Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
JCOSCAR
116 abonnés
1 100 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 19 septembre 2010
Happy Few est un film sur l'amour à quatre avec accord pour les deux couples. Un scénario osé mais qui ne marche même si les acteurs sont actifs... nous sommes dans l'imoralité et à la limite du X...
J'adore Marina aussi dés le début du film , je sens que Cordier aura du mal à réaliser une "happy end" , je reconnais que ce film peut déranger voire mettre mal à l'aise mais au final on se pose les (bonnes) questions et on remets en cause notre éducation judéo chrétienne . Bref un film qui fait du bien et se prolonge par des discussions appuyées entre amis!!! Ps je suis allé le voir juste apres 'des hommes et des dieux" et ca fait un choc!
Je suis ressortie de la salle avec un Bof Bof dans l’esprit. Et je ne sais pas d’où ça vient.
Les acteurs jouent pourtant bien. Nicolas et Elodie ont l’habitude des rôles non pudiques et controversés. Élodie avec the L word où elle est à poil la moitié du temps et Nicolas avec des films comme « Hell » ou « les corps impatients » Marina Foïs est vraiment à contre emploi de ses autres rôles, d’habitude elle joue des femmes normales sans grand charme (ou débiles comme dans Rrr ou d’autres) mais là elle joue une femme forte et belle qui sait ce qu’elle veut (et on a droit à une scène de sexe assez osé j’ai été très surprise) Roschy Zem est le seul à ne pas prendre de risque dans ce film, il est égal à lui-même comme dans tous ces films (sauf que je ne l’avais jamais vu sourire comme ça.. ça fait bizarre)
Andy cordier n’en ai pas à son premier coup d’essai puisque avec « douches froides » en 2005 il avait déjà expérimenté ce thème : les ménages à plusieurs, la jalousie, la folie, le regard des autres,… Mais ici il manque un je ne sais quoi pour nous replonger dans ce sentiment d’intrusion et de malaise (comme pour « douches froides »)
Histoire innovante ? check. Actrices sexy ? check. Acteurs sexy ? check. Scènes osées ? check. Tout y est mais la sauce ne prend pas. Ce film est trop sage pour ce qu’il présente
Film assez bizarre pour ma part où le nu a une trop grande part je trouve. Le scénario n'est pas assez exploité et on stagne sans trop savoir qui ressent quoi. Si j'avais juste un conseil: n'allez pas le voir si vous chercher une "comédie dramatique".
Ce film m' a bien déçu : Le propos est séduisant , le casting attirant ( je suis un inconditionnel de Roschdy Zem ) , la bande-annonce alléchante , et au bout du compte , un ennui mortel , avec trop de scènes de sexe pour du sexe , sans émotion , sans romantisme , sans tendresse . Il y a même un peu de sadisme dans tout cela . Le scénario n' est pas assez fouillé ( par exemple , les raisons du vol du journal intime de Rachel ne sont pas expliquées ) . L' interprétation est molle , sans enthousiasme ni folie , dans ce genre de situation . Même la scène de " partouze " dans la farine ne m' a pas séduit ! Bref , un film qu' on peut éviter , si on doit payer sa place ! J' ai mis cette notation uniquement pour la curiosité pour une telle histoire , et la présence de Roschdy Zem , le seul à vraiment sortir du lot .
Filmer le désir n'est pas une partie de plaisir. Antony Cordier s'y essaie, avec un ton décomplexé qui n'appartient qu'à lui, dans une histoire qui n'est pas qu'une partie carrée qui tourne rond, pas plus qu'un traité moderne sur les vertus roboratives de l'échangisme. Happy Few est un double mixte, que l'on trouvera plus ou moins osé, selon sa propre conception de la morale, qui convaincra ceux qui pensent que l'on peut évoquer les choses graves de façon légère, et inversement. Le film ne s'appesantit pas sur la psychologie des personnages, ceux-ci sont libres de leurs pulsions et emballements, la mise en scène de même. Mille et un détails donnent de l'intérêt à Happy Few : le regard des enfants, la sensualité de la nature ... Quant aux scènes de sexe, elles ne sont pas excessivement crues ni choquantes (beaucoup moins que chez un Joaquim Lafosse, par exemple), et celle de la farine, déjà célèbre, est particulièrement jouissive, à tous points de vue. La qualité de jeu du quatuor Foïs, Bouchez, Duvauchelle, Zem, au diapason, n'est pas pour rien dans la réussite globale de ce libertinage sans tabous. "Aimez qui vous voulez" proclame l'affiche de Happy Few. Pas mieux.
