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    Ma part du gâteau
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    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Comme « ILS » disent : « Malgré des clichés en série, cette chronique sociale douce-amère suscite l'adhésion grâce à ses deux superbes comédiens. » … Le commentaire de la HONTE !
    Reprendre le terme « cliché » pour un film qui est si proche de la réalité vécue, c’est servir la soupe aux destructeurs cyniques, conscients et salopards du tissu industriel de notre pauvre pays en proie aux affairistes. Pas étonnant que les « bobos » bien pensant aient repris cette cantilène mortifère !

    Je me demande vraiment qui signe ce genre de petite merde sans couille juste faite pour qu’il ait le moins possible de spectateurs à regarder ce MAGNIFIQUE FILM QUI DECRIT AVEC PRECISION ET FINESSE LE FONCTIONNEMENT DE NOTRE SOCIETE ACTUELLE…

    Voilà l’exemple type du GRAND CINEMA FRANÇAIS… On y trouve tous les ingrédients qui le différencie du cinéma... américain même le plus engagé… Pourquoi ? Parce qu’aux States ce sont les consortium, les groupements financiers qui décident du choix des productions (en fonction des retombées et autres produits dérivés)… Donc un sujet du type de celui développé dans « Ma part du gateau » n’aurait aucune chance de voir là bas le jour.
    Ici ce sont les studio Canal qui ont pris en charge la production de ce GRAND FILM…

    Ce n’est pas par hasard que le personnage principal, malmené par les affairistes de tous poils se prénomme France…
    Oui la vérité c’est de dire que les salauds font fortune en spéculant sur les délocalisations où l’on trouve des esclaves moins chers….
    Oui c’est la vérité que de dire que les pauvres en chient quotidiennement pour maintenir tant bien que mal leur emploi.. Qu’il n’est de lutte possible contre les puissants que COLLECTIVEMENT…

    Et je ne vois pas en quoi c'est mal de le montrer et surtout en quoi il s’agit de « clichés ».

    Clapish sous une forme claire, facile et passionnante nous ramène à ces fondamentaux.
    Le scénario est aussi intelligent que vrai !
    Le magouilleur ou, en terme châtié, le « trader » qui ramène une mannequin à Venise sur son jet pour se l’envoyer… C’est du rêve ???
    Un femme de ménage qui fait ses courses à Lidl, faut pas le montrer ? C’est du rêve ???
    Des grévistes qui se battent pour leur emploi, des syndicalistes sur le terrain, des patrons rotors qui mentent comme ils respirent, de pauvres licenciés qui n’ont d’autre perspective que de se suicider, faut pas le montrer ??? C’est du rêve ???

    En quoi tout cela c'est « cliché » ?

    Clapish montre sans fard la réalité : les affairistes qui se la jouent belle dans la capitale des paradis fiscaux Londre… La réalité.
    Les open space où se trament les complots qui noient ceux qui travaillent et produisent…La réalité.
    Et le film de Klapisch nous sert une réalisation soignée, un scénario clair et précis, relevé par des acteurs au jeu efficace, de l’action, des sentiments et beaucoup d’humour.. Noir souvent !

    Karin Viard reste indépendante et garde son quant à soi. Elle part seule à Paris. Et le trader Klapish mélange travail, famille et histoire de coeur (3 thèmes essentiels), une situation humainement lamentable avec le brio du grand acteur qu’il est.
    Petits complots bancaires ou le mot « Humaniste de vient un gros mot…
    Prendre sa part du gâteau rien d’autre, même en écrasant, en démontant le travail à l’œuvre… Tenir son rôle de salaud…. User d’un langage abscons des cons pour berner les pauvres gens….
    Le chômage l’arme des gros cons… La solidarité l’arme des petits !
    Voilà ce qu’ils veulent : rester dans le monde reptilien… Nous y faire plonger !

    Abandonner la sensibilité, l’attention à l’autre, l’empathie…
    Oublier le néocortex. Oublier l’humain !
    Oublier au travers de leur pub de merde : le rêve stéréotypé qu’ils nous imposent…

    Retour à Dunkerque… La REALITE…. SANS CLICHE !

