Trilogie Bill Douglas : My Childhood et My Ain Folk : Critique presse
Trilogie Bill Douglas : My Childhood et My Ain Folk
Note moyenne
4,9
7 titres de presse
Critikat.com
L'Humanité
Le Monde
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
Télérama
Libération
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7 critiques presse
Critikat.com
par Alice Leroy
[Reprise] Le chef d'œuvre d'un cinéaste méconnu. Une enfance chaotique et sauvage dans les bassins houillers du nord de l'Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film en noir et gris. Noir comme le charbon, gris comme l’enfance piétinée. Chef-d’œuvre total.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
[Reprise] [Un] récit de formation à nul autre pareil (...) [dont la] brièveté rend bien compte de l'extrême économie de la manière de Bill Douglas – sens de l'ellipse, exigence à l'égard du spectateur appelé à passer d'un moment du récit à l'autre sans transition, pureté de l'instant et du mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Hélène Frappat
[Reprise] Il est temps de découvrir l’oeuvre immense d’un cinéaste qui, à l’image de tout véritable artiste, a créé un monde pour retraverser, et sauver, sa propre enfance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Peu de paroles chez Bill Douglas qui dépeint sa solitude sociale avec une stupéfiante force poétique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
[Reprise] Le temps a (...) rendu justice [à Bill Douglas et Stephen Archibald] : ils sont devenus, l'un et l'autre, et à jamais, les hérauts de l'enfance humiliée et offensée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Bruno Icher
[Reprise] (...) [Une] trilogie méconnue en France hors des cercles cinéphiles, mais l’une des pierres angulaires du cinéma britannique. Ce n’est pas tant l’âge qui compte ici, mais le temps qui fut nécessaire à l’auteur pour (...) régler ses comptes avec une enfance abominable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
[Reprise] Le chef d'œuvre d'un cinéaste méconnu. Une enfance chaotique et sauvage dans les bassins houillers du nord de l'Angleterre.
L'Humanité
Un film en noir et gris. Noir comme le charbon, gris comme l’enfance piétinée. Chef-d’œuvre total.
Le Monde
[Reprise] [Un] récit de formation à nul autre pareil (...) [dont la] brièveté rend bien compte de l'extrême économie de la manière de Bill Douglas – sens de l'ellipse, exigence à l'égard du spectateur appelé à passer d'un moment du récit à l'autre sans transition, pureté de l'instant et du mouvement.
Les Inrockuptibles
[Reprise] Il est temps de découvrir l’oeuvre immense d’un cinéaste qui, à l’image de tout véritable artiste, a créé un monde pour retraverser, et sauver, sa propre enfance.
TéléCinéObs
Peu de paroles chez Bill Douglas qui dépeint sa solitude sociale avec une stupéfiante force poétique.
Télérama
[Reprise] Le temps a (...) rendu justice [à Bill Douglas et Stephen Archibald] : ils sont devenus, l'un et l'autre, et à jamais, les hérauts de l'enfance humiliée et offensée.
Libération
[Reprise] (...) [Une] trilogie méconnue en France hors des cercles cinéphiles, mais l’une des pierres angulaires du cinéma britannique. Ce n’est pas tant l’âge qui compte ici, mais le temps qui fut nécessaire à l’auteur pour (...) régler ses comptes avec une enfance abominable.