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Synopsis
My Childhood (1972) & My Ain Folk (1973): deux films qui retracent l'enfance et l'adolescence du cinéaste à Newcraighall, petit village de mineurs du sud de l'Écosse. Pour la première fois en version restaurée. My way home (1978) est projeté séparement.
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Trilogie Bill Douglas : My Childhood et My Ain Folk Bande-annonce VO
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une vraie proposition de cinéma, qui retrouve toute la force d’évocation (et de fascination) du cinéma des origines (on pense autant à Borzage qu’à Von Stroheim ou Chaplin), mêlé à une vision hautement politique, à un vrai regard social. Cette chronique d’enfance et d’adolescence, dont l’âpreté rugueuse cache une immense tendresse, touche à une vérité humaine profonde, à une solitude et à une détresse ontologiques. A ...
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jeanmarcd
12 abonnés
174 critiques
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5,0
Publiée le 4 août 2013
une trilogie qui, utilisant un minimum de moyens: noir et blanc, peu de dialogues , sonne juste à chaque instant dans sa description de l'enfance dure et cruelle, mais sans aucun larmoiement inutile . A voir absolument, en une seule fois !
weihnachtsmann
1 145 abonnés
5 126 critiques
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4,0
Publiée le 9 mars 2019
Le cinéaste filme l’abandon par les longs silences qui en disent tellement plus que les dialogues, par les regards comme ceux de l’enfant qui observe les adultes passer comme la douleur de voir son avenir dans ces gens.
Bien sûr le sujet est assez dur, voire déprimant mais il y a une recherche du cadrage, des gros plans lourds de sens.
La misère est aussi dans la mise en scène.
Dans le deuxième volet, la vie devient plus rude car ...
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tuco-ramirez
133 abonnés
1 623 critiques
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4,0
Publiée le 14 juin 2016
Un cinéaste inconnu, à part des cinéphiles très avertis ; une œuvre réduite, 12 films courts métrages compris ; aucune œuvre marquante, mort dans l’anonymat à 57 ans en 1991 ; mais un auteur reconnu post mortem qui fait parler de lui depuis quelques années : Bill Douglas. Rien de tel pour titiller mon âme de baroudeur cinéphile.
Son fait de gloire est sa trilogie autobiographique tournée entre 1972 et 1978 et composée de 2 moyens ...
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