    UN FILM INDISPENSABLE !
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 295 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2017
    Une belle réalisation de Cédric Klapisch. Il nous propose avec " Ma Part du Gâteau" une Comédie bien rythmée mettant en présence deux personnages de milieux sociaux diamétralement opposés.
    Le scénario extrêmement habile nous conte une histoire mouvementée, drôle et émouvante à la fois. Sur fond de crise sociale et de délocalisation , Il égratigne le pouvoir de l'argent et assassine le coté antisocial du système bousier.
    Au casting, nous retrouvons une sublime Karin Viard qui porte véritablement le film, bien soutenue par Gilles Lellouche, lui aussi efficace dans un rôle pourtant délicat.
    Le pitch : France, ouvrière de 42 ans, vient d'être licenciée. Elle laisse ses trois enfants à sa sœur, quitte Dunkerque pour aller à Paris ou elle débute une formation pour devenir femme de ménage. France va trouver une place chez Steve, un trader riche et sans scrupules qui "veut sa part du gâteau".
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2012
    un film qui va opposer 2 mondes : les riches et les ouvriers
    à travers deux personnages bien trempés :
    un trader qui vit dans le luxe et une ouvrière licenciée de son usine.
    Karin Viard est excellente comme d'habitude dans le rôle de cette mère de famille au chomage qui cherche à s'en sortir et LELLOUCHE dans le rôle de ce trader qui vit dans son monde fermé.
    benoitG80
    benoitG80

    3 428 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mars 2011
    "Ma part du gâteau" est plutôt indigeste ! Arriver à cette fin stupide où les pauvres se font toujours avoir et où les riches s'en sortent toujours bien nous reste en travers l'estomac ! Comment Klapisch a-t-il pu autant forcer la dose jusqu'à en avoir la nausée ? Des clichés qui enfoncent bien une partie de la population de Dunkerque à ce point, il fallait le faire ! Par exemple était-il bien utile de voir les deux sœurs saoules et le beau frère au volant de son (très) gros 4x4, dans le même état ?
    Et que de scènes ridicules pour Karine Viard à qui un rôle plus intelligent et plus incisif n'aurait pas été de trop !
    On était en droit d'attendre des situations tout de même plus recherchées et pertinentes...
    Quelle est cette mode que de proposer ce genre de films bourrés de bons sentiments où gentils et moins gentils se côtoient, s'aident, se déchirent, puis s'entraident à nouveau... etc., etc. ? En tout cas, avec de si grosses ficelles, on assiste à un raté complet qui est loin de la satyre sociale attendue !
    Il était difficile de faire pire !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 novembre 2011
    La crise économique n’en finit pas de faire des victimes. Ici, c’est le cinéma qui s’en tire plutôt mal. Il faut dire que le programme était inquiétant : cinéaste léger, Klapisch est bon quand il traite de sujets drôles, mais il s’est toujours planté dès qu’il a tenté de sortir de la comédie. Et là, pour revenir sur mondialisation, les délocalisations et les dérèglements de la finance, le réalisateur fonce dans le tas avec la légèreté d’une charge de Panzer.


    En faisant se rencontrer un requin de la finance et une mère courage licenciée, il prend le sujet par le petit bout de la lorgnette pour délivrer un message à la fois simpliste et démagogique. Un film où l’on va montrer à quel point les financiers sont des salauds sans cœur et combien les petites gens souffrent pour boucler leurs fins de mois. On va même souligner tout ça au Stabilo avec force symboles jusqu’à la nausée, juste pour être sur que le public aura bien compris, je ne me souviens pas avoir été aussi embarrassé dans une salle obscure depuis longtemps. Que ce soit quand Klapisch filme les pauvres en train de faire leurs courses à LIDL après la paye du mois sur la musique de Pretty Woman, ou quand Karin Viard explique à sa fille qu’il faut nourrir les petits canards plutôt que les gros, sinon les gros ne partagent pas. La vie, c’est facile, y a les gentils pauvres un peu cons et les méchants riches qui savent faire du pognon, mais pas aimer une femme, faire leur repassage ou s’occuper de leur gosse. Consternant.


    Pour couronner le tout, c’est cinématographiquement assez mauvais. Histoire d’accentuer le pathos, les personnages sont écrits à la truelle, entre Karin Viard qui sort d’une tentative de suicide avec une pêche à tout casser (c’est bien connu) et Gilles Lelouche qui est très content de sa vie de trader jusqu’au jour où il se met à se poser des questions existentielles entre deux petits fours. Ce personnage de trader, sorte de Gordon Gekko français, n’est absolument pas crédible, étant à la fois un cliché sur pattes (vicieux, hautain, goujat, violent, bref, une vraie ordure), et complètement ahuri, limite débile profond, tant il ne semble jamais se rendre compte des conneries qu’il débite à longueur de journée. Perdu dans des dialogues absolument navrants, Gilles Lelouche fait beaucoup d’efforts mais passe totalement à côté de son contre-emploi, incapable de faire passer la moindre dureté ou méchanceté, coincé dans son registre de bon gars lambda. Sans compter que le rebondissement principal du film intervient quand il balance son fiel à un balcon…alors que Karin Viard est juste en dessous. Personne n’avait manifestement plus de dix secondes pour écrire une scène correcte, tant pis.


