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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 octobre 2012
Attention chef d'oeuvre!!! Tout commence comme un film grand public et bon enfant et puis très vite on entre dans la cour des grands! Les aspirations aux rêves du début virent aux cauchemars, mais on est envoutés, accrochés à ces deux personnages, des paumés attachants qui à force de vouloir croquer la vie à pleines dents vont se les casser... La musique nous emporte tout au long de ces deux heures de pures merveilles... Encore une fois chapeau Monsieur Schlesinger!
Un film qui colle à son époque mais qui garde la même force et la même justesse qu'à sa sortie. Hoffman et surtout Voight nous offrent 2 compositions impeccables.
Un pur pur chef-d’œuvre. Un film sur la fatalité. C'est la plus belle amitié que j'ai pu voir au cinéma. Dustin Hoffman et Jon Voight sont parfaits. Bien que l'histoire soit triste, elle donne un sentiment de liberté et d'espoir malgré tout car Joe Buck et Ratso Rizzo ont vraiment envie de se sortir de leur misère et de partir loin, d'avoir une vie meilleur ; on y croit jusqu'au bout avec eux mais durant ce long périple aventureuxspoiler: la mort l'emportera sur l'amitié arrivée à la destination tant souhaitée : la Floride. Il y a aussi de l'humour, ce qui permet de rendre l'histoire moins tristounette. spoiler: Les dernières minutes où Ratso meurt dans les bras de Joe Buck le regard tourné vers le soleil de Floride ; cette dernière scène est vraiment touchante .
Macadam cowboy, une époque ou les gens allez au cinéma pour une histoire,pour une ame ,quelle époque,mais que dire de ce film,il y a temps a raconter,le duo d'acteur est formidable,la mise en scéne est magique ,un de mes réves les plus chers et de retrouver un bon cinéma comme celui ci de nos jours ,on en trouve plus maintenant!!A voir absolument.
Ennuyeux du début à la fin avec un scénario inexistant et une totale inexploitation des personnages. Je reconnais toutefois qu'il a le mérite de bien traiter la déception du gars qui arrive dans une grande ville avec des rêves pleins la tête. Il est vrai qu'il a de quoi se hisser au rang des films classiques, mais Macadam Cowboy ne m'a nullement séduit.
Quand on a d'abord lu le livre éponyme de James Leo Herlihy on a sans doute un léger avantage car on comprend sans doute un peu mieux ce qui amène le «cowboy» solitaire à New-York. Dans le film le passé est évoqué en flash-back, alors que dans le livre le récit est plus linéaire. Sinon c'est un très bon film qui est fidèle au roman et qui ajoute une touche artistique underground au récit, ainsi que des moments d'humour assez cocasses qui permettent au film de sortir parfois de la désespérance liée à l'histoire de ces deux paumés. Les acteurs sont tout à fait crédibles, «chapeau» les cowboys !
Réalisé par un John Schlesinger à son sommet et rythmé par la magnifique chanson « Everybody's Talkin » de Nilsson, « Macadam Cowboy » est l'incarnation du Nouvel Hollywood dans ce qu'il faisait de mieux. Deux losers magnifiques, portrait saisissant d'un rêve américain complètement insaisissable et fantasmé, ton désabusé mais presque tendre... L'oeuvre échappe étonnamment aux conventions pour nous offrir quelque chose d'inattendu, de poignant alors que ses héros n'avaient a priori rien pour nous séduire. C'est sans doute l'une des grandes forces du film : que l'on se sente concerné à 200% par les galères de ce duo improbable remarquablement joué par Jon Voight et Dustin Hoffman, infiniment plus riche, complexe et intrigant que la plupart des héros lisses et sans saveur que l'on peut voir régulièrement aujourd'hui. Les humiliations ont beau être ainsi continuelles, on a envie de croire avec eux à un avenir meilleur (remarquables scènes rêvées d'un Miami considéré comme l'eldorado) pour se retrouver finalement encore plus bas que terre. Un film dur, mais puissant, difficile à raconter ou à décrire, mais que l'on oublie pas de sitôt : remarquable.
Joe Buck, blond et beau gosse, quitte sa petite bourgade du Texas pour monter à New York, où il espère se faire entretenir par des femmes riches, il a des arrieres gout de bouseux des campagnes ce qui fait sa personnalité. Mais la dureté de la ville lui fait rapidement perdre ses illusions. Seul, sans un sou, il fait la connaissance de Ratso Rizzo, Dustin hoffman, un petit Italien chétif, boiteux et tuberculeux. Depuis ce film, je me suis regarder le debut de sa carriere et je peux enfin dire qu'elle foutu acteur, c'est un maitre qui a fait des chef d'oeuvre (little big man, rain man, papillon,..... Bref a voir et a revoir !
Tout juste fini, Macadam Cowboy ( Midnight Cowboy ) est tout simplement un chef-d'oeuvre. Original, fort en émotion, le film passe à une vitesse incroyable. Cette histoire de cowboy prostitué joué par un exellent Jon Voight qui rencontre un jeune paumer parfaitement bien joué par un Dustin Hoffman totalement méconnaissable. Film particulié, il faut aimerce genre de film, mais il reste magnifique. John Schlesinger ( Marathon Man ) réalise là encore une fois de plus un film culte qu'il faut avoir vu au moin une fois.
Une belle histoire d'amitié, portée par deux personnages profonds et une excellente bande originale. Réalisation un peu spéciale (des scènes très courtes enchainées au feeling), qui ne plaira pas forcément a tout le monde. Hoffman et Voight sont parfaits.
Encore l'un de ses films rendus inoubliables par sa B.O. , superbe complainte de harry nilsson " everybody's talkin" ayant fait le tour du monde. Mais réduire ce film splendide à sa BO serait absurde tellement il frise la perfection de par ses acteurs au sommet de leurs possibilités ( dire que dustin hoffman y est formidable est un euphémisme) et de son message profondément humaniste. Terriblement subversif lors de sa sortie , macadam cowboy fait parti de ces films que l'on ne peut oublier .
Primé aux Oscars, Macadam Cowboy reste un incontournable des années 70 et encore de nos jours. Les raisons sont multiples et notamment cette paire d'acteurs que New York broie et au passé difficile, le milieu décrit qui fit scandale à l'époque, cette ambiance de galère et de désillusion. Tout est amené avec intelligence par le réalisateur qui signe son meilleur film avant Marathon Man.
Mettant en vedette le jeune Dustin Hoffman et Jon Voight, il s'agit du seul film à caractère érotique à avoir remporté l'Oscar du meilleur film, Oscar qu'il remporta d'ailleurs en 1970, de même que l'Oscar du meilleur réalisateur et du meilleur scénario adapté. Personnellement, je ne pense que cela est mérité. Malgré que les deux personnages clés du métrage soient plutôt bon, à l'image de Hoffman qui s'est véritablement déguisé en clochard pour avoir le rôle en surprenant la production, le film reste assez plat. Schlesinger part d'une bonne intention mais cela ne suit pas vraiment. L'interdiction aux moins de 12 ans, due aux scènes érotiques, ne changera rien à cet avis personnel. Il est toutefois classé 175ème meilleur film du top Allociné.