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    Dracula et les femmes
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    Run
    Run

    3 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mars 2021
    Malgré la présence de Christopher Lee dans le rôle-titre, il n'y a rien à sauver dans ce film, même pas les décors très lambda. Je me suis ennuyé du début à la fin. Personnages sans charisme. Sans intrigue. Un ratage.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Devant l'incapacité de Terence Fisher à pouvoir poursuivre la série en raison d'un accident de voiture, les studios de la Hammer engagent Freddie Francis pour la réalisation de ce troisième "Dracula". On remarque vite que Freddie Francis est meilleur directeur de photographie que cinéaste. Sa mise en scène n'égale en rien celle de Fisher. Christopher Lee, déjà lassé du rôle de Dracula, n'aimait guère le scénario du film. Difficile de ne pas partager son avis : déjà la première scène horrifique n'est pas crédible : on découvre dans une église une femme visiblement vampirisée. Comment cela peut-il être possible alors que le seul vampire connu de la région, à savoir Dracula, est figé dans la glace (et je le rappelle non pas dans les douves du château comme dans le précédent film, mais dans une rivière) donc hors d'état de nuire ? Ce meurtre a-t-il été accompli avant ou après qu'il soit neutralisé dans Dracula Prince des Ténèbres ? Ce film change également certaines "règles" établies par les films précédents. Ainsi, pour tuer un vampire dans ce film, il ne suffit plus seulement de lui percer le coeur avec un pieu, mais également de prier. Je suis catholique, mais je trouve ce type de nouveauté risible. Inférieur sur le plan artistique aux films de vampires signés Terence Fisher, Dracula et les femmes déçoit aussi relativement niveau scénario. En regardant les affiches et les images dérivées, j'avais espéré que les scénaristes, au lieu de continuer à réduire Dracula à la simple fonction de "monstre à abattre", auraient mieux exploiter le personnage, l'humaniser par exemple, tisser une relation amoureuse entre lui et une de ses victimes comme le feront plus tard John Badham ou Francis Ford Coppola. Parce que le principe d'une série faite à partir d'un très bon film, c'est que le schéma ne se répète pas toujours et qu'il y ait du nouveau. Mais le film n'innove que fort peu, malgré quelques idées comme celle du prêtre s'alliant au comte. Heureusement, le charme agit et il y a tout de même quelques bons moments (les scènes de vampirisation, le final…) et une héroïne pulpeuse et gracieuse à souhait. À noter que le moment où Dracula mord pour la première fois Maria est une scène hautement symbolique, métaphore sexuelle renforcé par cette image où la jeune fille lâche sa poupée. Au final, Dracula et les femmes est bien loin d'égaler les réussites de Terence Fisher, mais reste un divertissement "hammerien" appréciable qui offre un bon moment horrifique.
    Eselce
    Eselce

    1 392 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2015
    Il a beau y avoir Christopher Lee dans le casting, cette version de Dracula n'en reste pas moins mauvaise à mon goût. L'ambiance est absente, le scénario est creux, les décors très mauvais -On aperçoit à peine le château de Dracula- et les femmes semblent comme des pantins ridicules face à Dracula. La musique est assourdissante, les dialogues absents. C'est à peine si Dracula ouvre la bouche autre que pour se nourrir ou faire "Aaah". C. Lee n'a rien à faire dans ce navet d'une autre époque.
    Alexarod
    Alexarod

    280 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2016
    Un Dracula de la Hammer mais sans Van Helsing (donc Peter Cushing), c’est rare mais pas sans atouts.
    En cela le principal c’est Christopher Lee, et ils savent s’en servir, encore plus là. En cela il est davantage présent et parle plus.
    Hormis Lee et sa longue cape qui fait toujours effet, pas grand-chose à signaler parmi les autres acteurs si ce ne sont : les femmes évidemment, d’où le titre (même si la traduction est allé chercher loin). Celles-ci ont été choisies pour leur physique, clairement. Du coup, le réalisateur s’attache à exploiter le côté sensuel et sexuel du vampire, pas mal vu surtout que ça semble avoir échappé à la censure. Puis l’histoire est pas mauvaise non plus. Si la fin peut être sujette à controverse quant à l’élimination du mal, elle donne lieu à un graphisme superbe et une scène de mort dans le ton de l’époque. La dénonciation de la trop grande importance de l’église et ses contradictions (entre le prêtre dévoyé et l’évêque dévoué corps et âme) peut être trop sous entendue mais demeure un atout non négligeable du film.
    Par contre, cela reste très classique, un peu kitsch, usuel (surtout de la Hammer et Lee), simple notamment la mise en scène, peu de FX, des faux raccords, des incohérences (les scènes sur les toits où la distance n’est pas la même pour tous…), les décors en carton trop visible, une musique presque faite que par des trompettes, des dialogues étranges par moment, un prêtre si dévoué au comte qu’on se demande comment c’est possible (la magie du regard, même bien fait, de Lee ne fait pas tout), un rythme moyen qui se tient malgré des longueurs et une durée totale courte… Un autre problème : l’arrivée du technicolor je crois. Encore mal maitrisé surement, mais on a souvent des côté jaunes à l’image, et ce n’est pas un effet de style voulu selon moi, sinon c’est moche.
    Au final cela reste moyen, les défauts du manque de moyens et d’écarts par rapport au roman de Stoker sont compensés par une autre approche de la mythologie du vampire : la sensualité. Si elle n’est pas rendue toujours au mieux elle a le mérite d’exister et de bien s’insérer à la saga des Dracula. Un long métrage que je conseillerai surtout aux fans de Christopher Lee, pas culte mais un ensemble maitrisé.
    Redzing
    Redzing

