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un petit polar à l'anglaise
une atmosphère anglaise avec une belle lumière de jolis paysages
l'acteur principale Riley est juste dans le rôle de ce malfrat torturé (un petit air de léonardo di caprio)
une jolie actrice également andrea riseborouh dans le rôle de cette serveuse naive qui va être un témoin gênant et qu va tomber sous le charme de pinkie manipulateur à souhait
un film assez lent malgré quelques scènes de violences
une atmosphère anglaise avec une belle lumière de jolis paysages
l'acteur principale Riley est juste dans le rôle de ce malfrat torturé (un petit air de léonardo di caprio)
une jolie actrice également andrea riseborouh dans le rôle de cette serveuse naive qui va être un témoin gênant et qu va tomber sous le charme de pinkie manipulateur à souhait
un film assez lent malgré quelques scènes de violences
🎬 RENGER 📼
Premier long-métrage pour Rowan Joffe (fils du réalisateur Roland Joffé) qui réalise le remake du film noir Le Gang des tueurs (1947) de John Boulting, lui même adapté du roman éponyme de Graham Greene (paru en 1939).
Brighton Rock (2011) commençait plutôt bien niveau mise en scène, mais la multiplication des personnages et des sous-intrigues finissent rapidement par lasser le spectateur, l'histoire (qui manque de consistance) devient petit à petit d'un classicisme désolant (c'est plat et vide à la fois), seul lot de consolation, les très beaux décors (reconstitutions, costumes, etc), ainsi que les acteurs qui sont l'atout majeur du film, en la présence de Sam Riley, Andrea Riseborough, Philip Davis, Andy Serkis, Helen Mirren & John Hurt.
Brighton Rock (2011) commençait plutôt bien niveau mise en scène, mais la multiplication des personnages et des sous-intrigues finissent rapidement par lasser le spectateur, l'histoire (qui manque de consistance) devient petit à petit d'un classicisme désolant (c'est plat et vide à la fois), seul lot de consolation, les très beaux décors (reconstitutions, costumes, etc), ainsi que les acteurs qui sont l'atout majeur du film, en la présence de Sam Riley, Andrea Riseborough, Philip Davis, Andy Serkis, Helen Mirren & John Hurt.
vidalger
Parfois un peu too much dans la mise en scène, dans la violence, dans le néo-rétro, dans l'ambiance et les grimaces des bad guys, dans le décor. Et pourtant, deux comédiens bien choisis savent nous faire partager l'ambivalence des sentiments de la niaise Rose et du mégalomane et psychopathe Pinkie. L'immense Helen Mirren vient rehausser le niveau de ce petit remake so british. L'atmosphère de guerre d'opérette entre les Mods en vespa et les Rockers à blouson noir, le décor naturel des fêtes foraines du bord de mer de Brighton ajoutent au charme de ce film qu'il faut aller voir comme on mange une madeleine pour se souvenir des films d'avant. La mise en scène, les décors, la stylisation de l'image, le montage sont tous de grande qualité et peuvent servir de leçon à nos apprentis réalisateurs. Enfin, last but not least, la chute est un bijou d'humour britannique.
Plus qu’une simple histoire de bandits et de lutte de pouvoir pour s’octroyer le monopole d’un business et d’un territoire (les jeux clandestins et Brighton), le roman – et donc le film – embraye rapidement sur une rencontre amoureuse, commencée par intérêt puis développée sur fond de cohabitation entre le bien et le mal, avec à la clef la perspective de la rédemption. Il faut se souvenir à cet égard que l’auteur britannique de Voyages avec ma tante s’est beaucoup penché sur l’ambivalence humaine et le poids du catholicisme. Ce type de réflexion philosophique – qui confine davantage à la digression dans le cas d’un thriller comme Brighton Rock – supporte en général assez mal la transposition à l’écran, sauf à être confié à un cinéaste inspiré. Ce que n’est assurément pas Rowan Joffe, se révélant plutôt fastidieux tâcheron dans les scènes intimistes entre Pinkie le jeune malfrat tourmenté et machiavélique et Rose, l’innocente et candide serveuse. Quel ennui et quelle platitude, heureusement que la toujours impeccable Helen Mirren vient rehausser le niveau et insuffler un peu de rythme, que le réalisateur ne semble donc maîtriser que dans les séquences d’action réglées à la perfection, y compris dans l’utilisation des décors naturels de la cité balnéaire.
Après une scène d’ouverture qui tient en haleine, le film trop long finit par s’essouffler, à la fois par manque tangible de suspense et par dilution jusqu’à l’épuisement de dialogues peu passionnants. Enfin, il n’évite pas une certaine grandiloquence – dont ce tic de plus en plus fréquent d’un habillage musical pompier et omniprésent. Le goût affiché de la stylisation ne parvient cependant pas à masquer la longueur de l’ensemble et l’absence de véritable originalité.
Après une scène d’ouverture qui tient en haleine, le film trop long finit par s’essouffler, à la fois par manque tangible de suspense et par dilution jusqu’à l’épuisement de dialogues peu passionnants. Enfin, il n’évite pas une certaine grandiloquence – dont ce tic de plus en plus fréquent d’un habillage musical pompier et omniprésent. Le goût affiché de la stylisation ne parvient cependant pas à masquer la longueur de l’ensemble et l’absence de véritable originalité.