    Et quand l’exutoire arrive, où le vilain se fait enfin péter la gueule sur un parking de Dunkerque par Xavier Matthieu ( !) à côté de son coupé Mercedes, on se dit qu’on a vraiment touché le fond du fond en terme de film politique. Si vous voulez une analyse profonde sur la crise, louez Inside Job. Et si vous voulez vibrer au son d’une revanche des petits sur les grands, drôle et intelligente, revoyez le merveilleux Looking for Eric

    http://dh84.over-blog.com/
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2018
    France se retrouve au chômage après la fermeture de son usine à Dunkerque. Après une tentative de suicide, elle se reprend en mains et trouve un travail de femme de ménage chez un riche trader à Paris. Leur univers est tout ce qu’il y a de plus différent et pourtant ils sont liés par la faillite de l’ancienne entreprise. Dans « Ma Part du Gâteau », Cédric Klaspisch dénonce la fracture sociale de notre monde actuel avec ce couple guidé par l’économie. Le film passe par de nombreuses situations stéréotypées qui résonnent souvent dans le faux. Pourtant la vitalité de Karin Viard et de Gilles Lellouche fait pardonner toute incrédibilité. Les comédiens en veulent et s’en donne à cœur joie. Enfin, alors qu’on pensait le film limité à dresser le tableau de ces deux antagonistes, l’histoire prend une direction inattendue et plutôt satisfaisante pour les revanchards.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    oldsport
    oldsport

    14 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2013
    C'est très très mauvais bien sur
    & Karine Viard n'est pas crédible du tout en femme de ménage censée s'occuper d'un loft immense:
    brushing parfait en permanence etc...Mais Lelouche n'est pas beaucoup mieux , engoncé dans un costume trop grand de gecko à la française
    Tout tombe à plat:les dialogues ridicules("La réalité je m'en fous moi je veux ma part du gateau!"mon dieu...), le montage parallèle vu 1000 fois (caranavl de dunkerque vs fête aseptisée entre traders)
    les gentils pauvres vs les méchants d'un côté
    plus gênant encore le rôle tenu par le(vrai celui là)leader des contis dans le film en cameo
    à oublier...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2011
    Non mais c'est une blague ?! Moi qui considérais jusqu'à présent qu'un film de Klapisch garantissait au moins un ton personnel et une démarche sincère, je tombe de haut avec cette "part du gâteau" ! Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Ce Cédric Klapisch là doit être un homonyme ! Ce n'est pas possible autrement. Tout ce qui peut faire le charme d'un de ces films est abominablement absent de cette diatribe imbuvable, écrite et pensée comme n'importe quel minable pensum hexagonal de cinéaste français qui, à défaut de talent, pense combler le vide avec un propos jugé « socialement utile ». Tout sonne faux dans ce film, tant la démonstration est lourde et les symbolismes surlignés au marqueur fluo radioactif. Je te prends un personnage qui jouera le rôle de la pauvre opprimée : je la fais femme, endettée, divorcée, avec trois enfants à charge, vivant à Dunkerque, travaillant dans la métallurgie... et bien évidemment récemment licenciée ! Et je te l'appelle France au cas où on n'aurait pas compris l'allégorie ! Et de l'autre je te prends pour faire l’oppresseur : un trader, il bosse à Londres car c'est la mondialisation l'ennemi, il n'est pas marié car c'est un connard, il méprise l'humanité pour le seul plaisir de gagner l'argent. Tant qu'à faire on l'appelle Steve, histoire de faire l'Américain, la subtilité de Klapisch a consisté ici de ne pas le faire rouge, avec des cornes, et doté d'un rire démoniaque. Et voilà que pendant plus de trois quarts d'heures les symboliques grossières et grotesques s'enchaînent, le tout dans des tirades aussi démonstratives que déshumanisées. Et une scène qui sert à dire que les patrons ne gagnent de l'argent qu'en étant méchant ! Et une autre qui sert à dire que les pauvres ne peuvent s'en sortir qu'en étant solidaires ! (Et je ne mens pas : c'est dit textuellement) Et le tout sur sauce d'une Karin Viard qui expose son parcours de misère qui l'a fait échouer dans le nord et sombrer dans le suicide ?... STOOOOOOOOOOOOOOOOOP !!! Personnellement je me suis arrêté ici, au moment où les deux univers se rencontrent et continuent d'accumuler les poncifs et les stéréotypes. Alors c'est vrai, je n'en ai peut-être même pas vu la moitié, mais quand un film vous vomi autant de fois à la tronche pendant trois quarts d’heure, il devient impossible d'espérer retrouver l'appétit pour la fin du film. Alors, vous penserez ce que vous voudrez d'une telle critique, mais dites vous que c'est un amoureux de Klapisch qui vous le dit : ce film est une ignominie. Voilà qui est dit...
    lazarus
    lazarus

