Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
stanley
66 abonnés
756 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 11 juin 2015
Ultavixens est surement le pire film de la série des Vixens dont la répétition à l'envi des scènes, plus laides les unes que les autres, fatiguent tant elles sont grossières. Certes, l'outrance de la mise en scène, des différents cadrages éloigne ce film de la nullité mais nous ne sommes pas loin de la pornographie à certains moments par l'usage des gros plans sur le sexe féminun. Lourd et répétitif, tel est ce film pesant où Russ Meyer semble avoir perdu une grande part de l'inspiration créatrice de Supervixens et Megavixens qui étaient déjà limites dans la forme. La métaphore du propos est, que pour réussir, il est nécessaire de pénétrer la bonne porte ! La vulgarité du propos ne contredit malheureusement pas ici les allusions homophobes du discours. Excessif en tout, Russ Meyer nous montre même des seins bien trop gros !
Reprenant la structure narrative décousue du précédent MegaVixen, avec cette fois en guise de narrateur non plus une femme dénudée mais un vieux voyeur, le scénario de l’ultime volet de la saga érotico-nanardesque de Russ Meyer manque de l’esprit anticonformiste et provocateur de ses prédécesseurs. Les scènes de sexe se ressemblent dans leur façon de durer inutilement trop longtemps et de multiplier les gros plans sur les sexes et les poitrines charnues de ses héroïnes. L’humour ne passe plus par qualque caricature outrancière qui ferait du film une véritable comédie burlesque mais uniquement par quelques gags bas de plafond sans la moindre pertinence. Seul le personnage d’Eufaula Roop réussit à rendre quelques situations amusantes grâce à un amalgame entre son discours religieux et son activité sexuelle exacerbée. Evidemment, les actrices sont des créatures démesurément plantureuses qui raviront les amateurs de grosses poitrines (et d’entrecuisses poilus).
Russ Meyer était fasciné par l'actrice Kitten Natividad (il y a de quoi !) et ce film peut être considéré comme une ode à son physique ; c'est aussi son film le plus "cochon". Malheureusement le scénario est maigrichon et ne retient pas l'attention, les scènes sont répétitives et s'étirent en longueur et puis : qu'est ce que ça braille ! Quelques bons moments cependant, outre les exhibitions de Kitten Natividad dans les doubles rôles de Lavonia et de Lola Langusta, celui de Ann Marie en Sœur Eufaula Roop n'est pas mal non plus (par contre June Mack est une erreur de casting.). Relative déception , film moyen.
En temps normal, quand on s'attaque à une saga cinématographique, il vaut mieux la regarder dans l'ordre chronologique. Avec la saga des Vixen ce n'est pas nécessaire car tous les opus qui la composent se ressemblent. «Ultravixens», réalisé en 1979 est donc le quatrième et dernier opus de la saga érotique de Russ Meyer. Franchement, celui que l'on a surnommé le roi des nuddie movies ne s'est pas trop cassé le bol et a repris les mêmes ingrédients que dans «Supervixens». Mais attention: même s'il reste un film érotique pur et dur, «Ultravixens» arrive à se faire plaisant, notamment pendant la première demie-heure durant laquelle un narrateur au point de vue externe nous raconte avec humour la petite vie des habitants d'une petite ville des Etats-Unis. Un quotidien principalement dominé par le sexe. La deuxième demie-heure est un sérieux passage à vide où pas grand chose ne se passe. En revanche, la dernière demie-heure n'est qu'une suite de scènes de sexe ponctuées de cris insupportables. Durant cette dernière partie de film, Russ Meyer pousse son délire au maximum. Difficile de ne pas décrocher.