Benito G
On s'attend à être surpri, et en réalité ; le film se montre incomplet ; comme non maitrisé. LE casting est quant à lui brillant, et c'est une chose à retenir! Apres pour le reste, l'ensemble nous parait ; dés l'arrivé du générique final ; bien fade. On s'attendait à autre chose... Mélanger les genres est quelques choses qui peut amener un film admirable, mais qui en même temps peut le rendre complètement "out". Et ici, ce petit mélange ; semble emmener le spectateur vers une direction inconnu... Inconnu par le réalisateur d'ailleurs, je suppose^^. L'idée de base est pourtant bonne et interessante, mais malheureusement la mise en scène ne mène pas ; au film qu'il aurait pu être s'il avait été fait "autrement". Il serait tiré du "Gang des tueurs". Film que je n'ais pas encore eu l'occasion de voir, mais dont les critiques ; et le visionnage de "Brighton Rock". M'on donnait envie de découvrir l'oeuvre de départ, qui est peut être plus frappante et transcandante (car m'attendant à mieux et voyant une trame plutot original si elle est subtilement traité et ne tombe pas dans l'excès. M'a ouvert l'esprit, quant à un film de ce style). Mais du coup, pour "Brighton Rock" ; on comprendra pourquoi la distribution en salle n'est pas du tout bonne (le fait que se soit britannique jouant également aussi^^) et pourquoi il vaut surement mieux se tourner vers l'oeuvre de base ou l'oeuvre littéraire. A vous de voir, mais je doute...
Ultra stylisé et magnifique visuellement parlant, Brigthon Rock reste, cependant, un polar mou passant trop de temps à s'auto-contemplé quitte à oublier de raconter une histoire. Par contre, il n'y a rien à dire sur un casting impeccable qui essaye tant bien que mal de donner de la vie à cette univers figé et froid.
Un drame ennuyeux, lent, sans saveur et mal interprété. Aucune personnalité propre à jouer un rôle à la mesure du sombre de cette histoire. Une histoire qui peut se résumer en une phrase et être mise à l'écran en 10 mn ! D'où l'ennui latent, rien ne se passe ! On flirte en permanence sur un travail de personnalité et/ou d'actes survolés, mal traités et non évocateurs ! Reste une reconstitution assez réussi, du caviar pour une réalisation en dedans. Un film qui passe simplement, sans intérêts aucun. 1.5/5 juste pour l'environnement ! A éviter !!!
Un film relativement soporifique, avec une histoire quelque peu embrouillé. Et à part Brighton et ses environs, le reste se regarde sans intérêt.
Scénario convenu, acteurs piétinants, mise en scène brouillonne, Brighton Rock n'a rien à apporter à un spectateur assommé d'ennui.
Brighton Rock est un film attrayant grâce au scénario plutôt intéressant et à la performance des acteurs, notamment Sam Riley.
Film noir tiré du roman éponyme de Graham Greene « Brighton rock » nous plonge dans les bas-fonds de la station balnéaire de Brighton au milieu de la pègre qui y règne, on y croise les hommes de mains, les jeunes loups avides de pouvoir, des filles paumées et des parrains embourgeoisés. Si le film réussi magistralement à rendre cette ambiance oppressante du film noir et à portraiturer ses personnages avec talent, il échoue au niveau de l’histoire qui ne parvient jamais à nous passionner. Cela commence dès les premières scènes où le spectateur en est réduit à tâtonner pour comprendre ce qui se déroule devant lui, la suite du film se regarde avec un détachement proche de l’ennuis et ce malgré une interprétation plutôt réussie. Le film s’échoue sur de multiples longueurs qui alourdissent un propos bien peu enlevé par lui-même. Si l’intrigue se révèle un peu faible et manquant de vigueur, le film s’achève néanmoins sur une fin plus alerte, presque les séquences les plus réussies du film. Reste une photographie sombre et plutôt belle qui accompagne bien cette ambiance désespérée du film noir. Un film trop languissant pour être enthousiasmant qui ne brille que par son ambiance et ces personnages, mais qui ne parvient jamais à amener la dramatique à leur niveau. À voir pour savoir ce qu’est une ambiance de polar si on supporte les intrigues essoufflées.
Le film commence très bien avec une atmosphère et une tension prenantes mais petit à petit on décroche parce que l'histoire fait des détours ou prend des raccourcis. L'interprétation est excellente, la révélation se nomme Andrea Riseborough. Malheureusement, un bon début et une révélation ne suffisent pas à faire un bon film si le scénario n'est pas à la hauteur !!
Très bon polar adapté de Graham Greene. Le scénario fait toute la qualité du film: suffisamment dense, avec des personnages ambivalents et sombres. A cela s'ajoute une interprétation de qualité. Sam Riley se démarque dans son rôle de petite frappe vénéneuse terrifié par ses sentiments. Une bonne surprise qui mérite d'être découverte.
Pathetique, lent , malgres la prescence de l'exelente Helen Mirren.
du superflu aurait pu être enlevé du film, l'ambiance mod's des 60's est marrante
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