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karpathakis y
25 abonnés
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2,0
Publiée le 27 janvier 2020
Meatball Machine est un film japonais dérangé et graphiquement sanglant sur de petits êtres qui prennent les gens et les transforment en nécro-machines zombies. Les effets spéciaux peuvent être ringards à certains moments du film, mais vous ne supposez pas exactement prendre le film très au sérieux. Pourtant, dans l'ensemble c'est très amusant. Pour les fans de Troma ou du genre Cyberpunk mélangé. L'intrigue est ridicule n'étant pas liée à ce que nous en tant que public attendons des films de nos jours. Mais c'est tellement marrant...et pour ceux qui aiment ce genre de cinéma, je conseillerai Tokyo Gore Police de Nishimura. Pas vraiment la même d'histoire mais tout aussi gore, un vrai délice pour les amateurs du genre ! A regarder seulement si vous aimez ce "type" de délire mais j'ai vu beaucoup mieux dans le genre...
Un pur délire comme seul les japonais peuvent imaginer. c'est gore, c'est totalement barré dans le design des monstres, le scénario est à la limite de l'entendement. Il faut vraiment prendre ce film comme un pur défouloir. Ceci dit, meme dans cette optique, force est de constater que tout est pauvre dans cette production, on se croirait dans les tout premiers X-or avec des costumes de métal fait en mousse. La seule chose sur laquelle ils n'ont pas lésiné, c'est la tonne d'hémoglobine utilisée (même si ce film n'obtient pas la palme dans ce domaine), pour le reste les acteurs sont vraiment en peine, le héro totalement antipathique et la BO tape sur le système.
"Meatball Machine" est un film comme seuls les japonais savent le faire, un bioman version gore. Alors que Takashi Mike le faisait plus ou moins avec brio dans certains passages de sa trilogie "Dead Or Alive", ici on va direct dans le nanar à deux sous. C'est faible en tout point de vu et fortement risible lors des différentes apparitions des parasites! Le réalisateur aurait certainement dû s'arrêter à l'écriture de "Versus"
Japonaiserie gore fauchée mais visuellement loin d'être honteuse, à l'exception de deux ou trois effets très pauvres, "Meatball machine" est de ces films inclassables comme seuls savent les faire les asiatiques. Le scénario n'est pas très épais mais n'est pas inintéressant, ce film saura satisfaire les attentes des amateurs de curiosités.
C'est original, gore et ça ne se prend pas au sérieux. "Meatball Machine" introduit une nouvelle saleté de parasite parmi les monstruosités du cinéma d'horreur. Il prend possession d'une personne et s'en sert pour se battre à mort contre ses propres congénères, puis il change d'hôte dès qu'il a besoin d'un nouveau corps. Au programme des réjouissances: des mutations et des mutilations qui rappellent un peu "Tetsuo", mais en nettement plus déjanté. Les costumes ont un design assez génial; dommage qu'ils aient un aspect aussi latex ! Si vous aimez le cinéma avec des créatures improbables et du sang qui gicle de manière exagérée, vous serez certainement séduit par ce film.
Un film gore comme les japonais savent en faire. Une histoire sorti de nulle part mais assez intéressante. Malheureusement le film est entièrement plombé par son côté amateurisme qui fait vite défaut au film : la photo est juste immonde. Il reste de belles scènes gore et un combat final interminable.
Que du bonheur ! Une petite bande gore fauchée, qui joue la carte de l'excès nippon pour transcender ses idées. Plutôt réussi au final, malgré des effets spéciaux un peu cheap par moment. Car on comprend vite que, sous prétexte d'une histoire d'amour déchirée, on va avoir droit à un étalage de folies pendant une heure et demi. L'esprit Tetsuo est bien là (et pour cause : le réalisateur dudit film fait partie du projet), et le film gagne en lisibilité (en gros, des extraterrestres s'affrontent sur terre en parasitant des humains et en modifiant leur corps). L'excès va croissant jusqu'à une scène finale ultra cheap, mais tellement peu attendue qu'elle intrigue le spectateur, puis le fait bien rire en laissant imaginer quel nouveu carnage pourrait nous proposer une suite. De la péloche bien décomplexée, mais d'un style organo-mécanique attirant.