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leobis
59 abonnés
252 critiques
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0,5
Publiée le 27 août 2012
On a beaucoup de mal à croire que ce film est du même Stephen Frears qui a fait My beautiful laundrette......... On attend patiemment que le film démarre, ça reste plat, avec de gros clichés. Film nul, à éviter
Une petite comédie distrayante mais insignifiante, qui repose quasi exclusivement sur le charme atypique de l'anglaise Rebecca Hall, qui promène ses jambes interminables et son petit short sexy tout au long du film, pour notre plus grand plaisir. Joshua Jackson et Catherine Zeta-Jones font de la figuration dans un scénario qui manque d'enjeux véritables. Stephen Frears à la réalisation parvient toutefois à donner une couleur et un ton à cette petite histoire sans prétention.
Je soutiens ce film qui a l' air de faire un bide A TORT, car hormis la bonne note de La Croix, la presse boude ce scénario pourtant animé: la musique est fun, la façon de filmer sympa, à part l' épisode de la femme de Willis en retour de lifting et son côté personnage de roman à l' eau de rose un peu acariâtre, le film est plein de peps. Ne pas voir ce film de divertissement est une erreur! Et on ne s' ennuie pas une seconde, la fille est trés belle et cela repose sur une histoire vraie. Quelle mouche a piqué la presse? ce film mérite un 3, de plus y est introduit la notion "de vie de couple durable" ne cédant pas aux coups de foudre.
Stephen Frears délaisse son pays natal pour aller s'aventurer dans la cité du vice, Las Vegas. Mauvaise nouvelle. On ne sent pas l'ambiance folle et festive qui devrait se dégager de cette ville où tout peut arriver. Il choisit comme interprète la belle Rebecca Hall (Le Prestige, Vicky Cristina Barcelona) pour jouer Beth, une jeune femme débarquant dans le monde des paris. Mauvais choix. D'ordinaire bonne actrice, celle-ci en fait beaucoup trop pour incarner ce rôle de (fausse) cruche, naïve et déboussolée. Si l'univers des bookmakers est assez intéressant, on reproche toutefois au cinéaste de mettre de côté un rythme et une certaine tension qui manquent cruellement à Lady Vegas, pour insérer une romance futile entre la femme et son patron. Mauvaise idée. Mais Hall n'est pas la seule à avoir un personnage manquant clairement de profondeur. Catherine Zeta-Jones est grossière en femme vénale pour qui la superficialité ne fait pas peur. Quant au petit copain de Beth (Joshua Jackson), il est tout simplement inutile à la narration. Nous avons en effet un scénario mal construit, peu inspiré et qui tourne en rond sans jamais trop captiver le spectateur. Le seul à sortir son épingle du jeu est l'éternel Bruce Willis. Malgré sa performance dans Moonrise Kingdom, ce dernier est peu habitué à ce genre de rôle mais arrive à proposer un jeu simple et délicat, lui permettant de montrer un homme fatigué mais passionné par les paris. Tiré de l’œuvre de Renner Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse, le scénariste aurait du laisser le livre où il était, car le cinéma n'aura rien eu à lui offrir, si ce n'est un film fade et sans saveur.
Ce qui est bien quand on va voir petit film sans promo , sans budget sans prétention, c'est qu''on be peut avoir qu''une bonne surprise... Bon scénario une belle histoire, pour un bon moment de cinéma. je n'ai pas perdu mon temps !
Une chose est sure, tourner aux Etats-Unis ne réussit absolument pas à Stephen Frears (The Queen - 2006 & Tamara Drewe - 2010), comme en atteste le décevant et au combien inutile Lady Vegas - Les Mémoires d'une joueuse (2012). Quel était l’intérêt de mettre en scènes les mémoires de Beth Raymer ? Le film à lui tout seul brasse du vent, si vous n’êtes pas amateurs des jeux d’argent et de l’univers des paris en général, vous risquez fort de trouver le temps long, d’autant plus que le film ne fait absolument rien pour se démarquer et nous dérider (c’était censé être une comédie !). Même le casting fait peine à voir, à commencer par Rebecca Hall qui en fait des tonnes face à un Bruce Willis égale à lui-même, Vince Vaughn fait de la figuration et enfin, Catherine Zeta-Jones ne sert pas à grand-chose si ce n’est à remplir le quota de présence féminine du casting. Pourquoi l’avoir sortie au cinéma en lieu et place d’une exploitation en DTV ? Si c’est pour son casting, on aurait très bien pu s’en passer.