Dernier opus de la saga Vixens, UltraVixens (1979, Beneath the Valley of the Ultra-Vixens en version originale) marque l'essoufflement net du cinéma de Russ Meyer, même si le cinéaste en a encore sous le capot et les femmes dans le soutien-gorge. Russ Meyer est visiblement devenu incontrôlable et livre un fourre-tout visuel et acoustique dans lequel les femmes sont devenues elles-mêmes des caricatures des anciennes poupées gonflables vues dans les autres Vixens. Le cinéaste a certes toujours fait dans l'outrance mais jamais comme dans UltraVixens, le plus barré, le plus fou, le plus coloré, peut-être le plus mal écrit du réalisateur, producteur, directeur de la photographie et monteur. Comme si MegaVixens n'était qu'une introduction, voire une ébauche, UltraVixens reprend les ingrédients du film précédent (présence de Kitten Natividad, d'un narrateur) en les mixant avec rage dans un montage à la mitraillette. Dire qu'UltraVixens est l'épisode de trop ne serait pas juste, disons qu'il s'agit du Vixen ultime dans lequel Russ Meyer se déchaîne pour livrer un film jusqu'au-boutiste qu'il aurait été difficile de surpasser dans ses excès. Comme un ultime tour de piste, Russ Meyer apparaît à la fin du film dans son propre rôle, caméra au poing, saluant les spectateurs. On ne pouvait rêver meilleur épilogue.
Dans ce dernier opus de la série "Vixen", Russ Meyer en fait trop. Il use et abuse des montgolfières de Kitten Natividad dans de trop nombreuses séances de coït surexcitées et ultra redondantes qui finissent par lasser dans un scénario excessivement mauvais...
Un bien mauvais film.. Mauvais, mais mine de rien capable d'amuser... Il est bien dans la lignée de "Mega Vixens", en peut-être pire. Deja, il dure trop longtemps, pour un film comme ca, dépasser les 1h15 c'est tres dangereux.. Et c'est ce que fait "Ultra Vixens", ainsi on se retrouve vite a s'ennuyer. Admettons tout de même que c'est une expérience assez marquante que de découvrir les mœurs de Small Town, petite vile tranquille où tout le monde couche avec tout le monde et où tout n'est qu'histoires de fesse. Un scenario scandaleusement vide (comme dans tous les films de Russ Meyer apparemment..), et une mise en scene terriblement étrange, qui tente parfois, en vain, d'être inventive, c'est assez amusant... Amusant, certes, mais bigrement mauvais quand même.
C'est tellement mauvais qu'on a du mal à y croire... Interminable et débile à souhait. Personnages sans charisme et antipathiques. Russ Meyer fait une apparition à la fin, on ne comprend pas trop pourquoi. L'un de ses plus mauvais films...que certains considèrent malgré tout comme un chef-d'oeuvre... Ca dépasse l'entendement.
Evidemment nous ne sommes pas devant un chef d'oeuvre du cinéma, mais il faut reconnaître que Russ Meyer réalise avec " Ultravixens " une oeuvre vraiment loufoque, et où le metteur en scène mélange plus ou moins bien les séquences drôles et celles plus érotiques ( voir limite porno pour certaines ). L'interprétation de l'ensemble du casting est assez comique, notamment en ce qui concerne les actrices au physique ultra généreux, et le tout fait finalement que l'on ne s'ennuie guère devant ce film qui est devenu culte au fil des années.
Dans la série des "Vixens" c'est peut être celui qui fait le plus explicitement la satire de l'imagerie et des valeurs de l'Amérique profonde, de la prostituée mexicaine à l'évangélisme. Ça passe par une salacité sans limite, on croit sans lasser, mais non, c'est toujours tordant. Il faut aussi admirer la manière dont Russ Meyer évoque au plus près le rapport sexuel sans faire du hardcore, sans montrer des coïts non simulés. Quel savoir-faire !
C'est loin d'être un chef-d'oeuvre du 7e art c'est clair,régressif et à la limite du porno,mais je n'ai pas éprouvé de plaisir coupable à le visionner.il faut le prendre aux 1000eme degrés car c'est léger et drôle.Et il y a des belles nanas aux arguments chocs!
Une histoire barré, une mocquerie de la religion mdr, Tout les élément du bon film B des années 70's sont la : le Texas les Filles, un peut de violence, une ptite ville.... Très drole, provocateuret sexy ! magnifique Russ Meyer est génial ^^
Génial ou jouissif ; les adjectifs ne manquent pas pour qualifier ce film fait avec de si maigres moyens et réelle bouffée d'air face à tous ces (nouveaux) puritains tellement pleins de cette odieuse faconde d'aujourd'hui ...