    1 115 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    "Dracula Has Risen from the Grave" est le quatrième film de la saga Dracula de la Hammer, et le troisième avec Christopher Lee. Cette fois, le vampire est à nouveau ressuscité, et cherche à se venger d'un prêtre ayant condamné son château. Malgré pas mal d'éléments déjà vus dans la franchise (villageois effrayés, vampire séducteur et hypnotiseur en quête d'une jeune femme, etc.), le film propose quelques bonnes idées. Notamment, les serviteurs hypnotisé de Dracula, qui ont ici plus d'importance, ou le fait que héros soit athée, ce qui change la donne. Et si la réalisation de Freddie Francis est moins vive que celle de Terence Fisher, les décors du début du 20ème siècle demeurent soignés, et les couleurs rougeâtres bienvenues. Par ailleurs, Christopher Lee a toujours la classe dans le rôle du vampire. Une bonne suite.
    Plume231
    Plume231

    3 887 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    Un Dracula à la sauce Hammer qui parait bien faible, surtout par rapport à un sommet du mythique studio avec "Le Cauchemar de Dracula", la faute à un scénario bourré d'incohérences et de répétitions et à un rythme plus qu'inégal.
    Le réalisateur du film Freddie Francis avait dû très bien le comprendre car il y a soigné, en très bon directeur de la photographie qu'il était, l'aspect technique de l'ensemble et réussit à incruster quelques petites séquences inspirées, à l'instar de l’empalement final, ou quelques idées intéressantes non dénuées de subversion comme par exemple le prêtre transformé en esclave par Dracula ou encore le fait qu'un évêque est obligé de collaborer avec un jeune athée pour combattre les forces du mal.
    Mais cela ne suffit malheureusement pas à cacher la pauvreté de l'ensemble.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Voilà, voilà le premier "Dracula" de la Hammer à m'avoir déçu, et malheureusement, il ne sera pas le seul. C'est pour cela que je vous disais que l'on s'apprétait à entrer dans une phase que je n'aimais pas de la célèbre société de production américaine, les prémices de son déclin. N'ayant plus trop de scénarios intéressants à dégaîner pour faire peur aux foules, les producteurs et autres scénaristes décidèrent de sortir, du fond de leur poche, un scénario ne possédant pas les crocs du tout. D'accord, le jeu de mot n'était pas très piquant de rire. Mais outre ces bien minables calambourds, il résulte de ce "Dracula et les femmes" une oeuvre souffrant d'un manque d'imagination flagrant, et du départ évident de Terence Fisher, qui nous avait par ailleurs founi trois films mémorables, en plus d'une flopée d'autres chef-d'oeuvres concernant les autres personnages phares de la littérature fantastique. Ainsi, ce grand homme ayant quitté la barque, surement trop effrayé par les directions que prenaient Dracula, il fallait lui trouver un remplaçant. Et c'est en la personne de Freddie Francis ( un nom tel que je me demande si ce n'est pas, finalement, un pseudonyme ) que l'on trouve son remplaçant, un réalisateur assez peu connu qui n'a jamais rien fait de bien ( à part son "Frankenstein", que je n'ai pas encore vu ). Et donc, avec ce mec, allez faire un bon film, vous. La mise en scène est en fait assez plate, plutôt banale, sans atmosphère réellement palpable, sans réelle tension. Bon, elle se révèle tout de même un minimum efficace, mais il lui manque des scènes intriguantes, effrayantes, qui font peur quoi ! Des scènes qui avaient fait le bonheur du film précédent, et même la sensualité du second opus manque tout de même, le côté esthétique de la chose, je veux dire. Alors oui, il y a une certaine sensualité dans le cas présent, mais n'est pas Terence Fisher qui veut. Le résultat est donc très décevant sur le point de vue de la mise en scène, mais ne l'est pas moins au niveau de son écriture. OOOh Terence Fisher, qu'est-ce que tu me manques ! Niveau écriture, c'est donc pas très folichon. Les dialogues sont pas mauvais, certes, mais l'érotisme esthétique des films précédents manque réellement. Et ce n'est pas seulement dû à la mise en scène : c'est aussi et surtout causé par une baisse du niveau de la rédaction. Après, c'est purement personnel comme je ne cesse de vous le répéter dans nombre de mes articles, mais là, je n'ai pas du tout accroché. Ensuite, j'ai trouvé l'histoire bien trop peu imaginative, et beaucoup trop réchauffée. Le schéma demeure encore et toujours le même spoiler: : Dracula ressuscite, revient dans son château, se sert d'un homme pour l'aider dans sa vengeance, désire une femme, veut tuer le copain de la dite femme, et se fait tuer par le dit copain de la dite femme. Voilà, je vous ai résumé ce film, et tous ceux qui suivent