Sans intérêt. J'ai regardé ce film pour Bruce Willis, Catherine Zeta-Jones et Joshua Jackson mais leurs rôles et leurs dialogues sont si mal écrits qu'ils ne peuvent rien en faire. Les personnages sont si vides que je n'arrive même pas à blâmer l'actrice principale, Rebecca Hall, sans grande personnalité. Ce qui aurait pu être une comédie légère aux personnages décalés à travers les yeux d'une ingénue sympathique se révèle au final sans saveur, sans humour et surtout sans scénario crédible. Quant au thème principal, le jeu et les paris, cela n'est abordé que de très loin et ne fera pas bâiller que les profanes.
Attention, accrochez-vous ! Enfin surtout si vous ne connaissez rien à l'univers du jeu et des paris. Beth Raymer (interprétée par Rebecca Hall et sa plastique impeccable), semble mal engagée dans la vie. L'univers lui donne un petit coup de pouce en mettant sur sa route Dink Heimowitz (Bruce Willis à contre-emploi), et c'est la révélation : "Le premier endroit qui colle avec la manière de fonctionner de mon cerveau." Plus tard, une autre réplique montre que Lady Vegas est plus profond qu'il n'y paraît de prime abord, lorsque Dink dit : "Sais-tu à quel moment tu n'as plus besoin qu'on s'occupe de toi ? C'est quand tu ressens que c'est à toi de t'occuper des autres." L'ennui est que ces jolies leçons de vie se perdent dans un charivari incompréhensible sur le dernier tiers du film. On passe au final un bon moment à condition de ne pas être trop en attendre.
Un grand réalisateur anglais s'intéresse au jeu et pari à Las Vegas avec un casting qui ne peut que faire envie. Adapté des mémoires d'une journaliste on suit donc les aventures d'une ingénue dans le monde impitoyable des bookmakers. Le scénario est ausi peu intéressant que crédible, s'il s'agit d'une histoire vraie le côté comédie pop-corn retire toute vraisemblance à cette histoire où l'ingénue ne l'est pas vraiment et les requins du milieu se font avoir comme des bleus. Mise en scène classique et dialogues peu sans intérêt font que ce film est le moisn bon de Stephen Frears. Outre les interprétations funs du couple Willis-Zeta-Jones on est charmé par Rebecca Hall ("Vicky Cristina Barcelona" de Woody Allen). Heureusement que les acteurs font le jeu car le reste est un peu insipide. On se demande surtout ce qui a plu à Stephen Frears là-dedans. Ca se regarde sans plus.
Aurions-nous aussi perdu définitivement Stephen Frears ? Après les nombreux réalisateurs passés à la trappe ces derniers temps, il semble que le metteur en scène britannique suive le chemin de ses petits camarades. Elles sont loin ses belles années 80/90 et malgré un petit sursaut avec The Queen, force est de constater qu'il a aussi pris un bon coup de vieux. Son Lady Vegas ne vaut guère mieux qu'un épisode de série américaine des mêmes années. C'est à la fois kitsch et désuet, et on regarde ça avec un œil presque indulgent en souvenir des années passées. Mais franchement, il n'y a là aucun intérêt. Le seul resterait peut être les acteurs qui font ce qu'ils peuvent... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-lady-vegas-108972611.html
Pour ceux qui aiment les paris en ligne, les salons de jeux de prise de paris sportifs à Las Vegas, la mecque du jeu au monde, vous allez adorer. 3 étoiles et demie.
Donc ça, c'est une comédie?! C'est étrange, je pensais qu'une comédie procurait des sourires, des rires, des bons moments et que ça faisait du bien à regarder. Mais ce film n'a aucun de ces effets. Un film sans profondeur, sans envergure, sans situations cocasses ou drôles, au rythme très inégal, doté d'une réalisation catastrophique et une actrice principale horripilante dès les premières minutes. Une horreur !!