’attention de ce dernier. Car l’intrigue du film est pour le moins mollassonne et on a du mal à se sentir concerner par les péripéties inoffensives de cette jeune femme un peu simplette. En fait l’histoire se déroule devant nous sans réelle tension et on se demande pendant les trois-quarts du film où le réalisateur veut en venir. Beth quitte son boulot de stripteaseuse, Beth devient bookmaker, Beth tombe amoureuse et se fait virer, Beth retombe amoureuse et se fait réengager, Beth démissionne et part à New York… Les aventures de la pauvre Beth se déroulent sans jamais offrir un quelconque intérêt aux yeux d’un spectateur rendu apathique par tant de vacuité. À côté de ça Bruce Willis pique des crises, Catherine Zeta-Jones cabotine en pouffe de Vegas et Joshua Jackson joue les potiches. Quant à l’actrice principale Rebecca Hall elle est tout simplement transparente, pour ne pas dire ridicule dans les scènes où elle pique sa crise de larme. Le film semble s’emballer dans les dernières vingt-cinq minutes, mais sans grande force pour presque aussitôt retomber dans le ronron du début. Pour être clair ce film est absolument sans aucun enjeu et se contente de présenter de façon insipide les pérégrinations d’une heureuse de la crèche tombée au milieu du monde des bookmakers, l’ensemble ressemblant plus à un pilote de série qu’à un long-métrage pour le cinéma. Bref un film tout simplement sans intérêt qui vous sortira de l’esprit à la seconde où l’air frais de l’extérieur du cinéma vous aura réveillé. À éviter sans regret.
Stephen Frears est en très petite forme et signe un film insignifiant. Les acteurs sont moyens et peu inspiré par cette histoire qui manque d'ambition et d'intérêt.
Bon, je ne vais m’étendre davantage sur ce film assez sympathique mais assez insignifiant. Déjà, je ne comprends rien aux paris, à leur subtilité. Peu importe, je ne comprends rien au poker et j’ai été capté par « Le kid de Cincinnati » ; je ne comprends rien à la haute finance, et je suis resté skotché devant « Wall Street ». Là, ça va trop vite, un peu comme à l’image de la nervosité et l’impatience de Dink. Il n’était pas là pour nous expliquer ; comme Beth, je devais plonger dans le bouillon. Soit je nage, soit je coule. J’ai barboté jusqu’aux rivages du générique de fin. Je n’ai pas très bien capté la pseudo-romance entre Beth et Dink, cela a dû se passer en hors champ. Ce qui fait, on la découvre subitement, on est dans le doute, on se pose des questions à savoir si on a manqué un épisode, si on s’est endormi, si on a bu la tasse ; à moins que l’explication est à découvrir dans la rubrique « scènes coupées ». Voilà une des faiblesses du film. C’est une histoire vraie et je l’ai écrit il y a peu (Allociné s’évertue à mentionner « lire sa critique ») toutes les histoires vraies et biopics, je me moque de la réalisation. Je regarde le film de manière neutre comme je découvrirais un magazine. Et si « Miracle en Alaska » n’avait rien d’original dans sa réalisation, j’étais très attentif au récit ; par contre, ici, l’histoire personnelle de Lady Vegas m’indiffère totalement bien que je ne me suis pas ennuyé. C’est toujours intéressant d’aller à la découverte de milieux différents. Franchement, je m’attendais à mieux et le fait d’y avoir inscrit un personnage fictif comme celui de Rosie et d’y insérer un pseudo-suspens n’y a rien fait. Il n’y avait rien de palpitant. Stephen Frears s’est décarcassé pour rien. C’est à se demander si les mémoires de Lady Vegas, à l’origine, valaient le coup d’être éditées... Je retiendrai le côté adulescent des deux principaux personnages : Dink et Beth ; l’un avec un bermuda et des chaussettes montantes d’un goût minable ; le sac à dos de l’une, vêtue de shorts sexy avec cette manie de toucher sans cesse ses mèches. Et je ne parle pas de ses sourires niais. Entendons-nous bien, ce n’est pas un reproche pour Bruce Willis et Rebecca Hall, tous deux impeccables et à voir en VO. Mais les personnages ne sont guère intéressants et leur parcours personnels tout autant. Un film vite oublié... de ma mémoire !