    . Et donc, outre la banalité de son intrigue, il y a autre chose qui jure franchement : son casting. C'est pas pour me râbacher, mais qu'est-ce que Peter Cushing manque, sérieux ! En fait, on a surtout l'impression que devant ce charismatique vampire, il n'y a personne pour lui faire face. Pas un acteur charismatique, pas un personnage dont on se souvient après l'avoir vu, pas un équivalent de Van Helsing. Même le héros est sans charisme, d'autant que son interprétation est plus que bancale. Du côté de Christopher Lee, c'est bien sûr du très bon. L'acteur est toujours aussi charismatique, imposant et atypique. Pas de problème de son côté, il est toujours aussi adapté pour le rôle, un rôle beaucoup mis en avant que pour le précédent film. Les scénaristes ayant compris qu'un acteur comme celui là, on le met en avant quand on l'a, il est ainsi au centre de l'intrigue, et se montre encore plus que précédement. J'ai tout de même senti chez lui un ras le bol du personnage. Mais bon, peut-êtr suis-je le seul à l'avoir vu. Au moins parle-t-il, maintenant ! Outre une fin complètement ratée et ridicule, "Dracula et les femmes" est également une oeuvre atrocement prévisible. Les scènes de mort sont d'une mollesse rarement atteinte ( d'où un problème de mise en scène flagrant ), et surtout, il ne respecte ni la mythologie du personnage ni les valeurs instaurées par les trois premiers films. C'est simple : depuis le temps qu'on nous rabâche que Dracula ne tue que la nuit, pourquoi ne le fait-il pratiquement que de jour dans le cas présent? A cela, ajoutez beaucoup de longueurs et une lenteur inutile et exaspérante, et vous comprendrez ma déception. A ne surtout pas voir, même si vous êtes fan du personnage.
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2013
    Un scénario intéressant et une réalisation de très bonne qualité pour cette série B avec une belle ambiance pour les plans extérieurs (les toits, les sous-bois, les paysages rocheux…). Le film se concentre sur les personnages secondaires notamment la très jolie Veronica Carlson et distille un érotisme diffus. Malheureusement le film a été charcuté au montage (C'est quoi le crime du début ?) et se termine par un plan absurde (le jeune athée qui se signe !), mais cela reste un très bon produit des studios Hammer.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    985 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Gros changement pour ce quatrième opus qui n'est pas réalisé par l'habituel Terence Fisher mais par le brillant directeur de la photographie Freddie Francis, qui le remplace au dernier moment... Le Britannique arrive cependant à instaurer une véritable atmosphère très personnelle, ne se calquant pas sur son prédécesseur pour délivrer des décors moins gothiques mais plus sombres tout en proposant clairement un léger côté érotique bienvenu. Pareillement, la violence est ici plus brute, avec des passages particulièrement sanglants et quelques agressions brutales (la poursuite de Zena par un fiacre, une véritable chasse à l'homme au féminin). Le scénario change une nouvelle fois de direction et de personnages tout en suivant fidèlement les évènements passés : Dracula est réveillé de sa prison de glace, pervertit un prêtre pour le servir et commence une quête d'hémoglobine dans le village voisin. Rien de bien original donc mais le film reste prenant du début à la fin, ponctué par des séquences bigrement réussies qui tiennent en haleine le spectateur. On regrettera malheureusement les coupes orchestrées à l'époque par la Warner à l'insu de Francis, enlevant certains passages importants et provoquant parfois quelques incohérences de mauvais goût (on ne saura jamais qui a mordu la première victime au début du film). En revanche, l'interprétation est solide, les nouvelles "conquêtes" du Comte de plus en plus sexy et Dracula himself retrouve son éclat d'antan mêlé à une nouvelle bestialité. Christopher Lee, malgré sa lassitude évidente, continue d'incarner avec grâce le célèbre vampire, accentuant ses apparitions et retrouvant enfin la parole, chose qui fut le principal point noir du précédent opus. En somme, malgré quelques illogismes et l'absence de Peter Cushing qui continue de se faire cruellement sentir, Dracula et les femmes reste contre toute attente l'un des meilleurs opus de la saga, efficace et soigné.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2012
    Troisième épisode de la saga de la Hammer, Dracula retourne dans son château et s'attaque au village le plus proche. Véritable jeu de cache-cache, le film contient une excellente mise en scène avec d'astucieuses lumières, des décors proches de l'expressionnisme allemand et une critique du clergé corrompu et impuissant. Si la franchise est devenue peu à peu kitsch, elle n'en est pas moins un superbe divertissement.
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2011
    Exploitation d'une série à succès pour la Hammer, ce qui n'empêche pas le studio de veiller à la qualité de fabrication du film, pourtant produit très rapidement, et d'introduire dans le scénario des thèmes permettant d'éviter les redites, bien que les résurrections de Dracula soient de plus en plus improbables. Içi le scénario évoque la question de la foi à travers ses deux personnages de prêtres, dont un est d'une intransigeance limite, et du jeune premier héroïque, qui se revendique athé.
    Le film attaque aussi la rigueur et le conservatisme de la société anglaise qui fait le lit du Dracula. Cette description de la société britannique étouffante du XIXe siècle est évidemment une couverture, le véritable sujet étant l'Angleterre contemporaine du film dont les institutions se raidissaient devant le courant libertaire né quelques années auparavant.
    Comme toujours dans les Draculde la Hammer, l'érotisme est présent en filigrane (comme dans les scènes où l'héroine attend avec impatience que le comte lui rende une nouvelle visite dans sa chambre).
    AMCHI
    AMCHI

