Russ Meyer, celui que tout le monde surnommait le roi du « Nudie Movie », réalise là son quatrième et dernier opus de sa saga entamée à la fin des années 60.
Il continu toujours et encore ce qu’il fait de mieux, convier une pléiade de nymphettes, au physique hors norme, entendez par-là, aux poitrines incroyablement imposantes, normale, c’est le petit faible du réalisateur. Une drôle de passion que l’on pouvait déjà retrouver dans pas mal de ses précédentes ou futures réalisations tels que Motor Psycho (1965) ou encore Faster, pussycat ! kill ! kill ! (1985).
Après Vixen ! (1968), Megavixens (1976) & Supervixens (1980) il clore sa tétralogie avec Ultravixens (1982), une nouvelle histoire où il est question des relations de couples dans une petite bourgade dans le fin fond des Etats-Unis. Mêlant l’érotisme à la comédie, cette énième réalisation pseudo érotique se distingue de ses prédécesseurs, au fil des ses innombrables aventures présentent dans le film.
Russ Meyer aura su laisser son empreinte dans l’histoire du cinéma, tout comme son digne successeur, John Waters, qui suit le même chemin, à travers ses films décalés et érotico/trash (Pink Flamingos - 1972 & A Dirty Shame - 2005).