    11 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 août 2012
    Un veritable navet bourré de clichés. C'est d'un navrant.....tout est mauvais, meme les acteurs qui sont pourtant des pointures habituellement. C'est long, lent, insipide. Bref un nanar a fuir tellement c'est affligeant...
    Caine78
    Caine78

    6 797 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2012
    Alala, mais qu'est-il arrivé à Cédric Klapisch? Mais où est-il le réalisateur hyper-doué des « Poupées russes », « Chacun cherche son chat » et du « Péril jeune »? Car après un « Paris » médiocre, voilà que l'ami Cédric nous revient de nouveau en petite forme, même si cette « Part du gâteau » est toutefois moins médiocre que son précédent. Car il faut avouer que l'on ne s'ennuie pas (ou du moins pas trop), que quelques scènes sont bonnes, que quelques répliques font mouche, et qu'une fois de plus Karin Viard est excellente, meilleur qu'un Gilles Lellouche honnête mais pas transcendant. Mais tout est trop caricatural, l'opposition riche-pauvre s'avérant bien simpliste (et Dieu sait si je ne suis pourtant pas un sympathisant des traders!), tandis que la relation unissant les deux héros alterne vraiment le bon et le beaucoup moins bon. Ce n'est pas que c'est mauvais, c'est que ça n'est pas bon, à l'image d'un dénouement qui aurait pu être audacieux, mais que Klapisch foire car il décide de la jouer « fin ouvert », sauf qu'elle l'est tellement qu'elle n'est absolument pas satisfaisante... Bref, pour ceux qui attendaient un grand film sur notre société, le chômage et la finance, le coup est manqué, à défaut d'être un désastre total. A quand le retour du Klapisch qu'on aimait tant?
    cylon86
    cylon86

    2 547 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2011
    Klapisch est plein de bonnes intentions à travers cette histoire mais n'est pas Ken Loach qui veut. Le scénario est bourré de clichés reposant sur une rencontre entre deux univers sociaux : la pauvre femme au chômage au grand cœur et le trader cynique et macho. Et quand il rajoute un brin de comédie romantique, il s'enfonce encore plus. Heureusement il se rattrape avec une fin plutôt réussie bien qu'un peu frustrante et tout de même quelques très bons moments. Le problème vient surtout de son humanisme maladroit et des scènes où Karin Viard est chez elle qui sont d'une fausseté incroyable. Heureusement, Viard se rattrape vite et arrive à nous émouvoir et Gilles Lellouche est excellent, reste à voir si à l'avenir il va être capable de sortir de ses personnages de bourrus machos.
    FAM
    FAM

    4 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2021
    Pas le meilleur des Klapisch, mais j'aime la façon que ce réalisateur a de regarder la France d'aujourd'hui et ses petites gens. Le choix de Karin Viard et de Gilles Lellouche est parfait.
    selenie
    selenie

    6 341 abonnés 6 206 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2012
    Cédric Klapish est un réalisateur talentueux, on a tous au moins un film de lui qu'on a adoré mais là il réalise sans aucun doute son film le plus inégal et le moins abouti. Les intentions sont louables, évidemment en cette période de crise, et l'idée de base est plutôt bonne emmené par casting aux petits oignons. D'ailleurs le film surnage grâce à ses acteurs ; Karin Viard est magistrale jouant entre rire et larme. Le film pêche surtout à cause d'un scénario truffé de stéréotypes et de caricatures. L'héroïne s'appelle France et se bat pour sa famille qui vit difficilement mais toujours avec pas mal d'humour (la vie quoi !) tandis que le riche d'en-haut est un pourri jusqu'à l'os même dans ses relations avec femmes et enfant ! Manichéen et peu subtil Klapish promet une comédie sociale (la BA le prouve) mais au final ce film se rapproche plus du drame social qui se finit en plus sur une scène qui prouve l'hésitation du réalisateur ; le fil conducteur est flou et le goût amer.
    mazou31
    mazou31

    98 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juillet 2011
    Encore un Klapisch bien décevant ! L'histoire, d'une cruelle actualité, est mal ficelée, le scénario accumule les poncifs et les caricatures fadasses, les dialogues sont aussi creux qu'une présentation PowerPoint. Une seule petite lueur, l'interprétation de Karine Viard, fine, drôle et émouvante. Une piètre comédie sociale, très loin derrière les réalisations britanniques !
    Seemleo
    Seemleo

    67 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2011
    Cédric Klapisch est fatigué. Ces films sont d'habitude de petites perles de sensibilités, d'observation de la gente humaine et d'amusements divers. "Ma part du gâteau" est cousu de fils blancs sur une histoire non incarnée induisant des situations caricaturales. Le propos de fond est militantiste et donc peu intelligent. Seuls Karin Viard et Gilles Lelouche, paradoxalement, s'extraient brillamment du bourbier, ce qui n'empêche pas l'ennui durant la projection.
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