    5 804 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2011
    Dracula et les femmes ce titre français est saugrenu et ne reflète pas l'histoire du film mais cela n'enlève en rien la qualité de ce bon film de la Hammer ou l'on retrouve un Lee en forme dans la peau de l'infernal Dracula qui ne cesse de revenir. La scène d'introduction assez longue est très réussie et l'ambiance est plutôt lugubre, Dracula et les femmes a une certaine beauté dans ses décors avec notamment ses magnifiques toits par lesquelles la jolie Veronica Carlson rejoint son fiancé. C'est vrai que Dracula et les femmes ne sort pas des sentiers battus du genre mais les amateurs de ce type de cinéma devrait y trouver leur plaisir. Tout ceci est divertissant et sans temps morts.
    jamesluctor
    jamesluctor

    134 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2010
    On sent que la réalisation a changée. En effet, le film fait tout d'abord l'intéressant choix de se focaliser sur le personnage du prêtre du village, qui décide de tuer Dracula une fois pour toute après avoir retrouvé une de ses victimes dans sa propre église. Le sens de la mise en scène est néanmoins toujours là, et c'est avec plaisir qu'On retrouve Lee, entouré par des acteurs plutôt convaincants. J'ai moins apprécié les effets spéciaux dans cet opus. En revanche, le film gagne énormément en gothique (les décors du château et des toits du village sont tout simplement magnifiques) et en romanesque (comme l'indique le retitrage français, Dracula n'a jamais été aussi proche des femmes). Dracula attaque plusieurs femmes au cours du film, et va à chaque fois un peu plus loin dans le romantisme et l'érotisme (l'étreinte dans la chambre avec la jeune femme blonde est éloquente). Le film m'a un peu moins plu que le précédent, mais reste tout à fait fréquentable pour les amateurs du genre.
    benoitparis
    benoitparis

    109 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2010
    La Hammer en est à avoir beaucoup tiré sur la série et le génie propre de T. Fisher est absent. Néanmoins F. Francis est un bon réalisateur et il y a surtout de l’humour dans la les allusions érotiques très explicites et un certain esprit anti-catholique et anticlérical : le personnage du prêtre passé au service de Dracula est quelque chose ! Une quasi-parodie bien fichue qui se regarde avec beaucoup de plaisir, avec un Ch. Lee toujours très bon.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2010
    Rèalisè par Freddie Francis, meilleur directeur de la photo que metteur en scène, "Dracula et les femmes" met l'accent sur l'opposition entre les forces du Mal et celles du Bien, symbolisèes par la religion (unes des victimes est retrouvèe vidèe de son sang et pendue par les pieds à la cloche d'une èglise). il nous fait ainsi tout d'abord assister à la rèsurrection du comte grâce au sang d'un prêtre, qui dans sa chute, dètruit la glace recouvrant son cadavre! Suivent alors une sèrie de scènes d'horreur qui font à prèsent du comte un monstre abominable dont les yeux se mettent à saigner lorsqu'il voit une croix, dont les crocs taillent des plaies bèantes dans les gorges de ses victimes et qui arrache lui-même le pieu fichè dans son coeur pour finalement être empalè sur une croix où il se dèbat encore! Increvable ce Dracula, où ici l'humour prend le pas sur l'èrotisme...
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