Franchement, c'est joli. Et puis on vit dans un univers binaire où la monogamie donne après les premiers triomphes (dans les brillants débuts des histoires d'amour), petit à petit un sentiment de routine que paraît-il certains peuvent sublimer... Mais là, la présence de l'autre, une sorte d'ailleurs, crée le désir et la jalousie qui exacerbe le désir. J'ai été surpris des critiques négatives qui reprochaient au film un côté porno. Le porno, c'est rose, moche, "performant", là non.... Les scènes de sexe sont subtiles... Et on sent le désir... L'entrée dans l'univers de l'autre, la démultiplication de l'émotion, et l'amour, tendre, hésitant. Bref, il y a quelque chose de vraiment senti dans le film. Et pour cela, il est réussi. J'adore le moment où Rushdy Zem sent l'odeur d'Elodie Bouchez sur ses mains.
Le scénario n’est pas à la hauteur de l’ambition du sujet traité. Les acteurs font ce qu’ils peuvent. Mais la pauvreté des dialogues et la voix off finissent par plomber l’ensemble.
un film culotté ou plutot déculotté...!avec ce sujet dérangeant, percutant , touchant pour ceux comme moi qui ont vécu une belle histoire mais compliquée a plusieurs... comment se dire qu'on appartient a personne et qu'une personne ne nous appartient pas qd on est en relation de couple... comment trouvé a 4 un réel équilibre qd chacun est different avec ses sentiments , ses envies ses attentes... tout un tas de questions qu'on se pose a travers cette histoire, ces échanges, tres bien jouée par ce quatuor avec un pour marina fois et une elodie bouchez tres belle ds ce film, peut etre un peu trop de scene de cul et d'amour au dépend des relations amicales entre ces 2 couples qui ont du mal a revivrent simplement à 2, une tres belle scene dans la farine...
J'ai été un peu déçu par ce film qui traite de l'échangisme au sein de deux couples amis. Il y a des scènes un peu crues (mais pas de triolisme ni de "parties carrées") qui sont joliment filmées et sans que cela devienne graveleux. Mais par contre, le fond du film est creux. Qu'est-ce qui habite les personnages ? On a plutôt l'impression que c'est essentiellement le cul qui prédomine ici, sans qu'il existe grand chose de plus que des échanges physiques. Il me semble que l'auteur soit passé à côté de la plaque. La question qui se pose ici (et qui est d'ailleurs posée dans le film) est : "Est-il possible (pour une femme) d'aimer deux hommes en même temps". La réponse à la fin semble être "Non", sans qu'on comprenne très bien pourquoi... Ceci dit, Marina Foïs et Elodie Bouchez sont drôlement bien gaulées...
Deux couples décident de partager leur sexualité et de rechercher une harmonie au-delà des tabous de la fidélité, de la jalousie et des convenances. Si Antony Cordier fait preuve d'habileté pour traduire l'émoi et le désir des corps, il ne sait pas trop quelle direction prendre pour sortir ses personnages d'une impasse inéluctable. Il en résulte une conclusion bancale et un peu frustrante. Un film néanmoins intéressant et personnel, servi par un très bon quatuor d'acteurs, à l'exception de Duvauchelle, inexpressif et insipide comme à son habitude.
Film ambitieux, qui voudrait redessiner la carte de Tendre aux couleurs du temps (et des anglicismes triomphants). Il sera question de libertinage dans cette nouvelle géographie amoureuse, mais de libertinage codifié (deux couples de trentenaires pratiquent l'échangisme strict et simultané, mais en des lieux différents). L'habitude aidant, il y aura cependant des dérives : tentation partouzarde assumée dans.... la farine, variante saphique. Et plus grave, s'installera la confusion des sentiments. Mais le ridicule des dialogues, le mauvais esthétisme se rapprochant d'une pornographie "light" et hypocrite (si l'on a une vue d'ensemble de l'anatomie des actrices, l'absence de sexes masculins à l'écran permet ainsi le simple "avertissement", et aucune interdiction), et encore le naufrage de l'interprétation (des quatre concernés, seule Marina Foïs tire son épingle du jeu) font capoter le projet. Je mets "deux étoiles", mais j'aurais préféré n'en mettre qu'une (cependant, cela me paraîtrait injuste, puisque "une étoile", une "vraie", cela disparaît maintenant derrière l'assimilation des anciennes notations à "0" - interdites - et à "0,5", "gonflées" de toute façon à "1" ! ) Encore une occasion de déplorer ce nouveau système imposé !