La plus simple des comédies américaines, on retrouve tout les ingrédients habituels rien n'est oublier. Et même si la prestation de Bruce Willis n'est pas une de ses meilleurs performances, on saluera sa présence, qui donne au film un côté sympa et bon enfant.
Une comédie laborieuse sur l'univers des jeux d'argent. Stephen Fears nous déçoit après le mémorable Tamara Drewe. Il multiplie les clichés sur la ville du péché.
Ce film est assez ennuyeux et il manque de rythme et d'un peu d'humour. Même quand on pense que ça va devenir - enfin - intéressant, ça ne l'est pas ! Le scénario est un peu confus et sans grand intérêt.
Ce mercredi matin pour aller voir le film LADY VEGAS ( Bruce Willis) à Lyon, a été le parcours du combattant ! Merci le journal LE PROGRÈS de Lyon ! En effet, depuis l’arrêt des gratuits, LE PROGRÈS est le seul moyen en ville pour moi de connaitre les salles et horaires des films sortant le mercredi matin. N’ayant aucun accès internet sur Lyon la matinée du mercredi comme ça. Or, comme déjà en juillet, LE PROGRÈS n’indiquait que les salles sans aucun horaire !
Le film ne sortait que dans 2 salles : le Pathé Bellecour ou même en matinée, les places sont cher et « UGC Ciné cité confluence ». Pensant qu’en fait une barre avait été oublié et que cela voulait dire le complexe UGC de confluence et celui de Ciné-cité, j’ai pris le bus pour aller à Ciné-cité / la cité internationale, pour m’entendre dire que le film n’était pas là-bas mais à Confluence car en fait le terme Ciné-cité s’applique à tous les complexes UGC dans toutes les villes de France et n’a rien à avoir avec le fait que le complexe està la cité internationale !
Je me suis rendu à Confluence (car n’ayant aucune idée de l’horaire au Pathé) pour voir que le film passait uniquement en VO à Confluence alors que je sais qu’il a bien été doublé en français ! C’est quoi cette manie d’imposer la VO de plus en plus comme ça ?! Là-bas, j’ai été obligé de payer 10,30euros la place !!! Vu que j’avais manqué la séance incroyablement matinale de 10h30 évidemment avec cette histoire (d’habitude, les séances les plus tôt sont vers 11h35 !) la séance suivante pourtant à 12h25 était classée plein tarif ! J’aurais pu avoir une réduction à … 4,90euros ! Soit un tarif incroyablement bas mais il fallait avoir la carte de fidélité Confluence. Vu que je n’y étais pas retourné depuis l’ouverture du centre commercial où j’avais refusé de faire la queue des heures pour avoir cette carte, je me suis fait avoir sur toute la ligne !
Et le film alors ? Vu le prix que j’ai payé, j’espérais qu’il en valait la peine… Massacré par le très peu de critiques qui l’ont vu – sauf LE PARISIEN qui a adoré le film - cette série B qui sort ici au cœur de l’été est un joyeux divertissement rafraichissant et délassant. Je n’ai pas tout compris à ces histoires de paris professionnel qui sont un univers très particulier et de connaisseurs... pourtant j’ai apprécié l’évolution des personnages et la bonne humeur du groupe de comédien tous excellents et Catherine Zeta Jones, déjantée et classieuse, totalement méconnaissable au point que je me suis demandé tout le film si c’était elle ou pas ! Un bon petit divertissement pétillant pour le mois d'aout.
Inintéressant au possible, ce petit film ne semble avoir aucune ambition et n'appartenir à aucun genre. Rebecca Hall, avec son rôle de potiche, est plus agaçante qu'autre chose. L'histoire n'a ni rythme, ni suspense, ni intensité. Bruce Willis est quant à lui plutôt amorphe et ne convainc pas. Dommage, car le casting était pas si mal. A oublier.